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Mardi 18 novembre 2 18 /11 /Nov 15:27

Bonjour tout le monde,


Désolé d'avoir mis un peu de temps à me reconnecter mais j'ai été victime d'une panne de micro pendant quelques jours.

 

Ce week-end, libération du foutre de ma queue !!!

 

Il faut que je jouisse en moins d’une minute.

 

Après un mois passé de frustration, croyez-moi, c’est parti plus vite que la lumière.

 

Au cours des dernières semaines, elle ne m’a presque pas défoncé les testicules.

 

Quelques petites tapes de temps en temps, pour se rappeler à mon bon souvenir.

 

Elle m’a demandé d’alterner les périodes de mise en cage avec des périodes de « non, non, non, tu n’auras rien, tu n’as pas été sage, tu ne mérites rien – il faut tenir – et tu mettras ta cage pour trois jours à compter de demain, pas plus, car je ne veux pas que tu prennes de mauvaises habitudes ».

 

J’ai eu droit les autres nuits à enfermer mes couilles dans la cage en cuir.

 

Et Grande nouveauté : elle veut que je dorme avec un cockring pour être sure que je suis bandé à mort à la moindre sollicitation et que je demeure bien « hypersensible ».

 

Il s’agit en fait au départ d’un modèle dit « séparateur de couilles » en cuir, que j’avais acheté il ya quelques temps et qu’elle n’aimait pas.

 

C’est un modèle constitué d’un cockring en cuir qui se ferme sur le dessus avec des boutons-pression. Puis une sangle vient se mettre devant les couilles, qui sont ensuite séparées en deux par une troisième sangle qui relie le cockring à la sangle qui passe au devant des testicules. (voyez la photos dans la rubrique photos).

 

Sauf qu’elle veut que je dorme avec la partie cockring uniquement. Je crois d’une part qu’elle aime bien le contact du cuir, mais aussi et surtout d’autre part qu’elle a compris qu’ainsi les couilles sont plus gonflées, et donc plus sensibles quand elle veut les soupeser ou les tapoter.

 

Bon je vais faire court et en venir aux faits.

 

Je lui ai rappelé dès jeudi soir que ça faisait plus de trois mois que je n’avais pas éjaculé en elle – et que ça me faisait presque peur maintenant – que je ne n’avais pas joui depuis plus d’un mois et que j’avais très envie d’elle etc…

 

Réponse : mets ton cockring et reste tranquille ; tout à l’heure si tu es sage, quand les enfants seront couchés…

 

Une fois au lit, elle se serre contre moi, me demande lui exhiber le paquet, le tapote avec les bout de ses ongles, de ses doigts, me regarde dans les yeux, saisit les couilles bien regroupées en paquet et les serre jusqu’à ce que je demande grâce. Là elle regroupe les balles dans sa main gauche, en fait une boule et les cogne de plus en plus fort avec sa main libre puis redescend la fréquence et l’intensité pour ne plus les caresser que du bout des ongles. Elle relâche ensuite les couilles et me demande de ne plus rien toucher.

 

Elle promet la Cage ou l’éjaculation – si je suis bien sage.

 

Je vous jure que ça rend dingue ce traitement, et que c’est ça qui lui plait à mort : me voir torturé comme un porc ; ce que je suis, en fait.

 

Même traitement vendredi, samedi, dimanche et lundi soir.

 

Mardi matin, au réveil, je l’ai suppliée de me permettre de lui donner un baiser (ce à quoi je n’ai plus le droit depuis bien longtemps (j’y reviendrai).

 

Mais bien évidemment pas question.

 

Je lui ai dit que je n’en pouvais plus et elle m’a juste dit d’écarter les jambes, de me mettre sur le côté et de lui présenter le matériel. « J’espère qu’il est bien sanglé », m’a-t-elle précisé en me donnant l’ordre de descendre un peu plus au fond du lit pour que mon aine soit bien au niveau de ses pieds.

 

Evidemment, quand on est un mec normal, le réveil est un moment crucial, et avec le cockring, je suis encore plus à fond en manque.

 

Alors vous concevez sans doute que ce signal d’un bon BallBusting matinal vous met dans un état second : on sait qu’elle va latter et que ça va faire mal (– on regrette le cockring qui rend éminemment vulnérable votre intimité) ; mais on sait qu’on va recevoir quelque chose de madame et rien que ça, c’est énorme.

