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Lundi 15 février 1 15 /02 /Fév 11:02

 

 

Rien.

 

Pas de Cage. Pas de sexe. Pas de conversation à connotation érotique.

 

Rien.

 

Et rien, c’est pire que tout.

 

D’autant que la seule consigne réitérée que j’ai eue au cours du dernier mois a été précisément : « Rien, pas toucher, pas parler. Rien. »

 

Depuis notre coït du 1er janvier, donc après une longue période de cage de chasteté de plus d’un mois et après qu'elle se soit bien baisée sur ma queue en feu : rien.

 

Ah, si, deux traites, à environ 15 jours d'intervalle chacune.

 

Mais c’est pire encore au nouveau de la privation et de la frustration : ça cogne, ça tape et ça frappe, mais ça frustre et ça ruine toute sensation de plaisir sexuel - et même émotionnel - au sens habituel du terme.

 

Et Madame maîtrise vraiement bien son sujet maintenant ; c'est ma femme qui commande. Point. Pas de discussion. Elle a pris le contrôle de ma sexualité et en décide entièrement.

 

Et en l'espèce, elle me fait progresser vers des terres de sensations qui ne peuvent être décrites que difficilement.

 

Je suis privé. Privé de tout. Sauf de la caresser et de la masser. Même de la faire jouir.

 

Mais elle contrôle son sujet, c'est à dire moi, et joue de son instrument en virtuose.

 

Elle sent quand je n’en peux plus, que je m’apprête à lui parler de mes besoins ou de mes envies : que je contrôle mes mots n'y change rien : le langage du corps ne trompe pas ; c’est physiologique.

 

Là, elle accentue ses effets de plus fort, me lance moult sourires en coin, fait des tonnes d’allusions à connotation amoureuse et se contente de m’annoncer qu’elle va me taper bientôt (on pourrait s'attendre à une promesse de faire l'Amour - mais je crains que ceci soit définitivement hors de ses envies : elle prend son pied en me défonçant et ne crains pas de l'affirmer : c'est devenu pour elle la forme normale d'assouvissement des besoins sexuels de notre couple) ;

 

Elle me le dit d'ailleurs en forme de promesse pour répondre à ma libido privée qui déborde : je vais ramasser ; qu’il faut que je me prépare et que si mes couilles sont assez gonflées, elles auront peut-être la chance de se relâcher sous la pression de ses tapes.

 

"Si tu es bien sage, je vais te taper bientôt. Il faut que tu tiennes encore".

 

D'autres épouses diraient plus simlement : "si tu es bien sage, tu auras droit à une petite gâterie" ou en font une gentiment, à l'improviste, façon bonjour-bonsoir.

 

Chez nous, non. Juste le message selon lequel elle a compris que j'avais envie. Et que donc, elle va bientôt me défoncer.

 

Aussi simple que cela.

 

La sexualité à laquelle j'ai droit est donc détournée d'une certaine normale et la satisfait au plus haut point : elle aime me frustrer et prend son pied à organiser scientifiquement cet état pour le ruiner à chaque fois davantage.

 

C'est ainsi que dans le registre construction de ma frustration je n'ai droit à rien depuis ce premier janvier.

 

Ni poids, ni cockring, ni cage de chasteté, ni branlette, ni rien de rien.

 

Sauf quelques séances de "vidage d'énergie pour franchir une nouvelle étape."

 

Elle aime me défoncer, et moi je prends car c'est une forme de partage que je reçois comme un cadeau.

 

Et de fait, j’ai eu droit à deux dimanche matin de pure défonce, toujours sous le même commandement : « chhhhhuuuuutttttttt, ne dis-rien, je ne veux pas t’entendre !!!! »

 

Et pourtant, elle ne prive pas de me toucher, de m’exciter, de me titiller en posant sa main sur ma queue – c’est un peu son hochet et sa boule antistress.

 

Moi, ça me met dans un état second, presque irréel tellement j’ai envie – quelle envie d’ailleurs, je n’ai plus la possibilité de gérer mes émotions tellement celles-ci affluent en nombre et genre divergents.

 

Elle se fait masser tous les soirs, surtout les pieds et les fesses : elle aime ça et prend son pied de voir dans quel état ça me met…

 

De fait, lorsque ses yeux se mettent à s’illuminer de curieuse façon, que je sais que je vais ramasser, je ne la reconnais presque pas tellement elle est déterminée et motivée.

