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Vendredi 25 décembre 5 25 /12 /Déc 09:03

J'ai déjà eu le loiisir de vous comter une journée de traite à distance.

 

Se branler pour éjaculer de manière mcanique une fois par heure est un programme simple, mais difficile à assurer sur la distance d'une journée complète.

 

Tout est très simple et complexe à la fois.

Simple parce que se branler est un acte naturel et mécanique.

Complexe parce que le corps rencontre des limites physiques qu’il peine à dépasser.

Tout est plaisant et frustrant en même temps.

Plaisant en raison de la notion de plaisir généralement attachée à la masturbation.

Frustrant car le geste mécanique devient vite insuffisant.

Vous plongez alors dans un abîme d’incertitude, de frustration et d’humiliation accompagnés de la satisfaction de se donner à l’être aimé, sans aucune relation toutefois.

Un peu comme une compétition contre soi-même que l’on offrirait à  l’autre, lequel vous contrôle au moyen de fils invisibles qui tendent l’espace et le temps qui à mesure qu’ils vibrent vous entourent telle la toile de l’araignée et finissent par vous emporter.

J’ai déjà eu l’occasion de vous compter une journée de traite et les sensations qui vont avec.

 

Mais j'étais alors seul au toilettes, devant juste adresser une photo pprise depuis mon portable pour signifier à Madame que "c'est fait".

Là, ce fût très différent car Madame a voulu jouir de la situation, se poster en observatrice et contrôler toute cette journée elle-même, sans me toucher, en se contentant de distiller quelques paroles, regards et suggestions.

Et elle n’a pas caché son plaisir de me voir m’enfoncer dans cet état second et irréel de la soumission au physique, lui même soumis à la volonté de Madame, laquelle se trouve quelque part juste au dessus d’une misère sexuelle et physique qui va croissante à mesure que passe la journée.

On  devient vite une machine et une petite pompe à sperme.

Le corps a des ressources insoupçonnées, qui se mettent en route et c’est ça que Madame se repaît d’observer.

J’ai donc accompli un marathon d’éjaculations forcées, dans un verre, chaque heure.

La sonnerie du four servant de métronome.

Deux minutes maximum pour cracher le précieux sperme accumulé au cours de la précédente période de frustration.

Moi à genoux ou blotti contre Madame qui me caresse les cheveux délicatement, tout en égrenant les secondes affichées sur sa montre.

Une véritable humiliation que de devoir tout cracher devant elle.

Tout ; jusqu’à ce que le corps réagisse avant de parvenir, vers la 6ème traite, à cracher sans aucun plaisir, mais plus vite qu’aucune sensation.

C’est là qu’entre en jeu le cérébral : il faut tripper sévère pour parvenir à trouver une motivation.

Sauf que là, Madame étant présente à chaque traite, elle a offert à ma vue ses jambes ses pieds, son sourire entendu, et tout s’est beaucoup mieux passé que lorsque j’ai dû me branler seul en prenant des photos, même si à la fin, on est vraiment rabaissé humainement de devoir ainsi se tirer sur la nouille devant un pauvre verre.

Finalement, le plus difficile fût de retourner en cage vers minuit : enfin la paix – mais aussi l’effroi du doute.

Lequel vient ensuite s’ajouter à celui ressenti après une période de plusieurs jours en cage de chasteté ;

On a à la fois envie de sortir et peur de cracher car on pense déjà à la prochaine période de frustration à venir.

Je crois que Madame s’éclate bien.

Ca suffit à mon bonheur.

Smartbeat

Par Smartbeat
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Mercredi 23 décembre 3 23 /12 /Déc 11:59

Cela fait un mois que je suis en cage de chasteté.

 

Madame y a vraiment pris goût, et elle particulièrement s’endormir dans mes bras en petite cuiller, pour bien sentir la cage et le cadenas contre ses fesses.

 

Elle dit que ça la calme ; Et moi, ça me rend dingue.

 

Mais au bout de quelques jours, on ne bande presque plus.

 

C’est après le quinzième que ça commence à devenir infernal et qu’on ne dort plus...

 

Elle, au contraire, ça l’éclate et c’est généralement là, au milieu de la nuit, qu’elle veut que la fasse jouir avec ma langue et mes doigts.

 

Mais ce dimanche, nous étions seuls, sans les enfants parties chez leurs grands-parents la veille en prévision de noël.

 

Et au matin, je lui ai apporté son petit déjeûner au lit, comme à chaque fois que je peux lui témoigner de mon Amour.

 

 

Je l’ai embrassée tendrement alors qu’elle me tendait son cou.

 

Je n’ai plus droit à sa bouche depuis très longtemps maintenant, à peine quelques smacks de temps en temps. Ca c’est très dur parce que ‘est le vrai signe à mon sens que désormais c’est elle qui prend et moi qui donne.

 

Elle a soupesé mes couilles, titillé la cage au travers du caleçon, a offert son cou et son décollété à mes baisers.

 

Je lui ai fait remarquer que son chocolat et ses croissants allaient refroidir, afin de faire diversion, de ne pas bander dans la cage.

 

J’ai toujours peur de bander. Et peur de ne pas bander sur commande.

Peur de jouir et peur de ne pas jouir sur commande.

Je peux dire que la mise en cage de chasteté créé ce sentiment curieux de frustration permanente avant, mais aussi après le moment d’intimité avec Madame.

Instant autant désiré que redouté, ce qui créé une tension invisible et permanente entre l’avant et l’après, tandis que l’homme est généralement attentif dans l’espoir d’une relation et démotivé ensuite.

En cage de chasteté, il n’y a pas d’échappatoire et la relation à l’autre, à Madame, devient continue.

Il me semble que les femmes ont bien conscience de ceci par nature, les hommes pas.

 

Cette peur me fait débander et je l’embrasse de longues secondes, minutes, instants suspendus et interminables pendant lesquels je ne noie dans son parfum et les promesses d’infini qu’il distille.

 

Elle me parle soudain très durement, en tirant sur mon caleçon afin que je le retire.

« En cage, a genoux, tournes-toi ».

 

Je m’exécute, mi- effrayé, mi-satisfait.

 

Elle m’attache les mains dans le dos avec ses bas et me fait venir à genoux près du Canapé installé en bout de lit où elle s’installe, me tendant son pied, sa jambe.

 

« J’ai envie que tu fasses des efforts pour moi. Que tu me masses avec ta face, ta langue. Jusqu’à plus soif. »

 

Elle me fait lécher et masser ses jambes et ses pieds avec la face, la langue, mains attachées.

De sa jambe libre, de son coup de pied, elle me titille le dessous des couilles pour les compresser dans la cage.

Elle me fixe et pose un doigt sur son bouton d’amour, en écartant largement les jambes, pour bien me montrer qu’elle est excitée, con ouvert et humide.

 

«Toi, tu n’auras rien. Lèches. »

 

Elle garde son doigt posé sur le capuchon magique sans le bouger.

 

Mais elle commence maintenant à me shooter les couilles en rythme, ce qui fait bouger ses hanches, et donc lui procure des sensations qu’elle exhibe sans aucune pudeur.

 

« Non, tu n’auras rien. Lèches. Approche tes boules…»

 

 

Encore quelques petits shoots, puis, elle se retourne et s’agenouille sur le rebord du sofa pour que lui lèche et caresse les fesses, tout en gardant un doigt sur son clito.

 

Elle saisit ma face et la tire entre ses fesses, comme si elle voulait l’imprimer.

 

« Tes couilles doivent être bien pleines maintenant. Mais est-ce qu’elles sont mures ? Tu as envie de moi, je suis ouverte, mais tu n’auras rien. Allez, c’est fini pour ce matin.»

 

Et de but en blanc, elle se remet au lit et commence son déjeuner.

 

C’est pour moi à la fois une grande frustration et un grand soulagement, sentiments curieux, contradictoires et complémentaires.

 

« Viens à côté de moi et dis-moi si es mûr mon petit chéri ».

 

 

Nus entamons une discussion sur le thème de ma frustration. Elle veut que je lui raconte tout.

