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Mardi 9 décembre 2 09 /12 /Déc 08:35
Hello,

Comme vous le savez, j'ai eu le tort de lui dire que j'avais désormais du mal à supporter l'abstinence émaillée de traites forcées avant ce week-end.

Je n'en peux plus, mais elle a eu la réaction à laquelle il fallait s'attendre : retour en cage, et la nouvelle, la CB 6000, qui est plus étroite que la CB2000 et que je n'aimais pas trop.

En fait, elle est plus difficile à mettre pour moi car mon sexe est plutôt épais et le tube sans ouvertures latérales ne me permet pas de glisser la bite sans que la peau ne s'amasse à l'extérieur.

Résultat, quand il faut plcer les anneaux extérieurs qui bloquent le mécanisme, la peau se pince et ça fait très mal avant même que l'enfermement n'ait débuté.

De plus, je trouvais qu'elle se retirait facilement, bien que le diamètre d'anneau choisi soit inférieur à celui de ma CB2000.

Cela m'oblige à la triturer en permanence et je crois comprendre que c'est une des raisons qui l'ont motivée à me demander de porter la CB 6000.

La deuxième raison est que je lui ai proposé de la prendre avec le "Her Delight" acheté avec la CB6000 chez "kept for her".

Vous savez, il s'agit de ce gode creux qui se fixe sur l'anneau de la Cage et dans lequel le sexe est enfermé.

Donc, quand je la prendrai avec cette coquille, elle profitera d'une bite dure et infatigable, tandis moi je me contente de plaisirs cérébraux, encore qu'en réalité, les pressions de la coque se ressentent bien à chaque aller-retour.

Je crois donc qu'elle a une idée derrière la tête et veux me ruiner la tête en me demandant de la prendre avec le gode creux "her delight".

On verra bien, mais en tous cas, elle me baise déjà la cerveau avec cette image puissante et en me demandant de mettre la CB6000 et en me laissant entendre qu'elle apprécierait de se prendre sur ma coque.

En attendant, j'ai passé la nuit de vendredi à samedi en réveillant au moins 5 fois, pour me calmer et remettre du Gel au silicone et supporter la cage.

La nuit de samedi à dimanche, même chose.

Avant de dormir, elle m'a maséé les couilles avec son pied et a commencé un ballbusting léger qui a duré un bon quart d'heure.

Je devais être énervé car je n'ai presque pas bandé : j'ai cru que j'allais passer une bonne nuit en me disant que c'était bon, la gaulle nocturne commençait à s'estomper, mais pas de chance, j'ai encore dû me relever deux fois.

Dimanche matin, j'étais fatigué et commençais à porter les séquelle de l'enfermement des premiers jours : un bon gros dodo matinal pour commpenser la nuit d'enfer.

D'autant qu'elle aime se coller à moi pour sentir ma cage, laisser sa main posée dessus la tapoter avec ses ongles ou ses doigts et me demander de la caller entre ses fesses, calé de côté.

Pour faire court, elle apprécie de savoir ma queue ornée d'un bijou qui lui en assure le contrôle.

Je crois que ça l'intrigue autant que ça la flatte et l'excite.

Dimanche, elle n'a pas pu s'empêcher de me coller quelques coups de genoux à l'improviste lorsqu'on s'est croisé dans le couloir, ou de me tâter le paquet en l'empoignant franchement à travers mon pantalon...

"Tu es bien sage mon chéri, parce que tu n'auras rien avant 2009".

Ca m'a fait un choc, car j'ai réalisé qu'elle avait vraiment pris le contrôle et allait vraiment me faire attendre 2009.

"Je veux que tu réagisse "on the button" mon chéri", me dit-elle en me tournant les couilles et la bite sans ménagement, puis, les tapotant en relachant. ("on the button" est une expression anglaise qui signifie "au quart de tour" et vient de l'époque où les autos se démarraient avec un bouton au tableau de bord. Ainsi, démarrer à la moindre pression sur le bouton start équivant à notre "quart de tour").

