Profil

  • Smartbeat
  • Smartbeat, Homme Objet & Ballbusting
  • Homme
  • 18/02/1971

Présentation

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

Créer un Blog

Recherche

Mercredi 10 mars 3 10 /03 /Mars 09:51

Depuis que je veille à le maintenir dans un état de frustration maximal, il est de plus en plus doux et ses yeux toujours plus embués, lorsqu’il se colle à moi pour m’offrir ses massages et caresses.

 

Il "quémande" en fait en me massant et s'occupant de moi ; ce n'est que le reflet de sa frustration et c'est ce que j'aime bien : le savoir bien mur et en demande.

Il faut dire qu’il est maintenant bien « en température », frustré de quasi tout depuis plus de deux mois. J’adore son air penaud et sur-attentionné. C’est à la fois délicieux et pathétique. Et ça me donne à chaque envie de le pousser un peu plus loin dans la privation.

 

Rien que de l'écrire, j'en tremble...

Il est d’ailleurs assez bon dans ce registre car j’avoue qu’il encaisse bien au-delà de ce que j’imaginais.

Je n’ai jusqu'au début de nos aventures jamais été particulièrement intéressée aux choses du sexe en général.

 

Une fois dans l'acte, je prenais du plaisir, que Smartbeat savait me donner, mais je n'ai jamais trouvé le ressort d'être à l'origine d'une partie de jambe en l'air.

 

Je n'avais tout simplement pas trouvé le starter et Monsieur devait attendre des heures (des jours ?) que le "voyant orange" s'éteigne et que le moteur puisse se lancer...

Monsieur en a souffert longtemps mais depuis qu’il a orienté notre couple sur ces jeux  un peu particuliers qui nous tiennent désormais lieu de sexualité, je me suis découverte et j'ai un intérêt nouveau pour les relations intimes…

A ceci prêt que je conviens que tout repose sur sa capacité de résistance physique et morale.

 

Et plus je le pousse loin plus je me sens fondre, à la fois dans mon esprit qui s’échauffe et à mon entrejambe qui s’humidifie et palpite au seul fait de penser à l’état de manque incroyable que je lui impose et au niveau d'abandon que je lui impose en le défonçant toujours plus fort.

Certains aspects que je trouvais ridicules et même honteux voire déviants, comme ses cages de chasteté, pompes, godes et vibros (entre autres) me servent aujourd’hui à plein et je comprends désormais que j’aime – oui, du verbe Aimer – jouer de l’aspect « mécanique » et répétitif de sa sexualité, finalement typiquement masculine.

Il faut le voir – et l’entendre quand je l’y autorise – couiner sous la pression, celle de la pompe à vide ou des coups dans les testicules ou encore, tout au contraire, quand il reste enfermé en cage de chasteté des jours durant : ses yeux disent toute l’envie et le désir comprimés : c’est un délice qui me met dans tous mes états !!!

 

Je ressens du désir.

 

C'est violent et soudain.

 

C'est enfin de la vie qui coule dans mes veines.

 

Je n'ai pas peur de le dire : rien que d'y penser, je suis excitée, moralement et physiquement, à l'idée de le contrôler et de le contraindre.

Je prends un plaisir incroyable à lui travailler les testicules ; et il encaisse de mieux en mieux : j’adOOOre le défoncer  !!!

J’en tire une grande satisfaction personnelle parce que j’ai alors une sensation de total contrôle, et je suis moi-même surprise du plaisir que je retire à le frapper, cogner, latter, exploser à des niveaux jusqu’alors insoupçonnés de ce (ex...) "douillet" de Smartbeat…

Je me rappelle maintenant bien que, quand j’étais au Cm2, deux garçons redoublants qui avaient deux ans de plus que moi m’avaient coincée à plusieurs reprises dans les toilettes lors de la récréation.

Ils pratiquaient des attouchements poussés sur ma pauvre "petite fille" qui ne comprenait rien à ce qui lui arrivait. J’étais une oie complètement blanche et je ne voyais même pas à l’époque ce que cela signifiait, mais j’étais contrainte par leur force. Et impresionnée aussi de leur présence et de leur force : comment résister ? En avais-je seulement l'envie. Tout était confus dans ma tête. S'enfuir ou s'abandonner ? Toute la question était déjà là...

L’un d’eux d'ailleurs était beau et il me plaisait bien au fond.

 

Même si je me sentais impuissante en cet instant… Un truc bizarre, comme si je n’avais plus de jambe ni de volonté, sidérée en fait…

Le déclencheur fût instinctif et la décharge d’adrénaline violente.