 

Parce que ça vient d’elle. Toute seule, sans qu’on demande rien de précis elle veut défoncer vos couilles et vous vous devez de lui tout lui donner, de vous offrir pour son bon plaisir.

 

Et on comprend qu’elle a envie de prendre son pied en éclatant les couilles de son homme avec ses pieds.

 

Et elle fait ça bien la Dame : d’abord doucement pour chauffer, puis cinq coups bien forts, bien espacés (surtout ne pas bouger sinon elle vous explose encore plus) : ce matin là, elle avait envie de faire taire le malotru qui n’arrête pas de demander qu’on s’occupe de son petit plaisir frustré.

 

Et elle ne m’a pas raté.

 

Puis elle s’est mise à quatre pattes au-dessus de moi après m’avoir demandé de me remettre sur le dos, jambes écartées.

 

Elle m’a dit de ne plus bouger et de retirer la sangle et de lui offrir mes bourses en les faisant bien gonfler avec ma main, présentées en paquet serré.

 

On commence à 35, m’a-t-elle précisé en me désignant du menton le réveil radio, enjouée et fière, l’air triomphant.

 

Elle m’a ensuite travaillé au genou, écrasant, lattant, reprenant au pied en se redressant « jusqu’à 45 mon chéri, il faut que tu tiennes, n’est-ce pas ? ».

 

Et à 43’40 elle m’a dit à l’oreille tout en continuant de me cogner l’entrejambe : « à 44’ tu auras une minute pour jouir – pas plus. Ensuite, c’est la cage, donc à toi de voir ».

 

Je suis devenu fou : j’aurai voulu me tirer sur la queue comme un dingue, là ; maintenant, immédiatement, en finir, et il fallait attendre encore de longues secondes pendant lesquelles elle a repris les tapes à la main avec une fréquence de dingue, qui m’a obligé à resserrer encore le paquet.

 

A 44’ elle a cessé de me taper les couilles – qui résonnaient comme des folles du traitement subi - et a compté les secondes à haute voix, non sans m’avoir auparavant susurré que je devais lui faire un vrai spectacle, de me branler à fond et à pleine main (ce que je déteste faire, je préfère e loin utiliser deux doigts bien placés pour mieux cibler les sensations).

 

C’est parti à 23 secondes.

 

De partout.

 

Un feu d’artifice.

 

J’en ai mis jusque sur la tête de lit, dans mes cheveux, à droite, à gauche – partout. Une véritable éruption.

 

Une sensation lisse et incontrôlée, comme détachée de ma personne, mais satisfaisante quoique sans réelle sensation de constriction ni de jet saccadé, plutôt une grosse vanne déjà ouverte...

 

J’ai pas eu le temps de redescendre ni de récupérer.

 

Elle m’a remis aussitôt le cockring – ce qu’elle n’avait jamais fait elle-même jusqu’alors –et s’est collée à moi en me tapotant de nouveau les couilles tout en disant à l’oreille : il te restait une minute mon chéri, je ne voudrais pas que tu sois déçu

 

Et elle a fini son travail de défonce des couilles comme elle l’avait commencé en m’intimant de bander bien dur. J’ai mis 4 minutes à redevenir dur entre claques, constriction de la sangle en cuir et récupération.

 

Quand j’étais dur, elle s’est levée, m’a dit de bien tout nettoyer et de remettre la cage après la douche, qu’elle vérifierait et que je ne devais plus demander quoi que ce soit.

 

Le soir, j’avais pour la première fois la sensation qu’elle avait pris le dessus et je lui en ai parlé.

 

Elle m’a juste dit que ce n’était plus moi qui décidait mais elle seule.

 

Selon son souhait, il faut à la fois que je sois son Gode Humain et que je sois capable de la défoncer comme avant mais aussi que je jouisse sur commande selon son bon plaisir, à la première sollicitation...

 

C’est dans cet objectif et pour son bon plaisir qu’elle a bien retenu la leçon et souhaite me dresser à ce double objectif.

 


Elle m’a rappelé que c’est moi qui lui ai enseigné que me faire taper dans les couilles en rythme me conduit à un état d'hyper réactivité.