Dimache soir, couchés tôt et séance Vidéo au lit en amoureux.

Elle m'a tapoté les couilles pendant trois heures...

A petites tapes des mains et des pieds; Bandé, débandé - bandé, débandé et ainsi de suite ...
IN-SU-PPOR-TABLE !!!

Mais la CB6000 permet un allongement de la verge plus important que la CB2000, et ce n'est donc que bandé à fond qu'elle est dououreuse.

Je crois qu'elle l'a compris parce qu'à la fin elle m'a défoncé à 5 reprises avec son pied droit : un ballbusting de toute beauté, puissant et ciblé, sans aucune autre pensée que de tendre la cage à mort.

Et ça marche, j'ai repassé une nuit d'enfer, car les couilles et le bas-ventre m'ont lancé toute la nuit.

J'ai essayé de la réveiller pour lui proposer une vraie partie de jambes en l'air à l'ancienne, je l'ai suppliée.

"Ne demandes rien. Jamais. mets toi sur le dos, je vais t'apprendre à demander, vilain garçon".

Puis elle s'est saisie de ma bite en cage et a commencé à me claquer les couilles de plus en vite et fort, pour obtenir un bel effet de plateau, et pour finer elle m'a placé une dizaine de coups de poing.

J'ai eu peur et ça m'a fait débander.

"tu vois, avec un peu de patience, tu contrôle - pardon : JE contrôle parfaitement la situation !!!"

Hier soir et ce matin, il ne s'est rien passé. Je commence à m'habituer à la cage et ma bite me laisse à peu près tranquille.

Elle me l'a fait remarquer ce matin en me prévenant que je ne devais pas protester de mon traitement puisque j'aimais ça pour être un gros porc lubrique qu'il fallait bien soigner....

Je ne suis plus qu'un bite en cage et une paire de couilles bien mures, offertes au ballbusting que Madame semble maintenant affectionner de plus en plus.

Elle me latte de plus en plus et de mieux en mieux...

Je n'aurais jamais cru pouvoir trouver un tel équilibre dans dans mon couple, même si j'aimerai bien baiser plus souvent et qu'il s'agit d'un pis aller, je le sais.

J'espère être à la hauteur de ses désirs.

De ses rêves.

Je l'aime.


Smartbeat
Par Smartbeat
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Vendredi 5 décembre 5 05 /12 /Déc 19:15

Ce midi, je n'ai pas pu m'empêcher de lui adresser un p'tit SMS pour lui dire combien mon sexe n’était plus qu’une longue vibration, mes couilles accrocs à ses claques. Je voulais la remercier de me maintenir dans un tel état et pour faire simple, lui dire que je l’aime fort et étais désormais réellement un homme objet à sa disposition.

 

La réponse ne s’est pas fait attendre bien longtemps, car elle a bien compris que ce message dissimulait en fait une demande de ma part et que j’avais envie d'elle :

 

« Tu ne demandes rien.

Tu écoutes bien ce que je te demande et tu gardes ta queue dans ta poche.

Moi seule ai le droit de décider quand elle bande, quand elle crache ou jouit et de quelle manière.

C’est vrai, tu progresses et deviens enfin capable de claquer un jet assez rapidement.

Mais tu as encore besoin d’alterner abstinence totale et vidage forcé pour bien y arriver.

Ce soir, début du Week-end, je veux que tu te mettes en cage dès que tu rentre à la Maison.

La nouvelle cage, celle que tu dis trop petite. (CB6000).

Tu n’es d'ailleurs qu’un douillet prétentieux :

- d’une part j’ai lu un peu partout sur le net que la 6000 était le modèle le plus abouti ;

- d’autre part la taille de ta queue est dans la moyenne de ce qu’offre Dame nature.

Je te veux donc en Cage et aimant à compter de ce soir, pour le temps que je jugerai nécessaire. 

Tu en profiteras pour te raser les couilles, avant-hier, elles piquaient et ça m’a gênée pour bien te les défoncer».