 

Cela commence toujours de la même façon : elle se colle à moi, pose sa main sur ma verge et attend qu’elle gonfle en tapotant dessus.

 

Puis elle tâte les couilles, les tapote, les étire vers le bas, les regroupe en sac jusqu’à ce que je plie et implore du regard.

 

« J’aime quand tu couines et que ton regard s’embue. Tu n’auras rien mais moi, j’ai envie de taper ».

 

Et elle ne me lâche plus.

 

Je ne sais du reste plus si j’aime ça ou non ; la question s’est déplacée ailleurs pour devenir le bonheur de partager un moment d’intimité autour d’une forme différente de relation sexuelle dans laquelle elle domine ma bite et mes couilles et donc contrôle la sexualité de son mari.

 

Ses expressions changent de registre en même temps que son regard :

 

« Je dresse mon mari ».

« Je contrôle la sexualité de mon mari ».

« Les couilles de mon homme défoncées ».

« Je claque les couilles jusqu’à ce qu’elles giclent – sinon tant pis ».

 

 

Je suis tellement sous pression que je ne sais plus si elle ne va pas effectivement parvenir à me faire exploser uniquement en me défonçant les couilles.

 

La dernière fois, cela a duré près d’une heure.

 

Elle aime que je me torde davantage à chaque pallier où elle augmente la fréquence ou l’intensité des coups.

 

Arrive un moment où je ne suis plus qu’un souffle – c’est le signal que mes couilles irradient tout le reste et que ma queue ne sent plus rien/

 

Alors elle est heureuse, je le ressens à son air triomphant : elle me défonce et me maîtrise totalement par là où le mâle est habituellement dominateur ; elle jouit de l’instant et se lâche alors généralement vraiment, comme un bouquet final.

 

Ou au contraire me demande de retourner en cage et de venir la faire jouir avec ma langue (mais ça c’était avant, parce que depuis que 2010 a commencé, je suis privé de tout).

 

Elle me demande alors, vers la fin, quand elle a envie de se lâcher de saisir mon gland entre deux doigts et de me concentrer.

 

« tu n’auras rien. Je vais juste te vider à coup de poing et tu resteras ainsi jusqu’à ce que j’en décide autrement ».

 

Le coup part. Il impacte les bourses. Se répercutent dans la hampe qui gonfle et vibre.

 

La plus petite pression du doigt sur le frein est alors suffisante à déclencher les jets de sperme.

 

Mais ce n’est pas la sensation d’une éjaculation : celle-ci est effacée par les coups, le plaisir est ruiné par les vibrations violentes qui ont fatigué tout le bas-ventre.

 

Il n’y a pas non plus de plaisir post éjaculatoire ni de sentiment de satisfaction.

 

Tout au contraire, quand les coups cessent – et Madame qui a parfaitement assimilé ceci ne se prive pas d’utiliser le mécanisme- c’est bien après que la queue se soit vidée, de telle sorte qu’elle n’a pris aucun plaisir au sens habituel du terme.

 

L’orgasme est réellement ruiné, annulé, dépassé par quelque chose de physiquement plus fort et irrésistible.

 

Madame ne s’arrête d’ailleurs généralement que quad l’érection revient – et elle sait comment faire au milieu de ce maelström de sensations pour tirer les couilles de telle sorte que l’érection soit découplée de l’éjaculation : une experte en démontage de bite et de couilles !!!

 

C’est là qu’elle s’arrête, pas avant.

 

Et moi, c’est après, quand les radiations des coups commencent à cesser de produire leurs effets, que j’ai envie de baiser et de cracher.

 

Mais n’ayant droit à rien, il ne reste que la frustration.

 

Et cette sensation vient de franchir une étape supplémentaire depuis que je ne porte pus de cage de chasteté : je ne sens plus ma bite et il n’y a rien qui puisse me rattacher à Madame autre que la connexion morale de l’obligation à laquelle elle m’astreint et je m’astreins pour elle.

 

Je ne sais pas bien où cela nous mène, mais je peux vous dire que je suis « à bloc » et qu’au moins, nous partageons quelque chose de fort : un Amour partagé et un secret qui nous resserre chaque jour davantage.

 

Smartbeat

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mercredi 6 janvier 3 06 /01 /Jan 09:47

Premier de l’an fatal. Acte 1 :

 

Le réveillon du premier de l’an fût très fluide et agréable.

 

En Amoureux, aux petits soins l’un pour l’autre.

 

Petits cadeaux tout au long de la soirée ; vraiment des instants délicats.