 

Que j’avais utilisé, pour illustrer ma sensation, l’image que les claques me procuraient un état d’extrême tension, un peu comme quand on éjacule : tout se resserre et se contracte à l'intérieur de la verge et des couilles (le travail de la prostate en fait).

Que j’avais même précisé que me faire défoncer les couilles me plaisait parceque c’était la même sensation que la jouissance masculine mais en plus longtemps : une gigantesque contraction continue, qui décuple le plaisir ressenti, un peu comme un orgasme en plateau qui durerait tout le temps des tapes aux testicules.


Que ça me donnais une irrépressible envie de masturbation.

 

Elle m’a dit que ça tombait bien parce qu’il se trouve qu'elle aime me claquer les couilles et me voir me branler ; à la condition que je jouisse pour son seul plaisir, sur commande et non pour le mien, qu’elle veut maintenant entièrement contrôler.

 

 

Donc je reste en cage pour faire remonter la tension et après on verra si on pompe, si on sangle, si on me fouette les couilles ou si on me laisse pourrir...

 


Grace à ce traitement, auquel elle a pris goût, elle me conditionne désormais soit à me retenir très longtemps, soit au contraire à éjaculer le plus vite possible, en fonction de ses envies de Maîtresse.


C'était bien le but poursuivi et aujourd'hui, c'est elle qui a vraiment pris le contrôle – pour notre plus grand bonheur à tous les deux semble-t-il.


Entre deux traitements « « éjaculatoire, maintenant c'est cage, cockring, éclatage de couilles et abstinence ou éjaculation forcée - au choix de Madame.

 

Ceci nous permet donc d'avoir une sexualité vraiment partagée et Madame n'a pas à souffrir des rapports sexuels qui lui semblaient parfois sans doute trop rapprochés si on suivait mon rythme de mâle.

 

 

Aujourd'hui, c'est elle qui mène la danse, ce qui est un vrai plaisir, une vraie porte d'accès à de nouveaux partages avec mon épouse, qui a désormais pleinement conscience de sa supériorité grâce au contrôle de ma sexualité.

 


Smartbeat

Par Smartbeat
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Samedi 25 octobre 6 25 /10 /Oct 16:16
Merci de nouveau de vos commentaires !!!

Je dois vous dire que ma queue commence à couler toute seule : par moment, je mouille comme une petite chienne ; de l'oeuil borgne de mon gland s'écoule régulièrement du liquide séminal mêlé à du sperme. La bite est hypersensible - un vrai vibrato

Il faut dire que, depuis plus d'un mois, je suis cadenassé très régulièrement.

Entre chaque séance de cadenassage ou d'abstinence, elle exige sa ration de domination : "tu vas me bourrer comme un gros porc que tu es, mais attention, pour mon seul plaisir ; je t'interdis de prendre ton pied, tu m'entends bien ?" " ta queue n'est qu'un objet, un gode humain ; tu connais le programme tu n'entre qu'au premier tiers, tu me caresse le clito avec application et tu as intérêt à me faire jouir ; toi, tu n'aura rien".

Et pour être sûre que je jouirait pas, elle me serre (mais c'est serré pour de vrai, hein) la base de la queue et des couille dans un cockring en cuir, un modèle avec des pressions, qui passe ensuite entre les couilles et se noue de nouveau sur la base de la queue avec un seconde lanière à pressions.

Et elle commence par frapper les couilles pour bien préparer son "petit gode humain, sa chose", comme elle prend plaisir à me me dire en me regardant bien droit dans les yeux...

Elle cogne les couilles avec application et précision, doucement d'abord, pluis de plus en plus vite, puis de plus en plus fort.

Ca résonne à mort dans toutes les couilles et la hampe.

Qui se trouve comme anesthésiée - elle a raison : un vrai Gode humain !!!

Après elle s'en sert et exige que je la bourre à son rythme.

Après son orgasme elle s'endort.

Et moi, je dois être en cage  et avoir fait les tâches utiles à la maisonnéequant elle se réveille.

Et elle me la laisse maintenant bien volontiers, la cage.

Pas tous les jours, mais par dose de un à cinq jours.

C'est encore pire qu'un enfermement régulier sur une longue période, qui est beaucoup plus facilement supportable, car une fois habitué à la cage, on se cale dans le rythme et on tiens, presque à l'oublier.