 

Le second garçon, qui ne me plaisait pas et se contentait d’abord de me tenir, m’a soudainement embrassée de forceà pleine bouche.

 

Ca, c'était sâle et mal !!! (le doigt dans ma culotte, à côté, c'était très supportable : je ne comprenais pas)

Je me souviens avoir balancé un coup de genoux de toutes mes forces dans le bas ventre de ce porc deux fois plus lourd que moi et avoir ressenti un plaisir fulgurant jusqu’au tréfonds de ma jeune âme à le voir s'écrouler, les yeux révulsés.

J’étais puissante et forte ; il était minable et à ma botte – et ça a duré toute l’année.

J’ai aussitôt recommencé alors qu’il était à terre à se tenir l’entrejambe.

Il avait le souffle coupé, ses yeux étaient vides comme l’objectif d’une caméra en arrêt sur image.

 

Et pourtant le second coup de pied que je lui ai donné est parvenu à augmenter encore l’aspect pantin désarticulé de cette grande carcasse, comme si c’était moi qui l’animait et moi seule.

Le coup porté entre ses jambes entrait dans son corps aussi profond que la main du marionnettiste dans sa poupée de chiffon.

C’était troublant. J’avais une grande satisfaction. Tout mon être était rassuré. J’ai aimé.

L’événement s’est gravé de manière indélébile dans ma mémoire.

J’avais complètement oublié cet épisode, mais Smartbeat l’a réveillé en laissant ouverte une page de son navigateur internet relative au port de la cage de chasteté.

A l‘époque, je ne comprenais rien à ses histoires de cage de chasteté et je trouvais ridicule et déviant – bref, je n’étais pas prête.

 

Mais bon, à force de persévrance et de supplications que, en manque permanent, il fallait trouver un moyen de pallier à notre différence de libido, j'ai fini par m'intéresser, pour lui faire plaisir, à ses histoires de cage de chasteté et j'ai admis que nous devions trouvr une solution au lent nauffrage de notre vie intime -  et bientôt sans doute, de notre couple.

Smartbeat m’avait conseillé regarder le site d’Elise SUTTON et quelques récits exposant tous les bienfaits du "contrôle de sexualité masculine".

Il était de toutes façons clair qu’il est en manque permanent de sexe et avait (a toujours d'ailleurs, c'est ça qui est bon : Humm !!!) un apétit 10 fois plus grand que le mien.

Et c’est un peu de guerre lasse et dans le soucis de comprendre comment mettre en place des "compensations" pour Smartbeat que je me suis plongée dans la logique de contrôler la sexualité de mon mari.

C’est en me documentant sur ce sujet, toujours à contrecoeur et dans une optique « devoir conjugal » que je suis tombée par renvoi de liens sur un site de « ballbusting » (je n’avais javais alors jamais entendu ou imaginé la signification de ce terme auparavant).

Mais j’ai surtout ressenti ce jour là une excitation inconnue depuis longtemps : une blonde quelconque en combinaison intégrale de lycra noir défonçait méthodiquement à grands coups de poings, de pied et de claques les couilles offertes d’un très beau mâle, attaché jambes en compas à une chaise un peu spéciale libérant un accès complet à son appareil reproducteur, de fort belle taille d'ailleurs.

 

Quelque chose d'incroyable s'est alors produit : je me suis senti fondre d'un coup, et me suis mise à mouiller comme une folle. Ca ne m'étais je crois jamais arrivé de cette façon...

Dans la scène suivante, le Monsieur était obligé de se masturber et d'éjaculer en moins d’une minute. Il n’y arrivait pas et la blonde, comme elle n’avait pas cessé de le menacer, s’est mise à lui délivrer des coups de pieds déments, sans aucune retenue, dans les parties : au dixième ou quinzième coup, le type a éjaculé en grognant et la blonde s’est alors littéralement déchaînée de plus  belle sur ses couilles.

J’ai de nouveau ressenti une tension énorme dans mon bas-ventre et c’est alors qu’est remonté le souvenir de puissance absolue ressenti l’année de mon Cm2… Sauf que j’étais maintenant excitée sexuellement et que je savais maintenant analyser cette excitation... Euréka !!!

L’épisode se terminait par la mise en cage de chasteté du type, dont on apprenait qu’il était contraint à l’abstinence pour une nouvelle période de 3 mois…

Ce fût une révélation et j’ai compris ce jour-là que Smartbeat aurait fait un bon cobaye pour satisfaire mon envie soudaine de me faire dévorer, après l'avoir claqué et encagé (par transposition avec  le Monsieur de l'écran).