Nous nous sommes couchés heureux et nous sommes endormis tendrement enlacés, dans les bras l’un de l’autre.

Au petit matin, je me suis réveillé tôt ; donc croissants et fleurs fraîches pour Madame.

Gros câlin du matin avec massages et caresses mutuelles, c’est si bon  de ne pas avoir de projet ni d’impératifs…

Naturellement, je n’ai pas mentionné que, libre depuis la veille, les dernières 24 heures m’ont mises dans une situation un peu paradoxale : heureux autant que désarçonné de ne plus avoir de cage de chasteté après une longue période sans éjaculation, je ne sais plus ce que je veux.

Alors je me laisse porter par l’instant et j’en profite.

Ce qui est bizarre et m’effraye de plus en plus, c’est que je n’ai aucune érection ; il y a quelques temps pourtant, j’aurai déjà entrepris de faire sentir à Madame combien je suis fort.

Mais il faut croire que le traitement de choc auquel j’ai été soumis fonctionne… il semble que je ne bande plus, sauf sur commande de Madame et uniquement en cas de stimulation extérieure.

« Voilà un petit Mari qui est bien sage maintenant, qui reste bien en place et n’impose plus sa tige de perceuse – c’est très bien ».

Madame se colle à moi et je connais la suite : il faut à brève échéance la caresser et livrer l’orgasme que cette manœuvre appelle.

Ce que confirme la suite : « masse-moi la poitrine, gratte-moi tout autour… » tout en collant son superbe fessier de plus fort, commençant à onduler contre mon bassin de façon à l’escalader prrogressivement.

Je tente une descente vers son pubis, mais elle se dérobe à cette caresse qu’elle exige d’ordinaire.

En revanche, elle vient coller ses fesses sur ma bite, qui ne bande que très moyennement, ce qui commence à me causer du soucis tant la situation est nouvelle et anormale.

« Tu vas me masser les seins, rien que les seins. Tu ne dis pas un mot. Ecarte mes lèvres, c’est tout. Je vais profiter de ta queue et me baiser avec, comme un gode. Tu es mon petit objet, ma chose, mon démonte-pneu ».

Et se cambrant de plus fort sur mon bassin, à l’audition de ces mots, je me mets à bander comme taureau, une tige très longue, très dure et presque douloureuse ; un état que je connais bien et que je n’avais pas ressenti depuis longtemps…

Je sais que quand j’ai cette sensation, ma bite est ultra tendue et incapable d’éjaculer ; je peux limer ou branler à mort pendant une durée illimitée sans cracher. Cela en est gênant pour ma partenaire, autant que pour moi d’ailleurs.

Sentant mon état subit, elle me glisse à l’oreille ceci : « Tu  vois, la Cage commence à être dans ta tête maintenant », ce qui me fait l’effet d’un coup de fouet et me donne envie de la défoncer comme une vulgaire pute, là sur le champs, entreprenant de la renverser et de la prendre comme un sauvage, lui donner ce qu’elle mérite, lui montrer qui est le sexe fort, dans une grande détermination de lui distendre à l’infini la salle de jeu, histoire de remettre les choses dans le bon sens…

Mais je n’en ai pas le temps : « Stop !!! Tu te calme et tu m’écarte la petite fille, c’est moi qui profite ; je vais profiter de ton outil et après on verra !!! »

Je ne sais pas pourquoi, mais ses paroles ont un effet calmant sur ma volonté initiale, sans doute la certitude qu’en se prenant sur mon mat, elle ne pourra qu’admettre que je suis le plus fort, et qu’en cours de route, je vais la défoncer comme une chienne et qu’elle va voir ce qu’elle va voir.

Mon idée est de la frustrer à bloc en lui maintenant la chatte écartée et la lui distendre de plus en plus, mais sans la caresser et tout en la défonçant de ma « bite magique ».

De fait, Madame est manifestement en chaleur et ultra mouillée ; ça rentre comme dans du beurre.

Et elle y va tout de suite à fond, ce qui n’est jamais arrivé aussi fort et aussi vite à mon souvenir : elle se prend comme une folle, à me déraciner la queue.

En a peine deux ou trois minutes, elle explose sans que je n’ai eu le temps de comprendre cette situation nouvelle… c’est elle qui m’a baisé.

Ca n’en finit pas : « prends-moi » me glisse-t-elle dans un cri rauque.

