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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 08:41

Je deviens précoce.

C’est assez étonnant, mais moi qui n’étais pas capable de jouir rapidement, je deviens peu à  peu éjaculateur rapide. Nuance. Mais pour combien de temps encore parviendrai-je à conserver cette notion et le contrôle de l'éjaculation finale ?

Madame dit depuis le début qu’elle veut que je devienne précoce, et je pensais de mon côté que je n’y arriverais jamais.

Pour le moment, c’est encore moi qui décide in fine de jouir ou pas, quel que soit le degré de sollicitation de Madame.

Sauf que désormais, si elle me le demande, je ne parviens plus à résister et à ne pas me libérer sur commande. Le fameux cap du "en moins de trente secondes from scratch"est largement dépassé.

Il faut dire qu’au plan psychologique, je n’ai plus que cette solution pour éjaculer : cela fait trois mois et une semaine que nous n’avons eu aucune relation sexuelle et il est clair que la prochaine fois, je ne pourrais sans doute pas résister.

Je le sens ; je le sais.
Elle apprécie toujours autant de claquer mes couilles.

Son regard s’allume, de ce même regard qu'ont les femmes quand elles vous disent "vas-y, prends-moi".
Sauf que chez elle, cela signifie qu'elle va passer en mode « j'ai envie de e défoncer les couilles » et qu'elle se lâche de plus en plus.

De mon côté, le temps où j'étais très douillet de ce côté est bel et bien révolu.
Est-ce parce que ce sont les seules sollicitations  qui me sont autorisées, je ne saurais le dire, mais il est établi que je ne peux lui résiter lorsqu'elle a envie de m'éclater les couilles, de prendre son pied en me shootant.
Je crois bien que le Ballbusting, que j'avais découvert par hasard au détour d'une vidéo gag envoyée par un ami, et que je trouvais complètement impossible et hallucinant sur le moment, a eu chez elle un effet détonateur et a au contraire ouvert la voie à une sexualité alternative, désormais caractéristique de notre relation intime.
J'y ai pris goût et ai repoussé les limites du supportable ; l’effet de plateau est aujourd'hui assez rapide, dès les premiers coups.

Et je sens qu'il m’est désormais presque accessible de jouir par la seule sollicitation de mes burnes.

La limite n’est plus très éloignée :; le scintillement si particulier de son regard lorsque je lui dis est un vrai bonheur, et j'aimerai tant lui offrir de belles éjaculation par simple défonce des couilles.

Pour bien faire passer l’idée, je dirais qu'elle a alors le regard des femmes prêtes à la relation sexuelle, le regard qui dit « OK, on va faire des trucs et surtout, prebds-moi ».

Sauf que chez elle, ce regard dit, « je vais prendre mon pied en m'offrant un bon ballbusting, mon petit chéri. Ecarte tes jambes ».

La taille ressentie de mes testicules a également changé. Elles sont plus grosses, plus lourdes, plus pendantes. Plus présentes.

Ma femme contrôle ma sexualité, c’est désormais une vérité objective.

Car la pire épreuve que j’ai passée est encore de n’avoir RIEN fait ni RIEN eu ces deux dernières semaines.

Voilà la raison de mon silence de ces dernières semaines : « A présent, tu n’auras rien, et tu ne demanderas rien. Tu n’écriras rien et tu ne liras ou regarderas rien. Je te veux bien mûr pour le moment ou je déciderai de jouer avec ton petit matériel ».

En revanche, j’ai eu droit à quelques séance de ballbusting mémorables.

Je l'ai masseé tous les soirs. Et en retour, elle m'a régulièrement compressé les burnes sous son genou, sa main, sa jambe. Mis en condition mais sans possibilité d'en jouir, juste sous l'effet de plateau.

C'est ultra fristrant et il ne reste que le ressenti de douleur, sauf qu'à chaque coup, on en veut plus et plus encore. Mes couilles appellent désormais ses coups de boutoir.
Et dernièrement, croyez-moi, j’ai encaissé des claques dans les couilles vraiment immenses, alternées de vrais coups de genou dans les burnes à décrocher le bonnet du père noël !!!

Elle se lache pour  de vrai. Et je vois bien qu'elle prend vraiment son pied.
Son regard et son excitation sont vraiment très intenses dans ces moments là.

Et cependant, rien ne m’est plus doux que de partager ces perles d’intimité, instants magiques où elle prend vraiment son pied.

Certes de manière un peu spéciale, mais partagée.

Comme vous le constatez, j’ai hier été autorisé à reprendre la plume pour évacuer le stress qui embue ma tête après cette longue période d’abstinence.

La condition fût simple mais éloquente :

"J'ai envie de te sentir bien enfermé dans une jolie cage de chasteté".
Elle n'a choisi la Birdlock, qui est facile à vivre.
Non, il s'agit à priori d'une vraie perspective de travail et dépuisement des la queue, qui semble annoncer une période assez intense, puisque'elle m'a demandé de remettre la CB6000 et surtout de la tenir bien informée des gênes que l'instrument occasionne. Elle m'a d'ailleurs descendu l'anneau pelvien d'une taille, pour être certaine que je sois bien comprimé.

Je dois écrire tous les jours, tant que je la porte.

Vous allez donc être alimentés mes Amis, même si je commence à défaillir à petit feu lorsque je dois écrire csur ces sujets, car l’excitation me gagne et cela devient vite insupportable.

Le plus étonnant reste qu’il y a peu, j’aurai aimé me soulager sexuellement ce trop plein d'excitation.

Maintenant, ce qui me manque, c’est de me faire éclater les couilles…

De lui lécher le minou.

De jouir le vite possible, comme quand elle me dit, sans crier gare : « Je compte jusqu’à 20 ».

Il faut être très très concentré pour arriver à éclater en si peu de temps depuis une position de repos total, croyez-moi.

Faites l’expérience et vous verrez qu’aussitôt votre gourme crachée, votre sexe regonflera, comme si rien ne s’était passé : c’est le moment de frustration le plus intense, car il remonte encore d’un cran l’appétence et le désir d’une relation.

De celles que je sais désormais interdites pour de longues semaines encore.

C’est sans doute là le ressort qui, par effet de transfert, me conduit à apprécier les coups qu’elle offre à mes burnes en d'appréciable séances de Ballbusting dont elle détient le secret.

L’alternance cage de chasteté, tant morale que physique selon ses désirs, brèves et violentes sollicitations et séances de ballbusting intenses et régulières est donc parvenue à me conditionner peu à peu.

Je constate qu’elle a pris le contrôle de ma bite pour de vrai, car je ne demande plus rien.

Je ne suis plus rien.

Un phallus turgescent en forme de hochet cramoisi à la demande, tout au plus.

