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Dimanche 31 août 7 31 /08 /Août 00:01

Coucou à tous,

Je dois maintenant en venir aux explications plus techniques et plus personnelles.

Lors de ma quête de sujets de branlettes, j'ai trouvé matière soit dans mes fantasmes ou dans ma réalité ou ce qu’elle pourrait être.

Ne pouvant partager mes envies avec mon épouse, j’ai lentement dérivé vers des sujets liés au contrôle de la bite.

 

Je me suis d’abord découvert des passions pour les femmes vêtues en latex, caoutchouc, cuir, avec corsets, bottes, cuissardes, masques, cagoules etc…

 

J’ai ensuite dérivé vers ce que cela suggère en fait : soit ce sont des esclaves soit des maîtresses (mais j’aime les deux) et par suite aux relations de domination / soumission, dans lesquelles il apparaît que c’est souvent le dominé qui détient le vrai pouvoir d’ailleurs, et surtout que cela ne fonctionne que s’il existe une relation de confiance en béton entre les être pour que cela fonctionne…).

 

A ne pas confondre avec les vrais masochistes, qui sont capables de se faire démonter la tronche par n’importe quelle créature en noir brillant pour prendre leur pied.

 

J’ai dû me dire que je n’étais pas normal de penser à ça 300 fois par jour et que je devais arrêter de me branler en permanence.

 

J’ai ainsi fabriqué ou acheté des jouets de nature à assujettir ma bite infernale, autour du thème du cockring avec des sangles diverses (en cuir, en scratch, des lacets.

 

Puis j’ai acheté des vrais cockrings dans l’espoir d’intéresser ma femme à mes soucis de queue, mais l’accueil a d’abord été moqueur, avec la phrase qui tue : « si ça te fait plaisir » !!!

 

La c’est affreux.

 

D’abord parce que d’un seul coup, on se sent très seul … et très con ; le tout la bite à la main.

 

Ou plutôt sur l’oreille, façon « j’me la fumerai plus tard ».

 

Et ensuite parce qu’on a à ce moment précis une interrogation majeure : mais qu’est-ce qu’on fout ensemble si elle ne veut pas avoir un minimum de considération pour ma condition de mâle.

 

C’est très grave parce qu’on aussi envie de se taper la première poufiasse qui passe et de se barrer avec.

 

Comme quoi, chez les mecs, c’est bien la queue qui dirige tout.

 

Mais bon, comme ma Déesse je l’aime fort, je n’ai pas cessé de lui faire plein de cadeaux et de gentillesses et n’ai pas cédé à l’envahisseur.

 

Elle est d’ailleurs particulière parce que quand je lui ai parlé d’éventuelles escapades extérieures, elle m’a répondu qu’elle s’en moquait, du moment qu’elle n’en savait rien.

 

De mon côté, je que j’ai compris c’est : fais ce que tu veux, mais gare à ta gueule.

 

Et surtout, je suis incapable de la tromper parce que je l’aime vraiment très fort. En vérité, je ne désire personne d’autre qu’elle ; les films de boules c’est bien pour les fantasmes, mais pas dans ma vraie vie.

 

Là c’est différent. Ce que je veux, c’est qu’on partage des trucs intimes, pas qu’on s’éloigne un peu plus sur ce terrain là.

 

Comme elle le sait, elle m’a donc un peu plus cadenassé psychologiquement.

 

Et puis je suis tombé sur le site d’Elise SUTTON et ceux liés à la frustration masculine : abstinence, cages de chasteté, orgasmes ruinés, milking de prostate etc…

 

Je me suis dit Euréka !!! C’est ça le truc, et j’ai aussitôt voulu essayer une cage de chasteté.

 

C’était là le moyen efficace de mettre fin à mes divagations fantasmatiques et par même mes branlages intensifs.

 

Je lui en ai parlé voici un an et demi bientôt et elle m’a autorisé à faire l’acquisition d’une CB2000. Je l’ai en fait très peu utilisée, parce qu’aussitôt reçue, elle m’a dit : « tu en fais ce que tu veux, moi je veux rien savoir ».