Alors je la bourre comme un porc, à m’en faire péter le manche, maintenant sa vulve écartée et distendue comme une mangue.

Son orgasme dure assez longtemps, avant qu’elle ne se débranche d’un coup, retombe sur mon corps et ne s’endorme, repue.

Je n’ai rien vu, rien eu, et reste comme un imbécile seul avec ma bite à la main, cette dernière refusant obstinément de débander durant de longs instants.

Mais je suis heureux du plaisir qu’elle s’est donné.

Et je trouve une certaine satisfaction dans la grande frustration qui m’anime en m’accrochant à cette image satisfaisante d’homme objet, de gode humain.

Fin de l’acte 1.

L’année commence bien.

Bonne année à tous.

J’espère qu’il es est de même pour vous toutes et tous.

Smartbeat

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Jeudi 31 décembre 4 31 /12 /Déc 09:25

La remise de la cage après noël, plus d’un mois d’abstinence, a été à la fois difficile et un réconfort : Madame apprécie désormais vraiment de savoir son homme bien cadenassé.

Elle est très fière et très forte, une sorte de flamme éclairant son regard de l’intérieur.

Et pourtant, au début, l’idée même de cage de chasteté lui semblait incongrue, stupide, voire sale, signe d’une dépravation à laquelle elle n’entendait pas sa prêter.

Et puis, chemin faisant, la révélation s’est faite d’elle-même ; d’abord en découvrant d’elle même un peu par hasard qu’elle prenait du plaisir à claquer les couilles de son Homme.

Et un plaisir qui s’est mué en un besoin, faisant naître une vraie passion pour le travail des couilles et la maîtrise de son Homme Objet par la partie sensible de son anatomie.

Le chemin a été ensuite plus long, mais il s’est imposé de lui-même : il n’appartient qu’à Madame de décider comment et quand la queue de son Homme peut être utilisée.

Elle a ainsi apprivoisé toute une palette de techniques lui permettant de contrôler la bite et donc la vie de son homme.

Ceci la conduisant tout naturellement à essayer le port de la cage de chasteté.

Qu’elle a d’ailleurs adopté dès la première journée, se collant contre moi à la moindre occasion pour ressentir cet objet dur interdisant toute raideur satisfactoire à son homme, désormais sous son contrôle.

Peu lui importe que son homme jouisse ou pas ; tout au contraire, me savoir frustré à mort la place dans un état de satisfaction intérieure qui se voit physiquement avec une évidence qui contribue de plus fort à renforcer chez elle ce sentiment de plénitude absolue lorsqu’elle m’ordonne la cage.

Elle est comme libérée d’un poids qui, sans doute depuis la plus tendre enfance lui fait redouter cette curiosité que constitue pour elle le sexe masculin, drôle de chose qui guide la vie des hommes en général et créée des obligations chez la femme.

Réminiscence d’une éducation classique et stricte, conditionnant la femme en devenir à remplir son rôle d’épouse dans une acception dans laquelle l’expression « devoir conjugal » trouve tout son sens.

La cage de chasteté et la maîtrise des couilles ont à n’en pas douter constitué pour Madame les attributs d’une revanche autant qu’un moyen de s’affranchir de cette éducation réductrice : elle ré-apprend avec ses propres codes, sans limite autre que la confiance mutuelle que nous nous consentons ce curieux instrument que représente chez elle l’appareil génital masculin, lequel, sans doute, peut occasionner du plaisir, mais celui-ci étant cantonné dans la sphère du mal et du péché, il ne pouvait être pris par Madame, n’imaginant alors celui-ci que dans une coupable jouissance

Cette analyse psychologique à la petite semaine sera sans aucun doute comprise par toutes celles et ceux qui ont reçu une éducation de même style, sans dialogue possible avec les parents : le  sexe c’est mal.

Un mal sans doute nécessaire, mais c’est mal.

Une femme doit donner son trou, de nuit sans lumière, et c’est tout.

Le moins souvent possible : c’est préférentiellement pour procréer.

Alors forcément, la rencontre avec un jouisseur un peu déjanté ayant de gros besoins tel que moi a forcément remis en cause cette programmation originelle.

Et Madame prend sa revanche aujourd’hui en n’étant plus contrainte par autre chose que son propre apprentissage que sa chatte est sans doute supérieure à ma bite.

Et  elle n’a de cesse que de prendre son pied en la contrôlant au plus près.

On est ainsi passé de l’apprivoisement à la maîtrise total de la queue.

