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Lundi 6 juillet 1 06 /07 /Juil 14:57
A deux mois et demi de distance, je peux dire qu’il est très difficile de vivre en cage et sans orgasme réel.

En effet, les traites accordées par Madame ne constituent en réalité qu’une frustration de niveau supérieur à chaque saignée, car l’esprit n’est pas libéré et j’affirme que la seule éjaculation n’est pas de nature à permettre de « respirer ».

Le mécanisme est le suivant :

- traite = espérance physique de satisfaction
- celle-ci n’intervient pas, puisqu’il s’agit d’une traite
- aussitôt pratiquée, l’envie d’avoir une relation sexuelle « satisfaisante » revient…

et c’est là que l’on franchit un degré de frustration supplémentaire.

Madame l’a fort bien intégré puisqu’elle en joue depuis plusieurs mois maintenant, et que les rares fois où j’ai été autorisé à la pénétrer, cela ne s'est produit que pour son bon plaisir, le mien étant de toute façon paralysé par la peur de mal faire.

C’est d’ailleurs exactement le même ressort qui intervient dans le dressage à jouir en moins de X secondes.

Et le pire est sans doute que ce conditionnement à ne jamais être satisfait constitue précisément la satisfaction apportée par cette nouvelle relation entretenue avec Madame.

Je ne sais être plus clair dans la transcription écrite de cet étrange et dual sentiment, mais il se noue une manière de relation schizophrène entre le plaisir et la frustration, dans laquelle prendre du plaisir est remplacé par un plaisir contraint.

Que ce soit lors d'une traite ou d'une relation sexuelle commandée, être frustré constitue un plaisir et c’est là l’essentiel de la relation.

A l'inverse, je suis aujourd'hui parvenu à un stade où je redoute de prendre du plaisir tant je sais, mon corps sait, ma bite sait, mes couilles savent qu'il faudra attendre longtemps avant de recommencer ou que cela ne se reproduise.

Etr je n'arrive par conséquent plus à prendre de vrai pied.

Je suis sous totale domination mentale du bon vouloir de Madame.

Elle contrôlle complètement ma vie affective et sexuelle, de manière physique, certes, mais surtout, en se jouant de mes propres envies pour les détourner à son profit, et je vois bien qu'elle prend un pied terrible à me contraindre à mort.

Un cycle s'est mis en route, puis un autre, puis un autre etc...

La cage et les autres accessoires portent en vérité bien leur nom cependant et il ne faut pas nier leur intérêt coercitif.

Il me semble en effet qu’en dehors de l’aspect fétichiste indéniable, je serais aujourd’hui en mesure de m’en passer et de rester chaste pour le seul plaisir de Madame.

Mais il se trouve qu’elle semble aujourd’hui apprécier le principe de l’enfermement et que cela lui confère une nouvelle assurance qu’elle n’avait jamais expérimentée jusqu’alors.

Dernier exemple en date, j’ai été laissé libre de toute cage de chasteté ce week-end pour cause d’activités sportives (j'ai quand même été prié de conserver un cockring en caoutchouc pour que mes érections soient génantes en présence de tiers : ça dégonfle beaucoup moins vite).

Poursuivons l'explication.

A mon retour de week-end, les enfants étaient partis en vacance et j’ai donc espéré que nous nous retrouverions sur l’oreiller, à la faveur de la liberté retrouvée de ma queue.

Il n’en a rien été et j’ai amoureusement massé les pieds de Madame jusqu’à une heure avancée de la nuit, la goute au gland et la tête en feu, tandis que Madame s’endormait satisfaite de son homme.

Vers 3h30 du matin, j’ai été réveillé par une sensation de chaleur d’abord diffuse puis plus précise dans le bas ventre : une érection digne d'une queue d’éléphant et un désir de fou s’étaient emparés de mon sexe.

J’ai presque regretté de ne pas être en cage tellement le désir était difficile à contrôler. Sans doute l'effet du gros caoutchouc qu'elle m'a fait placer à la base de la verge ???

Avait-elle calculé que j'aurai la tête en feu à mon retour ???

Elle savait que les enfants seraient partis et elle a surement deviné que j'aurai envie d'elle.

