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Lundi 12 janvier 1 12 /01 /Jan 19:11
Par Smartbeat
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Mardi 6 janvier 2 06 /01 /Jan 08:36
Bonjour à tous et meileurs voeux,

Comme vous avez pu le constater, nous sommes restés quelques temps éloignés du micro en raison des vacances de noël, obligations familiales obligent.

J'ai ainsi pu constater à mon retour que la petite vidéo n'avait pas pu être uploadée.

Je vais faire le nécéssaire très vite, promis.

Je vais revenir avec un récit de ces vacances qui ont été éprouvantes sur le plan sexuel : une fornication le 24 décembre ("joyeux noël mon Chéri, et fais-moi  bien jouir je te prie") suivie d'une éjaculation sans réel plaisir, sur commande impérative pile au moment où elle a jouit.

Et rien de rien depuis.

En revanche, cockring de rigueur et - c'est nouveau - élongation des couilles en tirant dessus au coucher ou au réveil.

Sans naturellement oublier les tapes dans les couilles dès qu'on est seuls et qu'elle me sent en demande.

Comme nous étions en famille, impossible de gémir ou crier, et elle en a bien profité.

Au niveau de la queue, le niveau de sensibilité est toujours extrème et je crois vraiment que je deviens précoce, même si je suis parvenu à la faire jouir lorsqu'elle m'a chevanché sans ménagement le jour de noël.

Le nouveau jeu c'est : ne rien dire, rien demander, ne pas parler de sexe. C'est elle qui décide.

Je vous fera part bientôt de mes réflexions et vexations dès que j'en aurai le loisir.

2009 a d'ores et déjà commencé par 15 jours d'abstinence et très probablement une nouvelle période de cage pour ce week-end.

Elle me l'a déjà annoncé à mots à peine couverts. Et je crois comprendre qu'il s'git d'un enferment punition, c'est à dire très serré, car ce matin j'avais très fort envie d'elle et je le lui ai dit. Elle m'a clairement fait comprendre que je ne devais rien dire, que cette incartade se réglera ce week-end... et que je devais lui masser les fesses, ce qui m'a mis dans un état que vous pouvez imaginer.

D'autant qu'elle a repris la marche à pied et que sa taille s'est encore affinée ces derniers temps, de sorte qu'elle est aujourd'hui très fine avec un fessier bien prononcé et rebondi, qui se prolonge de ses longues et fines jambes si bien galbées.

J'ajoute que Madame met du 95 D (qu'elle veut faire réduire un jour car ça lui pèse) ; vous comprenez que ce régime est très difficile à tenir.

Je crois deviner qu'elle va en jouer de plus fort pour me faire bander dans le vide.

Ce week-end nous n'avons pas les enfants et elle va donc vraissemblablement me contraindre un peu plus.

Mais dans quel but ?

En effet, elle veut se faire prendre, c'est sûr, mais j'ai l'impression que la situation m'échappe clairement désormais.

A bientôt pour de nouvelle aventures.

Smartbeat

Par Smartbeat
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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 10:51

Cher tous,

Toute la semaine passée, je suis resté sanglé dans mon cockring en cuir, avec les érections que vous pouvez imaginer la nuit et au réveil.
Il semble que le traitement imaginé par Madame fonctionne puisque, bien que n'étant plus encagé, je ne pense presque plus à me masturber et encore moins à aller jusqu'à l’éjaculation solitaire, même lorsque je suis fortement sollicité par les événements du quotidien : images, jolies femmes croisées dans la rue. Même ma collection de vidéos me laisse froid, c'est dire !
Vendredi soir, veille de week-end, elle m'a demandé de tout retirer, de rester libre.
Mais sage et obéissant.

Lors de la grasse matinée de dimanche matin, je lui ai préparé son petit déjeuner, le lui ai apporté et suis resté à sa disposition à ses côtés, la massant et les caressant autant qu'elle le souhaitait.

Elle est allée aux toilettes sans mot dire, et me doutant bien que s’il se passait quelque chose, ce serait à son retour. Aussi, j'ai mis le caméscope sur « Record » et je l'ai laissé tourner.

 

Elle s’en est aperçue à son retour des toilettes, fixant l’objectif et la petite diode rouge indiquant « rec », pour me faire comprendre qu’elle savait fort bien que j’avais lancé le tournage.

 

Elle m’a bien laissé chauffer et mijoter sous la couette.

De mon côté, j'ai bien tenu mon rôle d'homme soumettant sa sexualité aux ordres de sa femme en lui parlant de mes rêves et lui redisant souhaiter être un bon mari et aussi pouvoir la prendre normalement de temps en temps.