Laquelle se révèle en outre pouvoir être elle-même contrôlée par des couilles qui autorisent une jouissance contrainte, la douleur et crainte tantôt muées, à l’occasion en une certaine forme de plaisir, sans nécessairement que celui trouve à prospérer jusqu’à une jouissance libératoire.

Et bien sûr, suprême contradiction, la frustration après coup de n’avoir pas pris et sans doute par conséquent pas tout donné à celui qui pourtant fait preuve de tant de générosité, ajoutant cette sensation un zest de jalousie envers celui qui donne, prend et crache à l’envie, sans se poser de question.

En clair, la femme contrainte de recevoir son homme en silence, pouvant le cas échéant y trouver du plaisir au travers de la contrainte, celle-ci cessant malheureusement avant que les barrières psychologiques aient permis une totale libération, laissant un goût d’éternel inachevé, a enfin trouvé un terrain d’expression dans la domination de cette queue dominatrice enfin maîtrisée, martyrisée, enfermée, libérée sur commande et contrôllée au plus stricte par une extrême frustration entretenue avec l’énergie du désespoir.

Aussi, lorsque ces deux dernières nuits Madame collait sa superbe croupe contre ma cage, la plus étroite CB6000 dont elle sait qu’elle est la plus contraignante, j’ai clairement ressenti qu’elle était enfin apaisée, trouvant le sommeil sans peine et caressant parfois avec amour cette queue enfermée à souhait.

La nuit, il lui est arrivé de presser les couilles sans autre raison que de les broyer pour pousser la cage en avant et gonflant la bite à en faire exploser les parois, tout en introduisant sa langue dans mon oreille et plaçant ma main sur sa chatte rasée ; grande première d’ailleurs.

Le signe d’une libération morale enfin achevée ?

Je ne le saurai sans doute pas avant quelques temps, mais ce matin,, 31 décembre 2009, après que je lui ai porté son petit déjeuner, elle m’a tendu les clefs du cadenas en me précisant qu’il convenait « de la laisser libre après la douche ».

J’ai demandé une confirmation de  cette instruction, déstabilisé par cette demande, gêné, frustré et apeuré de la suite ; passé les épreuves de ce derniers mois, le port de la cage est rassurant en ce que l’on sait qu’il ne se passera rien que de la frustration et on finit par y trouver un refuge d’autant plus rassurant que celle-ci fait naître du plaisir chez Madame…

Je ne discute plus rien depuis quelques mois maintenant et je me suis aperçu de mon effronterie ; j’ai pris la clef et ai commencé d’enlever la cage de chasteté sans discuté, faisant profiter Madame de ce spectacle dont je sais qu’elle l’apprécie : la queue gonfle d’un coup au retrait de la cage, mais ce n’est qu’un effet mécanique de courte durée.

« Aujourd’hui on fait la fête, alors j’aimerai que tu sois libre ; sans te toucher bien sûr ».

Me voici donc débarrassé de la cage de chasteté.

Dommage, j’avais changé d’avis sur la CB6000 que j’ai trouvé très confortable cette fois-ci.

A l’exception des pincements occasionnés par la partie basse de la coque qui commence à se décoller et pince la peau quand l’érection gonfle la cage et en écarte les parois, notamment lorsque Madame pousse son corps contre la CB pour mieux la sentir et en profiter.

Je vais mettre un point de colle et le tour sera joué.

En tous cas, me voilà libre sur ordre de Madame.

Je sens qu’elle est désormais très libre vis à vis de ma queue cette inconnue, cette ennemie qu’elle semble désormais savoir maîtriser.

Bonne année à tous.

Et espérons à nous aussi.

Smartbeat.

Par Smartbeat
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Mercredi 30 décembre 3 30 /12 /Déc 13:18

Madame continue de prendre une confiance en elle qui me laisse pantois...

Ce matin, réveil câlin vers 4h30 du Matin.

Je bande comme un taureau.

Le triple cockring me comprime la base de la queue et m’étire les couilles de telle manière que je peux entendre les battements de mon cœur dans mon appareil tout entier.

Je me colle à Madame pour lui faire ressentir mes mâles avantages.

Elle est réveillée et me fais comprendre qu’elle veut un câlin.

« Prends-moi dans tes bras, j’ai envie de te sentir tout contre ».

Cela dure bien une heure ainsi. Pur moment de tendresse.

Je bande comme un malade, ça me lance dans les couilles, mais c’est bon de résister et de ne rien demander à Madame.