 

Elle m’écoute distraitement, tout en me titillant la cage avec ses ongles.

 

Finalement, elle se décide à détacher la cage.

 

« On va voir si elle sait encore se déplier et si elle sait maintenant se tenir cette petite chérie. »

 

Moi, je suis à fond et j’ai peur.

 

Elle agit sans ménagement, ce qui fait que je débandotte aussitôt, et elle m’arrache les couilles pour retirer l’anneau.

 

Je reste toujours à genoux, face à elle, au-dessus de ses jambes : « pas bouger, c’est moi qui décide. »

 

Ballbusting du pied. Doux, puis montée en rythme, puissance et fréquence qu’elle maîtrise parfaitement maintenant. Je bande. C’est douloureux.

 

Puis elle change de technique, se redresse, me saisit les couilles et les branle en les tirant à coups secs de bas en haut, pendant qu’elle me tend son cou : « embrasse-moi ».

 

Je suis au bord de l’explosion, elle me claque les glaouis et m’éclate le périnée en rythme, tout en m’offrant sa gorge.

 

Ma tête tourne et me couilles endolories se délient à n’en plus finir ; J’ai l’impression d’être liquide à mesure que ses mouvements s’amplifient.

 

Je suis saisi par la seule issue : me détendre et accompagner le mouvement ; elle ressent cet abandon et le franchissement d’une nouvelle étape d’acceptation de la douleur, sait que cela va se transformer en plaisir si elle n’augmente pas la charge.

 

Elle m’embrasse aussi dans le cou en branlant mes couilles groupées en pauvre paquet de plus fort, me glissant à l’oreille : « tu n’auras rien, compris ? »

 

Finalement, après m’avoir étiré et décontracté les couilles, elle s’allonge face à moi et me ballbuste pendant je lui lèche les mollets.

 

Elle se relève pour me claquer les couilles par en dessous, après les avoir groupées en paquet dans sa main libre.

 

Je me tend, me sur-tend, et elle passe les vitesses une à une, elle est devenue experte dans cette matière et elle sait comment rester juste en dessous du plaisir, dont elle fait monter la barre en même temps qu’elle avance dans la douleur des coups prodigués.

 

Les ondes montent d’un cran. Puis deux, je suis au bord de l’explosion.

 

Elle me fait me retourner à 4 pattes, tête dans les coussins.

 

Je ne vois rien et il ne se passe rien. Je veux me retourner mais me l’interdit : « pas bouger, c’est moi qui commande ».

 

 

Naturellement, je débande.

 

Sans prévenir, elle me claque les couilles de droite à gauche.

C’est le plus douloureux, sans aucun plaisir sous cette forme, sauf que ça me permet de passer plus vite ensuite les effets de plateau. Elle le sait, je lui ai déjà dit que c’était extrêmement désagréable… mais qu’ensuite je partais comme une fusée.

 

Puis elle me fesse avec un objet lourd et large. Je comprends qu’il s’agit de sa brosse à cheveux restée posée sur la table de nuit.

 

C’est nouveau et ça a l’air de l’amuser, car elle s’en donne à cœur joie…

 

Ca chauffe sur tout mon fessier et elle s’attaque bientôt (je m’y attendais…) à mes couilles, rythme, de plus en plus vite de plus en plus fort, tout en modulant pour que me laisser à la limite du supportable et reste la tête dans les coussins.

 

Ce matin, j’ai droit à un vrai Ballbusting en règle, longtemps, très longtemps.

 

C’est insupportable. Puis elle y revient avec les pieds, puis avec la brosse, puis elle les tire en arrière : mes couilles et ma queue ne sont plus que Magma en fusion…

 

« Non, tu ne jouiras pas », ponctue-t-elle de temps à autre quand elle me sens au bord du supportable.

 

E se remet ensuite à étirer mes pauvres couilles, groupées à exploser dans sa main gauche tout en les claquant avec sa brosse à cheveux.

 

Je sens qu’elle se lâche, qu’elle prend son pied.