 

Je sais que ça l’énerve quand je lui demande la permission de lui faire l’amour et que ça déclenche tôt ou tard sa fureur.

Je lui ai rappelé que  :

- cela faisait trois mois et 3 semaines que nous n'avions pas eu de relation et que les deux précédentes relations (respectivement 4 mois Trois semaines et cinq mois et trois semaines, en fait, grosso modo,  chaque premier du mois) s'étaient soldées par une absence d'éjaculation de ma part tandis qu'elle se servait de ma bite comme d'un gode humain ;
- qu'elle ne me faisait plus jouir depuis tout ce temps que par traite et claques dans les testicules ;
- que l'alternance cage de chasteté, pompe à bite, sangle, abstinence, éjaculation forcée et privation d'orgasme commençait à devenir difficile à supporter.

Mais je lui ai aussi avoué que, dans le même temps :
- je parvenais désormais à n'avoir plus aucune envie de me branler en son absence et sans ordre en ce sens ;
- mes érections étaient devenues désordonnées et sans réel contrôle de ma part ;
- que j'avais la sensation que je ne pourrais bientôt plus tenir un coït normal à force d'être entraîné à éclater sur des délais aussi courts ;

Elle s'est contentée de me dire que je n'étais pas encore assez obéissant pour pouvoir juger de ma condition d'homme objet et que mon travail ne faisait que commencer.

Elle m'a quand même écouté lui raconter mes rêves d'un air satisfait, me disant « très bien très bien, on va voir si tu résiste longtemps ou si tu claque suffisamment vite au petit traitement de la "main fouetteuse".

Joignant le geste à la parole, elle m'a légèrement claqué les couilles à travers la couette, m’ordonnant de relever la couette et de lui exposer mes couilles : « aller, aller, retire moi tout ça j’ai envie de t’exploser ».

"Je veux que tu te branle pendant que je t’explose, sans délai, maintenant on va voir si tu es un bon petit chien".

J'ai relevé la couette, à la fois content qu’elle s’occupe de moi, mais aussi redoutant de devoir partir trop vite et sans jouir – avec les effets secondaires de manque intense qui s’ensuivent inéluctablement à chaque fois.

 

J’ai maintenant toujours ce réflexe schizophrène : vouloir être trait et redouter de l’être.

 

Elle a de toutes façon commencé à me claquer les couilles à bon rythme (voyez vous même sur la vidéo) : "aller, branles-toi, vite, vite, vite, j'ai envie de te traire et de te voir t'assécher les couilles". « Profite car c’est tout ce que tu auras aujourd’hui. »

J'ai d'abord refusé de me branler, sachant à quel point il est frustrant d'éclater de la sorte et voulant profiter de ses claques dans les couilles car elle m’ont d’abord procuré du plaisir compte tenu de leur angle et de la force appliquée.

 

Je ne me suis donc pas branlé immédiatement ; j’ai résisté, me suis concentré et gainé pour résister à ses coups, déjà en « effet de plateau » tellement je me suis conditionné à jouir du  traitement administré au cours des derniers mois.

Elle a compris très vite que j’entendais résister et profiter de ses coups ; elle ne voulait surtout pas que ses claques se trouvent dans la « zone de confort », celle où elles provoquent de la douleur douleur, certes, mais me procurent aussi une forme de plaisir.

 

Non, non, elle, ce qu’elle voulait, c’était une bonne traite et c’est tout. Accompagnée de défonce des couilles et qu’on en finisse avec un homme partiellement vidé et complètement frustré.

 

 C’est là qu’elle s’est relevée et assise à mes côtés, afin d’être bien stable et de pouvoir imprimer davantage de force à ses coups, de mieux les cibler et me priver de tout plaisir, m’amenant au-delà de « l’effet plateau ».

 

J'ai eu beau me cambrer encore, elle m'a shooté les couilles de telle façon j'ai dû me résoudre à me branler devant elle et à tout lâcher aussi vite que possible pour échapper à la douleur.

C'est parti d'un coup. En deux ou trois longs jets saccadés.

 

Et sans autre satisfaction autre que l'éjaculation en elle-même.

 

Moment honteux et regretté sitôt advenu : elle sait que je n’en retire aucun plaisir tant les radiation des claques infligées aux couilles l'emportent nettement en terme d'intensité de sensation sur l'éjaculation.

 

Laquelle est elle-même détachée de toute jouissance proprement dite, comme une branlette automatique et sans plaisir, de celles qui laissent un goût d’inachevé.