Mais surtout une verge dont je crains de ne plus pouvoir orienter les humeurs, ce, de manière durable.

Je suis tout déréglé ; et elle aime m’utiliser ainsi, pétard incandescent offert à ses caprices de l’instant présent.

Le point de non-retour a été dépassé.

Elle m’a conditionné pour de bon.

D’autant plus fort qu’elle prend son pied de me maîtriser au plus intime de moi-même.

Je l’aime très fort, très brute, très vraie. Femelle dominant sonn époux par les couilles.

 

Smartbeat

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Samedi 14 mars 6 14 /03 /Mars 23:12

 

J’ai donc dû laisser un SMS à Madame à chaque fois que j’ai eu une envie, une pulsion.

Une semaine à ce rythme est très difficile à supporter.

On est comme mis à nu

 

Aussi, lorsque jeudi soir, le petit carton provenant de Suisse était posé négligemment sur la console de l’entrée, je savais pertinemment qu’une nouvelle étape n’allait pas tarder à se concrétiser.

 

Et effectivement, sitôt les enfants couchés, Madame m’a sollicité pour un massage des pieds et des jambes.

 

« Mais avant, tu passes ton nouvel oiseau et tu me montres le résultat ; j’ai hâte de voir cela !!! »

 

Je me suis exécuté en me rendant à la salle de bains.

 

J’étais moi aussi pressé d’essayer la fameuse BIRDLOCKED, la nouvelle cage de chasteté tout en silicone.

 

Nous avons choisi le modèle phosphorescent. Madame dit que ça sera d’autant plus drôle dans le noir.

 

J’ai bien huilé la cage de chasteté avec du lubrifiant au silicone, mon Kiki idem et ai entrepris de la passer.

 

Comme toujours, il faut d’abord passer les bourses au travers du collier qui, une fois en place derrière celles-ci empêchera toute érection, sauf à emporter les couilles sous la traction de « Mister Zgeg ».

 

Celui-ci s’enfile ensuite dans la cage de chasteté proprement dite, très difficilement d’ailleurs avec ce modèle.

 

Je ne dispose pas spécialement d’un diamètre de gland exceptionnel, mais au repos, l’épaisseur de la verge, renforcée par la sensation diffuse et excitante de satisfaire un nouveau désir de Madame, rend la taille de cette dernière difficilement compatible avec le diamètre interne de la cage de chasteté.

 

Avec un peu de patience (et d'eau froide), ça se met en place. Il n’y a plus qu’à passer sous les bourses la sangle retour qui part du gland et est contenue grâce à une sangle rigide qui vient s’enrouler autour du collier arrière et se ferme par un classique cadenas (on peut aussi mettre un padlock numéroté de CB2000 ou CB6000).

 

Le plus gênant  m’a aussitôt semblé être la sangle retour, parce qu'elle passe sous les bourses et agit comme un véritable nut divider (séparateur de couilles).

 

Mais bon, l’usage nous dira ce qu’il en est…

 

Je me suis ensuite rendu au petit salon ou Madame m’attendait devant sa série policière préférée.

 

Je lui ai montré ma nouvelle cage qu’elle a examinée sous toutes les coutures, tirant et soupesant les couilles sans ménagement.

 

« C’est très joli. Et puis on sent que tes petites sœurs vont vite s’ennuyer l’une de l’autre. Je vais pouvoir me faire une joie de les rassembler : je meure d’envie de Taper …(c’est son nouveau mot !). Mais pas tout de suite, d’abord, tu me masses, ensuite, on verra… »

 

Ce qui m’intrigue, c’est que je ne bande pas.

Je tiens cependant une piste d’explication, qui m’a été soufflée par Madame, très au fait du ressort psychologique à l’origine du phénomène.


Elle a visiblement un coup d'avance et savait parfaitement ce qu'elle faisait en me demandant de lui dire chacune de mes escitation de la journée.
 

Depuis que je lui dis tout, ma machine à fantasme trouve à se vider très régulièrement.

 

Or, l’appétit sexuel de l’Homme est fondé pour une large partie sur l’imagerie érotique, laquelle lui sert de motivation et alimente la libido. C’est pour cela que l’on dit que la vue est le vecteur d’excitation majeur chez l’homme et que les œuvres pornographiques sont si prisées de ces derniers.

 

Je n’échappe pas à cette règle, et, Madame l’a détournée à son profit en vidant régulièrement mon imagerie personnelle lorsqu’elle me demande de lui indiquer fidèlement mes pulsions et leur objet.

 

Le résultat ? Je ne bande plus. Moi qui jouissais d’un mandrin infernal toujours au garde à vous, sujet d’émerveillement de mes petites amies (passées autant que de Madame ensuite. Tant et si bien qu’elle a fini par prendre les dispositions que l’on sait pour prendre le contrôle de ma sexualité. !!!

 

Et surtout, cette nouvelle cage m’intimide. Je ne sais pas pourquoi, mais elle m’impressionne.

 

Sans doute parce que je sens bien que, sous prétexte de confort, ce nouveau modèle effectivement ultra discret et mou, est susceptible de m’être imposé pour une période réellement longue.

 

J’ai massé Madame ; elle m’a soupesé le paquet, un peu joué avec, du bout du pied.

 

Puis elle m’a laissé en cage jusqu’à ce jour.

 

Demain Dimanche, je penses que je n’aurai pas de câlin.

 

Ni que mes couilles auront le bonheur de se faire éclater, car j’accompagne tôt les enfants au sport. Pour la journée.

 

Je me sens minable. En cage et minable.

 

Je prends mon pied rien qu’en massant Madame.

 

Sans bander.

 

Juste une petite érection la nuit qui me réveille et même plus le matin.

 

Les décharges d’adrénaline ont continué à chaque SMS expliquant ce qui m’a excité.

 

Ce sont devenu des flash pendant lesquels je bandouille dans ma cage, et que je rapporte aussitôt.

 

Elle est vraiment très confortable, cette nouvelle cage de chasteté.


Je suis à deux joours et j'ai la sensation que je vais passer le cap des 3 mois sans rapport digne de ce nom haut la main, que je vais rester ainsi pour de bon, les couilles séparées en deux et la bite en cage.
 

Pour combien de temps ?

 

L’avenir nous le dira…


Mais ce qui est sur, c'est qu'elle a désormais réellement pris les commandes.

C'est un peu flippant  mais tellement bon car elle s'occupe en fait beaucoup plus de moi aujourd'hui que lorsque nous vivions uine sexualité "normale".

Et moi je suis aux petits soins en permanence, alors même que je n'ai pas le droit de  demander quoi que ce soit, si ce n'est lui dire ce qui me fait fantasmer.