Et pour la première fois, je l’imaginais enfermé dans cette cage ridicule dont je comprenais soudainement toute l’utilité.

J’ai commencé à lui tapoter les couilles le soir même, juste pour voir. Il les avait (a ?) très sensibles et délicates. Il n’a pas dit non. Et je suis montée en puissance en prenant vraiment mon pied de le défoncer avec de moins en moins de retenue, avnat d elui demander de me faire venir avec sa langue.

 

J'ai pris un plaisir incroyable et lui ai demandé de mettre sa cage.

 

Il n'y a pas cru, mais je ne lui ai pas laissé le choix  et ai prononcé des mots inexistants dans mon vocabulaire "c'est un ordre, et je la veux serrée".

 

Je me suis moi-même étonnée de ce qui venait de sortir de ma bouche, plus encore que mon comportement des minutes précédentes.

 

Tout a alors basculé, progressivement, puis plus franchement dans notre couple.

Je sais aujourd’hui qu’il s’est adapté à ce mode de vie et est conditionné à me présenter ses couilles en remplacement de rapports sexuels classiques.

Il a appris à prendre du plaisir ainsi et il sais combien cela m’en procure ; cela suffit à le mettre en transe et il accepte beaucoup en contrepartie.

Nous avons trouvé ainsi une voie originale pour redéfinir notre vie intime et Smartbeat vous en a décrit au fil de ce blog quelques épisodes.

On peut résumer en disant que je prends plaisir à le taper et à le traire ; ça m’excite et j’aime alors qu’il me fasse jouir. Ca le frustre et c’est ça qui me donne envie de le frustrer encore davantage. Ce qui m’excite et me donne envie de me servir de lui comme un objet. Ce qui le frustre et me donne envie de laisser ses couilles gonfler toujours plus. Ce qui le frustre et  me donne envie de …

Etc.. etc… etc…

Je ne vous ferai pas part de tous les développements, mais, grâce à Smartbeat, j’ai enfin trouvé ma voie et j’éprouve enfin du plaisir à partager des relations intimes.

Certes un peu particulières, mais dieu que c’est bon : je contrôle la sexualité de mon mari et ça, Mesdames, ça n'a pas de prix !!!

Je le tiens par les couilles dirait-on plus sûrement au café du commerce…

Et quand on tient à quelque chose, on le range bien précieusement dans une petite boite, n’est-ce pas Monsieur Smartbeat ???

D'ailleurs depuis quelques semaines, je veux sentir sa cage de chasteté contre moi chaque soir et pour toute la nuit.

J’aime la rigidité de la cage contre ma jambe. Sa gène au milieu de la nuit quand les érections nocturnes, désormais de retour après une période d’accalmie relative, l’obligent à se lever pour aller uriner au toilettes pour faire redescendre la pression.

J’éprouve une grande satisfaction à savoir qu’il ne va pas trouver le sommeil dès son retour et aura tout le loisir de réfléchir à sa condition, ses envies, tandis que moi je dors profondément à ses côtés.

Cela me confère le même sentiment de puissance que lorsque j’avais explosé les parties de ce grand nigaud en Cm2.

Claquer les burnes de Smartbeat au réveil comme au coucher ou mieux encore, à l’improviste en journée et sans raison, permet de calmer les appétits de Monsieur et me mets toujours dans cet état d’excitation intense qui me conduit invariablement à des orgasmes satisfaisants, surtout quand Smartbeat n’a droit à rien : c’est un pied total.

Qui place sur rampe de lancement l’épisode suivant  et ainsi de suite…

Mon rêve secret serait qu’il relâche sa gourme sur commande, en quelques claque ; voir sans aucune manipulation.

Mais sans aucun plaisir bien sûr, pour qu’il conserve toujours intact son haut niveau d’excitation.

En tous cas, lui qui était un gros baiseur (et je crois qu’il en est toujours capable vu ce qu’il encaisse…) est devenu un parfait outil pour satisfaire Madame : il me fait jouir de mieux en mieux avec sa langue, preuve que mes recettes fonctionnent plutôt bien pour notre couple.

Je vais donc passer à l’étape supérieure…

Prépares-toi mon chéri : tu vas vraiment devenir un objet…

C’était ce que tu voulais, non ?

Madame Smartbeat

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
Ecrire un commentaire - Voir les 13 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés