Je suis finalement resté en cage de chasteté tout le week-end, et même au delà, après avoir reçu les instructions écrites de Madame pour la première fois.
Elle m'a donc demandé de remettre la plus petite cage de chasteté (c'est la CB 2000) après m'avoir étiré les couilles en cadence devant le lavabo et demandé d'éjaculer en moins d'une minute.
Ce que je n'étais pas parvenu à réaliser.
Et elle m'avait donc demandé de retourner en cage avant que nous ne sortions avec des Amis, sans que j'aie pu me vider. Ca commence à faire long comme sevrage, croyez-moi !!!
La CB2000 est donc la plus courte (de scages rigides, car la cage en cuir est encore plus compacte, mais il est vrai que la verge peut venir se placer sous le testicules et y trouver un peu de confort) et elle est particulièrement difficile à supporter si elle n’est pas bien ajustée.
Et dès qu’une érection s’annonce ou qu’on n’est pas placé dans une bonne position, elle se rappelle à vous à chaque instant.
Les consignes pour la suite ne m’ont cependant pas été données tout de suite.
Nous nous sommes d'abord rendus au Club équestre de ma femme pour y rejoindre ses amis, avant de sortir dîner avec le Couple Marie-Sophie et Grégoire, son nouvel Homme depuis quelques mois maintenant.
Rien de particulier pendant la soirée, jusqu'au moment où une dangereuse dérive de la conversation nous a fait aborder le sujet de la supériorité féminine. Cela devenait glissant et Madame en a joué un bon moment, savant pertinemment que locké dans ma Cage à Bite, je ne pouvais pas faire le mariole.
Sur le sujet de l'endurance masculine et l'intérêt d'un homme doué de ses mains et de ses attraits naturels, rien à craindre.
J’imagine en effet que Marie-Sophie sait que je suis monté en version standard supérieur extra longue durée, puisqu’avant de rencontrer Madame j’étais sorti quelques temps avec sa meilleure Amie de l’époque et que celle-ci me chahutait tout le temps sur le sujet en public.
C'est ainsi d'ailleurs que certaines amies m'ont fait l'honneur de propositions de sorties au cinéma en tête-à-tête avent que je ne rencontre Madame.
Bref, sur ce sujet, il est difficile à Madame de prétendre que son Homme est un impuissant ou bien sa chose ou je ne sais quel être inférieur au plan sexuel.
Pour le moment, en tous cas.
Car j’ai bien senti qu’elle prenait maintenant de l’assurance et souhaitait clairement afficher le message que c'était elle qui dominait désormais la situation dans notre couple.
En prenant la parole avec assurance.
En me contredisant sans que cela n’appelle de correction de ma part.
Elle m'a même fait baisser les yeux.
Elle a joué avec moi toute la soirée, ce qui m'a plu dans le cadre de notre jeu, mais un peu humilié devant nos amis qui me connaissent plutôt beau parleur et leader du couple d'une manière
générale.
Ce ton nouveau ne leur a du reste pas échappé à nos amis.
Et je sais qu’ils ont compris que quelque chose est en train de se passer dans notre couple, car c’est à cette occasion que la supériorité féminine est devenu LE sujet central de notre conversation.
Pas possible de contredire Madame.
Je ne l'ai d'ailleurs pas fait.
Marie-Sophie a même dit en riant que "décidément, tu l'as enfin bien dressé on Homme, il est doux comme un agneau ce soir, une vraie crème d'homme" !!!
Grégoire, inconscient du dialogue subliminal se jouant entre Madame et moi à mots cachés, a poursuivi le débat sur le thème habituel de la nécessaire queue pour remplir les orifices de ces dames ; mais on lui a fait comprendre que la queue n’était qu’un instrument parmi d’autres, Madame trouvant même le moyen de lui faire un cours sur les cages de chastetés et les bienfaits que certaines femme semblait trouver à l’appareil.
Marie-Sophie trouve quand à elle dommage d’enfermer un membre vigoureux quand on a la chance d’en avoir un à disposition. "Ils ne sont finalement pas si nombreux à être en mesure de jouer convenablement de leurs baobabs", dit-elle en glissant un regard entendu à Grégoire et à Madame.