Ce qui revient au même sauf qu'elle contrôole tout et s'en délecte à pleine conscience.

Une sorte de vibration intellectuelle à l'unisson qui nous rapproche comme jamais.

Et vous verrez  bientôt que les envies de Madame sont intactes et qu'elle sait parfaitement s'y prendre pour jouer avec son homme objet.
 

Smartbeat
Par Smartbeat
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Jeudi 12 mars 4 12 /03 /Mars 08:35

Bonjour à tous,

Et de nouveau merci de votre intérêt pour notre blog.


Un peu long, un peu particulier, un peu frustrant pour moi et visiblement jouissif pour Madame.

Comme pour les lecteur, qui y prennent visiblement beaucoup de plaisir aussi …

 

Les femmes en particulier, ont l’air d’apprécier le traitement prodigué par Madame et semblent épatées par la possibilité d’éclater une bite en la faisant  exploser très vite. Seraient-elles en fait plus voyeuses que les hommes ?

Toujours est-il que 23 mars, cela fera trois semaines que nous n'aurons pas eu de relation sexuelle.

Madame me claque sérieusement les couilles et la queue une à deux fois par semaine, au gré de ses humeurs. Ca l’amuse et moi, je profite de ce qui est devenu notre petit instant d’intimité, donc je fais avec, en me disant que le moment venu, la récompense sera grandiose.

Elle me trait de temps en temps et, comme vous le savez, m'a demandé dernièrement de me vider 5 fois par jour, en moins d’une minute.

Je m'attendais à ce qu'elle me remette en cage après ce traitement de choc, pour bien me frustrer et jouir de ma complainte de Mâle en rut.

C'est débile, mais quand elle a des envies, des pulsions qui d'ordinaire devraient se transformer en câlins crapuleux, elle me frappe maintenant les couilles avec le plat de sa main :

- "arrêtes de me regarder comme cela !" ;
- "non tu n'auras rien " ;
" Viens par ici ... " ; j'ai alors la bite au repos, elle cogne, claque, malaxe sauvagement ; ça gonfle, et elle me regarde en riant : c'est tout !!! "

Dimanche matin (le 8 mars donc), elle m'a de nouveau administré une traite de la bite, appuyée de coups dans la prostate et les burnes.


C'est devenu un rite. Presque une torture. Mais un plaisir contradictoire de douleur et de bonheur ;

Une frustration autant qu’une satisfaction.

Comme c'est tout ce à quoi j'ai droit, je profite et me concentre de ces moments d’attention de Madame à mon égard, tout en négociant avec elle des rapports sexuels normaux, ou lui dire ce dont j'aurai envie, lui faire des propositions crapuleuses.

Elle aime tout savoir de ce qui anime son Homme, de ses envies, de ce qui l’excite, de ce qu’il voudrait...

C'est ça qui la motive en fait. C'est une voyeuse,  je le sais maintenant de manière certaine.

Dimanche 8, c'est donc elle qui m'a réveillé alors que nous nous étions endormis dans les bras l'un de l'autre.

A petits coups de genoux dans les couilles d'abord ; puis avec des coups plus francs.

 

J’ai senti qu’elle avait une furieuse envie de me défoncer, c’était palpable : elle avait envie d’y aller franco, de m’éclater les couilles et de m’emmener très très loin dans la soumission de ma pauvre paire de bourses à sa volonté de femelle en rut.

J’ai tenté de faire diversion et lui ai dit que j'avais envie d'elle, lui ai proposé des positions, des trucs, lui ai dit que je n'en pouvais plus.

Qu ma bite devenait folle, bandait sans raison à des moments sans rapport avec la sexualité, mais ne bandait plus le matin, ou quand je me colle à elle : une sorte d'interdiction morale qui commence à fonctionner.

Elle m'a glissé à l’oreille voulait que je ne bande plus sans son autorisation, voulait tout savoir, tout contrôler.

 

Je lui ai rappelé que je n’en pouvais plus, qu’elle m’avait déjà mis en cage, trait, défoncé, demandé (et obtenu) que j'éjacule en moins d'une minute, sur commande ; que tout ceci finissait par me rendre dingue, que je ne contrôlais même plus mes pulsions ni mes envies comme avant.

Je le lui ai donc dit combien j’étais défoncé, mais dans ma tête l’esprit complètement tordu par tant de frustration morale, espérant une réaction de sa part.

Je l'ai eue ma réaction, sous cette forme : "c'est normal, c'est moi qui commande ; ta queue m'appartient, et ce n'est que le début mon chéri, il va falloir que tu t'y habitues... C’est ce que tu voulais, non ? Tu n’imagine comme je prends mon pied comme jamais à commander ta queue et surtout tes couilles. Je n’ai jamais été si heureuse "

Madame m'a fait remarquer que je ne parvenais pas encore à lui obéir sur toute la ligne : " tu n'es pas capable de jouir par la seule sollicitation de tes couilles ; je le regrette profondément : c'est donc que tu n'es pas encore mûr mon chaton, tu dois encore être entraîné vers des sommets plus hauts ", me dit-elle dans le creux de l'oreille.

Allonges-toi et écarte bien tes jambes, on va t'entraîner comme il se doit !!!

Ses yeux pétillaient comme rarement, elle était heureuse rien qu’à l’idée de jouer librement et sans retenue de son Homme. C’est ça qui est bon, de la voir ainsi épanouie, si plaine d’envie, elle qui ne manifestait quasiment jamais rien avant…


Elle m'a aussitôt repoussé d'un coup et, se collant à moi sur le côté de manière à avoir le pied gauche en mesure de me shooter proprement les couilles, a commencé à me latter les burnes en m'embrassant dans le cou. Contraste saisissant !!!

"Dis-moi ce qui t'excite en semaine, quand je ne suis pas là, allez, dis-le-moi, espèce de gros porc !!!

Elle m'a tapé à coups de pied dans les couilles pendant une bonne dizaine de minutes, pendant que je lui ai résisté, puis avoué que rêvais de son cul, de ses hanches, de ses jambes, de son odeur, que je mourrais d'envie de lui manger l'abricot d'amour, d'aspirer son capuchon magique, de lui mettre mes doigts, tandis que ma queue interdite restait en cage ;

Je lui ai dit que j'avais envie qu'elle me chevauche équipé d'un baillon-gode, moi en cage de chasteté, les couilles éclatées pendant qu'elle prenait son pied à se défoncer sur ma face de porc.

