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Mardi 28 juillet 2 28 /07 /Juil 15:15


Chers Amis,

Je n'y comprends plus rien.

J'ai la tête en feu. Et le service trois pièces aussi.

Ce matin au réveil, Madame m'a tapoté les couilles, gentiment, sans trop de violence.

Je lui ai apporté son petit déj' et elle m'a demandé de me branler, sans jouir.

Je restais à la maison aujourd'hui et elle m'a ordonné de me branler sur internet jusqu'à, son retour ce midi, mais sans autorisation d'éjaculer.

A son retour vers 13h00, j'étais donc assis dans le bureau en train de me tirer sur la nouille, comme un con mais la tête en feu.

Elle a contrôlé les pages regardées, l'air satisfaite.

Elle a fermé les pages et le navigateur tout en me donant instruction d'aller me mettre en cage : "la Grande, durée indéterminée mon chéri, maintenant que tu es bien énervé, il va falloir te calmer !!!"

Nous avons déjeûné, et avant de retourner à son travail, elle m'a gratifié de quelques coups de genoux tout en m'embrassant très goulument.

"J'aimerai bien que tu mettes un gros poids autour de tes couilles en plus de la cage, je suis sûre que tu peux faire ça pour moi, n'est-ce pas ?"

Je suis resté bête...

Et me voici donc de nouveau en cage avec un gros poids de 650g autour des couilles.

C'est très douloureux et très désagrable.

Surtout que je dois aller faire les courses cet après-midi, selon la liste qu'elle m'a donnée ...

J'ignore la suite et me sens un peu désemparé devant cette subite envie extrèmement dure de Madame.

Mais je ne manquerai pas de vous conter la fin de cette épreuve.

A bientôt,

Smartbeat
Par Smartbeat
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Lundi 27 juillet 1 27 /07 /Juil 10:02
La frustraation atteint maintenant son comble.

Je suis en permanence au bord de l'explosion.

Nous avons passés la mi-juillet et toujours pas d'éjaculation.

Seuls à la maison, sans les enfants, le dressage s’est poursuivi de manière plus régulière.

Madame est maintenant à la fois très détachée, et très impliquée.

Cette situation me laisse ruminer mon envie de jouir et la peur qui avec à loisir tout au long de la journée et de la nuit.

Je me remémore depuis quelques temps la genèse de cette situation, ce qui me permets de mesurer le chemin parcouru ensemble et d'en tirer l'analyse qui suit.

elle démontre que Madame domine notre sexualité depuis longtemps déjà. depuis toujours même.

La clef  de tout ceci n'est finalement pas son absence d'apétence au sexe, mais sa manière particulière d'en profiter.

Elle est à la fois détachée et précipitée à obtenir un orgasme.

Ce que je n'avais pas compris en voulant lui imposer des séances répétées et longues de jambe en l'air.

Détachée comme du temps où "le sexe ne l’intéressait pas".

Je ne l'avais enfait tout simplement pas comprise.

Je ressentais alors que mes demandes étaient, en elles-mêmes, autant de corvées pour elles, lesquelles finissaient certes par produire leurs effets une fois « chauffée » et au cœur de l’acte, mais tout se passait, de mon point de vue, comme s'il s’agissait pour elle d’une obligation et non d’une envie conçue et désirée de partager du sexe avec son Mari.

Cette attitude que je prenais pour du détachement consistait en fait pour Madame à tenir à distance le moment où l’acte sexuel, le rite et le cérémonial qui vont avec allait devoir trouver un temps comme une obligation – un temps inutilement gâché.

Il s'agissait en fait d'un temps nécessaire pour elle à préparer l'acte, comme un gros élastique que l'on tend avant de le relacher.

En effet, arrivait alors le moment où « il faut y aller » et où elle prenait (enfin?) l’initiative de « se laisser faire » (vous remarquez la contradiction ?), demandait de la queue, du coup de boutoir, de la langue, des doigts, et pour finir, du sperme giclant au fond de son vagin...

Paradoxe suprême pour une indifférente au sexe, une fois au cœur de l’acte, Madame démontrait une extrême appétence à jouir le plus vite possible, avec un acharnement confinant à la volonté d’en finir au plus vite pour reprendre le cours « normal » de l’existence.

Nul doute qu’elle en profitait également pour attraper quelques soleils de bonheur au passage – mais ceux-ci arrivaient toujours trop vite pour je puisse réellement en profiter.

Pour finir, elle me lançait irrémédiablement un « Viens » !!! qui sonnait pour moi le moment de lâcher ma gourme, peu important que ce soit satisfaisant ou pas, précisément au moment où je commençais à sentir son con se resserrer autour de mon manche.

Je crois que déjà à l’époque, elle prenait son pied à savoir qu’elle me frustrait dans ma jouissance.
Qu'elle en commandait l'instant.

Je crois aujourd'hui que je suis au bord de la jouissance à la moindre sollicitation de mes couilles, que je comprends enfin ce qui animait Madame au plan sexuel, son fonctionnement, et que je comprends finalement ce que j'ai interprêté longtemps comme "notre différentiel d'apétit sexuel".

Il ne s'agit en fait pas de différence d'envie, mais d'envies différentes, cadencées autrement ; Nuance...

Et c'est là que j'ai fait fausse route quand d’autres fois, les plus nombreuses à vrai dire, je la bourrais comme un âne tandis qu’elle attendait que ça se passe, l’air complètement détaché, se contentant de me donner le feu vert pour je crache.

C’est parce que je lui ai exprimé ma frustration, que je pouvais tout aussi bien me branler dans mon coin qu’elle a commencé à me traire régulièrement.

Qu’elle y a pris du plaisir, qu’elle a appris à me mettre en pression au moyen de garrots divers et à exiger de contrôler mes éjaculations, puis ma sexualité toute entière.

Elle a bien vite appris à m’étirer les couilles – cela occasionne chez moi une érection bien ferme quasi immédiate et mécanique.

Puis un jour, elle a pris le contrôle après avoir testé la bonne blague de la bouteille de ketchup, que vous avez sûrement tous entendue un jour :

C’est l’histoire d’un couple de très jeunes ados.
Le garçon demande à la fille de lui faire une fellation. La fille ne veut pas.
Il lui demande alors de lui faire une branlette au moins. La fille ne sait pas.
Le jeune homme s’empresse de lui expliquer : c’est très facile, tu imagines que c’est une bouteille de Ketchup, tu la secoues et fais comme si tu voulais le faire sortir.
La fille un peu timide au début s’empare de la queue de son petit ami et se met à secouer.
Puis elle prend de l’assurance et PAF! PAF! PAF!
Elle se met soudainement à taper sévèrement sous les couilles, comme elle le ferait avec le cul de la bouteille…

Cette histoire, racontée lors d’une soirée avec des amis, a manifestement beaucoup plu à Madame et lorsqu’elle a voulu essayer, d’abord pour plaisanter, ce fût une révélation … et le début de la prise de pouvoir.

Elle s’est ensuite engaillardie, s’est informée sur la frustration masculine, a découvert le site d’Elise SUTTON, le principe de la cage de chasteté, la puissance que procure le ballbusting etc…

Le détachement avant l’acte est toujours le même aujourd’hui, sauf que, lui ayant abandonné le contrôle de ma sexualité, elle entre aujourd’hui en action très simplement, directement et rapidement, sans préliminaires, à la manière d'un Mâle dominant, en quelque sorte.

Et depuis la semaine passée, j’ai toujours droit à mes 4 ou 5 séances de pompage de bite, toujours selon le même mode opératoire.

Sans prévenir, elle se contente de me dire : allez, hop, hop, hop : en position, on pompe. !!!

Et je dois me mettre devant elle avec le matériel en place, de sorte qu’elle n’a plus qu’à pomper et à donner ses instructions.
Ou encore « allez, traitement des couilles » : et je dois me mettre à genoux, jambes écartées et mains derrière la tête, de sorte qu’elle n’a plus qu’à me latter en rythme, selon son humeur.

Et depuis 10 jours, cette alternance pompage extrème de la bite et ballbusting, toujours avec le même détachement initial, me rend dingue et frustré comme jamais.

Je ne contrôle plus ni mes couilles ni ma queue.
J’ai la sensation que les deux sont sur-gonflés, sur-sensibles et insensibles en même temps.

Je n’en peux plus et elle le sait bien.
C’est là qu’elle prend vraiment son pied (et moi avec ???), quand elle m’emmène au bout du tunnel et repousse mes limites comme le ferait un maître carrossier façonnant une tôle en en repoussant le métal à coup de marteau.

Chaque coup de pied et chaque coup de pompe me défoncent le cerveau et repoussent les limites de l’explosion au-delà de ce que j’avais pu imaginer.

Madame prend maintenant vraiment son pied à me forger une résistance hors du commun et une sensibilité à fleur de peau.

Je le vois dans son regard, qui passe du détachement à l’incandescence totale lorsqu’elle m’intime l’ordre de me mettre en position.

Et rien que cela représente pour moi le plus beau des cadeaux : celui d’un moment partagé avec ma douce.

Smartbeat
Par Smartbeat
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Jeudi 16 juillet 4 16 /07 /Juil 08:51

"Tu as envie ?

