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Jeudi 12 mars 4 12 /03 /Mars 08:35

Bonjour à tous,

Et de nouveau merci de votre intérêt pour notre blog.


Un peu long, un peu particulier, un peu frustrant pour moi et visiblement jouissif pour Madame.

Comme pour les lecteur, qui y prennent visiblement beaucoup de plaisir aussi …

 

Les femmes en particulier, ont l’air d’apprécier le traitement prodigué par Madame et semblent épatées par la possibilité d’éclater une bite en la faisant  exploser très vite. Seraient-elles en fait plus voyeuses que les hommes ?

Toujours est-il que 23 mars, cela fera trois semaines que nous n'aurons pas eu de relation sexuelle.

Madame me claque sérieusement les couilles et la queue une à deux fois par semaine, au gré de ses humeurs. Ca l’amuse et moi, je profite de ce qui est devenu notre petit instant d’intimité, donc je fais avec, en me disant que le moment venu, la récompense sera grandiose.

Elle me trait de temps en temps et, comme vous le savez, m'a demandé dernièrement de me vider 5 fois par jour, en moins d’une minute.

Je m'attendais à ce qu'elle me remette en cage après ce traitement de choc, pour bien me frustrer et jouir de ma complainte de Mâle en rut.

C'est débile, mais quand elle a des envies, des pulsions qui d'ordinaire devraient se transformer en câlins crapuleux, elle me frappe maintenant les couilles avec le plat de sa main :

- "arrêtes de me regarder comme cela !" ;
- "non tu n'auras rien " ;
" Viens par ici ... " ; j'ai alors la bite au repos, elle cogne, claque, malaxe sauvagement ; ça gonfle, et elle me regarde en riant : c'est tout !!! "

Dimanche matin (le 8 mars donc), elle m'a de nouveau administré une traite de la bite, appuyée de coups dans la prostate et les burnes.


C'est devenu un rite. Presque une torture. Mais un plaisir contradictoire de douleur et de bonheur ;

Une frustration autant qu’une satisfaction.

Comme c'est tout ce à quoi j'ai droit, je profite et me concentre de ces moments d’attention de Madame à mon égard, tout en négociant avec elle des rapports sexuels normaux, ou lui dire ce dont j'aurai envie, lui faire des propositions crapuleuses.

Elle aime tout savoir de ce qui anime son Homme, de ses envies, de ce qui l’excite, de ce qu’il voudrait...

C'est ça qui la motive en fait. C'est une voyeuse,  je le sais maintenant de manière certaine.

Dimanche 8, c'est donc elle qui m'a réveillé alors que nous nous étions endormis dans les bras l'un de l'autre.

A petits coups de genoux dans les couilles d'abord ; puis avec des coups plus francs.

 

J’ai senti qu’elle avait une furieuse envie de me défoncer, c’était palpable : elle avait envie d’y aller franco, de m’éclater les couilles et de m’emmener très très loin dans la soumission de ma pauvre paire de bourses à sa volonté de femelle en rut.

J’ai tenté de faire diversion et lui ai dit que j'avais envie d'elle, lui ai proposé des positions, des trucs, lui ai dit que je n'en pouvais plus.

Qu ma bite devenait folle, bandait sans raison à des moments sans rapport avec la sexualité, mais ne bandait plus le matin, ou quand je me colle à elle : une sorte d'interdiction morale qui commence à fonctionner.

Elle m'a glissé à l’oreille voulait que je ne bande plus sans son autorisation, voulait tout savoir, tout contrôler.

 

Je lui ai rappelé que je n’en pouvais plus, qu’elle m’avait déjà mis en cage, trait, défoncé, demandé (et obtenu) que j'éjacule en moins d'une minute, sur commande ; que tout ceci finissait par me rendre dingue, que je ne contrôlais même plus mes pulsions ni mes envies comme avant.

Je le lui ai donc dit combien j’étais défoncé, mais dans ma tête l’esprit complètement tordu par tant de frustration morale, espérant une réaction de sa part.

Je l'ai eue ma réaction, sous cette forme : "c'est normal, c'est moi qui commande ; ta queue m'appartient, et ce n'est que le début mon chéri, il va falloir que tu t'y habitues... C’est ce que tu voulais, non ? Tu n’imagine comme je prends mon pied comme jamais à commander ta queue et surtout tes couilles. Je n’ai jamais été si heureuse "

Madame m'a fait remarquer que je ne parvenais pas encore à lui obéir sur toute la ligne : " tu n'es pas capable de jouir par la seule sollicitation de tes couilles ; je le regrette profondément : c'est donc que tu n'es pas encore mûr mon chaton, tu dois encore être entraîné vers des sommets plus hauts ", me dit-elle dans le creux de l'oreille.

