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Dimanche 9 octobre 7 09 /10 /Oct 08:07

Chers Amis,

 

Nous revenons d'une longue absence. Qui fût pour moi une longue abstinence. Et pour Madame une révolution définitive au cours de laquelle elle a sciemment et consciencieusement déprogrammé son homme.

 

Le programme de la dernière année « presque » et demi a été très simple : aucune jouissance consommée de manière consciente et non contrainte ne m’a été permise.

 

Aucun rapport sexuel non plus, cela va de soi.

 

Hormis 3 fois, mon sexe revêtu d’une coque rigide, pour le seul plaisir de Madame.

Ca, c’est très difficile au plan psychologique, croyez-moi…

Mais j’y reviendrais, tant Madame prend son pied ainsi.

Pas tant physiquement que dans l'acte de dénégation extrême qu'elle imprime et exprime ainsi...

 

Madame a presque complètement achevé mon "conditionnement" d'homme objet, complètement à ses ordres.

Je parviens désormais à « cracher » sur commande, au choix de Madame ; en quelques secondes, ou au contraire à rester endurant et stoïque capable d’endurer de longues séances de branlage et/ou fouettage / ballbusting sans aucune éjaculation.

 

Ces séances de travail m'ont "profondément" pétri, labouré, cultivé, découvrant une gamme de sensation jusqu'alors inconnues de moi ; mes fantasmes personnels dépassés de loin par le travail en profondeur de tout mon appareil génital,et de mon esprit, désormais capables d'encaisser sans broncher des sollicitations d'une extrême puissance.

 

Tout dépend désormais du bon vouloir de Madame et de ses instructions et envies - ou non.

 

La base de ce « traitement » ou plutôt de ce « déconditionnement » n’a été possible qu’à partir d’une privation complète de consommation de la moindre matière érotique : pas de film, pas de net, pas d’images… rien.

 

En revanche, je suis devenu une machine à masser réservée au service exclusif de Madame.

Très efficace selon ses dires… 

 

Cela pourra paraître curieux à certains lecteurs, mais notre couple fonctionne réellement, depuis plus de deux ans sur l'exécution de ce simple contrat : parvenir à un contrôle complet et absolu de Madame sur ma sexualité, ma bite, mes couilles ; et c’est désormais concret, de toute mon âme en plus de mon corps.

 

Je suis apaisé autant que délecté de cette situation ; après une période de désorientation quasi complète de ma sexualité - qu'en tant qu'homme je croyais plus forte que celle de Madame et incapable de disparaître totalement : je pensais la bite et le Besoin d'éjaculer plus forts que tout - c’est enfin Madame qui commande. Et qui commande tout. Pour notre plus grand plaisir à tous les deux.

 

Bien que je ne sache toujours pas exactement où cela pourra nous mener. Mais nous y reviendrons, car Madame a pris beaucoup d’assurance et se lâche désormais complètement, révélant des aspects de sa personnalité que je ne pouvais pas même soupçonner…

 

De son côté, Madame est devenue de plus en plus sensuelle à mesure que mes demandes érotiques et sensuelles – donc sexuelles - ont cessé, de manière définitive, quelles qu’elles soient.

 

Mais une sensualité revendicatrice, décidée, dominante et égoïste… Violente. Mécanique. Une soif de satisfaction extrême et immédiate. 

 

Je m’explique :

 

Comme tout homme, je suis construit et orienté par cet impératif besoin de me satisfaire d'un point final en forme de coït dominant et déterminé par une forme de mâle supériorité.

 

Ce conditionnement mâle initial se manifeste de différentes manières, mais on peut schématiquement dire que, pour obtenir une relation sexuelle, les hommes :

 

Draguent

Demandent

Prennent

Essaient d’exciter leur partenaire – utilisant diverses techniques de séduction

Bandent ; les dames bien élevées comprennent alors le message et décident ou non d’y donner suite

Veulent au fond absolument éjaculer ; ils sont généralement calmés ensuite et foutent (enfin) la paix aux dames – ou au contraire les déçoivent (cela n’a jamais été mon cas, d’où l’intérêt de la démarche de Madame et le point de départ de nos jeux…)

 

Pour ce qui nous concerne, les étapes du conditionnement ont consisté à annuler une à une toutes ces manifestations, ou plus exactement à en remettre l’entier contrôle au choix – exclusif – de Madame.