Elle sait que le cockring me met dans un état second quand je bande, car je lui ai dit que la tension dans ma verge était un bon compensateur de l'absence de sensation externe liée à la privation de relation sexuelle "normale".

Et elle avait préparé son coup, c'est sur, car c'est elle qui m'a demandé de mettre ce gros modèle ce matin, quand je l'ai appelée au téléphone ce matin.

"Tu regarderas dans ton sac mon chéri : dans la poche de côté, j'ai glissé un nouvel anneau en caoutcouc trouvé au bricorama et j'aimerai que tu le porte bien à la base. Tu verras, je suis sure qu'il va te plaire..."

Et de fait, sa largeur et son élasticité sommaire m'ont défoncé la biet autant que le crane... depuis que j'ai franchi la porte de la maison : j'ai été aux petits soins toute la soirée et tout et tout ... mais rien à faire.

Elle m'a laissé lui masser les pieds et les jambes toute la soirée, et rien d'autre.

Nous sommes alés nous coucher et nous nous sommes endormis.

Enfin, moi, j'avais fait beaucoup de route et je me susi endormi sans plus penser à tout ça, jusqu'à ce que mon érection de Mamouth me réveille et mon cerveau en manque ne me rende à nouveau dingue et en situation de passer une nouvelle fin de nuit sans fermer l'oeil jusqu'au réveil.

Je me suis rapproché stratégiquement de Madame et ai commencé un massage du bas des reins, des fesses et des jambes, afin de la réveiller en douceur et de tenter de l’intéresser avec mon engin en feu.

Il faut jouer fin, car j’ai appris à ne plus rien demander et à rester bien sage.

Mais là, l’érection était presqu’aussi belle qu’avant.

Je veux dire avant les sessions de cage de chasteté et j’ai déjà eu l’occasion de décrire que le port régulier de la cage entraine une perte de taille et de poids du sexe lors des érections libres, comme si le sexe enregistrait qu’il ne disposait pas d’une place suffisamment grande pour s’étendre.

En réalité, j’ai compris que le sexe s’étende, mais plus vers l’intérieur du corps.

En revanche, il est clair qu’en fonction de la cage de chasteté, il devient moins épais et plus douloureux et sensible à la fois.

Madame s’est peu à peu éveillée à mes caresses et n’a pas semblée importunée par celles-ci.

Je pense au contraire qu'elle s'y attendait.

Je me suis juste collée à elle pour lui faire sentir mon brâquemard sur tendu.

Elle s’est contentée de grogner de satisfaction en se tournant vers mois pour se saisir de ma pine érigée comme un mat, la main à plat sur la verge, les doigts commençant à tapoter les couilles.

« Mais c’est vrai qu’il est libre cette nuit ce petit trésor.
C’est drôle, ça faisait longtemps que je ne l’avais pas vue aussi gonflé, et pourtant, il me semble qu’il a perdu en taille depuis qu’il est enfermé ».


Ceci est malheureusement parfaitement exact : les érections sont moins gonflées qu’avant et ma verge est à la fois moins grosse et moins longue.

« Eh bien nous allons voir ça », dit-elle en se penchant sous le lit pour prendre sa trousse à bonheur (c’est ainsi qu’elle appelle la valise d’aluminium dans laquelle elle range mes petits instruments, qui sont depuis devenus les siens).

Elle s’est saisie de la pompe à vide et du lubrifiant chauffant au silicone, dont elle versé un jet sur mon gland.

Elle placé le tube qui a eu du mal à se mettre en place tant l’érection était forte.

Madame a eu tôt fait trouver le moyen d’en étanchéifier la base pour pouvoir pomper à sa guise : elle m’a saisi les couilles pour les tendre en les relevant avant de les plaquer à la base du corps transparent et s’est mise à faire le vide avec la pompe.

Et elle n'y est pas allé doucement : A fond et à deux mains, les couille et le manche dans la droite, la gauche actionnant le levier du piston, elle a pompé comme une brute, en collant sa vulve chaude contre ma cuisse pour s'y frotter.

 FFFFUICCC, FFFFFUIIICCCC,  PPFFFUUIIICCCCC : elle a pompé sans aucun ménagement en me demandant de sortir ma langue, ses paroles sonnant comme un ordre...