Et elle ne se prive pas pour autant de me taper les couilles et la queue, enfermé ou pas.

Régulièrement, quand je ne m'y attends pas - c'est là le plus dur :  entre deux portes ...

Il faut que c'est souvent quand je viens demander une faveur : la lêcher, me libérer, acheter du matériel etc...

Et quand on est encagé sur une période longue, encore une fois, ça se supporte.

Mais repartir à chaque fois de zéro, là c'est un vrai traitement hard.

Je dois dire que, dormir est le plus dur. La queue durcit inévitablement pendant la nuit. Et là, croyez-moi, ça tire sur les couilles qui deviennent vraiment sensibles, dedans, mais aussi la peau, qui frotte inévitablement sur la cage.

La peau se pince aussi au bout, car quand on bande, la queue pousse dans le tube et pince la peau au bout et sur les côtés aussi.

Elle le sait bien d'ailleurs. Mais ça l'amuse de ma voir remettre tout en place avec force lubrifiant aux silicones.

Au début pourtant, elle était incrédule quant à l'intérêt de la cage. Mais, maintenant, elle aime me voir me tordre pour éviter les érections nocturnes.

Quand ça arrive, alors elle se retourne, se met en chien de fusil, me présent son fessier si bandant et me demande de me coller à elle et de lui masser le dos, les reins, les seins, les fesses...

Et le résultat est terrible : rien que la pensée de sentir ma cage en contact contre sa peau, c'est l'assurance d'une grosse érection à tous les coups et donc, les couilles qui tirent affreusement à chaque fois !!!

Alors, bien évidemment, je suis ensuite obligé de me lever, d'aller faire un tour, de remettre du lubrifiant, de me calmer, d'aller pisser, de remettre la peau des couilles en place... etc...

Croyez-moi, c'est très dur à vivre. Puis au bout de 4 à 5 jours, ça rentre dans l'ordre et les érections se raréfient, ou plutôt, se déroulent moins à fond, et donc ça devient supportable.

Elle s'en est rendu compte, puisque je parviens alors à la caresser, à la masser, suffisamment longtemps pour qu'elle s'endorme, satisfaite. Repue. Dominante. Triomphante !!!

Et moi je reste hébété, sans sommeil, mais finalement, avec une gaule apaisée ; en un mot supportable.

Et c'est là qu'invariablement, son besoin de me solliciter en claquant les couilles se réveille, qu'elle met fin à la parenthèse du "travail des couilles" qui suit les premiers jours de mise à l'enfermement.

Je peux vous assurer que se faire éclater les couilles, enfermé dans une cage, sans avoir éjaculé depuis un mois, et bien c'est une expérience à vivre une fois dans sa vie.

Tous bascule. Vous n'êtes plus qu'une verge géante en vibration. Sans plaisir physique mais comme un gigantesque orgasme cérébral continu.

Le moindre événement est alors automatiquement requalifié par le corps, l'esprit, et la bite, comme une sollicitation d'ordre sexuel.

Chaque pulsion résonne dans la queue gonflée qui habite la cage.

Celle-ci est à la fois un délice et un supplice.

Je vous en parlerai à un prochaine occasion, mais le choix et l'ajustement du matériel d'enfermement est essentiel pour supporter ce traitement.

Elle m'a remis en liberté ce matin.

Je sais que je vais avoir tôt ou tard à supporter de nouveau le supplice des 5 premiers jours, si terribles ...

Je sais qu'elle va me demander de me branler devant elle, comme un porc, sans aller au bout, sans éjaculation.

Combien de fois dans la journée ? Seule elle le sait...

Je sais qu'elle va me frapper les couilles longuement, longtemps, jusqu'à ce que je me torde. Puis m'habitue au rythme, à l'intensité. Pour ensuite augmenter d'un cran la force de ses frappes. Jusqu'au bord de l'orgasme qu'elle me refuse depuis plusieurs mois maintenant, au point que le redoute.

Son dernier SMS, ce matin pendant le marché du samedi était  "penses aux huitres - signé : la main fouetteuse".

Tout un programme ...

D'autant que je peux vous assurer que sortir de cage après le traitement que je vous décris vous fait les couilles bien grosses, bien pendantes et bien gorgées de foutre...

De vraies grenades à fragmentation !!!