Elle se retourne finalement pour me prendre dans ses bras et tâte mon paquet.

« J’aime bien quand il est tout tendu, bien gros ; et puis c’est bien : tu ne demandes rien. Ca doit commencer à s’accumuler là-dedans. C’est parfait » ponctuant ces mots prononcés dans un semi-sommeil de quelques tapes sous les couilles.

Je m’endors à mon tour.

Et je suis réveillé par Madame qui essaye me retire le cockring.

« Retires-moi ça pendant qu’il est tranquille, te sentir ultra gonflé m’a donné envie de jouer avec. »

J’ai fait vite avant d’avoir une nouvelle érection, m’exécutant sans être vraiment réveillé, mais ravi de l’annonce de Madame : elle va enfin s’occuper de moi, me libérer.

Comme toujours maintenant, j’ai peur de cet instant autant que je le redoute, car après la traite, il faut revivre les étapes de l’abstinence et refaire tout le chemin.

Madame se lève et va dans la commode magique pendant que je parviens à extraire les anneaux : la queue, puis le scrotum et enfin les couilles.

Je me mets à bander aussitôt.

Madame reviens… équipée de la pompe à vide !!!

Ca faisait longtemps qu’elle n’avait joué avec.

Je déteste ça : la pression s’ajoute à la pression et me mets dans un état d’excitation difficile à contrôler, sans compter que le sexe reste gonflé et a du mal à reprendre une vie normale immédiatement.

« J’ai bien aimé le sentir gonflé cette nuit, mais je suis certaine que lui aussi. On va l’aider un peu, n’est-ce pas mon chéri. Allez, fais-moi voir ».

Un peu de gel pour bien faire glisser le tube, mise en place de la fusée Ariane, début de pompage, ponctué d’un monologue de Madame qui n’appelle aucun commentaire :

« C’est bien de bander librement ?

Tu as profité ces derniers jours, n’est-ce pas ?

Ca te change de la cage, c’est sur.

Moi j’ai très envie de te grimper dessus, mais il ne le faut pas, tu sais bien que c’est mal, qu’il est puni.

S’il était plus sage…

Quoiqu’il ne demande plus rien et c’est déjà beaucoup mieux ainsi.

Madame : « 100 grammes !!! »

« Tu sais, j’ai bien aimé te voir harnaché du triple anneau.

C’est très beau et manifestement, la compression est d’un bon niveau.

C’est surtout tes jolies petites couilles qui doivent être contentes d’être étirées en permanence. »

Joignant le geste à la parole, elle commence à les regrouper dans sa main gauche, puis à les étirer tout en pompant de nouveau.

« 200 grammes » sur un ton de machiniste SNCF…

Ca commence à tirer de partout et j’ai l’impression que le tube commence à mordre dans mon pubis, que ça se met en place à mesure qu’elle tire  mon paquet vers le bas.

Madame : « Oh, il est tout beau  tout rouge, tout en colère. Je vais voir qui est le plus fort, la pompe ou lui. »

Et elle s’est remise à tirer puis pomper, tirer puis pomper, tirer puis pomper, en rythme, tout en égrenant les indications de la jauge de dépression :

230, 270, 300, 320, 350…

Je me tords de douleur, 350 g c’est déjà beaucoup, il faut que tout se mette bien en place avant de pouvoir envoyer des dépressions fortes.

Et Madame le sait bien.

Elle relâche la pression : « Retour à 200 grammes mon chéri. Qui c’est qui va dépasser les 500 grammes aujourd’hui ? »

Oh non !!! A froid, dès le matin, la pression tue l’érection matinale et laisse une sensation de surtension difficile à décrire, mais c’est un peu comme si on ne sentait pus bander.

Et ensuite, quand on est libéré, ça continue : c’est à dire qu’un peu comme si un robinet fuyait, le sang continuait d’affluer sans raison dans la verge.

Alors là, 500 grammes, c’est déjà vraiment beaucoup, mais s’il faut les dépasser, elle va me démonter la queue !!!

Et comme souvent, c’est son regard bleu, dur et lubrique à la fois, planté dans le mien qui fait toute la différence et me permet de trouver la ressource de lui donner ce qu’elle veut : elle est en chaleur et prend son pied en me détruisant la bite, et moi, j’aime ça.

C’est une curiosité qui se répète maintenant dans des compartiments de jeu jusqu’alors insoupçonnés…

Elle replace le tube en le tournant dans le pubis, comme pour s’assurer qu’il s’y serait bien vissé.