"C'est bien mon Chéri, tu commences donc à plus penser à moi qu'à toi, c'est parfait"

 

« Mais les autres, il t’arrive bien d’avoir des flashs quand tu croises une femme qui t’attire, frustré comme tu es, ça doit  être terrible, avec ta bite toute déréglée et tes couilles gonflées comme des ballons, n’est ce pas, racontes-moi !!! »


" Tes couilles m'appartiennent et je vais les faire gonfler jusqu'à ce que tu deviennes capable de jouir sur commande, pour mon seul plaisir de te voir cracher pour moi, quand je le décide ... "

Elle s'est écartée légèrement, redressée, puis assise en tailleur à côté de moi, comme elle le faire pour avoir plus de force, « là tu es à ma pogne, je vais pouvoir bien te donne et toi tu vas prendre, accueillir, désirer, jouir et espérer, tandis que je vais taper. J’ai envie de taper !!! Ecartes encore tes jambes, donnes-les moi. Je vais te taper ».

Et oui, elle me claque les couilles avec sa main à un rythme d’entrée de jeu complètement dément, qui me fait me tendre comme un arc pour encaisser la douleur.

 

Elle règle les impacts et leur force, mais pas le rythme. C’est Rio jour de grand Carnaval…

Puis, la pluie de coups devient irradiante et envahit la zone d'impact. Celle-ci est comme gonflée pour résister aux coups et j'atteins  le fameux effet de plateau à partir duquel il est possible d'encaisser des coups assez violents dans les couilles en en ressentant du plaisir.

 

Toute la zone prostatique et génitale devient comme une éponge gorgée de sang, une vulve gonflée et excitée qui réagit en répondant aux coups par de nouveaux gonflements, rendant l’ensemble ultra sensible, quasi orgasmique.

C'est ça qu'elle aime. Et elle parvient maintenant à me mettre dans cet état en quelques dizaines de secondes à peine, m’emmenant ensuite vers des sommets que je croyais pas possibles ; ça là qu'elle prend son pied  et que je suis fier de la satisfaire.

"C'est bien mon chat, tu commences à être bien dressé, on va pouvoir travailler et t'exploser la bite, allez, branles-toi vite, rien que pour moi".

Je réponds que non, comme toujours, car c'est le genre d'éjaculation forcée qui est vraiment mécanique et qui vous laisse frustré à mort, la bite ayant aussitôt envie de rebander mais ne le peut plus, et de jouir pour de vrai, mais ne peut plus non plus, les nerfs étant trop fatigués d'avoir vibré si fort.

Une vrai torture, un vrai plaisir.

Quand elle accélère le rythme ou engendre une fréquence saccadée, qui casse le rythme et les pulsions de ma zone génitale, c'est insupportable et je me  branle généralement pour mettre fin au supplice, avec son autorisation, ou à sa demande, c'est selon.

C'est généralement là qu'elle me finit en me Dé-fon-çant sans pitié, et le pire, c'est que plus ça va, plus je pars vite.

Aurait-elle donc raison quand elle dit qu'elle arrivera bientôt à me traire par simple pression sur les couilles ?

Toujours est-il que dimanche, elle s'est arrêtée d'un coup sec.

La bite tendue à mort, les couilles en position "Machu-Pichu" (c'est-à-dire au niveau du plateau le plus élevé du monde) et frustré comme JAMAIS.

"Tu as aimé te branler 5 fois par jour ? Ca t’a plu ?"

Je ne savais pas quoi répondre...

« Et bien cette semaine tu es libre. Mais je ne veux pas que tu te branles. Tu dois rester intégralement chaste, obéir et rester sans cage, sans obligation, mais sans te toucher. »

En revanche, quand ta bite ou tes couilles se rappellent à toi, je veux que tu m'envoies un SMS aussitôt avec le sujet ou la raison de cette manifestation de testostérone, mon petit cœur.

Je contrôle ta sexualité, n'oublies pas. TOUTE ta sexualité.

Et je veux savoir chaque chevelure, chaque robe, chaque botte, chaque paire de jambe ou de sein, chaque pensée qui te fait bander ou t'excite.

Nous ferons le tri ensuite, le 23 mars par exemple....

Le 23 mars, cela fera 3 mois sans AUCUN rapport sexuel. (rapport normal, coït etc…, je veux dire)

Et pour un Gros queutard comme moi, c'est énorme, insupportable.

Le pire, c'est que j'ai immédiatement rebandé comme un âne à entendre ses propos si déplacés  dans sa bouche de petite fille sage.

"Mais tu bandes ? C'est très bien, alors à moi d'être cajolée, masses moi le dos, les reins et les fesses, tu banderas pour quelque chose !!!"

La semaine a ensuite été très instructive, tant sur le plan des statistiques que sur le plan des sujets de domination qu'elle en a tiré.

Me voilà donc à nu, prisonnier de ma propre imagerie fantasmatique, obligé de la lui livrer sans retenue.

Et tous mes sujets secrets sont désormais connus d'elle.

Ce qui fera l'objet d'un prochain article.

Ce que je peux vous dire, c'est  que cette expérience de liberté surveillée, après les traites imposées, la cage de chasteté masculine, les cockring serrés et les coups répétés dans les couilles, est sans doute la pire.

On ne veut pas décevoir Madame et on tient ; et on se livre, et on a honte, et on se trouve, paradoxe suprême, de plus en plus de sujets d'excitation au fil de la journée, qui devient une longue course d'observation des sensations de la bite, un peu comme si elle était sollicitée H24 avec le soucis de tout noter, comme un conservateur de musée ou un flic en planque.

Et l'ensemble de ces notes s'auto alimentent et vous amène à ne plus penser qu'à ça, toute la journée, avec la queue et les couilles qui se raidissent sous "l'effet mémoire" des précédentes séances de d'amour partagé avec Madame, lesquels sont,  comme vous le savez, depuis presque 3 mois, des entraînements à éjaculer au plus vite sous les coups ou l'astiquage intensif de bite.

Cela m'a fait bizarre quand j'ai commencé à fantasmer sur une paire de botte qui marche dans la rue et l'envie de jouir dessus tout de suite.

Ou de jouir sur une paire de fesses devant vous dans un ascenseur.

Ou d'être en arrêt devant une jolie femme ronde et d'avoir envie de me faire sucer en tirant les couilles vers le bas, comme le fait Madame : clac clac clac, de trois coups sec, et ça part, la Dame disant « une belle bite, mais rapide le Monsieur, hein, fragile avec ça !!! ».

Avant, j'aurai eu envie de les baiser et de jouir du spectacle de leurs orgasmes  assurés sous mes coups de bite, fier et sur de mon endurance habituelle, et donc sur de moi avec les femmes.

Là, je lui ai tout dit.

Elle sait tout.