Et ça va être un cran supplémentaire cette fois, car elle ma demandé de recommencer un petit programme de pompage à vide de la bite ce week-end, jusqu'à nouvel ordre.

Le papier disait : "pomper toutes les heures 5 minutes en montant de 100 g en 100 g toutes les minutes".

Prendre 500 grammes de dépression dans la queue n'est pas donné à tout le monde : vous n'avez pas d'autre choix que de couler du gland. Votre bite finit en fait à la fois hyper sensible et ... désensibilisée, la peau devient comme une écorce gonflée et protégeant des sensations habituelles...

Je ne suis plus qu'une bite. Sa bite. Sa chose. J'en suis à espérer qu'elle défonce de la manière la plus ultime pour enfin lui appartenir à fond.

A bientôt, donc.



Par Smartbeat
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Mardi 21 octobre 2 21 /10 /Oct 09:20

 

Bonjour à tous,
Et Merci de vos commentaires et MP, ça fait chaud au coeur.

Notamment à la dame qui veut bien m'éclater les couilles en binôme avec Madame de temps en temps. Je pense que nous ne sommes pas murs. Mais je garde l’adresse et peut-être qu’on pourra envisager du vrai ballbusting si Madame le désire. Je le lui suggérerais peut-être dans le feu de l’action un de ces soirs…

 Je n’ai pas pu écrire car notre relation a évolué gentiment.

 Je sens qu’elle commence à apprécier sa position de dominante sur la queue et que cette nouveauté lui plait.

 Eduquée avec un schéma traditionnel, je crois qu’il lui était difficile d’imaginer prendre plaisir à dominer la queue de son homme.

 Elle a d’abord fait ce que je lui suggérais pour me faire plaisir et y a trouvé un moyen de me satisfaire sans se faire prendre.

 Mais aujourd’hui, c’est elle qui décide de me claquer les couilles ou me demande de me branler devant elle, toujours sous la même une condition : jouir très, très, très vite !!! Sinon, elle arrête tout et me laisse en friche pendant plusieurs jours.

 Et pour moi qui ait une queue plutôt très endurante, croyez-moi, c’est un exercice à la fois très difficile et hyper frustrant, car l’éjaculation est alors comme asséchée, sans aucune jouissance, juste un phénomène mécanique – je suis en fait comme un objet, une poupée. C’est ce qu’elle appelle « faire un spectacle », ce que je comprends de son point de vue, mais du mien, c’est TOTAL FRUSTRATION !!!

 C’est encore et toujours elle qui décide de ne pas me laisser jouir. Il faut comme je l’ai expliqué dissocier éjaculation (aucune depuis bientôt un mois) et jouissance.

 Ou, comme une fois par semaine depuis mon dernier article, elle me demande de la bourrer, juste au premier tiers de son vagin, en lui caressant le clitoris, jusqu’à ce qu’elle jouisse.

 Et elle m’interdit d’éjaculer, bien sûr, en me promettant de m’exploser ensuite … ce qui n’advient bien sur pas, puisque je suis sec depuis un mois.

 Et quand je lui dis : mais ça fait plus de trois semaines que je n’ai pas éjaculé, elle me fixe et conclue d’une : Hhhmmmmm, ça c’est bon !!! Attends encore quelques jours et tu pourras retourner en cage pour finir ton éducation.

 Je sens que c’est en train de basculer et qu’elle rejoint maintenant le stade où elle a conscience de dominer les choses et y prend (enfin !!!) du plaisir.

 Elle apprécie de plus en plus de me rendre hyper sensible, puis de m’abandonner là, sans jouissance.

 Je vous raconterai la suite dès demain, puisqu’elle veut me sentir en cage ce soir à son retour et que je dépose des baguettes chinoises sur le rebord de sa table de nuit.

 Ah, j'oubliais de vous préciser qu'elle m’a tapé la bite avec les baguettes ce matin et que mon tube est hyper sensible, la peau toute rougie.

 Je ne sais pas où elle veut en venir, mais, je me sens comme embué dans une grosse bouffée d’amour dès qu’elle s’occupe de moi et de ma queue ; en conséquence, je ne vais pas bouder mon plaisir de la sentir être moteur de notre relation.