 

Paradoxe, c’est vraiment dur, mais je suis heureux car je sens qu’elle atteint enfin le « lâcher prise » indispensable à une bonne partie de plaisir et d’échange, auquel je n’étais jamais vraiment arrivé avec des relatons sexuelles normales.

 

Elle me claque les fesses et l’intérieur des cuisses, le périnée – et elle y va, une vraie furie. Elle se lâche et je ramasse.

 

Elle se calme, me sourit, m’embrasse dans le dos, me titille les tétons : « viens ! »

 

Elle me fait allonger sur le dos pour s’asseoir sur ma face en pesant de tout son poids sur mon thorax.

 

Surprise : elle s’est saisie d’un grand lacet qu’elle double en nœud coulant, rapidement placé autour de mes couilles et serré à mort à la base de ma verge, puis repassé en laisse autour de mes couilles.

 

Celles-ci sont exposées à coups de brosse à cheveux qui reprennent en rythme, tandis je sens palpiter sa chatte en rythme sur ma bouche.

 

Elle ne s’arrête que pour mieux écarter ses lèvres et les placer sur ma langue : « fais-moi du bien, espèce de porc, tu n’auras rien et je vais te dresser à être un véritable objet, une bite avec télécommande sous les couilles, tu aimes ça, hein ??? », ponctuant son ordre d’un coup sur la laisse, qui me vrille le paquet de plus belle.

 

Elle prend son pied et moi aussi, je la laisse faire, abandonnant mon corps à ses humeurs.

 

Elle démarre un long orgasme et je sens son vagin devenir énorme, ouvert, tendu, puis il se referme, puis il se retend, tandis qu’elle se remet à me claquer les couilles du plat de la main.

 

C’est fini. Elle a tout pris. Je n’ai rien eu. elle s’est vraiment lâchée.

 

Un mois de cage, c’est déjà long, et je sais qu’avec ce qu’elle vient de faire, je n’aurai vraiment rien d’autre…

 

 

Je me trompe.

 

Elle s’est lovée repue à mes côtés, mais il reste un petit goût d’inaccompli dans ses yeux, lorsqu’elle se serre un peu plus près.

 

« Ca fait bizarre de la voir libre, non ? Je trouve qu’elle est bien plus excitante en cage, frustrée à mort. Mais après les traites à répétition du mois dernier, c’est bien comme rythme non ?

 

Me dit-elle en me tapotant la queue qui se remet à bander extra dur à la seule audition de ses mots, comme rarement.

 

Situation dans laquelle on peut me branler pendant dix heures, je n’éjacule pas et reste dur comme une barre à mine.

 

Elle connaît bien cet état qui l’amuse autant que ça l’agace.

 

Ca l’agaçait surtout lorsque je la limais pendant des heures sans jamais pouvoir atteindre la jouissance alors qu’elle, elle n’en pouvait plus.

 

Elle vient finalement s’asseoir tendrement sur ma bite, détendue : elle sait que je ne peux pas cracher quand je suis dans cet état et compte bien en tirer avantage.

 

« Tu vois, ton dressage sera terminé quand tu seras capable d’être comme ça sur commande autant que quand tu pourras jouir dans les 5 secondes mon chéri ; je te veux mon gros gode humain, tu vois ?

 

Elle se frotte maintenant sur tout le long de ma bite et coulisse dessus en y frottant très fort son clito… tout en recommençant à me claquer les couilles par derrière, telle une cavalière cravachant sa monture…

 

Puis elle se redresse t m’assène quelque mon shoot du pied droit, avant de partir à la salle de bain : « Ca suffit pour toi. En Cage maintenant, tu n’es pas mûr et pas sage. »,

Tout en n’oubliant pas de tirer profit de mon état de manche à balai pour me branler sévèrement d’une quinzaine d’aller-retours qui laisseront une empreinte indélébile dans mon océan de frustration.

 

Je m’exécute et vais me laver pour remettre la cage.

 

Nous allons au marché, moi encagé comme si de rien n’était.

 

Je suis chargé à bloc.

 

Elle le sait et me glisse à l’oreille entre deux étalages : « c’est comme ça que je t’aime, bien chargé et toujours prêt ».

