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Vendredi 27 février 5 27 /02 /Fév 16:37

Je suis finalement resté en cage de chasteté tout le week-end, et même au delà, après avoir reçu les instructions écrites de Madame pour la première fois.


Elle m'a donc demandé de remettre la plus petite cage de chasteté (c'est la CB 2000) après m'avoir étiré les couilles en cadence devant le lavabo et demandé d'éjaculer en moins d'une minute.


Ce que je n'étais pas parvenu à réaliser.


Et elle m'avait donc demandé de retourner en cage avant que nous ne sortions avec des Amis, sans que j'aie pu me vider. Ca commence à faire long comme sevrage, croyez-moi !!!


La CB2000 est donc la plus courte (de scages rigides, car la cage en cuir est encore plus compacte, mais il est vrai que la verge peut venir se placer sous le testicules et y trouver un peu de confort) et elle est particulièrement difficile à supporter si elle n’est pas bien ajustée.

 

Et dès qu’une érection s’annonce ou qu’on n’est pas placé dans une bonne position, elle se rappelle à vous à chaque instant.

 

Les consignes pour la suite ne m’ont cependant pas été données tout de suite.

 

Nous nous sommes d'abord rendus au Club équestre de ma femme pour y rejoindre ses amis, avant de sortir dîner avec le Couple Marie-Sophie et Grégoire, son nouvel Homme depuis quelques mois maintenant.

 

Rien de particulier pendant la soirée, jusqu'au moment où une dangereuse dérive de la conversation nous a fait aborder le sujet de la supériorité féminine. Cela devenait glissant et Madame en a joué un bon moment, savant pertinemment que locké dans ma Cage à Bite, je ne pouvais pas faire le mariole.


Sur le sujet de l'endurance masculine et l'intérêt d'un homme doué de ses mains et de ses attraits naturels, rien à craindre.

 

J’imagine en effet que Marie-Sophie sait que je suis monté en version standard supérieur extra longue durée, puisqu’avant de rencontrer Madame j’étais sorti quelques temps avec sa meilleure Amie de l’époque et que celle-ci me chahutait tout le temps sur le sujet en public.


C'est ainsi d'ailleurs que certaines amies m'ont fait l'honneur de propositions de sorties au cinéma en tête-à-tête avent que je ne rencontre Madame.

 

Bref, sur ce sujet, il est difficile à Madame de prétendre que son Homme est un impuissant ou bien sa chose ou je ne sais quel être inférieur au plan sexuel.


Pour le moment, en tous cas.

 

Car j’ai bien senti qu’elle prenait maintenant de l’assurance et souhaitait clairement afficher le message que c'était elle qui dominait désormais la situation dans notre couple.

 

En prenant la parole avec assurance.

En me contredisant sans que cela n’appelle de correction de ma part.

Elle m'a même fait baisser les yeux.

Elle a joué avec moi toute la soirée, ce qui m'a plu dans le cadre de notre jeu, mais un peu humilié devant nos amis qui me connaissent plutôt beau parleur et leader du couple d'une manière générale.


 

Ce ton nouveau ne leur a du reste pas échappé à nos amis.

Et je sais qu’ils ont compris que quelque chose est en train de se passer dans notre couple, car c’est à cette occasion que la supériorité féminine est devenu LE sujet central de notre conversation.

 

Pas possible de contredire Madame.

Je ne l'ai d'ailleurs pas fait.


Marie-Sophie a même dit en riant que "décidément, tu l'as enfin bien dressé on Homme, il est doux comme un agneau ce soir, une vraie crème d'homme" !!!

 

Grégoire, inconscient du dialogue subliminal se jouant entre Madame et moi à mots cachés, a poursuivi le débat sur le thème habituel de la nécessaire queue pour remplir les orifices de ces dames ; mais on lui a fait comprendre que la queue n’était qu’un instrument parmi d’autres, Madame trouvant même le moyen de lui faire un cours sur les cages de chastetés et les bienfaits que certaines femme semblait trouver à l’appareil.

 

Marie-Sophie trouve quand à elle dommage d’enfermer un membre vigoureux quand on a la chance d’en avoir un à disposition. "Ils ne sont finalement pas si nombreux à être en mesure de jouer convenablement de leurs baobabs", dit-elle en glissant un regard entendu à Grégoire et à Madame.

 

Ca devenait chaud ... mais c'est passé. J'avais la queue minuscule dans ma cage. Et je la sentais suiter de partout au fur et à mesure que la conversation allait de l'avant. Etais-je en train de me laisser envahir par la peur d'être dévoilé ? Ou bien étais-je en train de devenir un bon petit chien bien dressé dès le premier soir en Cage de Chasteté masculine ?

 

Nous nous sommes finalement accordés sur un point : il faut faire jouir Madame, et ensuite, éventuellement, on peut se lâcher.

 

Et si c’est Madame qui a décidé de jouer avec l’instrument du Monsieur, eh bien il faut là encore satisfaire ce bon vouloir.