 

J’ai passé toute la journée à rêver et redouter le retour en cage.

Je n’ai peut-être pas trouvé les bons réglages de la CB6000, mais je trouve qu’elle est moins confortable que la CB2000 et qu'elle permet à à ma queue de sortir de sa coque plus facilement.

Je ne l’ai portée que deux fois, pour de courtes durées, il est vrai.

Mais je sais aussi que la CB6000 laisse un meilleur accès aux couilles et je rêve déjà de ce qu’elle a en tête quand elle parle de jouissance spontanée : j'imagine qu'elle va prendre un malin plaisir à me cogner les couilles à chaque occasion de ce week-end pour être sûre de me faire cracher en moins de 30 secondes lorsqu’elle aura décidé de me retirer la cage.

Ce qui veut dire qu'elle a l'intention de me laisser enfermé quelques temps.

J’espère quand même que ça ne durera que le week-end, parce que franchement, les 5 premiers jours sont très durs à supporter la nuit. Alors si elle décide de me préparer les couilles avec la CB6000 en plus, je risque de devenir fou.

Fou oui, mais fou d’amour quand même …

J'aime quand elle joue avec moi, et j'aime encore plus lorsqu'elle annonce une partie du programme à l'avance.

Hmmmm...........

Un bon week-end en perspective...

 

Smartbeat

Par Smartbeat
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Jeudi 4 décembre 4 04 /12 /Déc 09:10

Salut tout le monde,

Ca y est, c'est arrivé.