 

Je ne la drague plus : je l’honore (fleurs, cadeaux, bijoux, rangement, cirage de ses chaussures etc… une fois par jour minimum)

Je ne demande plus rien – et d’aucune manière, ni directe, ni indirecte

Je ne prends plus aucune initiative sans son assentiment express – en cela elle « commande » vraiment

Je n’essaie plus jamais de l’exciter ou de susciter l’envie chez Madame ; c’est selon son envie – ou pas…

Je ne bande plus que sur commande. C’est le plus difficile et je ne pensais pas cela possible. Mais entre les différents degrés de contrainte des cage de chasteté et autres outils mis à sa disposition, on arrive à gommer tous les effets de l’érection, qui devient honteuse ou douloureuse – en tous cas jamais satisfaisantes

Je n’éjacule plus que sur commande et/ou sollicitation directe. Et mon éjaculation se voit toujours contredite par le déni d’orgasme que Madame met en place, physiquement (ballbusting, cravache, etc…) et/ou psychologiquement : « tu ne vas plus venir de sitôt », « décidément, ça traine » ou au contraire « ah, déjà ? C’est nul ». « Il n’y a presque rien. On va augmenter le délai d’ici la prochaine séance » etc…

 

A ma grande surprise, je dois bien convenir que je parviens désormais à « cracher » sans aucune sollicitation physique – ou quasi rien, comme un bouton sur lequel Madame appuie d'un doigt supérieur ...

 

Madame me donne parfois un sujet ou une « image » sur laquelle me concentrer et hop, au bout d’un temps déterminé par Madame, je crache ou je range.

 

Il m’aura fallu un an et demi de conditionnement, mais j’y parviens désormais presque à chaque fois, si toutefois les demandes sont assez espacées, disons de 3 à 4 jours.

 

Je peux donc reprendre la plume et travailler la fréquence et les motifs d’éjaculation sous le contrôle de Madame.

Enfin, quand tel est son bon plaisir.

 

Plaisir que Madame revendique désormais de plus en plus fort et souvent pour elle à mesure qu'elle m'en a déprivé ; Madame que j’ai dû faire jouir avec ma langue, mes caresses et mes doigts durant ces longs mois et que j’espère désormais voir jouir en dehors de mes atermoiements passés sur ma propre libido tant notre "décalage est désormais grand, mais en sa faveur.

 

Soit exactement l'inverse que nos conditions de jeu de départ...

 

Une libération de Madame par l’enfermement psychologique et physique de Monsieur ?

 

Sans doute, sans doute.

 

Mais quel bonheur de partager ces jeux avec celle que l’on aime, comme une relation amoureuse d’une durée de 24 heures par jour. Une sexualité sans sexualité. Une forme d'intériorisation si profonde qu'elle me transperce désormais de part en part, révélant Madame à mesure qu'elle me torture délicieusement.

 

Il ne me reste qu’à vous compter les champs de sensations nouvelles éprouvées depuis cet épisode d'absence que certains ont pu trouver un peu long – mais qu’on se dise bien qu’il l'a d’abord été pour moi-même, et que ce fût pour le plus grand épanouissement de Madame.

 

Madame qui me parle désormais de nouvelles expériences, auxquelles je ne me sens pas préparé, mais que j’envisage de partager pour son bon plaisir, et que je ne manquerai pas de vous conter bientôt.

 

Smartbeat

 

 

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Jeudi 6 mai 4 06 /05 /Mai 14:56

Le Choix des Armes ? Voici de quoi il s'agit...

 

Des mois sans rien.

 

Si vous nous suivez, vous le savez.

 

Le désert absolu : pas de cage de chasteté, pas de sollicitation, pas de léchage : R-I-E-N.