 

Cette phrase
Par Smartbeat
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Lundi 16 novembre 1 16 /11 /Nov 09:20
Chers Amis,

Je suis libre depuis ce dimanche soir.

Plus de cage de chasteté jusqu'à nouvel ordre.

Mais ce n'est pas par hasard : "il faut tout vider maintenant".

Le programme est simple et effrayant :

"Une éjaculation par heure ; pas plus de 3 minutes de branlette, je suis sur que tu te souviens de la règle : une photo avec ton téléphone mobile et hop, tu m'envoies la photo pour que je puisse vérifier que tu te siphone bien les couilles..."

Ceux qui ont suivi le blog se souviennent que j'ai déjà subi ce traitement, qui a pour corrolaire un dérèglement complet de la bite : elle bande à tort et à travers, jouit sans éjaculer, et éjacule sans aucune jouissance.

Je ne vous parles pas de l'humiliation de se rendre aux toilettes toutes les heures pour faire ça...

J'ai très peur de ce qui va se passer ensuite.

Je ne comprends plus rien - mais je vais me préter au jeu.

Parce que je l'aime comme un fou.

Et qu'elle s'occupe de moi. Donc elle aussi elle m'aime...

C'est beau.

Smartbeat
Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Jeudi 12 novembre 4 12 /11 /Nov 15:05
Bonjour à tous,

Quelques temps sans prendre la plume : "une nouvelle étape de privation", dixit Madame.

Depuis quelques semaines maintenant, je ne garde plus la CB2000 en semaine que durant la  nuit et reste libre de jour.

En revanche, le Week-End : en cage de chasteté h24, sauf au réveil et au coucher.

Au réveil, le crémonial est le suivant : aller chercher les croisssants et servir le petit déjeûner à la maisonnée.

Quand Madame s'éveille, massage des pieds et des jambes, du dos, des épaules, des fesses...

Je n'arrive plus à bander vraiment et je trouve mon plaisir ailleurs que dans les érections, qui me manquent encore parfois cependant. Je ne suis plus qu'une nouille. Une nouille qui bande, mais une nouille, qui ne conserve des belles séances de queue passées que le souvenir, comme d'anciens champions se remémorent leurs exploits d'une fois.

Vient ensuite le temps de la douche.

Présentation à Madame et retrait de la cage.

Si je bande : pas de retrait de l'anneau possible (je suis en cb2000 depuis un mois, sauf quelques exceptions) qui devient alors un vicieux cockring... Et début de la séance.
Chrono réglé sur 10 minutes.
Elle me dit que c'est très mal de bander sans autorrisation et me réprimande d'une bon massage des couilles, qui se transforme vite en traction saccadée des testicules, puis en claques rythmées.
C'est là qu'elle aime me ficeller les couilles et la queue de plus fort, "pour la détendre et la mettre en forme" me dit-elle.
Elle a accumulé une collection de lacets tout à fait étonnante et ne se lasse pas d'en rapporter de nouveaux à chaque fois qu'elle va en courses.
Naturellement, je bande de plus fort et ce traitement me fait ressentir combien j'ai envie de baiser.
J'ai vraiment très envie d'elle.
A en mourrir.
Et pourtant, il ne faut rien dire.
Rien demander.
Rien espérer.

Si je ne bande pas : là, c'est la fête. MA fête !!!
"Ah, voilà qu'il commence à être bein dressé mon petit Homme ; allez, en position, il faut progresser".

Cela veut dire que je me mets à 4 pattes et qu'elle va me shooter les couilles.
Toujours le même timing de 10 minutes. Merci Sony de faire des réveils électroniques sophistiqués...
Et j'ai toujours droit à la collection de lacet ou aux cockrings.
On dirait qu'elle joue à la pourpée et qu'elle apprécie que Big Jim se fâche tout rouge... à devenir cramoisi, voir tout bleu...

Ensuite c'est la douche et le retour en cage.

Le soit c'est la même chose, sauf que je dois me branler sans jouir pendant dix minutes avent de retourner en cage.