Hier soit quand elle est rentrée vers 16h00, j'étais à la maison et repartais au bureau quand elle m'a attrapé dans l'entrée avec son petit air malicieux et m'a dit à l'oreille : "mets ton collier en cuir, j'ai envie d'un bon gros paquet bien mur quand tu rentreras".
Je n'ai pas hésité et me suis donc sanglé au plus près avant de filer au travail.
Quand je suis rentré, soirée normale. Dîner. Les Experts Miami. Tâtage de couilles du bout des pieds sur la banquette, mais discret et caressant. Au lit à 22h50.
A peine couchés, elle a empoigné mes bourses et les a tordues à travers mon short de nuit : "enlève moi tout ça que je voies ce que ça donne au bout de 15 jours".
La verge bandée à mort, enserrée dans le bracelet de cuir, ça vous fait une queue bien grosse et dure, presque en bois. Et des couilles offertes, poussées en avant sous le scrotum.
Elle s'est serrée contre moi, a callé sa tête contre un oreiller. Bref elle s'est installée à l'aise.
Je savais qu'elle allait m'éclater, me traire, me faire exploser, sans considération de mon plaisir ou non.
Je l'ai lu dans ses yeux.
De sa main gauche elle a saisi mon sexe sur-gonflé.
Et de la droite, elle a commencé à me taper sur les couilles.
Puis elle m'a déchiré la bite en me branlant comme une dingue, avec la même énergie désespérée que quand je lui ai baisé la chatte il y a quinze jours.
Elle a vu que c'était douloureux mais elle a continué en commençant à me taper sur les couilles du plat de sa main droite.
Emprisonnée et offertes par la sangle en cuir, la sensation était décuplée et elles étaient vraiment gonflée après la longue bandaison imposée par ses attouchement tout au long des trois épisodes des "Experts Miami".
"Je veux que tu apprennes à jouir sur commande uniquement avec des claques aux couilles mon Chéri. On va commencer ce soir".
Je ne sais pas où elle a appris ça, mais elle a un don pour éclater les testicules, les faire danser en rythme et augmenter la puissance et le rythme.
Elle a tenu ma bite avec deux doigts, sous le gland, et s'est contentée de cogner vraiment fort dans mes burnes.
Le mouvement très léger de ma queue sous les mouvements induits par par les tapes sous les couilles m'a fait comprendre qu'elle allait me traire en moins de deux.
Elle a dû le sentir car elle s'est mise à me branler de nouveau comme une folle, en serrant vraiment fort, tout en augmentant la force des coups dans les couilles.
Je ne pensais pas pouvoir ramasser autant.
Elle m'a réellement littéralement défoncé les couilles.
Quand elle a relâché ma queue, elle a espacé les coups, sans en diminuer la puissance.
J'avais l'impression d'être une bielle de moteur industriel installé au fond de la cale d'un cargo.
A chaque tour de vilebrequin, le couple était énorme.
A se tordre de douleur, elle m'a claqué les couilles avec une rare violence, tout en se blottissant contre moi.
Je lui ai dit que j'allais venir sans jouir et que j'allais être encore plus frustré, lui ai proposé de venir s'empaler sur ma bite devenue rouge tumescente, presque bleue.
"C'est ce que je veux, mon chéri, j'aime te voir exploser, j'aime t'exploser, alors explose".
Joignant le geste à la parole elle s'est remise à me taper les couilles en rythme, de plus en plus en plus vite et de plus en plus fort, s'emparant de ma bite à pleine main et me branlant à m'arracher la queue du pubis.
Quant elle a arrêté de me branler, elle a recommencé à me mettre des claques dans les couilles, très très fortes et espacées, créant un effet de plateau, comme un manque, mais tout en maintenant la pression de deux doigts de part et d'autre de ma queue, créant un micro branlage à chaque claque.
Elle a mouillé son majeur dans ma bouche et demandé de le sucer, reprenant les coups dans les couilles en rythme, mais fermant son poing cette fois-ci.
"J'aime bien te défoncer les couilles, j'aime bien te voir tendu comme un arc ; je vais te dresser à jouir sur commande ; je veux que tu arrive à éclater rien qu'en te serrant les couilles, comme une poire à liquide mon chéri".
Elle a posé son doigt détrempé de salive sur mon frein et a appuyé mon sexe sur mon ventre, le tendant à mort à cause de la sangle en cuir.
Elle s'est remise à claquer les couilles en rythme mais de droite à gauche et de gauche à droite : là, y'a pas de cadeau, ça vous brise vraiment les couilles, c'est hyper sensible parcequ'à chaque aller-retour, c'est directement les testicules qui ramassent, sans réel lien avec la prostate.
J'ai failli crier ; "pas encore mon chéri, pas encore, il faut travailler ton canon si tu veux être un bon petit mari".
Curiosité : a un moment, j'ai eu la sensation que mes couilles et ma bite se liquéfiaient, devenait brulants.
Sous son doigt qui me bloquait la queue contre le ventre, j'ai senti que ça se mettait à trembler, mais bizarrement, rien n'est parti ; elle s'est redressée sur le côté et m'a remis des petites tapes légères sur le dessous des couilles, puis de plus en plus vite et fort.
Ca a bien duré une ou deux minutes, c'était délirant, je ne sentais plus que les vibrations et les échos des vibrations, j'étais dans un état second.
Quand j'ai vu son regard en transe, de me savoir dans cet état, j'ai tout lâché.
D'habitude ça part en de longs jets saccadés, mais elle s'est empressée d'appuyer son pouce sur mon méat, empêchant la semence de sortir correctement, comme si elle voulait faire rentrer son doigt dedans, puis elle l'a relâché : je suis parti très fort, mais sans la sensation de saccade, au moment ou elle déclipsait le cockring en cuir en m'empoignant la queue pour la branler sans ménagement.
La sensation a été celle de jouir avant de cracher, puis d'éjaculer à vide, alors qu'il y a eu une quantité énorme qui s'est répandue sur mon ventre ; comme une jouissance sans aucun attouchement, qui aurait été suivie d'une branlette en règle sans aucune sensation. Je venais de me faire branler à mort et traire sans jouir...
Je me suis endormi presque aussitôt.
Quand je me suis réveillé, elle m'avait mis la cage en cuir.
J'ai passé une nuit d'enfer, la queue en feu et les couilles toujours gonflée de désir pour elle.
Elle m'avait donc de nouveau fait une traite, comme un gros porc que je suis.
J'en peux plus.
J'aime ça.
Je ne suis qu'une bite.
Une poire à sperme.
Son homme Objet.
Je l'aime.