 La suite dès que je peux (heureusement que je n'cris pas avec mon tube, ça serait douloureux ( ;-)   )

 

Merci de vos commentaires et de vos encouragements.

 

Smartbeat,

Homme endurant en phase d’apprentissage d’éjaculation précoce ?

 

 

Par Smartbeat
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Lundi 15 septembre 1 15 /09 /Sep 03:00
Ouh là là là là !!!!

Laissez-moi vous confirmer, pour ceux qui fantasment sur le ballbusting, qu'elle est vraiment géniale, il n'y a pas d'autre mot : géniale !!!
Nous nous sommes donc couchés tôt, comme prévu.
Déjà, en début d'après-midi, elle m'a juste fait sortir la CB6000, sans me la mettre : "si tu es bien sage ce soir, on verra ; j'ai l'intention de t'exploser les couilles et je ne veux pas perdre de temps avec ton matériel : je vais te faire un Ballbusting comme t'en as jamais vu. Je vais t'éclater les couilles  j'en meure d'envie depuis trop longtemps et je veux te fracasser les couilles dès qu'on sera au lit ; ce soir on se couche tôt et je te défonce les burnes".

Le programme était clair : ta bite va encore pendre libre toute la journée avec ta tête en feu ; et ce soir, je vais m'éclater avec tes noisettes de couilles.

Lorsque nous nous sommes couchés, elle a mis un petit DVD, comme à son habitude, surtout pour couvrir mes grognements de goret émasculé, ceux qu'elle adore tant.

Elle m'a gentilment tapoté les couilles au début, me toisant d'un air entendu...

Puis subitement, elle les a écrasées avec son genou, puis les a prises en main en serrant très fort : "Bandes mon chéri maintenant, c'est le moment ; bandes ou je t'émascule."

Elle a commencé à tirer mes couilles vers le bas sans ménagement pour les étendre au maximum, comme elle les aime : bien longues et gonflées.

Puis elle m'a frappé les couilles à pleine main, de plus en plus fort, contrôllant l'intensité montante des coups avec l'accélération de ma respiration, mes complaintes, mes mouvements de bassin et contractions abdominales.

Ca n'avait jamais été si violent et j'ai eu l'impression qu'elle se lachait vraiment et ne connaissais plus le sens des mots "pitié" ou "ménagement".

A un moment, ça s'est arrêté : elle s'est penchée au-dessus de moi et, d'un air déterminé, m'a dit qu'elle allait me les briser jusqu'à ce que j'explose en petits jets saccadés : "je ne veux pas que tu jouisse, juste te faire exploser la bite et te faire cracer les couilles par la gorge".

Elle a re commencé à les battre, en rythme, avec sa main libre, tandis que de l'autre elle a commencé une traite de bite énergique dont elle a le secret : c'est douloureux tellement elle serre la verge et la décalotte sans ménagement, elle me l'arrache littéralement ; je comprends à ce moment là son désir : il faut que ça pète et tous les moyens sont bons, c'est une course éfreinée ...

Je le lui ai fait remarqué qu'elle me détruisait la bite et que ça faisait mal, mais, aussitôt, j'ai pris un coup de poing magistral dans les testicules.

"Tu ne bouge pas, tu te tais, tu ne demande rien ; contentes-toi de te laisser éclater pour mon bon plaisir".

Le message était on ne peut plus clair.

Et elle m'a frappé les couilles pendant au moins 20 minutes, de plus en plus en fort, de plus en plus vite, sur le devant, puis sur le derrière (ça fait vraiment mal) et enfin sur les côtés.

Franchement je ne croyait pas pouvoir encaisser autant.

Et au fur et à mesure que ma femme me cogne les couille, ça s'endurcit et j'ai l'impression de pouvoir encaisser le passage d'un semi-remorque.

Et c'est presque ce qui s'est passé tellement elle me défonce les parties génitales.

Le plus spectaculaire, c'est quand à un moment elle m'a dit que c'était à moi de jouer et qu'elle ne me lacherais pas tant que ma bite n'aurait pas craché.

Et comme d'habitude, voilà que je me branle devant ma femme, pathétique.

C'est comme ça que ma femme contrôle ma sexualité de sale porc.

Elle s'est bien redressée pour m'avoir à sa main, et ma femme m'a littéralement explosé les glaouis, dans tous les sens, comme si elle frappait un agresseur, avec acharnement.