Je suis sa chose, son objet, sa machine à cracher, sa pompe à sperme et elle me défonce non plus seulement la bite les burnes, mais carrément le cerveau ; à coup de fantasme, autant que les couilles à coup de pompe...

Il s'agit à n'en pas douter d'une Cage de Chasteté d'un genre nouveau, psychologique, mais d’une très grande puissance et d'un  genre si agréable.

 

Je suis en liberté, surveillé étroitement, j'y prends du plaisir, suis excité en permanence.

 

Elle m'a placé dans une situation de "Cage Psychologique" dont je n'avais vraiment mesuré l’efficacité ni les conséquences sur l'évolution de nos rapports amoureux.

 

Je l'aime.

 

Smartbeat


Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Jeudi 5 mars 4 05 /03 /Mars 10:29

Le symbole de l’URSS était la faucille et le Marteau ?

 

Chez nous, cette semaine, ce sera la Cage et le Marteau !!!

 

Dimanche soir, elle m’a demandé si j’avais apprécié le programme de la semaine, si j’en avais bien profité, « mon gros cochon ».

 

Je lui ai dit que c’était très difficile et que les éjaculations sont devenues mécaniques et frustrantes.

 

Comme quelque chose qui vous échappe et que je ne reverrai peut-être jamais.

 

Je lui ai dit que ma prostate était visiblement devenue très réactive et comme détachée du reste de mon corps : elle se met à grossir, puis expulse mon sperme sans qu’il n’y ait plus de lien logique avec l’excitation ou la bandaison.

 

Elle sait très bien à quoi cela correspond, car au début de notre rencontre, je lui avais appris toutes les techniques possibles pour satisfaire une queue : appuyer à la base du pénis en faisant monter et descendre la pression grâce à des appuis conjoints sous le scrotum, au niveau de la prostate, elle voit donc très bien ce que je veux dire.

 

Pendant son absence, j’ai fait quelques travaux dans la maison et, dans la douche, j’ai laissé les outils nécessaires sortis. Parmi ceux-ci, une masse – un gros marteau bien lourd en somme.

 

Elle m’a dit que « ça lui donnait des idées pour ce soir ».

 

J’ai cru qu’elle plaisantait.

 

Mais non, elle m’a proposé un nouveau petit programme :

 

Je m’allonge sur le dos, jambes relevées, périnée bien  en évidence, ce qui fait remonter les bourses.

 

Elle utilise ensuite la masse de cette manière :

 

Tenue au bout du manche, masse contre mon périnée, elle remonte un peu vers les couilles,  puis avance le manche.

 

Elle fait remonter la masse à 90 degrés, puis la laisse retomber sur mes couilles et ma prostate.

 

Relever les jambes fait ressortir cette dernière et le choc de la masse expulse le sang et je ne sais quoi d’autre vers la verge qui se raidit et grossit un éclair.

 

Cela donne une érection forcée, pas naturelle et ça lance grave derrière les couilles, au niveau de la prostate, qui fait le yoyo pour retrouver ses esprits.

 

Ca l’a beaucoup amusée.

 

Et j’ai eu droit à ce traitement tous les soirs depuis Dimanche.

 

Comme la BirdLocked n’est toujours pas arrivée, elle m’a remis en Cage. La CB6000 cependant.

 

Chaque matin, je dois lui demander la clef pour ma toilette et elle reste à mes côtés pour me regarder éjaculer.

 

Je suis désormais toujours à moins d’une minute.

 

Le soir, c’est la même chose avant de nous coucher, mais dans cet ordre :

 

Marteau, retrait de la cage, branlette, retour en cage pour la nuit.

 

Les sensations de la queue qui se comprime d’un coup dans la cage de chasteté sont assez uniques. Insupportables et délicieuses.

 

La mémoire des coups est très forte et dure longtemps.

 

Donc les nuits sont infernales, car la bite veut bander d’autant plus fort que la prostate continue en quelque sorte de gonfler dégonfler  longtemps après qu’elle n’a plus été sollicitée par la masse.

 

C’est même plus fort comme effet que les coups dans les couilles.

 

Ce qui arrive de toutes façons car le manche de la masse les comprime aussi et parce qu’elle s’arrange pour que la masse retombe en ne les épargnant pas.

 

Je pense que la notion d’homme objet prend tout son sens avec ce genre de jeu partagé.

 

Je ne sais plus où j’habite !!!

 

Je n’ai pas eu droit à un seul baiser.

 

Deux soirs elle m’a demandé de me mettre à quatre pattes, la tête entre ses jambes et de regarder sa chatte, à laquelle je n’avais pas droit de toucher, juste la respirer.

 

Elle l’a écartée bien large, pour que je l’admire.

 

Elle a décapuchonné son clitoris, tiré sur ses petites lèvres au maximum.

 

Elle n’a pas tardé à s’humidifier, abondamment, là, sous mon nez, rien qu’en tirant sur ses lèvres.

 

J’ai approché ma tête, qu’elle a repoussée : « tire la langue, rien que la langue, tire la langue bien pointue » m’a-t-elle demandé sur un ton qui n’appelait pas de commentaire.

 

« Laisse la pointée. Je veux que tu suives les mouvements de mes doigts avec, dans le vide.

 

Tu n’es qu’un gros chien. Un Gode Humain. Un homme objet. Une pompe à sperme. Tu mérite ta cage car tu n’es qu’un porc. Demain tu remettras la petite. Je veux que sentes qui décide à chaque instant de la journée.»

 

Et pendant ce temps là, elle s’est astiqué le bouton du bout du doigt.

 

« Regarde comme elle est ouverte, regarde comme elle veut de la queue, tu vois comme elle est gonflée, tu la sens, elle coule de bonheur et toi, tu n’auras rien. Rien que des couilles explosées. Tu n’es qu’un chien.

 

Elle est partie dans un long râle révélateur, prenant son pied de me frustrer un peu plus, et s’est endormie aussitôt, me laissant la bite et la tête douloureuse, elle aussi en quelque sorte dans ma cage.

 

C’était mardi soir, le 3 mars.

 

Hier soir, mercrdi 4 mars, elle m’a refait le coup du Marteau et de la Traite, puis de la cage.

 

Plus tard, vers 23h30, elle a de nouveau joué à me claquer les couilles à coups de poing légers sous ma cage, jusqu’à plus soif.

C'est fou ce que j'arrive à encaisser maintenant.

 

Puis elle a repris le marteau pour une nouvelle "séance d’entraînement de la prostate" (ce sont ses mots), avant de me laisser enfin récupérer le sommeil.

 

 

Ce traitement, couplé au port de la CB2000, ça vous remonte tout le paquet et vous vous sentez vraiment inutile, impuissant, mais tellement heureux, tout simplement parce qu’on s’occupe de vous.