 

C’en est resté là, mais je me suis demandé tout le temps si elle allait vraiment révéler notre secret à nos amis.

 

Ce n’est finalement pas arrivé.

 

Mais là encore, Madame s’enhardie de manière visible, s'affiche comme la dominante et prend les commandes.

 

De retour à la Maison, elle m’a dit avoir passé une excellente soirée et laissé en cage de chasteté.

 

Je n'ai rien demandé. Rien de Rien. Fait comme si de rien n'était. L'ai massée dans le dos, les jambes, la nuque, les fesses etc...

 

J'ai arrêté car j'ai senti que j'allais bander.

 

Elle a constaté que je restait sage : "c'est bien mon chéri, tu vois, en te concentrant un peu, tu peux être une bonne petite bite bien dressé, même bien mure comme elle doit commencer à l'être maintenant, n'est-ce pas ?".

Je n'avais une pfois de plus rien à répondre, d'autant qu'elle joignit le geste à la parole et que j'espérait en fait qu'elle me gratifie d'une bonne séance de ballbusting.

 

Je savais que je n'aurai rien et que nous allions passer le mois sans rapport sexuel classique, mais du coup, j'avais vraiment envie de faire éclater les roubignolles.

 

Rien que d'y penser, j'avais les sensations mémorisées par les couilles qui remontaient.

 

Elle le savait, c'est sur. C'est ce que l'on appelle l'effet "mémoire".

 

Elle me l'a dit. "N'y penses pas mon Chéri, tu vas te faire mal ..."

Elle m’a quand même massé les couilles en les tapotant du doigt, évoquant la soirée bien agréable que nous venions de passer. M’a dit qu’elle était contente que ne l’aie pas contredite. S’est étonnée de savoir que Grégoire et Sophie connaissaient la Cage ; un de leurs couples d’amis libertin expérimente d'après elle une cage en métal depuis presque deux ans tandis que Madame aime bien les petits jeunes...

Pourquoi m'a-t'elle dit cela si ce n'est pour me signifier que ce n'est pas la première fois qu'elle évique avec Marie-Sophie l'existence et les bienfaits de la cage de chasteté masculine.

Et nous nous sommes endormis rapidement. Avec des cages à bite plein la tête pour ce qui me concerne...

 

Et, naturellement, je me suis réveillé trois fois, trop serré dans ma CB2000.

 

Le cérémonial est alors toujours le même : les couilles qui font mal, tendues par la verge qui tente d'emmener et d'allonger la cage, il faut repousser la peau sous le périné, se redresser lentement, faire quelques pas, penser à autre chose, re-lubrifier, mettre de l’eau froide. Bref : faire passer cette méchante Gaule qui tire sur la peau de partout, comprime les boules dans le fond de leur sac et éviter les pincements et autre échauffements qui pourraient rendre le port longue durée désagréable sinon impossible.

 

Et lendemain matin est arrivé très vite, avec peu de temps pour se préparer et aller à l’Aéroport la déposer, avant de continuer ma route pour ma destination de week-end. Seul. Et en cage à pénis.

 

Elle a vu que je ne demandais rien. En a semblée satisfaite.

 

Avant de partir pour la salle d’embarquement elle m’a juste dit : en rentrant, tu trouveras mes instructions pour la semaine dans une enveloppe que j’ai glissée dans ton tiroir à chaussettes.

 

Tu vas passer une semaine exquise mon Amour. Et moi aussi d'ailleurs… C’est dommage : Julien et Sylvie ont prévu un Pique-nique en Vélo et je ne serai pas là pour voir comment tu t’en sors !!!

 

Elle m’a embrassé d’un ENORME baisé sur la bouche, y mettant toute sa langue, puis s'en est allée. Sans un regard.

 

De mon côté, je devais maintenant rejoindre mes amis à la Campagne et donc, je suis resté en Cage tout le week-end…

 

Jusqu’au Dimanche soir.

 

A remettre du gel dès que possible et à craquer à la moindre paire de botte ou au moindre beau cul qui passe.

 

J’ai eu du mal à dormir le samedi soir : pas de chance, il a fait beau et Julien nous a effectivement concocté une balade en Vélo pour aller pique-niquer…

 

Ca m’a comprimé le scrotum une bonne partie de journée, que j’ai passée à gérer la cage et son positionnement sans me faire remarquer et, le soir venu, toute la zone était comme libérée de ne plus avoir à gérer la selle.

 

J’ai passé une nuit d’enfer.

 

Je n’avais qu’une envie, c’était de péter ce satané collier de plastique et de retirer l’engin.

 

Et en même temps, c’est si bon de sentir sa Femme sur soi, car la cage, à chaque mouvement, imprime des sensations à la bite qui vous rappellent à chacune d’elle que sa volonté s’impose à vous, pour votre plus grand bonheur.

 

Et vous savez que votre relation est rare, sensuelle, faite d’exception et combien elle est précieuse.