« J’aimerais bien que tu sois gros comme ça tout le temps, sur commande. Mais, même avec le triple ring, ce n’est pas suffisant. »

Voilààààà : 300 grammes.

On va y aller par Palier, Monsieur tout dur.

Tu aimerais pouvoir me prendre avec un engin pareil, hein ?

Tu sais, moi aussi j’aime me faire défoncer…

Mais tu n’es pas assez sage, alors il fau encore tra-va-iller :

Et hopppp : 400 grammes.

Sans relache ; et hoppp 500 grammes !!!

Toujours plus : 525.

Allez, de 25 en 25, comptes avec moi : »

C’est une sensation démente : chaque pression sur la gâchette correspond à environ 25/30 grammes de dépression supplémentaire.

Je me permets de risquer un : STOP, STOP, PAUSE, NONNNN,  !!!!!!!!

Auquel Madame me répond par deux petites pressions supplémentaires accompagnées d’un « Si-Si-Si-Si-Siiii » qui n’appelle déjà plus de contestation !

Et je me mets à compter les coups de pompe à haute voix, tandis que Madame me répond en annonçant l’indication de la jauge :

Un – 540

Deux – 560

Trois – 580

Quatre – 600

Mais ELLE NE S’ARRETE PAS !!!! Et continue par petites touches : 610, 620, 630 !!!!

« C’est bien mon chéri. Très bien même » dit elle en me claquant subitement les couilles par en dessous : « 650 !!!!

Tu vois, ça le fait… »

J’ai les yeux pleins de peur car je redoute le résultat d’un tel traitement sur ma queue.

Il est évident qu’elle ne peut pas en ressortir sans séquelles physiques.

Madame le sait très bien

« Voilà, c’est tout. Je suis très contente de toi. »

Elle dégonfle tout, d’un seul coup !!! Ce qui me laisse pantois et bête, car elle se lève aussitôt et me laisse là en me laçant : « une douche et en Cage mon chaton. »

« Tu mettras la CB6000 – après une telle performance à l’aller, tu dois bien être en mesure de supporter une cage de chasteté bien étroite pour ta petite femme, non ?

J’ai pris ma douche. Préparé le petit déj’ tandis qu’elle prenait son bain.

J’ai réussi à me dégonfler grâce à l’eau froide, tout en constatant les dégâts, somme toute limités : ma verge est parsemée de traces de vaisseaux éclatés : des tâches et des fissures bien apparentes, mais rien de plus impressionnant qu’à 500 grammes en fait.

Je sais qu’elles sont superficielles et qu’elles s’en vont.

Mais c’est toujours très impressionnant.

Et, si jamais je n’aurai pensé pouvoir prendre plus de 500 grammes de dépression : Madame l’a fait…

Et je regrette en fait déjà cette sensation, rien qu’en raison de la satisfaction d’avoir passé un cap avec elle.

Et tout simplement le fait qu’elle se soit occupé de moi…

Curieusement, je suis heureux de retrouver la CB6000 ; je sais qu’elle m’est difficile à supporter mais cette nouvelle tentative me séduit.

Au moins, une chose est claire : je n’aurai rien avant un petit bout de temps.

Et je vais devoir supporter de bander dans ma cage serré contre Madame.

Un grand bonheur partagé en perspective…

Je l’aime.

Smartbeat.

Par Smartbeat
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Mardi 29 décembre 2 29 /12 /Déc 11:10

Nous sommes Madame et moi de retour à Paris tandis que les enfants sont restés chez leurs grand-parents.

Sous le sapin parisien se trouvent les cadeaux réservés aux papa-maman.

J'ai offert à Madame deux carrés de soie, dont je sais qu’elle raffole, ainsi que de la lingerie fine signée de grands couturiers : elle mérite le meilleur pour envelopper son bonbon chéri et dès que j’en ai l’occasion, je l’honore ainsi. En fait ça me plait sans doute  autant qu'à elle.

J’ai cependant été moi aussi choyé par le père noël.

Outre un bel ensemble coordonné pull/veste en cachemire , j’ai eu la surprise de trouver au pied du sapin une boite noire contenant quelques articles érotiques auxquels je ne m’attendais vraiment pas, car ils traduisent un investissement désormais bien réel de Madame dans nos jeux.

J’ai découvert dans le  bel emballage une cagoule en cuir à la fois très épais et très souple, avec plusieurs accessoires : bâillon et bâillon gode de belle taille, outre un baillon constitué d’une sorte de tube interdisant la fermeture de la bouche.