Ca devenait chaud ... mais c'est passé. J'avais la queue minuscule dans ma cage. Et je la sentais suiter de partout au fur et à mesure que la conversation allait de l'avant. Etais-je en train de
me laisser envahir par la peur d'être dévoilé ? Ou bien étais-je en train de devenir un bon petit chien bien dressé dès le premier soir en Cage de Chasteté masculine ?
Nous nous sommes finalement accordés sur un point : il faut faire jouir Madame, et ensuite, éventuellement, on peut se lâcher.
Et si c’est Madame qui a décidé de jouer avec l’instrument du Monsieur, eh bien il faut là encore satisfaire ce bon vouloir.
C’en est resté là, mais je me suis demandé tout le temps si elle allait vraiment révéler notre secret à nos amis.
Ce n’est finalement pas arrivé.
Mais là encore, Madame s’enhardie de manière visible, s'affiche comme la dominante et prend les commandes.
De retour à la Maison, elle m’a dit avoir passé une excellente soirée et laissé en cage de chasteté.
Je n'ai rien demandé. Rien de Rien. Fait comme si de rien n'était. L'ai massée dans le dos, les jambes, la nuque, les fesses etc...
J'ai arrêté car j'ai senti que j'allais bander.
Elle a constaté que je restait sage : "c'est bien mon chéri, tu vois, en te concentrant un peu, tu peux être une bonne petite bite bien dressé, même bien mure comme elle doit commencer à
l'être maintenant, n'est-ce pas ?".
Je n'avais une pfois de plus rien à répondre, d'autant qu'elle joignit le geste à la parole et que j'espérait en fait qu'elle me gratifie d'une bonne séance de ballbusting.
Je savais que je n'aurai rien et que nous allions passer le mois sans rapport sexuel classique, mais du coup, j'avais vraiment envie de faire éclater les roubignolles.
Rien que d'y penser, j'avais les sensations mémorisées par les couilles qui remontaient.
Elle le savait, c'est sur. C'est ce que l'on appelle l'effet "mémoire".
Elle me l'a dit. "N'y penses pas mon Chéri, tu vas te faire mal ..."
Elle m’a quand même massé les couilles en les tapotant du doigt, évoquant la soirée bien agréable que nous venions de passer. M’a dit qu’elle était contente que ne l’aie pas contredite. S’est étonnée de savoir que Grégoire et Sophie connaissaient la Cage ; un de leurs couples d’amis libertin expérimente d'après elle une cage en métal depuis presque deux ans tandis que Madame aime bien les petits jeunes...
Pourquoi m'a-t'elle dit cela si ce n'est pour me signifier que ce n'est pas la première fois qu'elle évique avec Marie-Sophie l'existence et les bienfaits de la cage de chasteté masculine.
Et nous nous sommes endormis rapidement. Avec des cages à bite plein la tête pour ce qui me concerne...
Et, naturellement, je me suis réveillé trois fois, trop serré dans ma CB2000.
Le cérémonial est alors toujours le même : les couilles qui font mal, tendues par la verge qui tente d'emmener et d'allonger la cage, il faut repousser la peau sous le périné, se redresser lentement, faire quelques pas, penser à autre chose, re-lubrifier, mettre de l’eau froide. Bref : faire passer cette méchante Gaule qui tire sur la peau de partout, comprime les boules dans le fond de leur sac et éviter les pincements et autre échauffements qui pourraient rendre le port longue durée désagréable sinon impossible.
Et lendemain matin est arrivé très vite, avec peu de temps pour se préparer et aller à l’Aéroport la déposer, avant de continuer ma route pour ma destination de week-end. Seul. Et en cage à
pénis.
Elle a vu que je ne demandais rien. En a semblée satisfaite.
Avant de partir pour la salle d’embarquement elle m’a juste dit : en rentrant, tu trouveras mes instructions pour la semaine dans une enveloppe que j’ai glissée dans ton tiroir à chaussettes.