Une grande tristesse à vrai dire et des couilles bien trop pleines pour être manipulées sans danger d’explosion immédiate.

 

L’explication est venue dimanche, alors que j’ai osé demander ce qui n’allait pas.

La réponse fût simple : « je me sens sens bien comme ça, moi. Pas toi ? »

« Tant que tu ne seras pas capable de jouir sur commande et sans te toucher, tu n’auras plus rien ».

 

C’est, vous vous en doutez un peu sévère et révélateur d'un nouveau tour de vis, car je pense que personne n’est capable d’éjaculer sur commande sans se toucher (même si des fois je suis persuadé d’y parvenir tellement je n’en peux plus…)

 

J’ai argumenté sur le thème de « l’explosion par les couilles » qu'elle avait elle-même suggéré il y a quelques mois maintenant.

 

La réponse a fusé du tac-au-tac : « oui, mais il me faudrait une boîte à jouet un peu mieux adaptée pour cela. Je ne dispose de presque rien pour l’instant. A toi d'être créatif et de me fournir les outils qui vont bien, que je puisse avoir un peu de choix selon mes humeurs. La spatule de cuisine, ça claque bien, c’est vrai, mais elle n’agit pas en profondeur, là où il faudrait attendrir les noix…

Puis minaudant d'un air faussement surprise : Tu es si en manque que cela mon petit coeur ? ».

 

Bien sur que je suis en manque !!! : je n’en peux plus !!! Ce que je lui ai dit.

 

Elle a tendrement pris ma main pour la porter à sa bouche et y déposer un baiser : « Tu veux venir ? N'est-ce pas ?»

 

Je ne sais plus répondre à ces questions-là.

 

C’est toujours bien de se vider les couilles, mais ensuite, combien de temps faudra-t-il encore attendre ? Et on sait bien qu’après une longue période de frustration, l’orgasme ne peut pas être complet. Tout au contraire, il frustre encore davantage.

 

Mais elle a pris la balle au rebond :

 

« Aller, fais-moi voir. Je compte jusqu’à 10 », me chuchota-t-elle à l’oreille, d’un ton qui était vraiment sincère et encourageant : elle avait manifestement vraiment envie de me voir me branler pour elle.

 

« Vas-y, bien à fond, serre-le bien fort, branle-toi à mort ; je te veux à bloc dès le départ » me glissa-t-elle dans l’oreille tout en se lovant contre moi de côté, pressant son genoux contre mes couilles et collant son entrejambe ondulante sur ma cuisse.

 

J’ai baissé mon short, subitement oublié mes appréhensions et tous mes états d'âme : juste envie d’un sprint de folie et de cracher. Peu importe comment.

 

Je me suis donc littéralement défoncé la bite, astiquant comme un dingue tandis qu’elle a commencé à égrener les chiffres sans attendre : "1, 2, 3..."

 

Je suis parti d’une semi-bandaison pour un rapide décollage, gaule exponentielle et violente, mais elle était déjà à « 4 » quand j’ai enfin senti que je pouvais « claquer ». Assez vite ? Non, pas tout à fait : il faudrait qu'elle compte jusqu'à 12 ou 13 pour bien faire... Et moi d'astiquer de plus belle, avec l'énergie du désespoir grandissant, ce qu'elle a parfaitement saisi, s'en amusant d'un rictus malicieux,complice et sadique à la fois.

 

Elle a senti l'embarras ; c'est là qu'elle prend son pied. Et moi avec d'ailleurs, de la voir contentée. Elle a augmenté la pression sur mes couilles, ce qui a eu pour effet de retarder la montée lorsqu’elle a ensuite retiré sa jambe, à « 6 », recréant du vide à "-3" du moment fatidique où il faudrait tout arrêter...

 

J’ai astiqué de plus fort et serré comme un étau, prêt à tout donner pour éclater à « 10 ».

 

Mais je n’y suis pas parvenu.