Je lui ai demandé, désemparé de toute cette violence, moi qui pensais qu'elle dormait, combien de pression elle voulait mettre, de faire attention parce que ça faisait longtemps et que ….

« Tu te tais, tu sors ta langue, et tu te prépare à gonfler : j’ai envie de te faire gonfler et de profiter de toi. »,

dit-elle en m’enjambant le visage et en venant se placer au dessus de mon visage, sans toutefois descendre pour s'y plaquer, comme pour me montrer sa chatte toute épilée (ce qui est nouveau et surprenant, car elle s'y était toujours refusé jusqu'à maintenant, sous divers prétextes).

« Allez, sors ta langue, je la veux bien raide. A moins que tu préfère que te la pompe, elle aussi ??? ».

Elle est alors redescendue d'au-dessus de mon visage, alors que je pensais qu’elle allait se frotter le clitoris sur ma langue comme à son habitude, pour venir prendre ma langue dans sa bouche, non sans contempler au passage la surprise qu'elle voulait lire en moi de la voir épilée de toute son entrejambe.

J'ai vu qu'elle avait lu dans mes yeux, et qu'en tirait je ne sais qu'elle énergie pourpoursuivre son plan nocturne.

Elle m'a répété l'ordre sec de garde ma langue sortie, l'a prise dans sa bouche et me l’a sucée avec violence, tout en pompant ma bite en rythme dans le tube.

C’était douloureux.
C’était divin.
Elle pompait & dégonflait en cadence.
Ca a bien duré un quart d’heure.

« Voilà 500 g de pression mon chéri.
Eh bien je veux que sois capable de les prendre dès le premier coup.
C’est mon nouvel objectif. Je veux que la cage soit étroite et que tu puisses grossir sur commande, comme tu éjacules : à volonté. MA Volonté. MON Plaisir !!! »


Visiblement, cette pompe qu’elle trouvait ridicule quand je l’ai achetée, lui plait maintenant beaucoup, comme si peu à peu, elle s’appropriait enfin les jouets adultes qui me faisaient fantasmer en vain jusqu’à il y a peu.

« Maintenant je vais te laisser le tube avec un peu plus de pression et je ne te le retirerai que quand tu m’auras faite jouir.
Hein, tu n’es qu’un porc ?
T’as envie de me lécher, n’est-ce pas ?
Tu voulais que je décide ?
Et bien profites-en bien.
Tu bandes hein, dans le vide ?
Tu n'auras rien.
J’ai pas dit que c’était moi qui décidais ?
Eh bien maintenant je veux que tu me fasses jouir très vite, aller, viens là !!! »


Et elle m’a de nouveau chevauché la langue, le nez, la face.

Je ne sais pas combien elle m’a mis de (dé)pression, mais ce matin, j’ai plein de petits vaisseaux qui ont éclaté sur la verge.

Je les lui ai montrés en lui disant qu’elle y avait été vraiment fort.

Elle s’est contentée de me dire : « oui, mais qu’est-ce que c’était bon !!! Et n’oublie pas que ta bite m’appartient, comme tes couilles. J’adooore les travailler et repousser tes limites m’excite comme une folle »

Ca, j’avais remarqué… Et c’est pour cela que je l’aime encore plus fort maintenant qu’avant, quand je me contentais de la bourrer comme un dingue pendant des heure !!!!

En tous cas, nous sommes maintenant à deux mois et demi de contraintes, sans les enfants, ça va être encore plus dur. Au propore comme au figuré d'ailleurs...

Smartbeat,
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Objet de Ballbusting
Maintenu sous Cage de Chasteté
Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Commentaires

très jolie recit comme d'habitude
bonne continuation
commentaire n° :1 posté par : dago le: 15/07/2009 à 02h37
Merci de votre gentil commentaire.
Vous l'aures compris, Madame me tient sous pression quand j'écris.
Ca  l'excite de savoir que je dois me contrôler en dépit des sujets chauds abordés lors de la rédaction.
Alors, un gentil commentaire de temps en temps, c'est bien agréable.
Smartbeat
réponse de : Smartbeat le: 16/07/2009 à 09h15
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