C’est très mal. Je ne t’ai rien demandé.

Il suffit que je te laisse en liberté, que je te retire ta cage de chasteté pour que tu imagines reprendre le contrôle ?

Eh bien non mon petit chéri, ta queue, c’est moi qui la commande.

Tes couilles grossissent à vue d’œil et tu sais pourquoi ?

Parce qu’elles aiment se faire défoncer. Claquer. Tirer, martiriser.

Etre surchargées, autant qu’être aplaties. Sur-tendues autant qu’épuisées.

Laisse-les donc attendre, mariner, espérer.

Quand je jugerai qu’elles sont mures, je les travaillerai en profondeur, sois-en certain, mais seulement quand j’aurai la certitude que mes ballbustings se termineront à coup sur en purge expresse.

D’ici là, je vais te dresser à tenir la pression.

Tu bandes ? Je pompe !!!

Tu débandes ? Je pompe !!!

Tu es mûr ? Je pompe !!!

Tu n’en peux plus ?

Alors seulement je te défoncerai comme un porc, et tu auras intérêt à exploser, exclusivement au travers des délicatesses que je prodiguerai avec délice à tes pauvres couilles.

En attendant, apportes-moi la pompe à vide.

Je la veux toujours à proximité, prête à t’aspirer, à te mettre en pression.

C’est compris ?

Vas, j’attends."

Elle s’est installée sur le canapé, les jambes largement écartées, genoux relevés, impudique.

A mon retour avec la pompe, elle m’a fait mettre à genoux face à elle.

Ma queue introduite dans le tube posé sur son entrejambe, elle m’a pompé à 200 grammes.

Puis elle a placé la pompe sur son sexe, voilé d’un short en satin mauve des plus excitant, s’est frottée avec la poignée, dessinant les contours de ses grandes lèvres, lissant le pli de son antre au travers du short, sans me quitter des yeux, un regard pervers et entendu animant tout son être, jusqu’à ce qu’une tache humide apparaisse à son entrejambe.

Après de longues, très longues minutes elle a commencé à pousser la pompe de plus en plus fort contre sa chatte.

Son index posé sur ses lèvres, à l’entrée de sa bouche, qui m’est interdite depuis toujours, elle a appuyé le levier de la pompe par petites touches contre sa vulve mignonne, ajoutant gramme après gramme à la pression bientôt insupportable imposée à ma pauvre bite, tendue à mort et inutile.

Titillant maintenant de sa langue le doigt porté à ses lèvres, et appuyant franchement sur la gâchette de la pompe, elle s’est redressée pour débrancher le tuyau et me laisser ainsi, queue pompée à mort dans son tube étroit.

Elle s’en est saisie, sans me quitter des yeux, m’a attiré à elle pour placer le tube à l’entrée de sa chatte.

"Tu as envie, hein ?

Tu es un gros porc, n’est-ce pas ?

Tu grimaces, tu as mal ?

Hein bien j’ai envie de te sentir enfermé dans ton tube.

Tout cet afflux de désir dans ta queue surchargée va bientôt redescendre directement dans tes couilles, quand tu débanderas sans avoir rien eu.

Elle vont travailler pour absorber cet excès de désir. 350 grammes pour aujourd'hui.

Et je vais les charger à mort régulièrement, jusqu’elles débordent et que tu me supplie de les défoncer.

Quand elles seront en béton à force de prendre des kilos, je suis sure qu'elle seront à même de ramasser une vrais bonne séance de ballbusting."

Tout en me donnant le menu, elle s’est frottée au tube, mon sexe douloureux n’en pouvant plus ; trop de pression.

Et le plus terrible a été quand elle a entrepris de s'enfoncer le tube dans la chatte.

Un truc de fou.

Je n’en reviens toujours pas.

Elle s’est godée sur ma bite entubée, sans pudeur, sans aucune retenue.

J’ai pris un parpaing derrière la tête quand elle s’est ouverte, poussant le tube à dans son vagin surtendu, le doigt porté de sa bouche à son bouton d’amour, me demandant sans détour :

" Tu as envie ?

Eh bien vas-y, bourre mon chéri, défonces moi.

Vois comme je t'aspire.

Même tes couilles sont pompées dans le tube.

Tu le sens ?

Tu vois ta queue gonflée sous globe ?

Tu te rappelles des sensations quand tu me baises ?

Tant mieux parce que c'est tout ce à quoi tu auras droit.

Regarder.

Regardes..."

Elle s'est enfoncée jusqu'à mi-tube.

Sanss aucun effort apparent, sur ouverte comme je ne l'avais jamis vue.

Je ne savais plus quoi  faire.