 

A « 10 », elle m'a saisi le poignet pour le retirer de manière autoritaire :  

 

« STOP !!! 1à ; c’est 10, pas 11. Tant pis pour toi mon chéri. Mais comme tu as été bien sage, je te remets en cage quelques semaines. Mets-donc la plus petite (la CB6000 - NDLR), puisque tu trouves qu’elle est trop petite et viens vite me faire voir. »

 

Le pire, c'est que je suis reparti de la chambre heureux d'être de nouveau en cage de chasteté.

 

Et nous en sommes là depuis deux semaines maintenant.

 

Encagé. Avec contrôle de la toilette soir et matin, comme les enfants !!!

 

Frustré à mort.

 

Cela fait quand même 4 mois que je n’ai pas joui ni ne me suis satisfait.

 

Alors je me reconcentre sur sa demande initiale, afin de meubler le vide sexuel abyssal qui remplit ma vie auprès de Madame.

 

Et il s'agit du reste de meubler au propre coomme au figuré !!!

 

C'est fou le plaisir qu'on peut prendre à confectionner une boîte à jouet qui comportera les ustensiles avec lesquels elle pourra me défoncer, me travailler, me claquer (etc...) les couilles, puisque la spatule de bois dont on se sert à la cuisine ne semble plus lui suffire...

 

J’ai consulté quelques sites spécialisés, mais le prix de vulgaires battes en bois est assez dissuasif - et pour tout dire sans rapport avec la satisfaction psychologique que nous pourrions en retirer, de l'avis de Madame.

 

Il faut donc que je trouve des objets à détourner. C'est beaucoup plus drôle !!!

 

Avouez que c’est quand même paradoxal que de devoir trouver des objets avec lesquels on va ensuite se faire défoncer les couilles et en jouir d’avance, jouant avec sa queue dans la cage.

 

Vous n’imaginez pas comme on regarde d’un œil pervers et décalé le moindre objet dès lors qu’on l’imagine détourné de sa fonction première pour satisfaire sa petit camarade de jeu…

 

J’ai ainsi acheté en brocante un rabot ancien : c’est un long lingot de chêne (environ 50cm), dont le poids lancé en rythme contre mes couilles va sûrement les travailler bien en profondeur et sans trop d’efforts de la part de ma "tendre" et chère…

 

Votre contribution me serait d’ailleurs bien utile pour nous aider à constituer les outils des destructions à venir.

 

Vos suggestions sont donc les bienvenues.

 

Avis à la population.

 

Smartbeat

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mercredi 10 mars 3 10 /03 /Mars 09:51

Depuis que je veille à le maintenir dans un état de frustration maximal, il est de plus en plus doux et ses yeux toujours plus embués, lorsqu’il se colle à moi pour m’offrir ses massages et caresses.

 

Il "quémande" en fait en me massant et s'occupant de moi ; ce n'est que le reflet de sa frustration et c'est ce que j'aime bien : le savoir bien mur et en demande.

Il faut dire qu’il est maintenant bien « en température », frustré de quasi tout depuis plus de deux mois. J’adore son air penaud et sur-attentionné. C’est à la fois délicieux et pathétique. Et ça me donne à chaque envie de le pousser un peu plus loin dans la privation.

 

Rien que de l'écrire, j'en tremble...

Il est d’ailleurs assez bon dans ce registre car j’avoue qu’il encaisse bien au-delà de ce que j’imaginais.

Je n’ai jusqu'au début de nos aventures jamais été particulièrement intéressée aux choses du sexe en général.

 

Une fois dans l'acte, je prenais du plaisir, que Smartbeat savait me donner, mais je n'ai jamais trouvé le ressort d'être à l'origine d'une partie de jambe en l'air.

 

Je n'avais tout simplement pas trouvé le starter et Monsieur devait attendre des heures (des jours ?) que le "voyant orange" s'éteigne et que le moteur puisse se lancer...

Monsieur en a souffert longtemps mais depuis qu’il a orienté notre couple sur ces jeux  un peu particuliers qui nous tiennent désormais lieu de sexualité, je me suis découverte et j'ai un intérêt nouveau pour les relations intimes…

A ceci prêt que je conviens que tout repose sur sa capacité de résistance physique et morale.