Smartbeat



Par Smartbeat
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Mercredi 3 décembre 3 03 /12 /Déc 17:51

Rien.

 

Rien depuis bientôt 2 semaines.

 

Rien depuis que je l’ai proprement défoncée avec ma langue et mes doigts.

 

Quelques coups dans les couilles au réveil, mais très légers.

 

Soyez rassurés : cette fois je vais tenir et ne RIEN demander.

 

Le soir, devant la Télé, elle met ses pieds entre mes jambes, pour que les lui réchaufe. Et elle me masse les couilles, comme si de rien n’était.

 

Mais je ne dis ni ne fais rien.

 

Même lorsqu’elle me demande depuis bientôt quinze jours de dormir avec le cockring en cuir, bien serré.

 

Le matin, c’est bandé à mort, bien dur et bien gros. Ca me réveile un peu la nuit, mais je tiendrais le temps qu’il faudra.

 

Sur le fond, je sais qu’elle va chercher à faire monter la pression pour obtenir des éjaculations spontanées.

 

Elle recommence à me mettre des tapes sur les couilles au coucher et au réveil, pour me faire réagir. Ce que je fais en silence, fier de tenir le coup.

 

Au réveil, ça déclenche des écoulements séminaux quasi immédiatement.

 

Je ne sais pas ce qu’elle va faire. Mais je sais que c’est quand mes couilles deviennent gonflées qu’elle aime prendre son temps pour les travailler, ce qu’elle commence à réaliser avec un art tout à fait convenable.

 

Là, quasi 15 jours sans rien du tout, à part quelques tapes dans les couilles, c’est pas normal.

 

J’espère que je ne me fais pas de films tout seul et qu’elle n’a pas tout simplement oublié que j’avais une bite et des besoins…

 

Mais si je lui en parle, elle va surement me remettre en cage, et j’ai pas envie de revivre la fameuse épreuve des 5 premiers jours, surtout après des érections forcées au cockring aussi régulières que ces derniers jours.

 

La suite dès que je saurai vers quoi évolue notre relation.

 

Enfin, Merci de vos commentaires.

 

Si vous ne les avez pas lus, j’ai reçu une suggestion intéressante : évoquer la possibilité d’une vasectomie pour en quelque sorte me « couper les couilles » définitivement.

 

L’idée serait de lui permettre de ne plus avoir à supporter de stérilet et d’assumer en Homme responsable la contraception du couple.

 

Peut-être sera-ce de nature à libérer un peu de libido féminine.

 

Mais que faire si au contraire elle considère que des couilles coupées ne lui servent plus à rien et me demande de se faire mettre ailleurs ?

 

Je ne sais pas si je l’accepterais…

 

Mais je l’aime tellement que je suis prêt à lui en parler, ne serait-ce que pour évoquer le sujet et provoquer la discussion.

 

Laquelle risque fort de dériver vers une bonne mise en cage…

 

Je redoute déjà l’usage de la cb6000, « pour voir, ça fait longtemps que tu l’as plus portée », comme elle a dit il y a quelques jours, pour me tester au petit matin. Erection immédiate, petits coups de poing répétés à l’entrejambe et un petit bisou avant de partir au travail non sans avoir empoigné le paquet, tiré dessus et évalué le résultat d’une claque en travers du tube sur-gonflé qui me tient lieu de béquille nocturne…

 

La suite bientôt sur ce sujet également.

 

 

 

Par Smartbeat
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Jeudi 20 novembre 4 20 /11 /Nov 08:48

Hello,

Si vous avez suivi, vous savez que je suis fraichement remis en cage.