C’était obscène, délirant.

J’étais désarçonné.

La bite me faisait mal. Très mal.

J'aurai voulu être débandé. Ailleurs.

J'étais déjà ailleurs ; dans sa chatte mais ailleurs... Dans mon tube, isolé de toutes les sensations qui auraient dû aller de pair avec le coït.

Et je me suis mis à la limer en rythme avec le tube.

J’étais même surpris qu’elle puisse le prendre avec autant de facilité.

Elle a joui après une vingtaine de va et vient seulement.

Au moment où elle m’ordonnait de remettre mon harnais à couille : « aussitôt le tube retiré. Comptes jusqu’à 100. »

Elle a explosé à 46.

Et moi j’ai continué de compter.

Elle, elle s’est endormie.

J’ai retiré le tube à 100.

Désespéré et heureux en même temps.

Et quand la pression s’est évacuée de ma queue, j’ai senti le désir s’installer de manière lancinante dans mes couilles, comme si elles faisaient garrot et retenaient toute la poids de la pression imposée.

Je les ai sanglées dans leur harnais pour me sentir bien.. J'avais paradoxalement besoin de remonter le pression. De ralentir la descente. Les premiers effets du manque !

C'est précisément cette bonne connaissance de la frustration qui a eu pour effet de leur remettre de la pression.

Je suis allé nous commander un bon petit repas japonais et ai dressé la table.

Elle s’est prise. Oui. Mais c’est moi qu’elle a défoncé.

Mes couilles et ma tête ne font plus qu’un.

Un long feu qui emporte tout sur son passage.

Y compris mes plus grandes certitudes.

Sauf une : je l’aime.

Smartbeat
Par Smartbeat
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Lundi 6 juillet 1 06 /07 /Juil 14:57
A deux mois et demi de distance, je peux dire qu’il est très difficile de vivre en cage et sans orgasme réel.

En effet, les traites accordées par Madame ne constituent en réalité qu’une frustration de niveau supérieur à chaque saignée, car l’esprit n’est pas libéré et j’affirme que la seule éjaculation n’est pas de nature à permettre de « respirer ».

Le mécanisme est le suivant :

- traite = espérance physique de satisfaction
- celle-ci n’intervient pas, puisqu’il s’agit d’une traite
- aussitôt pratiquée, l’envie d’avoir une relation sexuelle « satisfaisante » revient…

et c’est là que l’on franchit un degré de frustration supplémentaire.

Madame l’a fort bien intégré puisqu’elle en joue depuis plusieurs mois maintenant, et que les rares fois où j’ai été autorisé à la pénétrer, cela ne s'est produit que pour son bon plaisir, le mien étant de toute façon paralysé par la peur de mal faire.

C’est d’ailleurs exactement le même ressort qui intervient dans le dressage à jouir en moins de X secondes.

Et le pire est sans doute que ce conditionnement à ne jamais être satisfait constitue précisément la satisfaction apportée par cette nouvelle relation entretenue avec Madame.

Je ne sais être plus clair dans la transcription écrite de cet étrange et dual sentiment, mais il se noue une manière de relation schizophrène entre le plaisir et la frustration, dans laquelle prendre du plaisir est remplacé par un plaisir contraint.

Que ce soit lors d'une traite ou d'une relation sexuelle commandée, être frustré constitue un plaisir et c’est là l’essentiel de la relation.

A l'inverse, je suis aujourd'hui parvenu à un stade où je redoute de prendre du plaisir tant je sais, mon corps sait, ma bite sait, mes couilles savent qu'il faudra attendre longtemps avant de recommencer ou que cela ne se reproduise.

Etr je n'arrive par conséquent plus à prendre de vrai pied.

Je suis sous totale domination mentale du bon vouloir de Madame.

Elle contrôlle complètement ma vie affective et sexuelle, de manière physique, certes, mais surtout, en se jouant de mes propres envies pour les détourner à son profit, et je vois bien qu'elle prend un pied terrible à me contraindre à mort.

Un cycle s'est mis en route, puis un autre, puis un autre etc...

La cage et les autres accessoires portent en vérité bien leur nom cependant et il ne faut pas nier leur intérêt coercitif.

Il me semble en effet qu’en dehors de l’aspect fétichiste indéniable, je serais aujourd’hui en mesure de m’en passer et de rester chaste pour le seul plaisir de Madame.

Mais il se trouve qu’elle semble aujourd’hui apprécier le principe de l’enfermement et que cela lui confère une nouvelle assurance qu’elle n’avait jamais expérimentée jusqu’alors.