 

Et plus je le pousse loin plus je me sens fondre, à la fois dans mon esprit qui s’échauffe et à mon entrejambe qui s’humidifie et palpite au seul fait de penser à l’état de manque incroyable que je lui impose et au niveau d'abandon que je lui impose en le défonçant toujours plus fort.

Certains aspects que je trouvais ridicules et même honteux voire déviants, comme ses cages de chasteté, pompes, godes et vibros (entre autres) me servent aujourd’hui à plein et je comprends désormais que j’aime – oui, du verbe Aimer – jouer de l’aspect « mécanique » et répétitif de sa sexualité, finalement typiquement masculine.

Il faut le voir – et l’entendre quand je l’y autorise – couiner sous la pression, celle de la pompe à vide ou des coups dans les testicules ou encore, tout au contraire, quand il reste enfermé en cage de chasteté des jours durant : ses yeux disent toute l’envie et le désir comprimés : c’est un délice qui me met dans tous mes états !!!

 

Je ressens du désir.

 

C'est violent et soudain.

 

C'est enfin de la vie qui coule dans mes veines.

 

Je n'ai pas peur de le dire : rien que d'y penser, je suis excitée, moralement et physiquement, à l'idée de le contrôler et de le contraindre.

Je prends un plaisir incroyable à lui travailler les testicules ; et il encaisse de mieux en mieux : j’adOOOre le défoncer  !!!

J’en tire une grande satisfaction personnelle parce que j’ai alors une sensation de total contrôle, et je suis moi-même surprise du plaisir que je retire à le frapper, cogner, latter, exploser à des niveaux jusqu’alors insoupçonnés de ce (ex...) "douillet" de Smartbeat…

Je me rappelle maintenant bien que, quand j’étais au Cm2, deux garçons redoublants qui avaient deux ans de plus que moi m’avaient coincée à plusieurs reprises dans les toilettes lors de la récréation.

Ils pratiquaient des attouchements poussés sur ma pauvre "petite fille" qui ne comprenait rien à ce qui lui arrivait. J’étais une oie complètement blanche et je ne voyais même pas à l’époque ce que cela signifiait, mais j’étais contrainte par leur force. Et impresionnée aussi de leur présence et de leur force : comment résister ? En avais-je seulement l'envie. Tout était confus dans ma tête. S'enfuir ou s'abandonner ? Toute la question était déjà là...

L’un d’eux d'ailleurs était beau et il me plaisait bien au fond.

 

Même si je me sentais impuissante en cet instant… Un truc bizarre, comme si je n’avais plus de jambe ni de volonté, sidérée en fait…

Le déclencheur fût instinctif et la décharge d’adrénaline violente.

 

Le second garçon, qui ne me plaisait pas et se contentait d’abord de me tenir, m’a soudainement embrassée de forceà pleine bouche.

 

Ca, c'était sâle et mal !!! (le doigt dans ma culotte, à côté, c'était très supportable : je ne comprenais pas)

Je me souviens avoir balancé un coup de genoux de toutes mes forces dans le bas ventre de ce porc deux fois plus lourd que moi et avoir ressenti un plaisir fulgurant jusqu’au tréfonds de ma jeune âme à le voir s'écrouler, les yeux révulsés.

J’étais puissante et forte ; il était minable et à ma botte – et ça a duré toute l’année.

J’ai aussitôt recommencé alors qu’il était à terre à se tenir l’entrejambe.

Il avait le souffle coupé, ses yeux étaient vides comme l’objectif d’une caméra en arrêt sur image.

 

Et pourtant le second coup de pied que je lui ai donné est parvenu à augmenter encore l’aspect pantin désarticulé de cette grande carcasse, comme si c’était moi qui l’animait et moi seule.

Le coup porté entre ses jambes entrait dans son corps aussi profond que la main du marionnettiste dans sa poupée de chiffon.

C’était troublant. J’avais une grande satisfaction. Tout mon être était rassuré. J’ai aimé.

L’événement s’est gravé de manière indélébile dans ma mémoire.