Allonges-toi et écarte bien tes jambes, on va t'entraîner comme il se doit !!!

Ses yeux pétillaient comme rarement, elle était heureuse rien qu’à l’idée de jouer librement et sans retenue de son Homme. C’est ça qui est bon, de la voir ainsi épanouie, si plaine d’envie, elle qui ne manifestait quasiment jamais rien avant…


Elle m'a aussitôt repoussé d'un coup et, se collant à moi sur le côté de manière à avoir le pied gauche en mesure de me shooter proprement les couilles, a commencé à me latter les burnes en m'embrassant dans le cou. Contraste saisissant !!!

"Dis-moi ce qui t'excite en semaine, quand je ne suis pas là, allez, dis-le-moi, espèce de gros porc !!!

Elle m'a tapé à coups de pied dans les couilles pendant une bonne dizaine de minutes, pendant que je lui ai résisté, puis avoué que rêvais de son cul, de ses hanches, de ses jambes, de son odeur, que je mourrais d'envie de lui manger l'abricot d'amour, d'aspirer son capuchon magique, de lui mettre mes doigts, tandis que ma queue interdite restait en cage ;

Je lui ai dit que j'avais envie qu'elle me chevauche équipé d'un baillon-gode, moi en cage de chasteté, les couilles éclatées pendant qu'elle prenait son pied à se défoncer sur ma face de porc.

"C'est bien mon Chéri, tu commences donc à plus penser à moi qu'à toi, c'est parfait"

 

« Mais les autres, il t’arrive bien d’avoir des flashs quand tu croises une femme qui t’attire, frustré comme tu es, ça doit  être terrible, avec ta bite toute déréglée et tes couilles gonflées comme des ballons, n’est ce pas, racontes-moi !!! »


" Tes couilles m'appartiennent et je vais les faire gonfler jusqu'à ce que tu deviennes capable de jouir sur commande, pour mon seul plaisir de te voir cracher pour moi, quand je le décide ... "

Elle s'est écartée légèrement, redressée, puis assise en tailleur à côté de moi, comme elle le faire pour avoir plus de force, « là tu es à ma pogne, je vais pouvoir bien te donne et toi tu vas prendre, accueillir, désirer, jouir et espérer, tandis que je vais taper. J’ai envie de taper !!! Ecartes encore tes jambes, donnes-les moi. Je vais te taper ».

Et oui, elle me claque les couilles avec sa main à un rythme d’entrée de jeu complètement dément, qui me fait me tendre comme un arc pour encaisser la douleur.

 

Elle règle les impacts et leur force, mais pas le rythme. C’est Rio jour de grand Carnaval…

Puis, la pluie de coups devient irradiante et envahit la zone d'impact. Celle-ci est comme gonflée pour résister aux coups et j'atteins  le fameux effet de plateau à partir duquel il est possible d'encaisser des coups assez violents dans les couilles en en ressentant du plaisir.

 

Toute la zone prostatique et génitale devient comme une éponge gorgée de sang, une vulve gonflée et excitée qui réagit en répondant aux coups par de nouveaux gonflements, rendant l’ensemble ultra sensible, quasi orgasmique.

C'est ça qu'elle aime. Et elle parvient maintenant à me mettre dans cet état en quelques dizaines de secondes à peine, m’emmenant ensuite vers des sommets que je croyais pas possibles ; ça là qu'elle prend son pied  et que je suis fier de la satisfaire.

"C'est bien mon chat, tu commences à être bien dressé, on va pouvoir travailler et t'exploser la bite, allez, branles-toi vite, rien que pour moi".

Je réponds que non, comme toujours, car c'est le genre d'éjaculation forcée qui est vraiment mécanique et qui vous laisse frustré à mort, la bite ayant aussitôt envie de rebander mais ne le peut plus, et de jouir pour de vrai, mais ne peut plus non plus, les nerfs étant trop fatigués d'avoir vibré si fort.

Une vrai torture, un vrai plaisir.

Quand elle accélère le rythme ou engendre une fréquence saccadée, qui casse le rythme et les pulsions de ma zone génitale, c'est insupportable et je me  branle généralement pour mettre fin au supplice, avec son autorisation, ou à sa demande, c'est selon.

C'est généralement là qu'elle me finit en me Dé-fon-çant sans pitié, et le pire, c'est que plus ça va, plus je pars vite.