Je vous laisse imaginer le timing : il faut parvenir à la remettre cette satanée cage de chasteté. Et quand j'y arrive, soit elle dort, soit elle veut que la fasse jouir, avec ma langue ou mes doigts - c'est selon...

Autrement dit, c'est un vrai supplice et il est très difficile de s'endormir, l'esprit ayant tout le loisir de penser à des choses interdites avant de trouver le sommeil.

A quelques exceptions près, ce traitement dure depuis près d'un mois.

Et elle dit qu'elle adore me chevaucher alors que je suis en cage, mais que "ça manque de bite".

Je n'ose lui suggérer le baillon-gode : on cherche tout et n'importe quoi dans ce genre de situation...

Mais je sais qu'elle y pense parce que j'en avais acheté un il y a des années pour rire, et à l'époque elle avait dit trouver ça aussi stupide qu'inutile.

J'ai le sentiment qu'elle attend que je le ressorte de la cave.

Mais j'ai peur de mal faire, puisqu'elle ne me l'a pas demandé.

Et j'ai surtout peur d'enclencher un mécanisme irréversible et de devenir vraiement inutile, au plan phallique...

Peut-être pourrai-je suggérer le port d'une gaine à pénis ?

Nous verrons bien la suite.

Mais croyez-moi, ce training est très très lourd et je ne suis vraiment plus Maître de la situation.

Cette fois, elle a vraiment pris le contrôle...

Smartbeat


Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mercredi 21 octobre 3 21 /10 /Oct 09:53
Bonjour à Tous,

Il est temps de vous faire partager mes sentiments au regard des différents moyens de chasteté contraintes que m'impose Madame, pour mon plus grand plaisir, je tiens à le préciser, car il s'agit une fois de pus de partage et d'Amour;

 

Le port d’une cage de chasteté à long terme comporte en fait de nombreuses difficultés et je cois pouvoir aujourd’hui apporter un éclairage objectif sur cet appareillage et ses diverses variantes.

 

Un cadenassage de quelques heures peut se faire avec n'importe quel objet, voir avec un foulard ou un lacet tressé : peu importe.

 

En revanche, le port d'un moyen de chasteté masculin à long nécessite un peu d'organisation si on ne veut pas être contraint de tout arrêter au bout de deux jours à cause d'irritations ou de problèmes médicaux plus sérieux.

En effet et pour ce qui me concerne, la meilleure cage de chasteté est de loin la CB2000 ou CB 2000, pour plusieurs raisons.

En premier lei, elle est suffisamment large pour que je puisse y entrer mon sexe et suffisamment courte pour quil ne s’y sente pas trop à son aise.

En second lieu, elle est ouverte sur tout sa longueur sur les côtés, entre les barreaux, ce qui pemet une fois en place de bien placer la peau de la bite, qui a souvent tendance à rester à l’extérieur avec les autre cages.

En montant un anneau un peu lâche, on obtient une cage facile à porter et à repositionner, ce qui évite les pressions toujours aux même endroits et donc favorise la prévention des irritations et infections, sans parler des facilités de nettoyage que ces ouvertures permettent.

Inconvénient : si on vent se donner du plaisir, c’est parfaitement possible entre les barreau ; mais je crois qu’on peut parfaitement jouir avec n’importe quel type de cage et la pression est toujours plus psychologique que physique.

Second inconvénient : après avoir été bien excité, lorsque Madame retire la cage, on ne peut pas retirer l’anneau qui fait cockring tant qu’on est pas débandé ; ça peut en revanche être un sujet de frustration supplémentaire dans certains cas.

Plusieurs fois, Madame m’a dé-cagé, laissé mollir… pour finalement me remettre la cage et me demander de lui faire un long cunnilingus : insupportable !!!

A mon goût, la CB6000 ou CB 6000 est top étroite et ne permet que difficilement de bien place toute la peau dans le tube ; il s’en suit des difficultés de lavage et de replacement du matériel en cas de gène dans la journée.

En revanche, Madame peut parfaitement se prendre sur le tube de la cage de chasteté et l’anneau situé à la base du Pénis, en trois parties, présente le double avantage de pourvoir être intégralement retiré quand on est en érection après retrait de la cage et de pourvoir supporter le gode creux et rigide « Her Pleasure optionnel.