Dernier exemple en date, j’ai été laissé libre de toute cage de chasteté ce week-end pour cause d’activités sportives (j'ai quand même été prié de conserver un cockring en caoutchouc pour que mes érections soient génantes en présence de tiers : ça dégonfle beaucoup moins vite).

Poursuivons l'explication.

A mon retour de week-end, les enfants étaient partis en vacance et j’ai donc espéré que nous nous retrouverions sur l’oreiller, à la faveur de la liberté retrouvée de ma queue.

Il n’en a rien été et j’ai amoureusement massé les pieds de Madame jusqu’à une heure avancée de la nuit, la goute au gland et la tête en feu, tandis que Madame s’endormait satisfaite de son homme.

Vers 3h30 du matin, j’ai été réveillé par une sensation de chaleur d’abord diffuse puis plus précise dans le bas ventre : une érection digne d'une queue d’éléphant et un désir de fou s’étaient emparés de mon sexe.

J’ai presque regretté de ne pas être en cage tellement le désir était difficile à contrôler. Sans doute l'effet du gros caoutchouc qu'elle m'a fait placer à la base de la verge ???

Avait-elle calculé que j'aurai la tête en feu à mon retour ???

Elle savait que les enfants seraient partis et elle a surement deviné que j'aurai envie d'elle.

Elle sait que le cockring me met dans un état second quand je bande, car je lui ai dit que la tension dans ma verge était un bon compensateur de l'absence de sensation externe liée à la privation de relation sexuelle "normale".

Et elle avait préparé son coup, c'est sur, car c'est elle qui m'a demandé de mettre ce gros modèle ce matin, quand je l'ai appelée au téléphone ce matin.

"Tu regarderas dans ton sac mon chéri : dans la poche de côté, j'ai glissé un nouvel anneau en caoutcouc trouvé au bricorama et j'aimerai que tu le porte bien à la base. Tu verras, je suis sure qu'il va te plaire..."

Et de fait, sa largeur et son élasticité sommaire m'ont défoncé la biet autant que le crane... depuis que j'ai franchi la porte de la maison : j'ai été aux petits soins toute la soirée et tout et tout ... mais rien à faire.

Elle m'a laissé lui masser les pieds et les jambes toute la soirée, et rien d'autre.

Nous sommes alés nous coucher et nous nous sommes endormis.

Enfin, moi, j'avais fait beaucoup de route et je me susi endormi sans plus penser à tout ça, jusqu'à ce que mon érection de Mamouth me réveille et mon cerveau en manque ne me rende à nouveau dingue et en situation de passer une nouvelle fin de nuit sans fermer l'oeil jusqu'au réveil.

Je me suis rapproché stratégiquement de Madame et ai commencé un massage du bas des reins, des fesses et des jambes, afin de la réveiller en douceur et de tenter de l’intéresser avec mon engin en feu.

Il faut jouer fin, car j’ai appris à ne plus rien demander et à rester bien sage.

Mais là, l’érection était presqu’aussi belle qu’avant.

Je veux dire avant les sessions de cage de chasteté et j’ai déjà eu l’occasion de décrire que le port régulier de la cage entraine une perte de taille et de poids du sexe lors des érections libres, comme si le sexe enregistrait qu’il ne disposait pas d’une place suffisamment grande pour s’étendre.

En réalité, j’ai compris que le sexe s’étende, mais plus vers l’intérieur du corps.

En revanche, il est clair qu’en fonction de la cage de chasteté, il devient moins épais et plus douloureux et sensible à la fois.

Madame s’est peu à peu éveillée à mes caresses et n’a pas semblée importunée par celles-ci.

Je pense au contraire qu'elle s'y attendait.

Je me suis juste collée à elle pour lui faire sentir mon brâquemard sur tendu.

Elle s’est contentée de grogner de satisfaction en se tournant vers mois pour se saisir de ma pine érigée comme un mat, la main à plat sur la verge, les doigts commençant à tapoter les couilles.

« Mais c’est vrai qu’il est libre cette nuit ce petit trésor.
C’est drôle, ça faisait longtemps que je ne l’avais pas vue aussi gonflé, et pourtant, il me semble qu’il a perdu en taille depuis qu’il est enfermé ».


Ceci est malheureusement parfaitement exact : les érections sont moins gonflées qu’avant et ma verge est à la fois moins grosse et moins longue.

« Eh bien nous allons voir ça », dit-elle en se penchant sous le lit pour prendre sa trousse à bonheur (c’est ainsi qu’elle appelle la valise d’aluminium dans laquelle elle range mes petits instruments, qui sont depuis devenus les siens).

Elle s’est saisie de la pompe à vide et du lubrifiant chauffant au silicone, dont elle versé un jet sur mon gland.