 

Comme d’habitude quoi …

 

Mais cependant je lui en ai parlé régulièrement, pour m’aider à gérer mes pulsions, lui reconnaissant volontiers que je n’étais qu’un vulgaire porc avec des besoins dégueulasses etc… (ce qui est vrai en fait ?!?!...).

 

Puis j’ai un jour acheté un modèle tout en cuir plus confortable pour la journée, mais tout aussi sauvage la nuit venue au niveau de l’interdit d’érection.

 

Il s’agit d’une sorte de ballon en cuir dans lequel on glisse les couilles, et, si on le souhaite, la bite aussi. En ce cas, ça fait cage de chasteté. Mais on peut aussi se contenter de ne serrer que les couilles dans ce joli paquet. En de laisser dépasser la bite.

 

Elle a assez rapidement apprécié le principe de bien tenir mes couilles au chaud rien que pour elle et accepté que je le porte pendant la nuit, le suggérant d’elle-même parfois : « laisse tes Cougnettes au chaud, ça leur fera du bien ».

 

J’ai quand même continué à me branler sur Internet et à collectionner une foultitude de films hard à thèmes classiques mais aussi de plus en plus orientés dominatrices, tout en le lui disant à mots couverts, de peur de l’importuner ou de me faire jeter de nouveau.

 

Un beau jour, je lui ai proposé, puisque cela l’ennuyait et que j’avais quand même des besoins, au moins matinaux, de me branler à ses côtés.

 

Elle a semble-t-il apprécié le rôle de voyeuse et depuis, je lui fais régulièrement ce qu’elle appelle des « petits spectacles » en éjaculant (… ou pas, nous y reviendrons) pour elle.

 

Ca a été le déclencheur d’une nouvelle vie amoureuse.

 

Les hommes aiment généralement voir jouir les femmes, apprécient de les voir se caresser ou se goder pour eux, les relations lesbiennes.

 

Et bien elle, c’est la même chose mais à l’envers : elle prend son pied à me voir en action et à tout savoir de mes émotions.

 

Sur cette base, elle a progressivement pris le contrôle de mes orgasmes, les voulant à répétition pour être bien vidé à mort ou au contraire me demandant d’arrêter en cours de route, ou au moment crucial. De reprendre plus tard, quand je serai bien sage etc…

 

La flamme dans son regard dans ces moments là ne laisse aucun doute sur son intérêt pour ma queue en feu et j’adore ça !!!

 

Une fois, je lui ai dit que j’avais les couilles en feu et qu’il fallait « faire quelque chose pour moi quand même ».

 

La réponse fût surprenante et n’en finit plus depuis d’être dérangeante : « Couilles en feu ? Et bien éteignons les mon Chéri !!! »

 

J’ai reçu une bonne cinquantaine de claques sur les couilles, de force et direction variée et ce qui était un jeu au départ s’est transformé en véritable feu d’artifice : une explosion de premier ordre !!!

 

J’ai été le premier étonné parce que d’ordinaire, je suis très sensible et craintif à cet endroit.

 

C’est toujours le cas d’ailleurs, mais j’ai progressé dans ma résistance depuis que j’ai réalisé, mais elle aussi, que j’étais soumis à mort dès qu’on les tape.

 

Me faire frapper les couilles m’oblige aussitôt à me tirer frénétiquement sur la nouille, pour que ça cesse, et évidemment, elle ne tarde pas à exploser ; c’est ça qui lui plait : les battre pour déclencher un pètage de bite sans pitié et incontrôlé, sauf par elle.

 

Et depuis que je lui ai dit qu’ensuite, j’avais une gaule d’enfer pendant plusieurs heures et que cela occasionnait en fait des orgasmes insatisfaisants, elle adore ça de plus belle !!! Et ne se prive plus de m’utiliser comme une lance à incendie à allumage rapide.

 

Quand elle me brise les noix, avec ou sans éjaculation le résultat est le même que si j’avais un orgasme : en fait tout l’appareil génital se tend à mort en réaction de défense aux coups répétés, comme si la longueur d’onde de la sensibilité des parties changeait et la sensation est alors voisine de celle ressentie lors dune longue éjaculation, sauf que l’extrême tension est continue et bien plus intense.

 

Ca doit être proche de ce que l’on appelle l’effet de plateau chez la femme, un orgasme masculin qui n’en finirait plus et se répliquerait à l’infini.