 

J’ai tenu bon et me suis précipité sur l’enveloppe d’instructions dès que je suis rentré à la maison.

 

Elles sont vraiment déconcertantes. Surtout venant de Madame, elle qui était si timide et si peu inventive il y a encore peu.

 

Mon dressage ne fait effectivement que commencer. Je crains que les commentaires des uns et des autres sur ce thème de l'accélération du processus lorsque la femme prend vraiment le pouvoir soient en deça de la réalité. Une fois que la femme a pris le contrôle et qu'elle se lâche, c'est effectivement quelque chose.

 

Et mes couilles, comme ma bite, vont devoir apprendre à se contrôler très vite su je veux être à la hauteur de l'imagination de Madame.

 

Le programme établi est clairement destiné à renforcer mon état : je suis son homme objet.

 

C'est une pétition de principe bien arrêtée et manifestement, ça lui plait vraiment, vraiment beaucoup.

 

Tant mieux, je sais maintenant qu'on partage un vrai sujet commun dans notre vie intime de couple.

 

J'en tire un sentiment de satisfaction profond, même si l'inconnu me fait un peur.

 

J'ai confiance en elle. Et c'est pourquoi je regarde cette nouvelle sensation d'abandon avec délectation, elle-même tirée de mon appréhension d'être happé par l'inconnu.

 

Peut-être est-ce cette même sensation qui est ressentie par la femme lorsqu'elle redoute autant qu'elle désire se faire prendre pour la première fois ?

 

C'est en tous cas ainsi que je l'ai resssnti à ce moment précis. Une digression estimeront sans doute certains... Mais c'est une réflexion personnelle qui m'est apparue comme évidente sur le moement, et j'ai bon espoir de pourvoir en débattre le moment venu.

 

C'est désormais clair : ma femme contrôle ma sexualité, mes érections, mes éjaculations, et elle a résolument choisi de me conditionner à l’explosion sous ses ordres, pour son seul plaisir.

 

Elle a pris goût à me défoncer les couilles et ne s’en cache plus : elle l’écrit ! Elle aime me contraindre à me branler devant elle. Elle apprécie de me savoir en lutte avec mes érections. Elle veut que mes bourses soient une pompe à sperme affectée à sa satisfaction personnelle et qu’elles puissent cracher sur commande.

 

"On the button", comme disent nos amis anglais.

 

Je vous recopierai du reste le message en intégralité dès que possible, car cela en vaut la peine.


Vous jugerez par vous-même de la rapidité avec laquelle Madame s'est investie dans son rôle de dominante et combien cela semble l'épanouir…

 

Je suis certain que les commentaires ne manqueront pas !!!

 

Smartbeat

Par Smartbeat
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Mercredi 25 février 3 25 /02 /Fév 08:06
Chers lecteurs,

Après une petite semaine de vacances, je reprends le récit de notre aventure conjugale un peu particulière.

Madame semble avoir désormais pris beaucoup d'assurance et apprécie vraiment de maîtriser les couilles de son homme.

Elle aime me défoncer les burnes, m'éclater les couilles, me malaxer le paquet et prend beaucoup de plaisir à me maintenir un "état de plateau" pour m'obliger à exploser devant elle.

C'est du reste tout ce à quoi j'ai droit depuis bien longtemps maintenant....

Et le pire est que j'attends ces moments avec beaucoup d'impatience, que je les reçois comme un honneur et fait de chacun d'eux une obligation de satisfaire les désirs de Madame.

Et ceux-ci commencent à être plus précis au travers de la ligne générale de prise de contrôle de ma sexualité.

Une première source de plaisir consiste  pour elle à me frustrer à mort. Elle y parvient fort bien et a parfaitement intégré la façon de profiter de ma libido galopante en en prenant le contre-pied : utilisation des cages de chasteté, des sangles placées à la base de ma bite et/ou de mes couilles, orgasmes déniés après toutes sortes d'excitation.

Une seconde source de plaisir consiste pour elle à m'obliger à jouir ; le plus vite possible. Et avec le minimum de satisfaction. De ce paradoxe naît de nouveau la frustration. Et elle aime me frustrer, je l'ai déjà dit, car elle m'a alors "à sa main", empli de désir et attentif à ses moindres envies, que je devance du mieux de mes moyens dans l'espoir d'accéder à une faveur de Madame.

Il résulte de ce second point qu'après la phase de frustration intensive de ces derniers mois, elle prépare la prochaine étape d'abstinence de manière très intense...

Ma femme contrôle ma sexualité et je suis devenu son homme objet.

Elle m'éclate les couilles à sa guise et sais désormais comment me faire péter la queue sur commande, en me claquant les boules et en distillant le rythme et l'intensité de ses coups avec une grande maitrise.

Elle décide désormais des période d'abstinence intégrale (souvent un mois, en fait) et m'impose la cage de chasteté de manière régulière.

Cet objet l'a d'abord répugnée. Puis elle a accepté que je l'utilise, sans vraiment comprendre, je crois. Elle s'est ensuite enhardie non sans s'en être amusée d'abord ("tu es ridicule, mon chéri" lorsque je lui présentais l'objet ou lui en parlais). Enfin, elle est entrée dans le jeu, d'abord pour me faire plaisir, en me maintenant sous clef lorsque je lui demandait l'autorisation de sortir. Puis elle a a fini par comprendre en les constatant tous les bienfaits de cet objet et en tire aujourd'hui avantage à sa guise.

Ce qui lui plait, c'est de maîtriser mes érections et mes envies. De ne plus en être tributaire.
Les premiers jours en cage sont toujours les plus durs physiquement, surtout la nuit.
Ce sont ceux qu'elle préfère. Elle aime que la douleur de mes érections nocturnes me réveillent et m'obligent à me relever plusieurs fois par nuit.

"J'aime les cernes sous tes yeux mon chéri. Ils montrent bien combien cette cage est nécessaire mon chéri. Il faut que tu apprennes à obéir à mes envies, non  à tes pulsions. Tu bandes quand je le veux et seulement quand je le veux. Et quand je vois tes cernes disparaître au fil des jours, je peux constater que tu deviens plus sage grâce à la cage. Il faut que tu parviennes à stabiliser ces pulsions dès les premiers jours, mon chéri. C'est moi qui commande et moi qui décide".

Elle prend son pied à maîtriser l'organe qui la labourait régulièrement il y a peu. Avec succès pourtant.

Mais ce qu'elle aime, c'est en fait contrôler les éjaculations de cette lance dont l'endurance particulière la plaçait régulièrement en situation de devoir accepter de longues séances de coït, alors que de son côté, elle est en mesure de prendre son pied en quelques minutes.

De mon côté, il est vrai que je fais (faisais ???) partie de ces hommes qui peuvent limer pendant très longtemps avant d'exploser. Même branlé très fort, il n'était pas rare qu'il faille attendre plus d'une demi-heure avant de me faire éjaculer.

Et je conçois que cela ait pu représenter une charge pour elle dans notre sexualité.

Et je comprends qu'elle cherche aujourd'hui à me dresser à jouir sur commande.

Esprit de contradiction féminin sans doute...

Et depuis qu'elle maîtrise la destruction de mes testicules comme une pompe à sperme auxiliaire, elle ne se prive plus d'utiliser cette technique pour assurer à la fois la frustration "c'est tout pour aujourd'hui", et l'éjaculation forcée, souvent sans réel plaisir. C'est aussitôt après, lorsqu'à peine trait, et que le calme revient que la frustration est la plus grande ; et c'est là qu'elle prend son pied. Et moi aussi. Car c'est un geste d'amour que nous partageons, les yeux dans les yeux.

C'est généralement le moment qu'elle choisit pour me donner la suite du programme : "cage en cuir", "tu mettras la CB2000, il faut que tu sois bien comprimé mon chaton", "il va falloir que tu sois bien sage". Ou encore : "Tu remettras la CB6000 pour quelques temps, n'est-ce pas ?" etc...

Mais je diverge. Revenons-en aux dernoers faits. Après la défonce de couilles de la semaine dernière, je n'ai donc eu droit à rien de rien de rien, nada, de toute la semaine.

Ce n'est que samedi soir, juste avant que nous ne sortions pour rejoindre des amis à son club d'équitation, après que je me sois montré pressant pour qu'elle finisse de se préparer afin que nous soyons à l'heure :

"Oh, oh, oh !!! Toi, tu veux que je te tape !?!  Pour que tu me parles ainsi, tu dois avoir les couilles qui débordent. Voilà le résultat quand elle grossissent trop libres. Tu veux que je te tape, n'est-ce pas ? Allez, dis le, je le vois dans tes yeux. Dis-le, allez !!!"

Cette attaque directe, crue et sans signe avant-coureur m'a saisi. Je suis resté bête, mais elle m'a attiré devant le lavabo et a défait ma ceinture, tout en me parlant de bonnes claques dans les couilles pour me soigner de cette impertinence : "baisse ton pantalon et ton slip. C'est moi qui décide où et quand. Combien et comment."

Elle m'a saisi les couilles par derrière, par dessous les fesses, en se plaçant derrière moi, m'appuyant contre le lavabo.

Elle les a tirées en arrière. Les a malaxées. Tapotées de ses doigts. Puis tiré de plus en plus sec et fort. En rythme. Comme quand elle cogne ; sauf que là, elle tirait, sans ménagement.

"Tu vois l'heure ? A 15, tu auras une minute pour exploser. Pas davantage. Sinon nous serons en retard mon chéri..." Me sussura-t-elle à l'oreille en désignant l'horloge numérique de la radio posée sur le meuble de salle de bain.

Elle m'a tiré sur les couilles en cadence et, à quinze, je me suis astiqué le manche comme un dingue ; elle m'a parlé cruement tout le temps, dit qu'elle aimait m'éclater les couilles, que tout était tendu à mort, que c'est tout ce à quoi j'avais droit et que je devais bien en profiter parce que la nouvelle cage n'allait pas tarder à arriver et qu'après, j'allais devoir m'habituer à l'idée de ne peut-être plus jouir que de manière très espacée. "Une cage en silicone, quel bonheur, je vais m'en donner à coeur joie ... et toi tu vas être bien dressé mon Minou".

Et tandis qu'elle me tirait les couilles par derrière, elle appuyait de sa main libre à la racine de ma queue, exerçant une pression en rythme. Une vraie torture. Un délice.

Mais, malheureusement (ou heureusement ?), je n'ai pas joui...

"Tant pis pour toi pour chéri. Tu mets ta  cage, la petite. 1 mn, ce n'est quand même pas le Pérou. On reprend le programme à zéro dès maintenant !!!""

Je suis resté saisi et interloqué, car le lendemain matin, je devais la conduire à l'aéroport pour rejoindre les enfants. Et cela augurait d'un moment propice à un nouvel enfermement, par exemple... Et toujours aucune nouvelle de ma Cage Birdlocked

Mais je n'ai rien dit et me suis exécuté.

Elle a tâté mon entrejambe en me disant "et si Marie-Sophie me fait encore remarquer la bosse, là, tu crois que je lui dis que tu es enfermé ? Je suis sûre que ça lui donnerait plein d'idées..."

Je suis resté bête car je découvre que notre Amie pourrait soupçonner quelque chose. Et Madame sait très bien que Marie-Sophie m'excite avec sa collection de bottes d'équitation, ses jodhpurs ajustés, son éternelle cravache et son accent zozottant de blonde versaillaise de bonne famille.

Madame sait que je sais qu'elle vit en réalité séparée de son Mari Pierre-Guillaume parce que ce dernier est éjaculateur précoce. Qu'elle a un amant. Et que celui-ci est plutôt avantagé par la nature (c'est du moins ce qu'elle laisse comprendre de manière fort délicate, mais très très claire) et qu'elle aime le voir à l'oeuvre avec d'autres femmes avant de se faire mettre par son Amoureux en club libertin...

Pour la première fois, j'ai peur d'être en Cage et d'avoir vraiment perdu le contrôle.

Et j'ai bandé dans ma cage à en avoir mal à la bite entre les barreaux du fond...

Je regrettais déjà amèrement de n'avoir pas été capable de me vider en moins d'une minute.

J'ai demandé pardon. Et promis que j'allais bientôt jy arriver, exploser à la demande, tout en me mettant à genoux devant elle et en l'enserrant dans mes bras.

"Oui, mais tu manques d'entraînement". "Sois sâge ce soir et on verra ..." dit-elle en appuyant mon menton dans son entrejambe qu'elle me refuse depuis si longtemps maintenant...

La suite bientôt ...

Smartbeat











Par Smartbeat
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Mercredi 18 février 3 18 /02 /Fév 02:43
Bonjour à tous,

L'éprouvant week-end de la Saint Valentin est dans le rétroviseur.
Les Amoureux s'en sont donnés à coeur joie, avec force invitations au resto et autres petites attentions destinées à indiquer à l'être cher que l'on tient à lui.

Nous n'avons pas déroger à cette règle et nous sommes offerts un restaurant parisien très chic.
Et très tôt, pour vite rentrer nous coucher et profiter de l'absence des enfants pendant les vacances.

Gros calins comme au bon vieux temps.

Mais mes couilles ont dû être tapotées, malaxées et étirées jusqu'à ce que Madame s'endorme, tandis que de mon côté je lui massait les pieds, les jambes, le dos etc...

Poiur cette nuit de la Saint-Valentin, rien ne m'a été imposé :

- Pas de Cockring
- Pas de Cage en cuir
- Pas de Ballstrectcher
- Pas de de CB2000
- Pas de CB6000

Juste de dormir fesses à l'air, boules et bite pleinement disponibles pour Madame.

Elle a dû se réveiller deux fois et me serrer la bite et les couilles pour s'assurer de ma réactivité : je n'en peux plus du traitement de programmation et d'entraînement.

Lorsqu'elle me sollicite, par ses seules paroles, ma queue se met à couler et mes couilles me lancentt.

Comme un appel à la défonce physique, mais sans aucun contact. Le début  d'un conditionnement réussi sans doute.

Dimanche Matin au réveil, petit déjeûner et croissants au lit pour Madame.

Et défonce des couilles de Monsieur.

Ca a duré bien 2h00, pendant lesquelles elle m'a tapoté, préparé, par petites touches, jusqu'à ce qu'elle décide qu'elle allait m'éclater la bite et les couilles.

J'ai fait une nouvelle vidéo de plus de 6 minutes, pour tout le monde comprenne bien ce que signifie "préparer un bon Ballbusting".

Donc je vous commenterai ce nouvel épisode de couilles éclatées par ma femme dès la vidéo sera mise en ligne.