Elle placé le tube qui a eu du mal à se mettre en place tant l’érection était forte.

Madame a eu tôt fait trouver le moyen d’en étanchéifier la base pour pouvoir pomper à sa guise : elle m’a saisi les couilles pour les tendre en les relevant avant de les plaquer à la base du corps transparent et s’est mise à faire le vide avec la pompe.

Et elle n'y est pas allé doucement : A fond et à deux mains, les couille et le manche dans la droite, la gauche actionnant le levier du piston, elle a pompé comme une brute, en collant sa vulve chaude contre ma cuisse pour s'y frotter.

 FFFFUICCC, FFFFFUIIICCCC,  PPFFFUUIIICCCCC : elle a pompé sans aucun ménagement en me demandant de sortir ma langue, ses paroles sonnant comme un ordre...

Je lui ai demandé, désemparé de toute cette violence, moi qui pensais qu'elle dormait, combien de pression elle voulait mettre, de faire attention parce que ça faisait longtemps et que ….

« Tu te tais, tu sors ta langue, et tu te prépare à gonfler : j’ai envie de te faire gonfler et de profiter de toi. »,

dit-elle en m’enjambant le visage et en venant se placer au dessus de mon visage, sans toutefois descendre pour s'y plaquer, comme pour me montrer sa chatte toute épilée (ce qui est nouveau et surprenant, car elle s'y était toujours refusé jusqu'à maintenant, sous divers prétextes).

« Allez, sors ta langue, je la veux bien raide. A moins que tu préfère que te la pompe, elle aussi ??? ».

Elle est alors redescendue d'au-dessus de mon visage, alors que je pensais qu’elle allait se frotter le clitoris sur ma langue comme à son habitude, pour venir prendre ma langue dans sa bouche, non sans contempler au passage la surprise qu'elle voulait lire en moi de la voir épilée de toute son entrejambe.

J'ai vu qu'elle avait lu dans mes yeux, et qu'en tirait je ne sais qu'elle énergie pourpoursuivre son plan nocturne.

Elle m'a répété l'ordre sec de garde ma langue sortie, l'a prise dans sa bouche et me l’a sucée avec violence, tout en pompant ma bite en rythme dans le tube.

C’était douloureux.
C’était divin.
Elle pompait & dégonflait en cadence.
Ca a bien duré un quart d’heure.

« Voilà 500 g de pression mon chéri.
Eh bien je veux que sois capable de les prendre dès le premier coup.
C’est mon nouvel objectif. Je veux que la cage soit étroite et que tu puisses grossir sur commande, comme tu éjacules : à volonté. MA Volonté. MON Plaisir !!! »


Visiblement, cette pompe qu’elle trouvait ridicule quand je l’ai achetée, lui plait maintenant beaucoup, comme si peu à peu, elle s’appropriait enfin les jouets adultes qui me faisaient fantasmer en vain jusqu’à il y a peu.

« Maintenant je vais te laisser le tube avec un peu plus de pression et je ne te le retirerai que quand tu m’auras faite jouir.
Hein, tu n’es qu’un porc ?
T’as envie de me lécher, n’est-ce pas ?
Tu voulais que je décide ?
Et bien profites-en bien.
Tu bandes hein, dans le vide ?
Tu n'auras rien.
J’ai pas dit que c’était moi qui décidais ?
Eh bien maintenant je veux que tu me fasses jouir très vite, aller, viens là !!! »


Et elle m’a de nouveau chevauché la langue, le nez, la face.

Je ne sais pas combien elle m’a mis de (dé)pression, mais ce matin, j’ai plein de petits vaisseaux qui ont éclaté sur la verge.

Je les lui ai montrés en lui disant qu’elle y avait été vraiment fort.

Elle s’est contentée de me dire : « oui, mais qu’est-ce que c’était bon !!! Et n’oublie pas que ta bite m’appartient, comme tes couilles. J’adooore les travailler et repousser tes limites m’excite comme une folle »

Ca, j’avais remarqué… Et c’est pour cela que je l’aime encore plus fort maintenant qu’avant, quand je me contentais de la bourrer comme un dingue pendant des heure !!!!

En tous cas, nous sommes maintenant à deux mois et demi de contraintes, sans les enfants, ça va être encore plus dur. Au propore comme au figuré d'ailleurs...

Smartbeat,
Homme Objet
Objet de Ballbusting
Maintenu sous Cage de Chasteté
Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 12:18

Chers Amis,

 

Je suis de nouveau autorisé à écrire et à consacrer un peu de temps à la "pornographie" par Madame.

 

Alors j'en profite, puisque j'ai un peu de temps libre aujourd'hui.