J’avais complètement oublié cet épisode, mais Smartbeat l’a réveillé en laissant ouverte une page de son navigateur internet relative au port de la cage de chasteté.

A l‘époque, je ne comprenais rien à ses histoires de cage de chasteté et je trouvais ridicule et déviant – bref, je n’étais pas prête.

 

Mais bon, à force de persévrance et de supplications que, en manque permanent, il fallait trouver un moyen de pallier à notre différence de libido, j'ai fini par m'intéresser, pour lui faire plaisir, à ses histoires de cage de chasteté et j'ai admis que nous devions trouvr une solution au lent nauffrage de notre vie intime -  et bientôt sans doute, de notre couple.

Smartbeat m’avait conseillé regarder le site d’Elise SUTTON et quelques récits exposant tous les bienfaits du "contrôle de sexualité masculine".

Il était de toutes façons clair qu’il est en manque permanent de sexe et avait (a toujours d'ailleurs, c'est ça qui est bon : Humm !!!) un apétit 10 fois plus grand que le mien.

Et c’est un peu de guerre lasse et dans le soucis de comprendre comment mettre en place des "compensations" pour Smartbeat que je me suis plongée dans la logique de contrôler la sexualité de mon mari.

C’est en me documentant sur ce sujet, toujours à contrecoeur et dans une optique « devoir conjugal » que je suis tombée par renvoi de liens sur un site de « ballbusting » (je n’avais javais alors jamais entendu ou imaginé la signification de ce terme auparavant).

Mais j’ai surtout ressenti ce jour là une excitation inconnue depuis longtemps : une blonde quelconque en combinaison intégrale de lycra noir défonçait méthodiquement à grands coups de poings, de pied et de claques les couilles offertes d’un très beau mâle, attaché jambes en compas à une chaise un peu spéciale libérant un accès complet à son appareil reproducteur, de fort belle taille d'ailleurs.

 

Quelque chose d'incroyable s'est alors produit : je me suis senti fondre d'un coup, et me suis mise à mouiller comme une folle. Ca ne m'étais je crois jamais arrivé de cette façon...

Dans la scène suivante, le Monsieur était obligé de se masturber et d'éjaculer en moins d’une minute. Il n’y arrivait pas et la blonde, comme elle n’avait pas cessé de le menacer, s’est mise à lui délivrer des coups de pieds déments, sans aucune retenue, dans les parties : au dixième ou quinzième coup, le type a éjaculé en grognant et la blonde s’est alors littéralement déchaînée de plus  belle sur ses couilles.

J’ai de nouveau ressenti une tension énorme dans mon bas-ventre et c’est alors qu’est remonté le souvenir de puissance absolue ressenti l’année de mon Cm2… Sauf que j’étais maintenant excitée sexuellement et que je savais maintenant analyser cette excitation... Euréka !!!

L’épisode se terminait par la mise en cage de chasteté du type, dont on apprenait qu’il était contraint à l’abstinence pour une nouvelle période de 3 mois…

Ce fût une révélation et j’ai compris ce jour-là que Smartbeat aurait fait un bon cobaye pour satisfaire mon envie soudaine de me faire dévorer, après l'avoir claqué et encagé (par transposition avec  le Monsieur de l'écran).

Et pour la première fois, je l’imaginais enfermé dans cette cage ridicule dont je comprenais soudainement toute l’utilité.

J’ai commencé à lui tapoter les couilles le soir même, juste pour voir. Il les avait (a ?) très sensibles et délicates. Il n’a pas dit non. Et je suis montée en puissance en prenant vraiment mon pied de le défoncer avec de moins en moins de retenue, avnat d elui demander de me faire venir avec sa langue.

 

J'ai pris un plaisir incroyable et lui ai demandé de mettre sa cage.

 

Il n'y a pas cru, mais je ne lui ai pas laissé le choix  et ai prononcé des mots inexistants dans mon vocabulaire "c'est un ordre, et je la veux serrée".

 

Je me suis moi-même étonnée de ce qui venait de sortir de ma bouche, plus encore que mon comportement des minutes précédentes.

 

Tout a alors basculé, progressivement, puis plus franchement dans notre couple.