 

Et ans ce cas de figure, si elle le souhaite, elle maintient ou accroît la pression de sorte que, s’il y a éjaculation, elle n’est pas ressentie comme satisfaisante au regard de l’intense sollicitation subie jusque là.

 

Quand la phase de rétractation commence, c’est comme si je n’avais pas eu d’orgasme : l’envie est toujours là, mais en plus fort, parce que l’effet mémoire des coups continue d’irradier le bas ventre.

 

Depuis que lui ai expliqué le phénomène, elle expérimente une nouvelle phase qui semble beaucoup l’amuser : me laisser frustré après m’avoir méthodiquement démoli, pour un temps qui peut être plus ou moins long.

 

Et croyez-moi, je n’ai plus aucune envie de me branler sans lui en parler.

 

Elle m’y autorise cependant, mais je ne peux pas jouir sans son accord.

 

Ou parfois au contraire il faut que j’explose un maximum de fois dans la journée (Elle appelle ça mes petites récréations) et que je lui fasse un rapport détaillé.

 

Et me précise toujours de bien en profiter parce qu’après, couic, plus rien pendant un temps variable, sauf bourrage de couilles de temps en temps, « pour faire patienter », comme elle dit.

 

Depuis janvier 2008, j’ai ainsi vécu trois périodes d’abstention d’orgasme supérieures à un mois. Et entre ces durées, je ne jouis pas tous les jours et dois me contenter de me traire ou faire traire selon son bon vouloir.

 

C'est-à-dire qu’il faut cracher aussi vite que possible, ou au contraire juste caresser pour mettre de l pression dans le tuyau. Elle me démarre à la main et me demande de finir, explosant un peu les couilles ou non, selon son humeur.

 

Vous vous doutez bien qu’il est difficile de résister à ce traitement et que je deviens chaque jour davantage son esclave sexuel.

 

Surtout si je vous précise que nous avons des relations sexuelles en moyenne une fois par mois, elle n’a pas besoin de plus.

 

Lors de celles-ci, c’est toujours le même cérémonial : je dois la faire jouir, avec mes doigts ou ma langue ; et quant elle est prête à jouir, je dois la prendre sans ménagement.

 

Son plaisir est égoïste, comme un Mec et j’adore ça !!!

 

Encore une fois, c’est elle qui me baise, et non l’inverse…

 

Son truc absolu, ce serait que je jouisse à l’intérieur de son vagin dès que je rentre, après un ou deux allers-retours.

 

Elle, elle est généralement bien chauffée par mes préliminaires et elle aime me sentir gicler, faire « tchouic-Tchouic » comme elle dit, aussitôt qu’elle prend son pied.

 

Je me dois d’être son homme objet : à la fois une bonne bite, bien chaude et endurante quand elle a envie de se mettre ou faire mettre – et un véritable éjaculateur précoce sur commande.

 

Son rêve serait que je jouisse vraiment sur commande, comme une petite chienne, avec un bouton de commande.

 

Elle a trouvé le chemin du pouvoir et me tient désormais littéralement « par les couilles ».

 

Ce traitement fait peu à peu de moi homme discipliné et je ne lui demande plus jamais de faire l’amour, car je sais que c’est inutile.

 

Je propose juste d’utiliser mes cockrings de temps en temps, selon qu’elle veuille me laisser jouir ou pas, parce que ça permet de mettre davantage de pression dans la bite et donc de remettre la sensation à niveau par rapport à la jouissance que je ressens quand elle m’éclate les couilles.

 

 

Mais là, ça fait un mois depuis mercredi qu’elle ne m’a pas fait ni laissé exploser.

 

 

Avant de partir en vacances pour deux semaines, nous n’avions déjà pas fait l’amour depuis presque deux semaines.

 

Et la fois d’avant,  j’avais eu droit à une période d’abstinence d’un mois et trois semaines.

 

La dessus, nous n’avons rien fait du tout pendant nos quinze jours de vacances, sauf des claques aux couilles de temps en temps, histoire d’entretenir « la légende de Nessie ».

 

Je lui ai quand même reparlé de mes besoins et suggéré d’utiliser la cage pour m’aider à supporter l’abstinence et lui permettre de contrôler définitivement ma queue.