Toujours la CB2000. Elle trouve et moi aussi qu'elle est moins facile à enlever une fois en place que la CB6000 (je ne lui ai pas encore parlé des interstices à ajouter à l'anneau car je pense que ça fait vraiment mal et que ce n'est donc pas sérieusement envisageable au quotidien) et surtout, plus facile à mettre et remettre après un "petit traitement".

J'ai décidé de rien lui demander, d'attendre qu'elle me donne des instructions.

Elle a dû le comprendre parce qu'hier elle m'a suggéré de lui masser les fesses et le bas du dos.

Ca me met dans un état d'excitation incroyable : ses globes fessiers sont fermes et élastiques à la fois, et quand on le masse, on tout l'anus et la vulve s'étirer en même temps : un délice.

Mais avec une cage de chasteté, c'est un supplice.

Sauf que, curieusement, hier j'ai pas bandé comme un taureau, mais juste "bandotté" et elle s'en est sans doute aperçu.

"Je vois que les longues séances de défonce avec un bon cockring commencent à faire leur effet. T' éclater les couilles te permet de contrôler tes érections mieux qu'avant. C’a me plait, mais là, j’avais envie d’une belle bite bien dure. Et ta cage te calme. C’est bête, hein ???"

En vérité, j'en peux plus de son traitement. J'ai envie de la bourrer et de prendre mon pied, comme avant.

Et en même temps, j'aime bien notre jeu actuel, car il me permet d'avoir ma dose de sexe quotidienne.

Je sens sa présence en permanence autour de ma bite et de mes glaouis.

Et c'est à ça que je sais qu'elle a pris le contrôle de ma sexualité de mâle.

 

Ca me plait grave, comme une défonce de cerveau permanente. La partie ou se trouve l’intellect de l’homme : la partie de la tête réservée au cul.

Je continuais de la masser en tentant de provoquer une excitation suffisante pour qu'elle libère mon sexe de la cage.

Je sais quand elle mouille : les fesses deviennent plus souples, se détendent davantage, deviennent chaude et malléables. Ca fait même "tchouic - Tchouic" à l’entrejambe quand elle est mûre.

C'est à cet instant là qu'elle m'a dit : "tu n'oublie pas que tu es mon petit gode vivant j'espère ? Que cherches-tu à faire ? Je t'ai demandé de masser, pas d'essayer de te procurer du plaisir en me tripotant". Tu vois, tu ne bandes déjà plus comme avant. Viens, on va régler ça dans la chambre avec un petit calin", finit-elle par dire d’un air entendu … et enfin plein de promesses…

J'ai compris ce que ça voulait dire : elle allait s'allonger contre moi, chevaucher ma jambe et me claquer les couilles de la paume de la main, jusqu'à ce que la cage soit tendue à mort et me épier mes réactions.

 

Ou me chevaucher comme une folle sans me laisser jouir. Au choix. Son choix.

 

Dans les deux cas la même question : allais-je tenir, être à la hauteur ?

Arrivés dan la chambre, surprise : elle m'a tendu la clef de la cage et demandé de la retirer.

 

J'allais poser une question (ne jamais poser de question, resté groupé et à l’écoute), qu'elle a aussitôt refreinée par un « « chhhuutttttttt !!! » » autoritaire et amusé.

"Couches-toi. Tu vois bien que tu es fatigué mon chéri. On va réparer tout ça. Il faut te reposer et reconstruire ce gentil Kiki. Hein, je ne voudrais pas perdre mon si gentil Gode Humain, n'est pas, c'est bien comme ça que tu voulais être, hein ???"

« Je vais finir ton entraînement et ton découpage en deux : d’un côté un homme, mon mari. De l’autre une bite assorti d’une paire de très grosses couilles : mon Gode Humain. »


J'ai pas discuté et me suis dit qu'il valait mieux dormir et profiter d'un répit sans la cage à bite.

 

Les premières nuits sont en effet toujours difficiles et sur le moment je voyais une seule chose : ainsi, j'étais libre. En la massant encore, je pourrais peut-être la prendre comme au bon vieux temps.