Aurait-elle donc raison quand elle dit qu'elle arrivera bientôt à me traire par simple pression sur les couilles ?

Toujours est-il que dimanche, elle s'est arrêtée d'un coup sec.

La bite tendue à mort, les couilles en position "Machu-Pichu" (c'est-à-dire au niveau du plateau le plus élevé du monde) et frustré comme JAMAIS.

"Tu as aimé te branler 5 fois par jour ? Ca t’a plu ?"

Je ne savais pas quoi répondre...

« Et bien cette semaine tu es libre. Mais je ne veux pas que tu te branles. Tu dois rester intégralement chaste, obéir et rester sans cage, sans obligation, mais sans te toucher. »

En revanche, quand ta bite ou tes couilles se rappellent à toi, je veux que tu m'envoies un SMS aussitôt avec le sujet ou la raison de cette manifestation de testostérone, mon petit cœur.

Je contrôle ta sexualité, n'oublies pas. TOUTE ta sexualité.

Et je veux savoir chaque chevelure, chaque robe, chaque botte, chaque paire de jambe ou de sein, chaque pensée qui te fait bander ou t'excite.

Nous ferons le tri ensuite, le 23 mars par exemple....

Le 23 mars, cela fera 3 mois sans AUCUN rapport sexuel. (rapport normal, coït etc…, je veux dire)

Et pour un Gros queutard comme moi, c'est énorme, insupportable.

Le pire, c'est que j'ai immédiatement rebandé comme un âne à entendre ses propos si déplacés  dans sa bouche de petite fille sage.

"Mais tu bandes ? C'est très bien, alors à moi d'être cajolée, masses moi le dos, les reins et les fesses, tu banderas pour quelque chose !!!"

La semaine a ensuite été très instructive, tant sur le plan des statistiques que sur le plan des sujets de domination qu'elle en a tiré.

Me voilà donc à nu, prisonnier de ma propre imagerie fantasmatique, obligé de la lui livrer sans retenue.

Et tous mes sujets secrets sont désormais connus d'elle.

Ce qui fera l'objet d'un prochain article.

Ce que je peux vous dire, c'est  que cette expérience de liberté surveillée, après les traites imposées, la cage de chasteté masculine, les cockring serrés et les coups répétés dans les couilles, est sans doute la pire.

On ne veut pas décevoir Madame et on tient ; et on se livre, et on a honte, et on se trouve, paradoxe suprême, de plus en plus de sujets d'excitation au fil de la journée, qui devient une longue course d'observation des sensations de la bite, un peu comme si elle était sollicitée H24 avec le soucis de tout noter, comme un conservateur de musée ou un flic en planque.

Et l'ensemble de ces notes s'auto alimentent et vous amène à ne plus penser qu'à ça, toute la journée, avec la queue et les couilles qui se raidissent sous "l'effet mémoire" des précédentes séances de d'amour partagé avec Madame, lesquels sont,  comme vous le savez, depuis presque 3 mois, des entraînements à éjaculer au plus vite sous les coups ou l'astiquage intensif de bite.

Cela m'a fait bizarre quand j'ai commencé à fantasmer sur une paire de botte qui marche dans la rue et l'envie de jouir dessus tout de suite.

Ou de jouir sur une paire de fesses devant vous dans un ascenseur.

Ou d'être en arrêt devant une jolie femme ronde et d'avoir envie de me faire sucer en tirant les couilles vers le bas, comme le fait Madame : clac clac clac, de trois coups sec, et ça part, la Dame disant « une belle bite, mais rapide le Monsieur, hein, fragile avec ça !!! ».

Avant, j'aurai eu envie de les baiser et de jouir du spectacle de leurs orgasmes  assurés sous mes coups de bite, fier et sur de mon endurance habituelle, et donc sur de moi avec les femmes.

Là, je lui ai tout dit.

Elle sait tout.

Je suis sa chose, son objet, sa machine à cracher, sa pompe à sperme et elle me défonce non plus seulement la bite les burnes, mais carrément le cerveau ; à coup de fantasme, autant que les couilles à coup de pompe...

Il s'agit à n'en pas douter d'une Cage de Chasteté d'un genre nouveau, psychologique, mais d’une très grande puissance et d'un  genre si agréable.

 

Je suis en liberté, surveillé étroitement, j'y prends du plaisir, suis excité en permanence.

 

Elle m'a placé dans une situation de "Cage Psychologique" dont je n'avais vraiment mesuré l’efficacité ni les conséquences sur l'évolution de nos rapports amoureux.

 

Je l'aime.

 

Smartbeat


Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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