 

Elle a maintenant vraiment pris le contrôle et je ne sais pas où ça va s’arrêter.

 

Mais je sais désormais quel est le drapeau sous lequel nous nous rangeons ddésormais Madame et moi : La Cage et le Marteau !!!

 

Smartbeat

 

 

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mardi 3 mars 2 03 /03 /Mars 06:54

De retour de week-end, toujours encagé, j’ai ouvert l’enveloppe d’instructions que Madame a préparé pour moi. C’est bref, net et sans appel :

 

« Ce soir, tu demeureras seul pour une semaine.

Tu seras bien sage et conserveras ta cage de chasteté jusqu’à mercredi matin.

Tu viendras ensuite 5 fois par jour : au réveil, avant et après le déjeuner, le soir et au coucher.

Tes exploits dureront moins de 2 minutes et tu m’en adresseras les vidéos.

Je  veux connaître les pensées sur lesquelles tu t’es concentré.

Profites bien de ces quelques jours de liberté (surveillée).

Je t’aime. »

 

Je me suis exécuté.

Le plus dur ont été les quelques jours de cage.

Toujours très difficile à supporter les premiers jours. Elle le sait et c’est ça qui lui plait : les efforts pour contrôler les érections et les couilles qui tirent, ça lui provoque un sourire entendu sur le visage, mélange de satisfaction, de fierté et de lubricité que je ne lui connaissait jusqu’il y a peu, avant l’orgasme.

C’est signe qu’elle se lâche et c’est pour moi une grande satisfaction que de la contenter ainsi.

La CB2000, montée très serrée a été difficile à supporter.

Je crois que la taille de mes testicules a augmenté et il faudrait que j’adapte un anneau pelvien  plus large.

J’en ai parlé à Madame qui s’est contentée de répondre à mon sms ceci : « très bien comme ça, pour quelques jours, sauf si ça te gène vraiment en journée. Tu es mon Homme Objet et j’aime que tu ressentes cette condition dans ta queue. Fais des efforts ».

 

Mercredi 25 février :

 

Relâché de ma cage dès 4h34 du matin mercredi, j’ai craché quatre fois sur cinq en moins de deux minutes.

 

La première éjaculation a été douloureuse, brûlante et sans plaisir. Mécanique.

Je me suis concentré sur l’image de la fourche de son entrejambe de cuir qu’elle me faisait lécher au travers de son pantalon cigarette en cuir tandis que j’étais en cage.

J’ai été saisi par le sperme qui a jailli d’un coup sec, sans plaisir, comme désynchronisé.

 

Ma bite n’a pas sa taille habituelle après l’enfermement et comme toujours, les sensations sont étranges tant qu’elle n’a pas retrouvé ses marques.

 

C’est ainsi que je me suis concentré avant le déjeuner, tout seul au toilette, avec mon téléphone pour seul témoin.

En repensant à la fois où elle m’a littéralement décollé la bite avec la pompe à vide.

Je crois que j’aime quand elle s’occupe de ma queue, même quand ça me défonce la bite ou les couilles.

Je crois même que je ne jouis plus pareil si je ne suis pas contraint.

D’ailleurs, j’ai même du mal à jouir si je ne suis pas ficelé dans mon cockring ou encordé.

 

Après déjeuner, pas réussi à éclater.

Deux minutes, c’est trop court. Et j’ai eu du mal à me concentrer dès le départ. De sorte que, à deux minutes, j’étais chaud, mais c’était  déjà trop tard. J’ai eu du mal à trouver un sujet sur lequel me concentrer.

C’est une leçon : pour jouir vite, il faut se concentrer avant de commencer les opérations « mécaniques ».

Il faut avoir une sorte de « boîte à outil » d’images érotiques prêtes à tout moment pour soutenir l’érection et l’éjaculation ensuite.

 

Le soir, ça a été plus facile : j’étais déçu de mon échec du midi et j’avais envie de me tirer sur la queue.

Le plus dur est d’y arriver dans le temps imparti : deux minutes, quand on est seul c’est très court. Mais j’ai repensé à ces femmes dominantes que j’avais tant aimé à l’époque où je me branlais seul devant mon ordinateur tandis qu’elle dormait dans la chambre.

Ma préférée était Madame Christine de OWK (Other World Kingdom).

Quand elle fouette un mec, il doit devoir attendre quinze jours pour pouvoir s’asseoir : un délice !!!

 

Avant de me coucher, j’ai repensé à la fois où Madame m’a défoncé les couilles à coups de genoux, face à moi, tout en me roulant une pelle d’anthologie.

Elle était déchaînée et m’a vraiment dominé physiquement.

J’ai été mis carpette et ça m’a plus car j’ai senti qu’elle prenait vraiment les choses en main.

 

Jeudi 26 février :

 

5 éjaculations sur 5.

 

Au réveil, j’ai joui en moins d’une minute : j’avais une gaule d’enfer et envie de frotter ma bite entre ses fesses, comme au début qu’on s’est rencontrés. Elle aimait bien sentir mon frein s’écraser à l’entrée de son anus, mais dans l’angle du haut, sans que ça puise rentrer.

Sous la pression je jouissais parfois ainsi, sans la pénétrer. En y repensant, je m’aperçois que déjà, elle trouvait des astuces pour ne pas me frustrer tout  en se refusant à moi.

De toutes façons, j’étais excité et j’ai craché comme un adolescent lors de sa première branlette.

Débile et humiliant.

Je lui ai dit et elle a beaucoup aimé.

 

Avant déjeuner :

J’ai repensé à la fois où elle m’a claqué les couilles avec la grande cuiller en bois qu’elle m’avait mandé quérir dans la cuisine.

Ca m’a mis en condition. Mais c’est en repensant à Madame Christine tout en cuir et fouettant un soumis attaché à un pilori jusqu’au sang avec une fine en baguette de bois que j’ai lâché la purée, vers 1mn 23.

 

Après déjeuner :

J’avais l’esprit échauffé par ma cliente.

A un détour de la conversation, elle a évoqué des miroirs installés au plafond alors que nous stigmatisions ces hommes qui ne pensent qu’à ça et qu’à eux.

Je penses depuis quelques temps qu’elle est dominatrice. Pleins de détails militent en cette faveur.

C’a m’a fait repenser à la croupe avantageuse de Madame et à la finesse de ses jambes et de sa taille. Le contraste est saisissant.

Et j’ai repensé aux fois où je la prenais comme une bête en levrette, à l’extrême cambrure de son dos pour bien me sentir sur son point G. Elle appelait cela « faire un coude » et moi, ça m’éclatait le frein, ce qui me permettait de jouir plus vite.