Sitôt couchés, elle s'est collée à moi. Elle m'a demandé de regarder sous l'oreiller : la pompe à vide (dite du Docteur Johnson, celle avec pompe en alu copiée sur le MityVac qui sert à changer le liquide de frein des voitures, avec jauge de pression) !!!

Avec un regard malicieux elle m'a dit qu'il fallait que je sois bien sage parcequ’elle qu'elle voulait me voir gonfler ma queue à mort.

"Vas-y, j'ai envie de te regarder faire. C'est moi qui te guiderai. Allez, hop, Pression Maestro !!!"

C'est un vrai plaisir que de partager ces moments avec celle que vous aimez ! Croyez-moi, après plusieurs années de mariage, on est heureux et fier de se plier à ce genre de jeu.

Je me suis exécuté. Je sais que ça fait du bien de sentir sa queue bien en pression. Elle est bien gonflée, bien grosse. Mais elle bande moins bien après et est très sensible.

J’ai commencé à pomper gentiment.


Et elle a donné ses instructions en se collant à moi, chevauchant ma jambe de côté en y frottant son pubis.


D’abord 200g de pression ; une minute. Puis ajouter 100g, et ensuite tout relâcher.

"Tu aimes quand j'appuie mon genoux dans tes couilles ? Et les béquilles, ça te plait ? Tu n'es qu'un porc. Et un porc obéissant n'est-ce pas ? Mais tu n'auras rien. Rien que de la pression.

Je veux un max de pression dans tes couilles. Et dans ta queue. Alors pompe moi ça mieux que ça. Allez, plus vite que ça Maestro, fais-moi voir de quoi ce Pipeau Magique est capable. »

J'ai donc remis le tube en place et ai recommencé à 200g. Mais elle a saisi la pompe à main, comme subitement énervée, et en même temps, elle a appuyé sur mes couilles avec son genou en commençant des va-et-vient qui m'ont mis la prostate à vide et la bite en feu.

Elle a pompé jusqu'à 300g. M’a souri. «

 

 Tu vois, c’est déjà mieux. Mais on va faire un voyage dans la seconde partie du cadran mon chéri, je sais que tu peux, je suis tombée par hasard sur des jolies photos de ta queue à 500 g dans l'ordinateur ce matin...

Donc je sais que tu peux mieux faire mon loup »

J’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit. J’étais soudain tout rouge, tout penaud.

J'étais pourtant persuadé d'avoir effacé ces photos prises un soir où j'étais seul et en manque de sexe, avant qu'elle ne participe à notre petit programme de traitement de la bite.


Elle m'a grillé et visiblement, la pompe à bite qu'elle avait toujours dédaignée jusqu'à présent lui donne des idées maintenant qu'elle a vu les photos.

 

En mloi-même, j'avais la honte qu’elle ait trouvé ces « self photos » de ma bite pompée à mort. Ca datait de l’époque où j’osais pas lui parler de mes envies et que je m’achetais du matériel d’onanisme pour me branler en cachette devant des films pornos (ce dont elle n’étais pas dupe, mais s’accommodait puisque je lui fichais alors la paix. Ca nous éloignait cependant peu à peu aussi, d’où le présent blog qui expose le remède que nous avons trouvé…)


Elle a relâché son genou et commencé à me mettre des béquilles assez précises, entre les couilles, plaquées au pubis par la pompe qui a aspiré une partie de la peau du scrotum.

Elle est montée à 400g et j'ai protesté car là, ça commence à faire lourd.

"tut, tut, tut !!! Je suis sûre que tu peux prendre plus et je veux te voir bandé quand je te le demande. Donc tu te tais et tu encaisses comme un bon garçon qui aime sa petite princesse d'amour",

"Regarde je vais t'aider à prendre plus de pression : Elle m'a collé la jauge de pression devant les yeux et a recommencé à pomper.