 

A ma grande surprise et satisfaction, elle m’a accordé ce privilège et a semblé trouver que, finalement, cet appareillage avait du sens.

 

Je suis rentré à Paris une semaine avant elle et je vis donc en cage depuis lundi 25 août 2008 à 9h45.

 

La taille de mes couilles a dû augmenter significativement avec l’abstinence parce que j’ai dû mettre un anneau plus grand.

 

Les premières nuits ont été difficiles, car la cage comprime la queue et les couilles lors des érections nocturnes. Je me réveille vais faire un tour, bois un coup, pense à elle, et ça me donne toutes les raisons du monde pour rester dans ma cage.

 

Il faut dire que les érections se calment les jours suivants.

 

La Cb2000 que j’avais mise de côté et ressortie pour l’occasion est un peu courte et permet à mon goût de bander et se toucher quand même un peu trop facilement.

 

Je respecte mon contrat et ne le fais pas, mais, j’en ai fait part à ma chérie avec l’accord de laquelle, j’ai commandé aux US la nouvelle Cb6000 pour essayer puisqu’on la dit plus « confortable » : elle semble plus étroite un peu plus longue.

 

Nous verrons bien le moment venu.

 

Elle m’a demandé de lui faire un rapport précis de mes pensées sexuelles, une sorte de journal intime, en quelque sorte.

 

J’ai donc commencé sur ce blog en attendant qu’elle rentre, pour qu’elle puisse me lire quand elle veut, où elle veut.

 

Je suis impatient de pouvoir l’embrasser et la chérir.

 

Je ne sais pas si elle va me laisser la CB, me mettre la cage à Cougnettes en cuir ou me demander de me contrôler sans rien.

 

Je m’en fous en vérité : du moment qu’elle me donne des instructions, je les respecterai.

 

La cage est juste un moyen de la sentir plus près de moi à chaque instant : croyez-moi, vous n’oubliez jamais longtemps que vous êtes appareillé. Ca peut d’ailleurs être qualifié d’autant jouissif que frustrant.

 

Bref si je suis impatient de son retour, je ne sais pas si elle va me laisser encore patienter pour battre notre précédent record de durée sans éjaculation, si elle va vouloir me vider ou me remettre en pression à coups de pompe.

 

J’ai oublié de vous dire que depuis quelques temps elle se lâche et me défonce les couilles à coups de pied, de genoux ou de pompe à l’improviste.

 

Le drame, c’est que je suis devenu accroc : j’aime tellement ça que je lui demande dès fois dans la journée de me latter les partie un ou deux bons coups ; ça fait patienter et ça remplace une branlette, sans doute pour les raisons que j’ai expliquées plus haut.

 

Je me mets à genoux, à ses pieds ou devant elle jambe écartées ce qu’il faut et elle me latte.

 

C’est aussi simple que ça. Mais il faut voir ses yeux qui pétillent de tenir les couilles de sa petite chienne de mari au bout de ses chaussures ou de ses genoux.

 

Et moi je suis ébahi de tant de sollicitude de sa part car j’ai toujours peur qu’elle me dise « non, tout à l’heure si tu es sage… ».

 

Il est vrai que « tout à l’heure » n’arrive jamais.

 

Et d’ailleurs si je ne sais pas si elle va s’occuper de moi à son retour, je n’ai aucun droit de l’évoquer et dois me contenter de garder ma queue disponible pour elle et me contenter de continuer à lui rapporter mes idées salaces de la journée ou de la nuit, comme elle me l’a demandé.

 

C’est en fonction de ça qu’elle mesure le degré de sève dans mes burnes et juge du bien fondé d’une session de vidage, d’astiquage et contrôle de la bite, ou encore de ruinage d’orgasme en règle (je vous expliquerai plus tard de quoi il s’agit).

 

Alors en attendant, je lui transmets mes idées interdites par SMS, comme elle me l’a demandé.

 

Vous les trouverez en newsletter, comme ça vous pourrez vous aussi juger de mon état de lubricité et dire si je dois ou non recevoir un traitement et lequel.

 

Vos suggestions sont les bienvenues.

 

A bientôt.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Smartbeat
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Jeudi 28 août 4 28 /08 /Août 17:35

Ceci est le premier article de mon premier blog, soyez donc magnanimes.