Sauf que souvent, elle me demandait d’arrêter avant, n’en pouvant plus. Et moi je restais la queue à la main.

Aujourd’hui, je lui aurais défoncé la chatte sans m’arrêter bien volontiers.

J’avais envie de lui éclater la moule comme une bête.

J’ai claqué à 53 secondes.

 

Elle m’a répondu du tac au tac : « N’y comptes pas de sitôt. La prochaine fois que tu me prendras par derrière, ce sera avec un gros poids aux couilles et verra si tu fais le malin. Bravo pour le temps : tu deviens bon !!! Continues car ça pourrait bientôt devenir la norme… »

 

Le soir :

J’avais envie de sa langue sur la mienne.

Je me suis concentré sur cette image et j’ai joui en 1mn03.

« Ta langue ? Un bel outil sur mon petit bouton. Rien de plus. »

Je me suis retenu de me rebranler aussitôt tellement j’étais excité.

Mais je sais que je ne serais pas parvenu à jouir en moins de deux minutes immédiatement après une première éjaculation.

J’ai retrouvé des sensations normales dans ma bite, qui reprend peu à peu sa taille normale en érection.

 

Au coucher :

Je n’en pouvais plus.

La bite en feu et fatiguée. Pas d’idée, mais une obligation, un automatisme, j’ai commencé à me tirer sur la queue sans y croire.

J’ai l’impression d’être une sorte de prisonnier. Mais il faut que je jouisse.

J’ai cherché en vain un sujet d’excitation. J’ai pensé à elle.

Elle m’est apparue en tenu équestre. J’ai eu envie de lui offrir de nouvelles bottes en cuir.

Et de me branler dessus.

C’est parti d’un coup ; presque sans jouissance. Je suis venu en 1mn12.

Beau score car je n’avais aucune envie au départ.

Frustré à mort, j’avais encore envie de me branler.

J’ai demandé l’autorisation.

La réponse fût très claire : d’accord pour les bottes en cuir.

Tu attendras demain pour la prochaine séance de Traite.

Ce mot m’a remis en état d’extrême excitation.

Décidément, je ne contrôle plus rien.

Je le lui ai dit et elle m’a répondu. Penses à ce mot quand tu te branles pour moi.

C’est tout ce que tu mérites.

 

Vendredi 27 février :

 

Au matin ; j’ai pensé à la « Traite » du matin et j’ai craché à 32 secondes : mon record !!!

Le matin, c’est plus facile, je me réveille déjà excité et dur.

Mon érection a d’ailleurs repris de la largeur et mon sexe doit de nouveau être à sa taille normale. Je le sens de nouveau lourd dans ma main.

Je lui ai dit. Et ce qu’elle m’ répondu est hallucinant pour une petite bourgeoise coincée comme elle.

Elle m’a demandé de le filmer pompé avec la pompe à vide à 100 g pendant 1 minute, puis 200g puis 300g puis 400 g avec trente secondes de pause entre chaque session.

 

« 500g et au-delà c’est pour moi donc tu t’arrêtera là ».

 

Au delà !!! Amis c’est impossible, c’est un coup à exploser la queue ;

Tiens, il faudra que je regarde sur le net à combien on peut pomper une bite sans danger, car je suis certain qu’elle a déjà vérifié.

Je sais qu’elle aime me mettre un maximum de pression dans la queue.

Mais là, tout seul, à distance, après la cage et le traitement de traite actuel, il est certain qu’elle a pris la main et que je ne suis plus aux commandes. Je l’aime.

 

Avant déjeuner :

 

Très difficile.

J’ai craché à 2mn 03. Au-delà du contrat…

C’est parti bizarrement.

J’étais concentré sur ses pieds parce qu’elle m’a dit par sms qu’elle aurait envie que je les lui masse et les embrasse.

J’ai branlé mon manche comme un dingue.

J’ai trouvé une technique qui permet de cogner les couilles en même temps que je m’astique : il suffit de branler très fort et en rythme. Les couilles se balancent alors dans un mouvement de montée-descente inverse à la course de la main fermée sur la hampe.

Lorsque la main descend à grande vitesse, elle vient claquer les couilles qui remontent.

C’est une sensation proche de celle ressentie quand elle me branle en me claquant les burnes.

J’ai joué ainsi quelques longues secondes, certain de contrôler le moment où j’allais craché vers 1mn20. J’avais encore du temps alors j’ai profité de ma branlette.

Mais j’ai laissé retomber la pression alors que les coups dans les couilles m’ont mis en état de « plateau », de sorte que quand il a fallu faire péter la bite, j’ai eu du retard.

Et à 1mn50 j’étais pas prêt. C’est vers 1mn 57 que ça s’est amorcé, oint de non retour dépassé mais c’est parti après de 2mn. C’est aussi la conséquence de l’effet plateau.

 

Je lui ai envoyé la vidéo avec le commentaire, comme à chaque fois, mais en justifiant le décalage, visible sur la vidéo en expliquant que c’était « parti »avant 2mn mais que le sperme n’a jailli qu’après.

Aussitôt, elle m’a répondu ceci : « Tu as dépassé le temps. Tu y retourne de suite et tu craches aussi vite que possible. J’attends. »

 

J’y suis retourné, honteux car j’ai croisé deux fois la même collègue dans le couloir alors que j’entrais dans les toilettes. Gênant…

J’ai pensé à ma cage. Aux massages qu’elle aime recevoir ; J’avais envie de son cul.

J’ai joui en 35 secondes. Trois minables gouttes. Mais j’ai joui.

 

Le soir :

 

J’ai mal à la bite.

Mais c’est bon, car je sais qu’elle aime mes rapports.

J’avais envie de son cul. De sa chatte. J’étais en cage et elle me libérait.

Elle me tirait le couilles vers le sol pendant que je me branlais devant elle, honteux…

C’est parti à 57 secondes.

A peine quelques gouttes.

Il ne s’agit plus d’éjaculations à proprement parler. C’est plutôt un petit crachat.

J’avais des dossiers à finir et je suis vite passé à autre chose.

 

Au coucher :

 

J’ai eu envie de lui offrir une tenue en latex. Je sais qu’elle n’aime pas trop.

Mais j’ai imaginé son cul « d’africaine blanche » moulé dans une tenue intégrale tout en latex noir, avec des bottes à très hauts talons.

Elle me demandais de lui lécher le cul.

Puis ses bottes me branlant.

J’ai craché en 1mn43.

C’était bon !!!

Je me suis couché en fantasmant sur une tenue à offrir ma Princesse.

Je suis son chien et je me branle comme un porc pour elle.

 

Demain, je vais la chercher à l’aéroport à 15h00.

Mon supplice va bientôt finir, c’est sur !!!