A 500g, presque à froid, c'est l'enfer dans le tube. Mais curieusement, c'est bon parce que ça vient d'elle. Parce que je l’aime comme un fou et qu’elle s’occupe de moi, donc de ma queue (ou vice versa ?)

Elle m'a laissé à 500g environ 30 secondes, puis est redescendue à 200. Est remontée à 400. Descendue à 300. Puis est remontée à 500 g : je ne disais plus rien et acceptait sans problème cette fois.

Elle s'en est aperçu et ma félicité en me murmurant à l'oreille que j'étais un bon petit gode humain, bien malléable mais pas assez explosif. Qu’elle allait s’en charger et le défoncer à mort.

Je dois être "endurant et explosif à la fois". C'est pour ça qu'elle allait prendre mon entrainement en main, avec "tous mes outils de gros porc". Comme cette pompe par exemple. Elle m’a dit qu’elle allait recycler tous mes jouets (dont elle n'a jamais voulu entendre parler jusqu'à présent) et les utiliser elle aussi, mais sur moi : ça m’a fait l’effet d’une bombe, une envie de la défoncer comme une bête.

 

Elle l’a senti et m'a recollé au lit. « Ne bouges pas, j’ai pas fini. Tu es mon homme objet, n’oublies pas. Alors laisse moi cultiver mon gode et le conditionner comme je le veux. »

Elle a relâché toute la pression, détaché le tube, puis elle l’a replacé au plus près de la base de la bite, façon cokring.

 

Elle a commencé à me taper les couilles de sa main libre, de plus en plus vite et fort, tout en montant la pression dans le tube et en frottant frénétiquement son entrejambe hyper mouillée contre ma cuisse.

650g !!!


Elle m'a collé 650g (re!!!) et j'ai rien vu venir. Elle m'a littéralement scotché au plafond avec ses claques dans les couilles et a pompé comme une malade, tout doucement, longuement. Jusqu'à 650g de dépression !!!!!!!!!!

 

Un truc de dingue, une bite énorme, des couilles éclatées.

 

C’est là que, quand t’es un mec, t’en veut encore, t’en peut plus, tu veux tout faire péter.

Mais elle le sait. Et c’est pour ça qu’elle a tout relâché et m'a demandé de mettre la cage en cuir, celle qui fait cockring à la base et tient les couilles au chaud.

Ca fait comme une sorte de ballon dans lequel on place les couilles, puis la bite, et qu'on referme par boutons pression. (voyez la galerie photos pour voir l'objet)



En bref, la cage intégrale en cuir, la nuit c'est aussi infernal qu'une CB2000 ou CB6000 ; sauf que c'est en cuir et que la queue tire sur les couilles en étant plus proche d’une érection complète.

 

 

"Mais avant de t’endormir, viens me lècher, maintenant, gros porc !!!


Et fais-moi bien jouir je te prie !!!"

Je me suis exécuté, ai tiré sur ses lèvres progressivement puis de plus en plus fort, m'attardant sur son clitoris comme elle aime. Et quand elle me l'a demandé, je lui ai mis deux doigts et ai gratté en haut, juste après l'entrée de son vagin, à l'intérieur et ai ajouté ensuite un doigt pour aller au fond et je l’ai baisée aussi fort que j’ai pu avec mes trois doigts (l’effet point G sans doute ?).

 

Un vrai match de boxe dans son intimité, à la vérité. C’est comme ça qu’elle aime dans ces moments là : façon marteau-piqueur !!! Et j’ai mis douze fois la patate parce que j’étais excité comme fou.

Elles est partie d'un seul coup dans des convulsions sans équivoque sur le pied qu'elle venait de prendre, s'empalant sur mes doigts comme une folle.

Avant de s'endormir, elle m'a demandé de garder la cage en cuir toute la nuit, parce que j'avais été un bon garçon, et qu'on verrait demain pour un nouveau programme.

Elle s'est endormie.

J'ai tout nettoyé et rangé.

Y compris ma queue…

La suite demain ???

A bientôt !!!

Smartbeat.




Par Smartbeat
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