Patience en attendant et merci encore pour tous vos messages de soutien et d'encouragement : ils  me font chaud au coeur et encouragent Madame à resserer son traitement.

Les preuves ?

1°) Elle vient de me commander la nouvelle cage de chasteté à la mode, toute en silicone semi-souple : la Birdlocked. (http://www.birdlocked.com/) Modèle Phosphorrescent ... pour mieux  me décalquer les burnes, même et surtout dans le noir, sans doute ...

Je vais donc vraissemblablement être soumis à des périodes de chasteté et d'enfermement en cage plus longues que celle vécues jusqu'à présent.

2°) Elle m'a également commandé des ballstretchers lourds en métal (770 grammes, ça commence à faire à mon avis!) "pour que tout ça soit mûr sans que j'ai besoin de toujours travailler le paquet".

La semaine va donc être riche de nouveauté.

Et je remercie les suggestions des uns et des autres qui me laissent augurer de nouvelles évolutions et une prise de contrôle plus complète de la part de Madame, qui prend désormais les choses en main, sans mauvais jeu de mots !!!

Merci à tous de votre lecture et de votre fidélité.

Et Merci de vos scénarios et suggestions, car Madame apprécie de me latter selon de nouveaux scenarii inspirés de celles-ci.

Cordialement,

Smartbeat
Par Smartbeat
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Mercredi 11 février 3 11 /02 /Fév 15:09

Chers Amis,


Comme vous pouvez vous en douter, l'épisode de bourrage de couilles du dimanche matin s'est soldé par une frustration E-NOR-ME pour ce qui me concerne.


Après le traitement infligé, j'ai cru que je pourrai retrouver un peu de paix et de sérénité.


Que neni. Tout au contraire, mes couilles me lancent et ma queue se met à bander sans raison et coule sans aucune érection : je deviens dingue...


J'en ai parlé à Madame le dimanche soir, espérant être libéré d'une traite salvatrice.


Mais elle m'a alors affirmé d'un air réjoui que le « traitement ne fait que commencer ses effets, c'est le principal » et « tu n'es pas prêt de me pouvoir jouir librement mon petit Coco ».


Elle m'a recommandé de conserver encore une semaine la cage en cuir, jour et nuit, avec interdiction de me branler et mise en place d'un cockring autour des couilles. Ce que j'ai fait mais qui est vraiment difficile à supporter. C'est une torture. Mais il est vrai que les couilles ressortent et sont en permanence exposées, ce qui est mieux pour Madame lorsqu'au détour d'un couloir ou d'une proximité lui prend l'envie de claquer le burnes de son mari.


En fait, j'ai gardé ma cage en cuir jusqu'au 31 janvier et elle m'a dit qu'elle aimait que je tienne en totale abstinence, pour elle.

Qu'elle aimait par dessus tout me frustrer et maîtriser ma bite, ses bandaisons, ses éjaculations.

Et pour finir qu'elle adorait me torturer les testicules, me cogner les couilles, les claquer, les malaxer et me faire couiner comme une petite chienne en les travaillant.

Il paraît que mon expression est alors identique à celle celle d'un long orgasme continu et que cela la réconforte dans ses capacités à contrôler la relation.

Il s'agit pour elle de maîtriser son mâle ett elle se sent bien fondée dans le travail initié, qu'elle entend maintenant cibler sur mes couilles pour mieux contrôler ensuite la bite.


C'est là qu'elle m'a dit avoir vu sur le site ROB des poids de couilles en métal chromé et qu'elle aimerait bien que je porte ce bijou pour elle.


Elle voudrait arriver à ce que mes couilles soient bien pendantes vers le bas, pour mieux pouvoir les saisir et les mettre en paquet avant de les boxer. Elle aime le principe des poids aux couilles !!!


Et je ne lui en ai jamais parlé...


Je n'ose plus rien dire tellement je suis soufflé de cette sortie de Madame, elle qui était si réservée et d'une éducation catholique traditionnelle s'était donc renseignée et avait trouvé des réjouissances à partager.


Et elle avait surtout trouvé le ressort de s'affirmer comme la décideuse dans notre couple, d'exprimer ses goûts et ses envies.


Nous avons eu une discussion à ce sujet et elle s'est laissée séduire par un modèle de poids de couilles en métal chirurgical chromé.


« Ce qui me plait et m'excite, c'est de te contraindre, de te voir te tordre et apprécier le travail des couilles et de la queue qui me calme et me fais du bien. Comme à toi semble-t-il ? »


Et je veux que tu restes à ta place, celle d'un gode humain, pour mon seul plaisir. C'est moi qui décide quand je joues et quand tu joues avec ta queue aussi »



Bref, le message est clair : ma femme contrôle ma sexualité, et elle veut peser sur mes couillles au propre comme au figuré.


Et ça me plait car, cela nous permet de vivre une intimité forte, riche et satisfaisante avec celle que j'aime sans lui imposer de rapports sexuels.


C'est elle qui me baise. Et ma femme me domine par les couilles et le cerveau.