Cela faisait plusieurs occasions que lui suggérait de pouvoir venir se prendre sur ma bouche équipée d'un bâillon gode, mais je n'y croyais pas, tout simplement parce que Madame n'aime pas les godes.

Elle pouvait me dire oui dans le feu de l'action, réclamant mes doigts, mais je pensais ce genre de jeu définitivement réservé au fantasme.

Eh bien non.

Madame n'a pas fini de surprendre, et surtout, là où je ne l'attendais pas.

« J’ai raccompagné François chez lui dans le Marais l'autre jour et je me suis  garé près d’une boutique pour gay dans laquelle j'ai eu la curiosité d'entrer en pensant à toi, gros pervers. C’est fou ce qu’on y trouve d’intéressant. Et j’y suis depuis retournée exprès pour notre petit noël ».


Jamais je n’aurais imaginé Madame ne serait-ce qu’entrer dans une boutique de ce genre, car il y a peu, elle était dégoûtée par le moindre accessoire que je tentais d’introduire dans notre couple…

« Et attends, tu n’as paaas tout vuuu, j’ai pensé à ta petite queue : un beau bijou tout neuf, pour que tu sois toujours bien tendu bien dispo pour ta petite femme et bien contraint en sortie de cage, c’est pas mignon ? »

Et c’est comme ça que je suis emprisonné depuis dimanche soir dans une nouvelle cage qui me fait bander bien dur mais sans avoir eu la moindre attention cajolatrice de Madame…

Sauf qu’elle me maintient dans un état d’excitation permanent qui promet une suite des plus intéressante !

Et qu’elle a voulu que je mette tout de suite après déballage son nouvel attirail, cagoule et bel anneau en métal, avant de lui faire un gros cunnilingus comme elle les aime, me tâtant les couilles gonflées à bloc du bout des pieds.

 

« Je crois que  c’est encore mieux que la cage mon chéri, je te sens prêt à exploser mais tu n’auras rien, c’est tout pour moi »

 

Sa chatte bien ouverte était excitée comme rarement, une caverne tendue à l’extrême.

La suite est logique : elle a finit par me demander de la bourrer avec les doigts tout en continuant de la lécher et surtout de l’aspirer goulûment.

Je pensais q u’elle voudrait ensuite me chevaucher la face et je m’y atttendais déjà résigné, voir le lui proposais : moi aaussi j'avais envie de la défoncer avec mon bâillon gode !!!

 

Mais elle a trouvé la ressource de me dire dans le feu de l’action en plantant son regard dans le mien que c’était elle qui décidait et moi qui exécutais ; que le bâillon gode était réservé exclusivement aux jours de cage de chasteté, pendant qu’elle, elle méritait de se faire défoncer proprement quand elle le voulait et comme elle le voulait.

 

« Ca t’excite hein, et bien moi aussi, mais pour l’instant tu n’auras rien, tu seras encore plus frustré quand tu seras en cage espèce de porc ».

 

Et elle est partie dans un orgasme très court en écartant brusquement ma face de sa chatte, puis en frappant la vulve avec , comme si ma tête était un  ballon, ou était déjà munie du baillon gode, abrégeant ainsi volontairement sa jouissance et me laissant ridicule avec mon inutile masque de cuir.

Elle s’est endormie et j’ai rangé tout le petit matériel, ne trouvant pas le sommeil avant la fin de la nuit, excité comme un âne et gêné par le triple anneau de métal.

Je me suis senti plus ridicule que jamais.

Et pour la première fois, je réalise qu’elle a vraiment fait de moi son homme objet.

Je ne sais pas où cela va s’arrêter.

Mais je l’aime et curieusement, j’ai envie de retourner en cage, pour ne plus bander dans le vide ni avoir les idées qui s’entremêlent inutilement.

C’est pourtant précisément ce qu’elle fait en me drivant comme elle le fait ces derniers temps.

Au réveil lundi, elle s’est contentée de me tapoter les couilles et de me faire bander dur au travers de la cage en me souhaitant un joyeux noël.

Et depuis, je suis toujours sous tensionn dans mon anneau "triple play", comme elle s'amuse à le désigner.

Je l’aime. Tendu à bloc, les couilles en feu, mais je l'aime.

Et je crois qu'elle aussi pour m'offrir - nous offrir - tout ce bonheur.

Smartbeat

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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