Je sais aujourd’hui qu’il s’est adapté à ce mode de vie et est conditionné à me présenter ses couilles en remplacement de rapports sexuels classiques.

Il a appris à prendre du plaisir ainsi et il sais combien cela m’en procure ; cela suffit à le mettre en transe et il accepte beaucoup en contrepartie.

Nous avons trouvé ainsi une voie originale pour redéfinir notre vie intime et Smartbeat vous en a décrit au fil de ce blog quelques épisodes.

On peut résumer en disant que je prends plaisir à le taper et à le traire ; ça m’excite et j’aime alors qu’il me fasse jouir. Ca le frustre et c’est ça qui me donne envie de le frustrer encore davantage. Ce qui m’excite et me donne envie de me servir de lui comme un objet. Ce qui le frustre et me donne envie de laisser ses couilles gonfler toujours plus. Ce qui le frustre et  me donne envie de …

Etc.. etc… etc…

Je ne vous ferai pas part de tous les développements, mais, grâce à Smartbeat, j’ai enfin trouvé ma voie et j’éprouve enfin du plaisir à partager des relations intimes.

Certes un peu particulières, mais dieu que c’est bon : je contrôle la sexualité de mon mari et ça, Mesdames, ça n'a pas de prix !!!

Je le tiens par les couilles dirait-on plus sûrement au café du commerce…

Et quand on tient à quelque chose, on le range bien précieusement dans une petite boite, n’est-ce pas Monsieur Smartbeat ???

D'ailleurs depuis quelques semaines, je veux sentir sa cage de chasteté contre moi chaque soir et pour toute la nuit.

J’aime la rigidité de la cage contre ma jambe. Sa gène au milieu de la nuit quand les érections nocturnes, désormais de retour après une période d’accalmie relative, l’obligent à se lever pour aller uriner au toilettes pour faire redescendre la pression.

J’éprouve une grande satisfaction à savoir qu’il ne va pas trouver le sommeil dès son retour et aura tout le loisir de réfléchir à sa condition, ses envies, tandis que moi je dors profondément à ses côtés.

Cela me confère le même sentiment de puissance que lorsque j’avais explosé les parties de ce grand nigaud en Cm2.

Claquer les burnes de Smartbeat au réveil comme au coucher ou mieux encore, à l’improviste en journée et sans raison, permet de calmer les appétits de Monsieur et me mets toujours dans cet état d’excitation intense qui me conduit invariablement à des orgasmes satisfaisants, surtout quand Smartbeat n’a droit à rien : c’est un pied total.

Qui place sur rampe de lancement l’épisode suivant  et ainsi de suite…

Mon rêve secret serait qu’il relâche sa gourme sur commande, en quelques claque ; voir sans aucune manipulation.

Mais sans aucun plaisir bien sûr, pour qu’il conserve toujours intact son haut niveau d’excitation.

En tous cas, lui qui était un gros baiseur (et je crois qu’il en est toujours capable vu ce qu’il encaisse…) est devenu un parfait outil pour satisfaire Madame : il me fait jouir de mieux en mieux avec sa langue, preuve que mes recettes fonctionnent plutôt bien pour notre couple.

Je vais donc passer à l’étape supérieure…

Prépares-toi mon chéri : tu vas vraiment devenir un objet…

C’était ce que tu voulais, non ?

Madame Smartbeat

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Vendredi 26 février 5 26 /02 /Fév 15:27

Deux mois sans rien, croyez moi, c’est long quand même.

 

Et ce matin : BANG !!!

 

Madame, se collant à moi pour me réveiller : « je vais me défoncer sur toi. Rien que pour moi. Toi, tu n’as droit à rien ».

 

« J’ai faim, je vais me baiser sur ta queue, je veux que tu me sentes m’ouvrir, je veux te sentir bien dur ; juste me cogner bien au fond. Tu es mon objet ».

 

Le problème est qu’elle dort maintenant avec Pyjama + culotte. Une vraie forteresse.