Elle m'a ensuite laissé là, sans autre consigne que faire en sorte de mieux lui présenter "les petites sœurs" la prochaine fois, me faisant remarquer qu'elle n'aimait pas que je me cambre pour échapper à ses tapes : « c’est moi qui décide ».

"Si tu n'est pas capable d’encaisser sans me présenter ton bide au lei de tes couilles, il faudra que tu trouve un système pour qu'elles soient toujours disponibles sans que j'aie besoin de me redresser pour les claquer ».

 

Ca m’a fait froid dans les dos – et excité d’un coup en même temps.

Je savais très bien à quoi elle pensait et elle l’a fait exprès.

 

Je suis tout chamboulé parce que là, ça vient d’elle toute seule, sans que je n’ai rien suggéré. Elle connait l'existence des Humbler car j'ai vu dans ses recherches Google qu'elle avait consulté un site de vente par correspondance qui en vend en bois et en métal.

 

Et pour tout dire, je redoute l’utilisation de cet appareil qui enserre et expose les couilles au-devant ou au-derrière des cuisses, sans possibilité de les mettre à l’abri, les laissant sans défense à l’entier bon vouloir de Madame.

 

Pour la première fois, j’ai bien vu qu’il n’y avait plus aucune échappatoire possible au traitement des couilles choisi par ma Maîtresse, avec ce genre d’engin.

 

La branlette sans ambigüité à laquelle je venais de me prêter ne laisse d’ailleurs aucun doute au traitement de choc que j’aurai reçu ce matin si j’en avais été pourvu…

L'appareil en lui-même est tentant, en tant qu’objet et au sens fétiche du terme ; mais si elle l'utilise vraiment, je crains de devenir incapable de tirer un plaisir autre que cérébral de ses sollicitations manuelles.

 

C’est elle qui aura pris le pouvoir, et je le contrôlerai plus.

Comme ce matin, elle va taper directement là où ça fait mal, où elle veut, quand elle le veut et surtout, comme elle le veut.

J’entrevois déjà qu’elle va me forcer à jouir encore plus vite, voir tout faire pour que j’arrive à cracher sans aucune sollicitation de la queue, par seule action sur les couilles puis pression d’un doigt sur ma hampe à l’instant « T ».

 

Paradoxalement, il me semble parfois que cela doit-être maintenant être possible tant j'arrive à encaisser de la frustration et du shoot dans les couilles et tant mes érections et sensations sont décalées...

Je ne sais plus où j'habite. Ma bite est folle et mes testicules ultra sensibles et endurantes de concert.

Peut-être a-t’elle déjà définitivement pris le contrôle sans que je m'en aperçoive ?

En tous cas, avec cette vidéo, vous voyez précisément comment s'organise une traite sous contrainte avec claque des couilles.

 

Et vous voyez que ce n’est pas du cinéma : c’est une traite. C’est uniquement hygiénique et elle fait ça de manière très détachée. Une traite, des couilles éclatées. Point barre.

J'espère pouvoir filmer lors d'une prochaine session un exemple de travail long comme celui de la semaine précédente, car croyez-moi, ça fait un effet de liquéfaction des burnes tel qu'on ne sait même pas si on jouit ou pas.

 

Et quand elle me met en cage de chasteté immédiatement derrière, c’est enfermé qu’on retrouve les sensations, sans pouvoir satisfaire quoi que ce soit : croyez-moi, votre queue n’est plus qu’un objet qui ne vous appartient plus et votre tête n’est plus qu’un épais brouillard dans lequel s’entrechoquent tellement d’envie contraires que vous vous en remettez forcément aux instructions de Madame. Que vous les attendez et les respectez à la lettre.

Merci de vos commentaires et de faire connaître ce blog à tous les autres intéressés de contrôle et/ou de l'explosion de mâle.

Smartbeat





Par Smartbeat
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Mardi 16 décembre 2 16 /12 /Déc 08:30
Bonjour,

Message très rapide faute de temps.