Certains d'entre vous ont évoqué la vasectomie. Pourquoi pas.


Mais je n'ai pas trouvé le moment d'aborder ce thème.


Je n'en ai pas eu le temps, car, aussitôt après les poids aux couilles elle a évoqué la pose d'un bijou intime sur mon sexe et/ou mes couilles.


« En signe d'appartenance, je trouve ça plutôt séduisant mon Chéri ».


L'année 2009 s'annonce chaude pour moi.


En attendant, j'ai tenu.


J'encaisse de mieux en mieux et je sais que cet entraînement lui plait au plus haut point.


Donc je suis heureux.


Quand vous me lirez, Madame, sâchez que mes couilles et mon sperme appartiennent.


Et que vous pouvez aussi en déduire que votre puissance s'étend à tous ceux qui se branlent en lisant nos aventures ou s'en inspirent pour enrichir leur vie de couple.


J'espère que vous m'autoriserez de nouveau un jour de baiser normalement.


Voir même que vous voudrez bien que je baise des bonnes grosses comme vous me l'avez suggéré parfois, mais pas avant que je sois devenu éjaculateur précoce pour de bon.


Ou simplement capable de jouir sur commande, à votre top départ.


J'ai bien compris que vous aviez commencé un lent travail de conditionnement et que mon éducation ne faisait que commencer.


Que vous souhaitiez pouvoir me prêter à d'autres fesseuses ou amatrices de lattage de couille et de déni d'orgasme masculin.


Et que vous aimez le principe de me faire contraindre la bite jusqu'à ce que j'implore d'exploser.


Je n'en peux plus.


J'attendrai donc encore.

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mercredi 11 février 3 11 /02 /Fév 11:29
Dimanche au matin, après quinze jours d'abstinence et réveillé le premier, je suis comme à l'habitude allé chercher les croissants de ma douce et préparé son petit déjeuner pour le lui servir au lit.

Vers 9h00, je le lui apportait tandis qu'elle profitait d'un documentaire Fashion TV sur le travail du cuir dans lequel les peaux les plus fines étaient magnifiées par le couturier JC Jitrois.
Aussi m'accuillit-elle d'un air entendu avec un petit sourire en coin, comme pour souligner le parallèle entre le reportage et la cage qui me tiens lieu d'unique satisfaction sexuelle.

 "Merci mon petit bite en cuir", me dit-elle les yeux pleins de promesses en se saisissant de mon paquet à pleine main, l'ongle de son index grattant sauvagement mon périnné déjà bien éprouvé par les 15 jours de cage."

"Je t'atorise un baiser d'Amour pour ta peine ; approche un peu" ajoutait-elle en serrant mes couilles en rythme, les pompant de sa main de plus en plus fort à chaque reprise de pression.
"

Elle m'a serré les burnes vraiment très très fort et le cocckring qui enserre la base de la bite a eu tôt fait de me faire bander, ce qu'elle a bien sur réprimé en serrant encore plus fort tout en tirant le paquet à coups secs vers le bas, comme si elle sonnait les cloches d'une quelconque cathédrale.

J'ai fini à genoux, les couilles toujours pressées avec ordre lui rouler une pelle goulue "sans bander chéri, hein, c'est moi qui décide quand ta trompe pourra se déplier".

Elle m'a ensuite demandé de venir contre elle dans lit et de la masser pour son "réveil tonique".
Je lui ai fait remarquer que j'avais été bien sage.

Il faut croire que ça lui a ouvert l'apétit car elle a convenu que mes couilles méritaient "qu'on s'occupe d'elles pour un traitement d'étape adapté ; aller, en position donnes-moi tes couilles, j'ai envie de te les éclater mon chéri..."

Dans l'état qui était le mien, je ne me suis fait prier, trop heureux de faire plaisir à Madame et d'envisager une issue agréable.

En fait, elle est venue se mettre au-dessus de moi et a appuyé de tout son poids sur mon paquet avec son genoux droit. Plantant ses yeux bleus dans les miens, j'ai reconnu cette lueur de détermination lubrique qui me plait tant, que je recherche autant que je redoute.

"J'ai bien aimé ton baiser et j'en veux encore.
J'aime sentir ta langue dans ma bouche.
Et j'ai envie de te défoncer les couilles avec un traitement spécial car tu n'as pas à demander quoi que ce soit ni à bander sans mon autorisation.
Tu n'as pas respecté la règle ça me donne l'occasion d'une bonne mise au point.
J'aime bien la notion de plateau que tu as décrite pour nos amis lecteurs et j'ai très envie de réviser mes gammes, mais sans que tu puisses te branler, mon choux. Donc tu garde ta cage et tu t'active avec ta langue dans ma bouche, comme au cinéma".

Joignant le geste à la parole, elle a placé sa bouche sur la mienne pour que je m'y active.