Tu vas passer une semaine exquise mon Amour. Et moi aussi d'ailleurs… C’est dommage : Julien et Sylvie ont prévu un Pique-nique en Vélo et je ne serai pas là pour voir comment tu t’en sors !!!
Elle m’a embrassé d’un ENORME baisé sur la bouche, y mettant toute sa langue, puis s'en est allée. Sans un regard.
De mon côté, je devais maintenant rejoindre mes amis à la Campagne et donc, je suis resté en Cage tout le week-end…
Jusqu’au Dimanche soir.
A remettre du gel dès que possible et à craquer à la moindre paire de botte ou au moindre beau cul qui passe.
J’ai eu du mal à dormir le samedi soir : pas de chance, il a fait beau et Julien nous a effectivement concocté une balade en Vélo pour aller pique-niquer…
Ca m’a comprimé le scrotum une bonne partie de journée, que j’ai passée à gérer la cage et son positionnement sans me faire remarquer et, le soir venu, toute la zone était comme libérée de ne plus avoir à gérer la selle.
J’ai passé une nuit d’enfer.
Je n’avais qu’une envie, c’était de péter ce satané collier de plastique et de retirer l’engin.
Et en même temps, c’est si bon de sentir sa Femme sur soi, car la cage, à chaque mouvement, imprime des sensations à la bite qui vous rappellent à chacune d’elle que sa volonté s’impose à vous, pour votre plus grand bonheur.
Et vous savez que votre relation est rare, sensuelle, faite d’exception et combien elle est précieuse.
J’ai tenu bon et me suis précipité sur l’enveloppe d’instructions dès que je suis rentré à la maison.
Elles sont vraiment déconcertantes. Surtout venant de Madame, elle qui était si timide et si peu inventive il y a encore peu.
Mon dressage ne fait effectivement que commencer. Je crains que les commentaires des uns et des autres sur ce thème de l'accélération du processus lorsque la femme prend vraiment le pouvoir
soient en deça de la réalité. Une fois que la femme a pris le contrôle et qu'elle se lâche, c'est effectivement quelque chose.
Et mes couilles, comme ma bite, vont devoir apprendre à se contrôler très vite su je veux être à la hauteur de l'imagination de Madame.
Le programme établi est clairement destiné à renforcer mon état : je suis son homme objet.
C'est une pétition de principe bien arrêtée et manifestement, ça lui plait vraiment, vraiment beaucoup.
Tant mieux, je sais maintenant qu'on partage un vrai sujet commun dans notre vie intime de couple.
J'en tire un sentiment de satisfaction profond, même si l'inconnu me fait un peur.
J'ai confiance en elle. Et c'est pourquoi je regarde cette nouvelle sensation d'abandon avec délectation, elle-même tirée de mon appréhension d'être happé par l'inconnu.
Peut-être est-ce cette même sensation qui est ressentie par la femme lorsqu'elle redoute autant qu'elle désire se faire prendre pour la première fois ?
C'est en tous cas ainsi que je l'ai resssnti à ce moment précis. Une digression estimeront sans doute certains... Mais c'est une réflexion personnelle qui m'est apparue comme évidente sur le
moement, et j'ai bon espoir de pourvoir en débattre le moment venu.
C'est désormais clair : ma femme contrôle ma sexualité, mes érections, mes éjaculations, et elle a résolument choisi de me conditionner à l’explosion sous ses ordres, pour son seul plaisir.
Elle a pris goût à me défoncer les couilles et ne s’en cache plus : elle l’écrit ! Elle aime me contraindre à me branler devant elle. Elle apprécie de me savoir en lutte avec mes érections. Elle veut que mes bourses soient une pompe à sperme affectée à sa satisfaction personnelle et qu’elles puissent cracher sur commande.
"On the button", comme disent nos amis anglais.
Je vous recopierai du reste le message en intégralité dès que possible, car cela en vaut la peine.
Vous jugerez par vous-même de la rapidité avec laquelle Madame s'est investie dans son rôle de dominante et combien cela semble l'épanouir…
Je suis certain que les commentaires ne manqueront pas !!!
Smartbeat