Vendredi soir, comme les semaines passées, elle m'a demandé de retirer la cage.
Comme les week-end passés, cette sortie de prison occasionne des dérèglement de la bandaison : semi gonflée sans raisons, ou ne bande pas le soir au coucher ou le matin au réveil.
Comme les soirs et les matins au réveil depuis de longs mois, j'ai droit à des sollicitations permanentes de mes testicules : avec les pieds dans le canapé, avec les mains quand on est couchés.
Comme il y a quelques semaines, elle me frappe les burnes du plat de la main dès le dimanche matin. Puis elle masse mon sac crostal.
Puis elle se redresse, relève la couette et claque ma queue et empoigne mes coucougnettes réunies en paquet, les tirant vers le bas.
Cette action a pour effet de décaloter mon sexe qui se met à bander malgré moi, comme indépendant de mon contrôle, par effet purement mécanique.
C'est tout déréglé, et je connais maintenant la suite : elle me branle avec l"énergie du désespoir, en même temps qu'elle m'explose les couilles de sa main libre.
J'ai beau lui dire que je ne veux pas, je n'ai pas le temps de le dire qu'elle me fait exploser comme un petit cochon.
Une de ces éjaculations qui n'apportent aucun plaisir, purement mécanique.
J'ai encore le sexe en vibration après l'éjaculation, comme si elle se poursuivait sans fin : ça me lance, c'est l'effet d'un bon ballbusting, je le sais maintenant.
"Je devais te traire pour ton bien, ça fait partie de ton programme mon chéri"
"Mais ce n'est pas bien car tu as mis plus de 3 minute à venir. C'est trop long. On va devoir mieux travailler la prochaine fois"
"Aujourd'hui, tu mets ta cage en cuir, et ce soir, tu remmetras ta nouvelle cage avant de te coucher, pour bien débuter la semaine".
"Aller, vas te laver maintenant, j'ai envie de croissants ce matin..."
La journée s'est bien passée, en famille.
On a fait le sapin l'après-midi, les courses le matin.
Mais toujours cette bite folle qui m'accompagne et l'impossibilité de la toucher ou de la caresser, depuis quelques semaines maintenant.
Ma queue fait n'importe quoi. Et mon cerveau est mintenant formaté : je ne pense plus à me branler. Que dis-je, je n'ose plus ; c'est mal...
J'ai peur d'éjaculer. De ne pas avoir le jet puissant et automatique qu'elle apprécie tant le moment venu.
Je suis certain pourtant que mon endurance a baissé.
Mais ça fait trop longtemps maintenant pour que j'aie des repères fiables.
J'ai la bite désorientée, perdue dans un océan de sensations et de frustrations trop grands pour qu'elle puyisse s'y retrouver.
Je dois désormais voguer à vue, selon sa seule boussole.

Nouveauté :

Le dimanche soir, elle m'a dit qu'elle avait réfléchi à mon score minable de 3 minutes.
Et elle veut que je reste sanglé dans mon cockring en cuir jusqu'à nouvel ordre.

Mais elle n'a rien voulu me dire quand je lui ai demandé la suite du programme, que je n'en pouvais plus etc...

Je me suis sanglé comme elle me l'a demandé.

"Tu verras bien" m'a-t-elle dit en m'embrassant goulument (ce q'elle fait rarement) tout en me tapotant, puis me tapant franchement les couilles, réunies en avant par la sangle de cuir.

J'ai bien mis 1/4 d'heure avant de débander. A moins que cela ne soit jamais arrivé, car j'ai une gaule de taureau rien qu'en pensant à son baiser...



Smartbeat
Par Smartbeat
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Mercredi 10 décembre 3 10 /12 /Déc 14:44
Bonjour tout le monde,

Le titre peut prêter à sourire, mais ceux qui ont suivi l'évolution savent que nous n'avons pas eu de relation sexuelle depuis près de deux mois maintenant.

Ils savent que j'ai les couilles vidées de temps en temps, avec force claques, tapes et coups dans les couilles.

Souvent au réveil, moment où les érections sont "automatiques" et les "traites" moins satisfaisantes que lors d'une relations sexuelle construite et complète.

Ils savent que Madame a finalement décidé de mettre la queue en cage après que je lui aie suggéré pendant presque trois ans, et qu'elle y trouve finalement un certain plaisir, puisqu'elle me demande désormais régulièrement que mon sexe soit enfermé dans une cage de chasteté (cb2000 ou cb6000, c'est selon).

J'ai expliqué que ce sont les 5 premiers jours les plus difficiles à supporter lors des mises en cage, car les érections nocturnes sont fréquentes et donc difficile à subir sans se réveiller et devoir se calmer pour pouvoir retrouver le sommeil : très très difficile quand l'être aimé reste à vos côtés, offerte dans un sommeil profond qui donne toutes les envies de profiter de ses charmes, sans que cela soit possible du fait de la cage.

Il faut alors penser à autre chose et c'est très un vrai challenge quand votre bite et vos couilles vous lancent et se rappellent à chaque seconde à votre bon souvenir.

