Novembre 2024 | ||||||||||
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"Tu as envie ?
C’est très mal. Je ne t’ai rien demandé.
Il suffit que je te laisse en liberté, que je te retire ta cage de chasteté pour que tu imagines reprendre le contrôle ?
Eh bien non mon petit chéri, ta queue, c’est moi qui la commande.
Tes couilles grossissent à vue d’œil et tu sais pourquoi ?
Parce qu’elles aiment se faire défoncer. Claquer. Tirer, martiriser.
Etre surchargées, autant qu’être aplaties. Sur-tendues autant qu’épuisées.
Laisse-les donc attendre, mariner, espérer.
Quand je jugerai qu’elles sont mures, je les travaillerai en profondeur, sois-en certain, mais seulement quand j’aurai la certitude que mes ballbustings se termineront à coup sur en purge expresse.
D’ici là, je vais te dresser à tenir la pression.
Tu bandes ? Je pompe !!!
Tu débandes ? Je pompe !!!
Tu es mûr ? Je pompe !!!
Tu n’en peux plus ?
Alors seulement je te défoncerai comme un porc, et tu auras intérêt à exploser, exclusivement au travers des délicatesses que je prodiguerai avec délice à tes pauvres couilles.
En attendant, apportes-moi la pompe à vide.
Je la veux toujours à proximité, prête à t’aspirer, à te mettre en pression.
C’est compris ?
Vas, j’attends."
Elle s’est installée sur le canapé, les jambes largement écartées, genoux relevés, impudique.
A mon retour avec la pompe, elle m’a fait mettre à genoux face à elle.
Ma queue introduite dans le tube posé sur son entrejambe, elle m’a pompé à 200 grammes.
Puis elle a placé la pompe sur son sexe, voilé d’un short en satin mauve des plus excitant, s’est frottée avec la poignée, dessinant les contours de ses grandes lèvres, lissant le pli de son antre au travers du short, sans me quitter des yeux, un regard pervers et entendu animant tout son être, jusqu’à ce qu’une tache humide apparaisse à son entrejambe.
Après de longues, très longues minutes elle a commencé à pousser la pompe de plus en plus fort contre sa chatte.
Son index posé sur ses lèvres, à l’entrée de sa bouche, qui m’est interdite depuis toujours, elle a appuyé le levier de la pompe par petites touches contre sa vulve mignonne, ajoutant gramme après gramme à la pression bientôt insupportable imposée à ma pauvre bite, tendue à mort et inutile.
Titillant maintenant de sa langue le doigt porté à ses lèvres, et appuyant franchement sur la gâchette de la pompe, elle s’est redressée pour débrancher le tuyau et me laisser ainsi, queue pompée à mort dans son tube étroit.
Elle s’en est saisie, sans me quitter des yeux, m’a attiré à elle pour placer le tube à l’entrée de sa chatte.
"Tu as envie, hein ?
Tu es un gros porc, n’est-ce pas ?
Tu grimaces, tu as mal ?
Hein bien j’ai envie de te sentir enfermé dans ton tube.
Tout cet afflux de désir dans ta queue surchargée va bientôt redescendre directement dans tes couilles, quand tu débanderas sans avoir rien eu.
Elle vont travailler pour absorber cet excès de désir. 350 grammes pour aujourd'hui.
Et je vais les charger à mort régulièrement, jusqu’elles débordent et que tu me supplie de les défoncer.
Quand elles seront en béton à force de prendre des kilos, je suis sure qu'elle seront à même de ramasser une vrais bonne séance de ballbusting."
Tout en me donnant le menu, elle s’est frottée au tube, mon sexe douloureux n’en pouvant plus ; trop de pression.
Et le plus terrible a été quand elle a entrepris de s'enfoncer le tube dans la chatte.
Un truc de fou.
Je n’en reviens toujours pas.
Elle s’est godée sur ma bite entubée, sans pudeur, sans aucune retenue.
J’ai pris un parpaing derrière la tête quand elle s’est ouverte, poussant le tube à dans son vagin surtendu, le doigt porté de sa bouche à son bouton d’amour, me demandant sans détour :
" Tu as envie ?
Eh bien vas-y, bourre mon chéri, défonces moi.
Vois comme je t'aspire.
Même tes couilles sont pompées dans le tube.
Tu le sens ?
Tu vois ta queue gonflée sous globe ?
Tu te rappelles des sensations quand tu me baises ?
Tant mieux parce que c'est tout ce à quoi tu auras droit.
Regarder.
Regardes..."
Elle s'est enfoncée jusqu'à mi-tube.
Sanss aucun effort apparent, sur ouverte comme je ne l'avais jamis vue.
Je ne savais plus quoi faire.
C’était obscène, délirant.
J’étais désarçonné.
La bite me faisait mal. Très mal.
J'aurai voulu être débandé. Ailleurs.
J'étais déjà ailleurs ; dans sa chatte mais ailleurs... Dans mon tube, isolé de toutes les sensations qui auraient dû aller de pair avec le coït.
Et je me suis mis à la limer en rythme avec le tube.
J’étais même surpris qu’elle puisse le prendre avec autant de facilité.
Elle a joui après une vingtaine de va et vient seulement.
Au moment où elle m’ordonnait de remettre mon harnais à couille : « aussitôt le tube retiré. Comptes jusqu’à 100. »
Elle a explosé à 46.
Et moi j’ai continué de compter.
Elle, elle s’est endormie.
J’ai retiré le tube à 100.
Désespéré et heureux en même temps.
Et quand la pression s’est évacuée de ma queue, j’ai senti le désir s’installer de manière lancinante dans mes couilles, comme si elles faisaient garrot et retenaient toute la poids de la pression imposée.
Je les ai sanglées dans leur harnais pour me sentir bien.. J'avais paradoxalement besoin de remonter le pression. De ralentir la descente. Les premiers effets du manque !
C'est précisément cette bonne connaissance de la frustration qui a eu pour effet de leur remettre de la pression.
Je suis allé nous commander un bon petit repas japonais et ai dressé la table.
Elle s’est prise. Oui. Mais c’est moi qu’elle a défoncé.
Mes couilles et ma tête ne font plus qu’un.
Un long feu qui emporte tout sur son passage.
Y compris mes plus grandes certitudes.
Sauf une : je l’aime.