 

Mais là, contre toute attente, elle est nue et c’est elle qui me réveille et vient se coller sur mon ventre et se saisit de ma queue.

 

Je suis raide au réveil, comme tous les matins.

 

Je n’ai pas le temps de dire "ouf " qu’elle est déjà en train de se baiser sur ma queue.

 

Ca me fait mal parce qu’elle n’est pas encore tout à fait ouverte…

 

Tout est une question d’appréciation, mais, sur mon gland, elle est fermée… et elle en veux.

 

Elle part en quelques va et vient au cours desquels je la sens s’ouvrir et… exploser presque aussitôt. Une histoire d’une trentaine d’aller-retour et PAN : elle se pète la prune sur mon chêne...

 

Je n’ai rien compris.

 

Si ce n’est que c’est elle qui m’a prise et que j’ai été ravalé au rang de tronc d’arbre avec cette érection matinale que je ne suis même pas en mesure de contrôler ni de mettre à profit : c’est violent et animal ; tout son contraire.

 

C’est ça qui l’a excitée justement : bien me faire ressentir mon rang d’objet, ce qu’elle répète tout le temps qu’elle se prend (et de bon cœur !!!) sur ma queue.

 

Et surtout que je suis « tricard » depuis deux mois.

 

Elle a donc profité et je n’ai rien eu, comme si j’étais congelé…

 

Je lui fait ensuite son petit déj’ avant de partir au bureau. Question d’éducation sans doute : on est gentleman ou on ne l’est pas, que diable !!!

 

Elle est à moitié endormie lorsque je lui apporte son plateau, mais elle trouve quand même le sens le sens des mots : les seuls qu’elle m’adresse d’ailleurs :

« Tout en cage me dit-elle. Très serré. T’auras rien. Une belle bite ça se maîtrise comme il se doit. C’est tout. »

 

Et elle se rendort.

 

Et moi d’aller prendre ma douche frustré comme un bouc.

 

Quoique malgré tout heureux de retourner en cage.

 

Je choisis la CB 2000 : c’est la plus courte et la plus facile à supporter sur de longues périodes.

 

Elle s’est littéralement défoncée sur ma queue et je n’ai quasiment rien senti ni n’ai d’ailleurs eu le temps de bouger.

 

Elle a pris.

 

Et elle continue de me prendre au travers de la Cage de Chasteté.

 

C’est en tous cas ainsi que je le ressens. Que je la ressens lorsque je finis de m’habiller.

 

Quelque part, je trouve la présence de la cage rassurante sous mon costume d’homme rangé.

 

J’éprouve en fait un grand plaisir à la voir prendre le contrôle et maintenant l’initiative.

 

Je l’aime.

 

Smartbeat.

Par Smartbeat
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Lundi 22 février 1 22 /02 /Fév 09:45
Bonjour à tous,

Je suis je crois parvenu à un point de non retour.

Madame souhaite que mes quelques vidéos de Défonçage en règle de mes couilles soient publiées.

Voici donc une des toutes premières, qui date de février 2009.

Vous verrez que Madame est d'abord assez surprise en se remémorant la présence de la caméra.

Mais elle veut ensuite bien vite m'obliger à tout cracher sous l'effet des coups.

Et elle ne s'en prive pas : la vidéo dure et se termine par une éjaculation forcée de Smartbeat.

http://img138.imageshack.us/img138/6489/cap0001.mp4

(Lien à copier / Coller dans votre navigateur)

Vous verrez que la détermination de Madame est sans faille et comprendrez mieux ce que signifie "prendre le contrôle sans aucune retenue" - et c'est la même chose en pire à coup de latte...

J'essaierai bientôt de vous diffuser la dernière en date sur laquelle, en quelques coups, elle me fait cracher, quasi sur commande, mais sans s'arrêter ensuite de me travailler les burnes : effet d'annihilation de tout sentiment orgasmique garanti !!!!

Et surtout énorme frustration à la sortie.

Imaginez ce qui suit quand il faut retourner en cage de chasteté et faire jouir Madame sur commande...

Bonne vision et merci à tous de votre soutien,

Smartbeat
Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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