 

Samedi 28 février :

 

Le grand jour : elle rentre avec les enfants.

Ils me manquent tout autant qu’elle.

Je pense à eux et j’ai donc du mal à me concentrer.

Je me dis qu’il faut honorer la traite.

Je suis son objet, sa fontaine, comme elle lorsqu’elle coule entre mes doigts et sur ma langue.

Cette sensation m’a excité et j’ai joui en 53 secondes.

C’était cool car purement mécanique. J’avais la sensation que j’avais encore plein de réserve pour les branlettes suivantes.

Je lui ai dit que j’étais pressé de les revoir.

 

La réponse fût étrange : «  tu te branleras deus fois à l’aéroport : en arrivant et après nous avoir récupéré. Tu filmes tout et tu jouit à partir de maintenant en moins d’une minute trente ».

 

1mn30 !!!

 

C’est jouable, mais de 12h00 à 15h00, ça fait une éjaculation par heure et je crois que ce n’est pas possible. Et je repense à ma queue qui me fait mal et devient une sorte d’objet distinct de ma personne.

Il se passe alors un truc bizarre : repenses à ce challenge et je suis de nouveau excité. Je ne vois rien au niveau de ma queue, mais dans ma tête, je suis déjà à la branlette du midi.

J’en ai envie.

 

Midi :

 

 36 secondes !!! Record éclaté !!!

 

J’attends ce moment depuis le matin.

Je me concentre sur son genou et son pied, ses bas et ses chaussure. Des baskets, toutes simples, mais, elle les appuies sur mes couilles pendant que je branle au-dessus de la cuvette des toilettes.

Cette pensée suffit à ma faire jouir : conditionné, je ne ressens rien de particulier, mais ça crache, pas grand chose, mais ça crache, comme une pompe détachée de mon individu.

 

36 secondes !!!

 

Ca me fait peur de ne plus contrôler ma bite.

Car c’est bien ce qui est en train de se passer.

Sans aucune considération ni pensée pour les périodes d’abstinence antérieures ou à venir avec la nouvelle cage commandée.

Je ne craches plus pour moi, mais parce qu’elle le veut.

Et je filme comme un bon petit mari bien obéissant. Et je commente avec les sujets qui m’ont aidé à cracher.

Lesquels sont depuis  quelques jours à peine : lui obéir…

Certes, je trouve des images érotiques qui m’aident à me concentrer, mais le fait est là : je ne branle plus pour jouir, mais pour elle. Parce qu’elle le veut.

 

14h30 : j’arrive en retard à l’aéroport.

 

Les embouteillages de fin de vacances me mettent dans une situation difficile : comment jouir deux fois en moins d’une heure d’intervalle et en moins d’1mn30, dans un lieu public dégradant qui plus est ?

Je n’en sais rien.

On verra bien…

Je me précipite aux toilettes sitôt arrivé et je dégaine.

J’ai croisé une hôtesse de l’air blonde et dont les jambes étaient montée sur des talons qui m’ont bien plu.

Mais rien à faire, pas d’érection.

J’ai donc appliqué la technique consistant à appuyer à la base de la verge pour la faire grossir.

Rien à faire.

J’ai pensé à la « traite obligatoire et aux pieds de Madame que j’allais devoir masser bientôt.

En moins de 20 seconde, j’ai durci et craché.

Purement mécaniquement en pensant à Madame.

Et j’ai peur de ne pas pouvoir à son arrivée.

 

15h30 : L’avion a du retard. Tant mieux !!!

 

16h00 : ils sont là, elle est superbe. Jean moulant et chemisier quasi transparent laissant apercevoir en transparence ses jolis dessous et la taille opulente de sa poitrine.

Elle porte un sautoir qui contraint l’œil à glisser dans son décolleté. Elle est habillée, mais on la voit nue.

 

Je n’ai droit qu’à un « smack » après avoir pris les enfants dans les bras (etc…)

 

« On va aux valises. Tu nous rejoins ? » me dit-elle d’un air ferme et résolu, la bouche en cœur, tout en me tendant un de ses gants violet en cuir fin, assortis à son sac, ses chaussures et sa ceinture. La classe, c’est une déesse.

 

« Papa en a pour moins d’une minute », conclut-elle à la cantonade…

 

J’y vais et je sens son gant avant même d’arriver aux toilettes ;

Il sent son parfum, c’est poivré et poudré. C’est fort. Elle sait que je suis vide et elle veut que je vienne en moins d’une minute.

Et j’y arrive.

Je crache rien, mais j’y arrive. Son gant me fait penser à son entrejambe et j’ai envie de blottir ma tête sur son entrejambe interdite et de sucer comme un fou.

C’est mécanique et sans plaisir.

Mais le pire, c’est que c’est précisément ça qui me  fait jouir : j’arrive à cracher de manière mécanique pour  satisfaire ses envies et son bon plaisir.

Je les retrouve bien vite et dit à la cantonade à mon tour : « voilà, papa en eu pour à peine 49 secondes ».

 

La suite est familiale et sans intérêt.

 

Sauf qu’arrivé à la maison vers 17h30 et après avoir déballé les réjouissances des valises elle m’a demandé vers 18h00 de « devancer l’appel pour une minute ».

Il faut dire que je lui ai dit, sans qu’elle ait l’air d’y accorder la moindre importance, affairée au rangement des affaires (auquel je participe, mais ça a toujours été ainsi), que cracher devenait purement mécanique, pour peu que je trouve une image sur laquelle me concentrer.

 

« Je n’ai pas besoin de répéter. Profites-en, tu ne pourras peut-être plus tout à l’heure… Mon chéri !!! J’ai très envie que tu me masses les seins»

 

J’y suis allé en pensant à ses seins. Mais c’est en repensant au cuir de ses gants que j’ai enfin bandé. A grand peine.

Ma bite me brûle de l’intérieur, comme les muscles contractés d’un sportif qui aurait fait un effort intense.

Et je penses à la « Traite » demandée.

Ca part, automatique, comme les fois  précédentes.

En 57 secondes.

Je suis bien dressé, je chronomètre mes branlettes.

J’aurai jamais cru.

 

J’ai honte, mais je suis heureux de partager ce secret ave elle.

Sait-elle seulement combien il est difficile d’embrasser un tel parcours pour un queurad comme moi ?

 

Sûrement, et je l’aime tant !!!

 

Vous verrez que le programme n’est pas terminé …

 

La suite bientôt !!!

 

Merci de vos suggestions et bon plans.

 

Madame a trouvé plein d’idées dans vos commentaires et sites « amis » pendant les vacances.

 

Cordialement,

 

Smartbeat

 

Par Smartbeat
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