Relachant la pression de son genou, elle a commencé à me claquer les couilles avec.
Elle m'a tiré des coups de genoux dans les couilles d'une telle intensité et d'un tel rythme que j'ai cru que je ne tiendrais pas et allait devoir la désarçonner pour mettre fin à la séance.
J'ai compris où elle voulait en venir quant elle m'a intimé de me concentrer sur ma langue en glissant la sienne dans mon oreille tout en pesant de nouveau de tout son poids sur ma bite et mes couilles enfermées dans leurs cage.

"fais comme si tu me défonçait avec ta langue, ressens toutes les sensations auxquelles tu aurais droit si tu me baisais et proofites-en bien car c'est tout ce que tu mérites pour le moment.
Moi je m'occupe dde tes couilles.
Penses que ta femme t'explose les testicules, te défonce les glaouis, te pète les couilles et contentes-toi de remuer ta langue dans ma bouche ;
Cesses de penser avec ta queue, baises-moi la bouche avec ta langue, c'est ça dont j'ai envie et toi aussi.
Tu n'es qu'un porc, et tu vas apprendre à ne pas bander sans autorisation."

Avant de remettre sa bouche grande ouverte, comme une chatte offerte sur ma bouche, elle a ajouté :

"cesse de penser à tes couilles, elles sont à moi et je vais te le prouver.
Dis-moi que c'est bien ce que tu veux !?!"

Elle a dû lire dans mes yeux  que j'abandonnais au moment où je l'ai suppliée de me défoncer les couilles, dans un état second et d'excitation intellectuelle intense.
Elle m'a travaillé à coups de genoux, en rythme et en augmentant l'intensité des coups et leur rythme en fonction de l'activité de ma langue dans sa bouche.
Mais sans tenir compte de mes ralentissements ou accélération.

Non, ce fût plus subtil : elle a déchiffré mon seuil de douleur pour aller au-delà et m'obliger à y trouver du plaisir au traver de mes mouvements de langue.
Ce fût un baiser d'antologie, avec des étoiles dans la tête aussi nombreuses que lors de mon premier, avec la langue ;

Ce ne fût plus un "effet de plateau", mais la grande steppe de l'oural.
J'étais tendu comme un arc et plus je me tendais plus elle accélérait  ; et quand je m'habituais aux chocs et trouvais donc à quelque peu me détendre elle augmentait aussitôt la puissance de ses shoots, puis la vitesse et la fréquence ; j'avais envie de la prendre, de baiser de me branler et  d'en finir.

Elle  l'a senti parce qu'elle m'a dit qu'il ne fallait pas y compter, qu'elle aimait bien me latter la bite et les bourses ainsi encagé, et qu'il fallait que je tienne jusqu'à la fin :

"Je t'éclate les couilles et toi tu profites ;
tu vas te contenter de bien me baiser la bouche à fond avec ta langue et si tu t'y prends bien, je serai généreuse mais pour le moment, tu écartes tes jambes et tu me tends tes couilles ;
je les veux bien grosses et bien dures, donc ne penses même pas à cracher avant un bon bout de temps mon chéri, c'est moi qui décide et tu sais que tu aimes ça - alors déguste en silence et fais-moi grossir ces boules.
Tu ne bandes déjà plus, alors maintenant je vais faire en sorte que tu sois calmé pour quelques temps."

Ca m'a remis un coup d'érection et elle s'est occupée de nouveau de substituer une sensation de couille à celle de la bite bandée dans la cage en me retravaillant les couilles, tout en plaquant sa bouche à la mienne.
Elle m'a vraiment défoncé sans pitié.
Et j'en suis ressorti au bout d'un quart d'heure avec des résonnances dignes des cloches de Notre Dame de Paris.
Quant elle a été fatiguée et qu'elle a arrêté, je n'en pouvais plus.
Ma bite et mes couilles étaient mortes.
Et ma langue aussi.
Mais ça résonnait tellement et j'étais tellement frustré que j'en aurai voulu encore...

Elle est venue se coller à moi pendant que je récupérais et m'a dit qu'elle voulait que je garde la cage encore quelques temps.
Qu'elle aimait bien me frustre et profiter à sa guise.
Que j'avais été bon ce matin et qu'elle était sure que je pouvais encaisser davantage pour elle.
Que tout ceci l'avait excité et qu'elle voulait maintenant que je la fasse jouir avec mes doigts.
Rien que mes doigts, rien que son petit bouton d'amour.
Ce  que j'ai fait.
Elle était béante et j'ai tenté de lui mettre un doigt, mais elle m'a dit, "non, le bouton, rien que le bouton ; moi aussi je veux être frustrée de la chatte ; et quand je te le demanderai, tu pourras me la défoncer avec tes doigts, pas avant.
Elle s'est ensuite endormie.
Et nous repartis pour une nouvelle semaine de cage pour ce qui me concerne.
Mais elle a eu, et j'en suis fier et heureux, de nouvelles idées de jeux pour travailler ma bite et mes couilles.
Que je vous relaterai lors d'un prochain article.

Nous vous remercions de votre fidélité et de nous adresser vos suggestions.

Smartbeat
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