 

Ecrire sur nos aventures quotidiennement est même vievement encouragé cette semaine.

 

Ca me mets la tête et les organes sexuels en feu, mais ça doit faire partie du "traitement", c'est ainsi que nous appelons nos petits jeux.

 

Voici donc pour aujourd'hui :

 

J’ai dormi plus libre qu’à l’habitude cette nuit.

Madame s’est contentée de suggérer de remettre la cage en cuir : « j’aime bien sentir le paquet tout d’un bloc, c’est plus rigide quand je tape et j’aime bien son côté tout rond quand je presse ».

Je me suis exécuté et le réveil a été difficile pour tous les deux : en retard, pour cause de longs massages à Madame, comme chaque matin.

Je n’ai eu droit qu’à quelques coups de pied de temps en temps.

Mais elle m’a demandé de lui faire des suggestions, de lui dire ce qui me plairait, qu’elle voulait tout savoir : « vas-y, lâches-toi, c’est l’occasion d’ouvrir ta boite à image, je te le demande maintenant ; ensuite, tu remettras un couvercle sur tout ça – c’est moi qui décide – et ne t’arrêtes pas de masser, ça fait du bien ».

Je ne me suis pas fait prier : ça fait des mois que je ne pilote plus notre couple et que je dois réfréner mes pulsions et plus encore m’interdire de les verbaliser.

A la fin, ça devient très dur à garder à l’intérieur et mes seules satisfactions d’ordre sexuel ne sont plus qu’une déviation : les séances de ballbusting et les variations autour de l’enfermement de ma verge.

La liste des désirs et pensées refoulées était longue, vous vous en doutez, mais je me suis exécuté en m’auto-limitant à des schémas susceptibles de lui plaire, ce dont je m’étonne moi-même maintenant que je le réalise.

J’aurais sans doute dû défaire les boutons-pression de la cage en cuir et la prendre sur-le-champ comme une bête, ce qui est impossible quand je suis enfermé dans une cage avec un cadenas.

Mais pour une raison que j’ignore, je n’ai pas arrêté de la masser, suis resté derrière elle en petite cuiller, les couilles et la queue enfermées en cage et je lui ai conté ce qui me semblait lui plaire.

Sans doute pour vérifier que j’avais jusque là été un bon petit mari, bien docile et bien obéissant, prêt à tout pour la satisfaire -  et satisfait d’avoir enfin trouvé un canal de communication qui nous permette de vivre une sexualité « partagée ».

Et puis, deux mois sans rompre notre contrat, ça commence à être suffisamment long pour ne pas tout casser en retombant dans des travers égoïste de mâle en rut.

C’est là qu’elle a gagné, qu’elle contrôle ma sexualité : en me privant, je me suis conditionné à ne plus prendre de plaisir qu’au travers du sien.

J’ai donc constaté ce matin que je suis bel et bien enfermé, pas seulement dans ma cage de chasteté, mais plus encore dans ma tête…

Je lui ai donc dit que j’avais envie de la faire jouir.

De la caresser, de la satisfaire, de la remplir, pas forcément avec ma queue, que j’étais disposé à attendre encore et à être un bon petit mâle docile.

Je lui ai rappelé les privations endurées au cours de ces derniers mois, bientôt une année en fait, et elle a gloussé de satisfaction, me comblant d’aise.

Je lui ai ensuite fait des suggestions, me suis risqué à lui demander :

si elle appréciait de me bien me frustrer à mort pendant qu’elle prend son pied ;

si elle aimait se frotter sur ma langue pendant je reste impuissant dans ma cage ;

si elle avait aimé la fois où je l’ai prise avec ma verge emprisonnée dans la coque « kept for her », la faisait miauler tandis que je restait sur ma faim, les couilles étendues par les lacets qu’elle y avait placé pour les étirer ;

si elle savait que mes couilles résonnent maintenant comme un coït extrême lorsqu’elle les tape ;

si elle comprenait que, s’agissant de la seule forme de sexualité qu’elle m’autorise, les coups qui en temps normal seraient des agressions sont devenu des langues de feu qui me font me consumer et à mesure que leur rythme et leur intensité varie et augmente, m’amènent à un quasi orgasme ;

si elle aimerait me faire traire par une assistante en sa présence au lieu de devoir prendre en charge la manipulation de ma bite devenue inutile

A toutes ces questions j’ai mis dans le mile – et elle était bien chaude.

J’ai cru un moment qu’elle allait demander ma langue.

Mais nous étions en retard et il fallait se lever…

Elle a juste dit que ma queue n’était pas inutile, mais un jouet à sa disposition.

Qui doit cracher sur commande et ne pas jouir des situations quelles qu’elles soient sans son accord préalable !