Dernière qualité, le dession de l’anneau permet de le conrever serré façon cockring sans que les irritations sous les testicules ne soient insupportable comme cela est rapidement le  cas avec la CB 2000.

La Birdlock est une belle invention.

En fluorescente, elle est hyper humiliante même la nuit sous la couette car on ne voit qu’elle.

Elle est très facile à portr mais très difficile à mettre.

D’abord, il faut passer les couilles dans l’anneau, qui est assez ride et large : ce n’est pas évident.

Ensuite, j’ai le même problème qu’avec le tube de la CB6000 : le tube de chasteté ne me permet  pas de rentrer à la fois ma bite et la peau, qqui reste majoritairement à l’extérieur.

J’ai finalement trouvé une technique qui m’a permis de rester enfermé une bonne partie de l’été bien serré, pour le plus grand bonheur de Madame : entrer d’abord la peau de la bite en tirant la peau du prépuce depuis le trou du devant prévu pour uriner, avant de rentrer la bite.

Puis dans un second temps, mettre les couilles dans l’anneau.

Mais il faut du temps et ne pas être excité, ce qui est très difficile, car la manipulation demande de l’énergie et donc constitue une petit masturbation en soi, qui fait grossir le matériel.

Il reste enfin la cage en cuir, façon ballon, qui est vraiment bien à tous points de vue : ça fait un sérieux cockring, empêche de bader ferme et peut être sérieusement boxé par Madame.

Elle adore !!! Il est vrai qu’elle peut cogner vraiment fort et placer des coups de pompe énergique dans le petit ballon.

Inconvénient, on ne peut pas uriner sans sortir la queue du sac, et donc c’est pas aussi « secure » que les vraies cages.

Ce qu’aime Madame par dessus tout, c’est me sentir enfermé dans du rigide et se frotter dessus ET me sentir en incapacité de bander : ça la met dans un état que je n’avais jamais connu avant et elle aime alterner les cages.

J’ai vu qu’elle feuilletait maintenant les pages piercing à Prince Albert et elle m’a dit que l’idéal serait quand même de pouvoir mettre un cadenas entre mon gland et mes couilles.

Je ne sais pas trop si c’est du lard ou du cochon, mais dès qu’elle en a l’occasion, elle me parle de ça comme s’il s’agissait du saint graal de la ceinture de chasteté.

Je crains au contraire qu’en ayant une érection tout s’arrache et ça me fait froid dans le dos…

Madame pense qu’avec un double percement, côté prépuce et côté dessus du gland, on peut sécuriser un anneau enserrant étroitement tout le gland et attachable à un cockring dessus et dessous de manière rigide.

J’avoue que je ne me suis jamais attendu à de telles imaginations de la part de Madame.

Je pense qu’il s’agit de fantasmes et qu’elle ne me demandera pas de passer à l’acte.

Elle m’a parlé d’un artisan dans le Marais qui fabrique sur mesure ce genre d’appareil pour les gays et m’a vanté la possibilité d’enchâsser ensuite sur verge toute sorte de tube en métal qui sont solidement fixés à la verge grâce au double piercing dessus dessous.

Madame prétend qu’il s’agit là du seul moyen de se prendre efficacement sur ma queue sans qu je jouisse inutilement.

Je suis perdu.

Perdu par ce genre de débat car il m’emmène vraiment loin et parce que je n’aurais jamais imaginé madame capable de penser à de telles choses.

En même temps,, l’idée de la voir s’empaler sur ma queue tandis que je ne peux rien sentir m’excite comme un porc.

C’est ce qu’elle n’a pas manqué de me faire remarquer hier en pressant mes couilles sous la cage de chasteté alors qu’elle me parlait de cet artisan et de ses prouesses métalliques avant de se prendre sur ma langue tout en me broya,t les couilles.

En attendant, l’excitation était très forte des deux côtés et ce fût divin d’être défoncé la peur au ventre tandis que Madame se lâchait sur ma langue tout en me branlant le sac à testicule comme une forcenée.

Par Smartbeat
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