Il est l'aboutissement d'un long processus, et est écrit pour satisfaire les instincts inquisiteurs sinon voyeurs de mon épouse.

Schématiquement, j'ai, comme beaucoup d'hommes, de gros besoins sexuels tandis ceux de ma femme, à l'instar de beaucoup d'autres, sont à la fois moins nombreux et plus orientés "calins" que cul pur et dur (encore que, certaines fois, elle apprécie d'être prise sans ménagement et doit être proprement "démontée" pour prendre son pied).

La puissance et la fréquence de mes érections perdure depuis mes 11 ans, et si je ne me tire pas sur la nouille au moins trois fois par jour, je ne me sens pas bien. Je ne jouis pas forcément, mais, c’est plus fort que moi, il faut que j'active mon bazar.

Ma femme s'est peu à peu fatiguée d'éteindre ces feux perpétuels et nos relations se sont espacées.

Nous nous aimons l'un et l'autre d'un amour que je souhaite à beaucoup d'autres couples ; simple, sincère, évident.

Et c'est ainsi que nous avons commencé à devoir gérer notre "différentiel de Libido" de manière originale.

J'ai de mon côté toujours été attiré par les lectures érotiques et pornographiques, de sorte qu'aucune pratique ou "déviance" (j'ai horreur de ce terme parfaitement intolérant) ne m'est plus inconnue.

L'avènement d'Internet a d'ailleurs facilité l'assouvissement de mémorables branlettes sur supports informatique en tous genres.

Et plus on en a, plus on en veut, donc j'ai progressé dans mes désirs et besoins, aggravant l'écart de sexualité préexistant entre nous.

De son côté, ma femme était plus que classique : pas de tenue aguicheuse, pas de fétiches particulier, pas de jouets, amour exclusivement au lit, petit Jésus nulle part ailleurs que dans la crèche, pas de film ou sujets érotiques ; même pas un petit striptease de temps en temps.

Je ne la délaissais pas pour autant et je l'aimais très fort dès qu'elle en manifestait l'envie ... et je me branlais dès que je pouvais, focalisant sur des sujets que je qualifierais de plus en plus éloignés du petit séminaire.

J'ai la sensation qu'elle a été longtemps malheureuse de ne pas pouvoir me satisfaire. 

Et de mon côté j'ai également été malheureux de ne pas être en mesure de l'amener à dépasser le stade de la vie de couple hyper classique décrit ci-avant.

A tort peut-être, mais je ne me suis pas contenté de ses affirmations réitérées selon lesquelles "elle était parfaitement heureuse comme ça et ne voyait pas l'intérêt de chercher la complication".

Mes demandes réitérées la rendaient en fait malheureuse et m'en apercevoir me mettait dans le même état.

Jusqu'à ce que je découvre un truc : elle appréciait de participer, activement ou en voyeuse à mes séances de branlette.

Ainsi donc je découvrais avec bonheur qu’en fait, comme on dit dans les Bronzés : « elle aime la bite la gamine ! »

Ce n’était pas pour me déplaire et je me suis mis à tout lui dire de mes pulsions, tandis qu’elle ne tardait bientôt plus à décider non seulement de la fréquence des mes frénétiques astiquages mais aussi de leur qualité et caractère satisfactoire … ou non.

Elle exigeait ensuite un parfait respect de ses prescriptions : éjaculation ou pas, contrôle de ma queue, mais aussi et surtout de mes couilles.

En effet, elle a progressivement pris goût à me les exploser du jour où elle a découvert que ces dernières ont la faculté de se muer en bouton magique pour me faire jouir et/ou me frustrer à mort selon qu'elle les frappe plus ou moins fort et/ou rapidement.

Autre technique développée pour traire ma queue : la branler à mort, puis, la frapper violemment au moment de l’orgasme ou au contraire abandonnée au moment même où elle aurait besoin d’être entretenue pendant l’extase.

Elle a ainsi développé une technique très efficace pour déclencher des orgasmes « secs » et violents, irrésistibles : en tapant dedans sans vergogne, avec ses mains, ses genoux, ses pieds (voir mes liens Ballbusting et CBT), elle provoque une éjaculation sans réelle jouissance.