Je suis cependant content car j'ai enfin trouvé le réglage qui me permet de conserver la cb6000 sans qu'elle ne ne me gène à la mise en place ni au cours de la journée.

je confirme en conséquence de cette découverte qu'elle se révèle effectivement plus confortable que la cb2000.

Simplement, il faut assimiler que sa mise en oeuvre ne nécessite pas de placer d'abaord l'anneau entourant la base du pénis et des testicules, puis de rentrer le sexe dans la cage pour enfin solidariser le tout et mettre le cadenas ou le loquet en plastique numéroté de sécurité.

Le problème principal que j'avais rencontré jusqu'alors était que ma verge étant assez épaise, lorsque je la mettait dans la cage de la cb 6000, toute la peau de la verge s'accumulait à lextérieur du tube, de sorte que la solidarisation de celui-ci avec l'anneau reconstitué par les trois demi-coques qui le constituent occasionnait de violents pincements, laissant des séquelles importantes qui compromettaient un port prolongé.

Il faut en fait commencer par mettre la queue dans le tube, ce qui permet de bien y faire rentrer toute la peau, puis, tout en tenant le tube bien emboité sur la bite, faire passer la demi-coque sous les couilles, l'assembler à la première demi-lune qui en font un anneau, pour enfin placer le second anneaux qui achève de solidariser le tout et permet d'assujettir le tube.au tout.

De cette manière, la peau ne gène plus et je trouve qu'on peut la porter de manière très confortable dans la journée.

La nuit n'est pas différente de la cb2000 : je confirme que les 5 premiers jours sont toujours aussi infernaux.

J'espère que je vais pouvoir profiter cette nuit d'un peu de répit.

Cela dépendra de Madame, car, comme je l'ai exprimé dans mon message précédant, elle n'a pas cessé de me claquer les testicules tout au long de chaque soirée, longuement, même encagé.

Et l'effet est automatique : les couilles me lancent et dégage des radiations qui rendent encore plus difficile de ne ne pas avoir des gaules aussi rapides, impromptues que puissantes, même sans aucune sollicitation.

A moins que ce ne soit l'effet conjugué de l'abstinence, du travail des couilles et des pressions permanentes de la cage sur la bite et le scrotum qui devient fort sensible aussi.

Elle m'a dit qu'elle aimait bien les couilles bien longues et a réagi positivement à ma suggestion de placer des poids au couilles en complément du traitement actuel "pour les rendre bien sensibles et réactives et les rendre bien grosses, juteuses et fatiguées, donc promptes à l'explosion".

J'ai commencé à me renseigner pour l'acquisition de poids métalliques qui enserrent les testicules.

Cela reste un investissement, mais j'attendrai qu'elle me le demande et devancerai l'appel dès que j'aurait fait mon choix.

Une autre alternative au poids, et relèvant en fait de la même démarche de lien autour du pénis et des couilles qui demeurent ainsi attachées à la volonté de Madame, serait de placer autour des couilles et de la verge un collier électrique identique à ceux utilisés pour le dressage des chiens.

L'intérêt de cet appareillage serait d'être lié et de permettre à Madame de choquer les burnes à distance, via la télécommande.

J'ai vu le fonctionnement de cet appareillage sur le site ClubDom.com; et ça m'a gravement excité.

J'en ai parlé à Madame sur l'oreiller et il semblerait que là encore, la seule idée de contrôler ma bite et mes couilles comme un objet dont elle disposerait à sa guise ait été accueilie de manière très positive !!!

Elle n'a pas hésité à me dire qu'il s'agissait d'une suggestion "très intéressante et pour tout dire excitante".

C'est pour cela qu'elle m'a demandé ce matin d'aller à la cuisine chercher la spatule en bois avec laquelle on décolle les crèpes et de revenir me coucher à ses côtés.

Et qu'elle m'a gratifié de 30 coupes de spatules distribués de plus en plus en plus vite et de plus en plus fort du 1er au quinzième, puis decrescendo et plus espacés du 16ème au 30ème.

Le tout en me roulant une pelle d'amour à mourrir : je peux donc vous dire que la bite en cage et les couilles étirées et tapées ont eu du mal à savoir quoi et ont eu une série de réactions très très très bizarres.

Elle a vraiment pris le contrôle, et je ne sait pas où elle va s'arrêter.

Il faut reconnaître que je suis maintenant pris à mon propre jeu et qu'elle dispose maintenant de moi comme un véritable homme objet.

Son homme, son objet.

Smartbeat

Par Smartbeat
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