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Le Choix des Armes ? Voici de quoi il s'agit...
Des mois sans rien.
Si vous nous suivez, vous le savez.
Le désert absolu : pas de cage de chasteté, pas de sollicitation, pas de léchage : R-I-E-N.
Une grande tristesse à vrai dire et des couilles bien trop pleines pour être manipulées sans danger d’explosion immédiate.
L’explication est venue dimanche, alors que j’ai osé demander ce qui n’allait pas.
La réponse fût simple : « je me sens sens bien comme ça, moi. Pas toi ? »
« Tant que tu ne seras pas capable de jouir sur commande et sans te toucher, tu n’auras plus rien ».
C’est, vous vous en doutez un peu sévère et révélateur d'un nouveau tour de vis, car je pense que personne n’est capable d’éjaculer sur commande sans se toucher (même si des fois je suis persuadé d’y parvenir tellement je n’en peux plus…)
J’ai argumenté sur le thème de « l’explosion par les couilles » qu'elle avait elle-même suggéré il y a quelques mois maintenant.
La réponse a fusé du tac-au-tac : « oui, mais il me faudrait une boîte à jouet un peu mieux adaptée pour cela. Je ne dispose de presque rien pour l’instant. A toi d'être créatif et de me fournir les outils qui vont bien, que je puisse avoir un peu de choix selon mes humeurs. La spatule de cuisine, ça claque bien, c’est vrai, mais elle n’agit pas en profondeur, là où il faudrait attendrir les noix…
Puis minaudant d'un air faussement surprise : Tu es si en manque que cela mon petit coeur ? ».
Bien sur que je suis en manque !!! : je n’en peux plus !!! Ce que je lui ai dit.
Elle a tendrement pris ma main pour la porter à sa bouche et y déposer un baiser : « Tu veux venir ? N'est-ce pas ?»
Je ne sais plus répondre à ces questions-là.
C’est toujours bien de se vider les couilles, mais ensuite, combien de temps faudra-t-il encore attendre ? Et on sait bien qu’après une longue période de frustration, l’orgasme ne peut pas être complet. Tout au contraire, il frustre encore davantage.
Mais elle a pris la balle au rebond :
« Aller, fais-moi voir. Je compte jusqu’à 10 », me chuchota-t-elle à l’oreille, d’un ton qui était vraiment sincère et encourageant : elle avait manifestement vraiment envie de me voir me branler pour elle.
« Vas-y, bien à fond, serre-le bien fort, branle-toi à mort ; je te veux à bloc dès le départ » me glissa-t-elle dans l’oreille tout en se lovant contre moi de côté, pressant son genoux contre mes couilles et collant son entrejambe ondulante sur ma cuisse.
J’ai baissé mon short, subitement oublié mes appréhensions et tous mes états d'âme : juste envie d’un sprint de folie et de cracher. Peu importe comment.
Je me suis donc littéralement défoncé la bite, astiquant comme un dingue tandis qu’elle a commencé à égrener les chiffres sans attendre : "1, 2, 3..."
Je suis parti d’une semi-bandaison pour un rapide décollage, gaule exponentielle et violente, mais elle était déjà à « 4 » quand j’ai enfin senti que je pouvais « claquer ». Assez vite ? Non, pas tout à fait : il faudrait qu'elle compte jusqu'à 12 ou 13 pour bien faire... Et moi d'astiquer de plus belle, avec l'énergie du désespoir grandissant, ce qu'elle a parfaitement saisi, s'en amusant d'un rictus malicieux,complice et sadique à la fois.
Elle a senti l'embarras ; c'est là qu'elle prend son pied. Et moi avec d'ailleurs, de la voir contentée. Elle a augmenté la pression sur mes couilles, ce qui a eu pour effet de retarder la montée lorsqu’elle a ensuite retiré sa jambe, à « 6 », recréant du vide à "-3" du moment fatidique où il faudrait tout arrêter...
J’ai astiqué de plus fort et serré comme un étau, prêt à tout donner pour éclater à « 10 ».
Mais je n’y suis pas parvenu.
A « 10 », elle m'a saisi le poignet pour le retirer de manière autoritaire :
« STOP !!! 1à ; c’est 10, pas 11. Tant pis pour toi mon chéri. Mais comme tu as été bien sage, je te remets en cage quelques semaines. Mets-donc la plus petite (la CB6000 - NDLR), puisque tu trouves qu’elle est trop petite et viens vite me faire voir. »
Le pire, c'est que je suis reparti de la chambre heureux d'être de nouveau en cage de chasteté.
Et nous en sommes là depuis deux semaines maintenant.
Encagé. Avec contrôle de la toilette soir et matin, comme les enfants !!!
Frustré à mort.
Cela fait quand même 4 mois que je n’ai pas joui ni ne me suis satisfait.
Alors je me reconcentre sur sa demande initiale, afin de meubler le vide sexuel abyssal qui remplit ma vie auprès de Madame.
Et il s'agit du reste de meubler au propre coomme au figuré !!!
C'est fou le plaisir qu'on peut prendre à confectionner une boîte à jouet qui comportera les ustensiles avec lesquels elle pourra me défoncer, me travailler, me claquer (etc...) les couilles, puisque la spatule de bois dont on se sert à la cuisine ne semble plus lui suffire...
J’ai consulté quelques sites spécialisés, mais le prix de vulgaires battes en bois est assez dissuasif - et pour tout dire sans rapport avec la satisfaction psychologique que nous pourrions en retirer, de l'avis de Madame.
Il faut donc que je trouve des objets à détourner. C'est beaucoup plus drôle !!!
Avouez que c’est quand même paradoxal que de devoir trouver des objets avec lesquels on va ensuite se faire défoncer les couilles et en jouir d’avance, jouant avec sa queue dans la cage.
Vous n’imaginez pas comme on regarde d’un œil pervers et décalé le moindre objet dès lors qu’on l’imagine détourné de sa fonction première pour satisfaire sa petit camarade de jeu…
J’ai ainsi acheté en brocante un rabot ancien : c’est un long lingot de chêne (environ 50cm), dont le poids lancé en rythme contre mes couilles va sûrement les travailler bien en profondeur et sans trop d’efforts de la part de ma "tendre" et chère…
Votre contribution me serait d’ailleurs bien utile pour nous aider à constituer les outils des destructions à venir.
Vos suggestions sont donc les bienvenues.
Avis à la population.
Smartbeat