Au contraire, la défonce de mon service trois pièces génère ensuite des ondes puissantes qui perdurent et renouvellent mon envie de plus fort, aussitôt l’éjaculation sèche terminée.

Retour à la case départ : Je suis frustré à mort par ce traitement.

Mais au moins, cet état résulte d’une activité commune avec mon Amour.

Une forme un peu particulière de sexualité, mais j’ai peu à peu compris que pour qu’elle se lâche, il fallait que je m’abandonne à son bon vouloir.

C’est ainsi qu’elle a pris le contrôle de m asexualité et très abondamment explosé, demandant que je lui confesse peu à peu mes fantasmes pendant les « traites » qu’elle effectuait de main de Maître.

Elle sait maintenant que je fantasme sur des Maîtres/Maîtresses et/ou des esclaves en Cuir, Latex, PVC, des jeux de domination/soumission, que j’aime les accessoires sexuels.

Je me suis documenté sur les pratiques suivantes dites de « Cock Control » ou « Tease&Denial » ou « ruined Orgasm ».

En clair, il s’agit pour la femme de contrôler la sexualité de son homme, selon les préceptes très bien exposés par Elise Sutton (http://suprematiefeminine.over-blog.com/).

Le principe est simple et il se résume ainsi Copie du Site de E Sutton en Français) :

Q. Qu’obtenez-vous en privant votre mari de ce que tous les hommes considèrent comme un droit, celui de jouir fréquemment ? Pouvez-vous l’écrire afin que les autres femmes le comprennent ? Cela vous donne-t-il le sentiment ultime de supériorité de la femme ? Votre mari a-t-il beaucoup de plaisir à vous donner le vôtre ? 

A. Une évolution touche toutes les femmes qui expérimentent ce style de vie. La plupart commencent timidement, peu sûres d’elles. Puis elles commencent à dépasser leurs inhibitions et embrassent le coté dominant de leur personnalité. Elles commencent à aimer à dominer et contrôler. Avec le temps, l’appétit grandit. Elles demandent plus de contrôle, plus de pouvoir. L’interdit d’orgasme d’un homme est vraiment un afflux de pouvoir. Les femmes qui pratiquent ce style de vie apprennent qu’un homme sexuellement satisfait est égoïste, mais qu’un homme frustré est très obéissant. Les hommes sont bien plus faciles à contrôler et à dominer quand ils sont interdits d’orgasme. Cela rend la vie d’une domina bien plus plaisante. Quand un homme a joui, il a une période de baisse de régime et son enthousiasme pour servir diminue. Je suis excitée à la pensée de posséder un contrôle aussi total sur mon mari. Nous avons un dicton à la maison : « le sexe est fait pour le plaisir de la femme ». Nous le pratiquons et faisons de l’interdit d’orgasme une réalité. Est-ce que cela me donne le sentiment ultime de supériorité de la femme ? Oui. Mais cela ne fonctionne que si le soumis aime cet échange de pouvoir. Vous ne pourriez jamais frustrer un homme qui n’est pas excité par la domination féminine. Je nourris la soumission et l’excitation du soumis. Mon mari a désiré se rendre à moi, j’ai pris la mesure de ce désir, et j’ai désiré bien plus. J’aime savoir que mon mari va me donner plus de plaisir qu’il ne va en recevoir. Cela me donne un vrai sentiment de pouvoir. Il a été éduqué par moi pour que sa satisfaction soit de savoir que je suis totalement satisfaite sexuellement. Je peux dire qu’il est troublé si je n’ai pas eu ma dose d’extase. Il a bien plus de satisfaction à plaire à sa Reine, c’est ainsi que cela doit être ! 

Cela résume parfaitement les relations qui se sont peu à peu instaurées entre ma femme et moi.

Et ce Blog a pour objet de vous faire partager au travers du Journal Intime qu’elle m’a demandé de tenir, toutes les sensations et aventures que nous vivons depuis que je m’en suis remis à sa volonté.

Je dois également y consigner mes activités et pensées malsaines.

Mes punitions et mes récompenses figureront naturellement en bonne place.

A suivre donc.

N’hésitez pas à nous aider à faire évoluer notre relation en apportant vos commentaires.



Par Smartbeat
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