Et pour finir, elle a m’a déclaré avant de se lever, me fixant droit dans les yeux, se saisissant de mon paquet pour le presser et le faire gonfler :

« J’aimerais bien disposer d’une gaine plus épaisse que la coque pour mettre autour de ta queue. Je la voudrais bien large pour sentir toujours plus ouverte à mesure que tu entres en me caressant tandis que toi, tu ne sentirais rien et serais dans l’incapacité de sentir autre chose que la pression de mon con qui se dilate sou la pression à mesure que je jouis. Plus je t’enferme, plus j’ai envie d’être dilatée, de mettre tes doigts ou d’autres choses. »

Je suis resté bête devant la crudité de son propos. Comme interdit…

Elle qui il y a peu subissait et ne proposait jamais rien, elle venait de me sidérer.

Elle s’en est aperçu et c’était d’ailleurs l’effet escompté ; j’ai eu honte de son petit sourire amusé.

« Ne fais pas cette tête là. Tu voulais que je prenne les commandes, non ? Et bien pour la première fois de ma vie, j’ai envie. J’ai envie de m’amuser avec mon petit mâle. Et plus je te frustre, plus je me sens libre et j’ai envie de jouer avec toi. Avec Nous. »

En me disant cela elle a fait sauter les boutons-pression de la cage et fait sortir ma queue, à demi bandée.

« Je suis contente de voir que même elle ne parvient plus à être raide sans mes interventions. Je la trouve d’ailleurs de plus en plus faible. C’est pour ça que j’ai besoin de l’enfermer et que j’aime la sentir soutenue. C’est comme une plante que je cultive, un bon tuteur lui fait le plus grand bien. Je n’aime pas ton obsession du gode et je note avec plaisir que tu ne m’as parlé que des sujets que tu savais me plaire. C’est donc que nous sommes en bon chemin et que respecte enfin la sexualité de ta femme : s’épanouir dans le contrôle de ta bite. C’est pour ça que j’aimerais bien que tu trouve une nouvelle coque plus épaisse que ta ridicule hampe rigide. J’ai pour la première depuis longtemps envie de queue et j’aimerai qu’on partage ceci ensemble. Je te veux enfermé et bien épais. Alors sois inventif, trouves une solution…

En attendant, aujourd’hui, tu ne mets rien. Nous sommes à deux mois et il faut passer à la vitesse suivante.  »

Puis elle est partie vaquer aux occupations de la maison en m’ayant donné son cou à embrasser.

Je ne comprends plus vraiment où j’en suis…

Et je ne comprends pas ce qu’elle veut dire avec son histoire de « coque bien large » ni où je vais trouver autre chose que les horribles prothèses que j’ai vues parfois en sex-shop : c’est moche et pas vraiment plus gros que ma bite ni la coque « kept for her ».

J’ai un peu peur de ne plus être à la hauteur par la suite si elle s’habitue à de gros diamètres.

Et moi qui ai du temps libre aujourd’hui, sans ma cage, je crois que je vais vivre un enfer encore pire que quand je suis harnaché, la tête en feu et les couilles autant que la queue pleine.

Si vous avez des suggestions, je suis preneur !!!

J’ai peur de la suite : c’est anormal qu’elle me laisse libre un jour où je n’ai rien à faire.

Je ne me sens pas prêt à exploser sous les seuls coups et tapes qu’elle pourrait appliquer à mes burnes.

J’imagine que le moment n’est pas venu puisqu’elle me parle de phase 3, de troisième étape, de nouveau pallier…

J’ai pourtant un paquet au bord de l’explosion atomique.

Et j’envisage mal de la voir se prendre encore longtemps sur ma bite sans pouvoir jouir moi-même.

Ma bite bande de plus en plus petitement sous l’effet de la cage et je suis devenu précose sur commande.

Avec ce traitement, je redoute de devenir précoce tout court…

C’est peut-être en prévision de ce nouvel objectif qu’elle veut une gaine de soutien « bien large » pour la queue de son homme.

Qu’en pensez-vous ?

Où trouver une gaine de ce type ?

Et où peut-elle bien pêcher de telles idées, elle qui était si prude et réservée jusqu’il y a peu ?

En tous cas, une chose est certaine, c’est que nos petits jeux nous permettent d’échanger sur le sujet intime chaque jour, voir chaque minute de la journée et je crois que peu de gens vivent une telle aventure.

C’est pour cela que je suis heureux et déterminé à aller jusqu’au bout : tout simplement parce que je l’aime et que désormais elle me subjugue à la fois intellectuellement et physiquement.

Smartbeat

Par Smartbeat
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