Et bien que je n'aie pas joui depuis un bout de temps (je rappelle que la dernière séance de baise a été écourtée car elle jouit plus vite que moi, que la précédente traite remontait à plus de 10 jours et la précédente baise presque un mois, sans à chaque fois qu'il n'y ait eu de satisfaction pour moi : je dois éjaculer au moment ou elle prend son pied. Point Barre.

Ma queue ne vouliait pas cracher hier soir.

J'en ai donc pris plein les couilles qui sont ressorties toutes violettes.

Et pour finir, comme d'habitude, ma femme ruine mon éjaculation et mon orgasme en cessant toute manipulation quelques secondes avant que je jouisse devant elle.

Elle a eu l'air satisfaite car elle m'a dit qu'elle était contente et que la prochaine fois, il faudrait que jouisse très vite, sinon elle utiliserait les grands moyens.

Je ne sais pas ce que ça veut dire.

Mais si c'est c'est pire que ce que j'ai ramassé ce soir, ça doit être impossible à supporter.

C'est qui est grave, c'est que j'en suis tout excité, car je sens bien maintenant qu'elle commence à se lâcher sur ma queue.

Et ça m'excite rien que d'y penser et de vous l'écrire.

Ca ouvre des perspectives à notre couple, car si elle prend son pied à m'exploser les couilles, alors elle va vraissemblablement évoluer et pervertir notre relation.

Et qui sait, faire de moi un homme objet pour de vrai ???

J'espère maintenant qu'elle va m'encager pour la semaine, parce que j'ai les couilles qui lancent en permanence et j'ai une irrésistible envie de me tirer sur la nouille pour enfin prendre mon pied.

La suite au prochain numéro...

En attendant, ce matin, au réveil, elle m'a dit qu'elle voulait que je me pompe copieusement pour voir ma bite aussi gonflée et rouge que mes couilles sont violettes au coucher ce soir.

Donc je me suis pompé comme une bonne petite truie juste avant de vous écrire ma journée d'hier.

Et croyez-moi,  j'ai la queue en feu.

Il est très tard (3h43), mais je vais tenter un truc : aller la réveiller avec la queue bien bandée et tenter de lui faire l'amour.

Sois je m'en prend une, sois elle me cadenasse de suite.

Dans les deux cas, je suis gagnant, puisque ma bite sera enfin le centre de son attention.

A bientôt.

Smartbeat



Par Smartbeat
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Samedi 13 septembre 6 13 /09 /Sep 14:42
Ouf,
J'ai enfin un morceau du programme :
Ce soir, explosion des couilles jusqu'à plus soif ... mais avant, mise en cage pour la journée.
Je vais enfin pouvoir essayer la nouvelle CB6000, à moins qu'elle ne préfère me remettre en CB2000.
De toutes façons, elle m'a déjà dit que je devrai peut-être la retirer pour qu'elle puisse me travailler les couilles à sa guise.
Elle veut en profiter longtemps et que les enfants se couchent tôt.
Ce qui est sur, vu son son regard, c'est qu'elle a vraiment envie de me taper dans les couilles jusqu'à plus soif.
J'ai surtout l'impression qu'en fait, après la méchante gaule que je vais avoir, elle va vouloit essayer le nouveau Gode qui se fixe sur l'anneau de la ceinture ... (ça s'appelle HerDelight) et que c'est pour ça qu'elle m'a dit que ce soir elle me l'enlèverait pour me massacrer les boulles tout en insinuant que je resterai enfermé.
Je dis ça aussi parcequ'elle m'a demandé de mettre un anneau bien étroit, qui ressere bien le paquet : c'est à dire qui tienne bien excité le manche toute la journée et qui constituera un socle solide pour y fixer l'engin en cas de besoin.
J'en frémis déjà !!!
Je vous raconte dès que j'ai pu souffler, parce que croyez-moi, un anneau bien étroit, ça compresse la bite à mort et une fois dans la rue habillé, ben c'est terminé, il faut vivre avec, se tortiller en permanence pour trouver un arragement avec les boules du seigneur.
A moins qu'elle ne me laisse pourrir après m'avoir éclaté les couilles. Qui sait ...
Si vous avez des idées, n'hésitez pas .

Salut à tous.
Par Smartbeat
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