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Madame continue de prendre une confiance en elle qui me laisse pantois...
Ce matin, réveil câlin vers 4h30 du Matin.
Je bande comme un taureau.
Le triple cockring me comprime la base de la queue et m’étire les couilles de telle manière que je peux entendre les battements de mon cœur dans mon appareil tout entier.
Je me colle à Madame pour lui faire ressentir mes mâles avantages.
Elle est réveillée et me fais comprendre qu’elle veut un câlin.
« Prends-moi dans tes bras, j’ai envie de te sentir tout contre ».
Cela dure bien une heure ainsi. Pur moment de tendresse.
Je bande comme un malade, ça me lance dans les couilles, mais c’est bon de résister et de ne rien demander à Madame.
Elle se retourne finalement pour me prendre dans ses bras et tâte mon paquet.
« J’aime bien quand il est tout tendu, bien gros ; et puis c’est bien : tu ne demandes rien. Ca doit commencer à s’accumuler là-dedans. C’est parfait » ponctuant ces mots prononcés dans un semi-sommeil de quelques tapes sous les couilles.
Je m’endors à mon tour.
Et je suis réveillé par Madame qui essaye me retire le cockring.
« Retires-moi ça pendant qu’il est tranquille, te sentir ultra gonflé m’a donné envie de jouer avec. »
J’ai fait vite avant d’avoir une nouvelle érection, m’exécutant sans être vraiment réveillé, mais ravi de l’annonce de Madame : elle va enfin s’occuper de moi, me libérer.
Comme toujours maintenant, j’ai peur de cet instant autant que je le redoute, car après la traite, il faut revivre les étapes de l’abstinence et refaire tout le chemin.
Madame se lève et va dans la commode magique pendant que je parviens à extraire les anneaux : la queue, puis le scrotum et enfin les couilles.
Je me mets à bander aussitôt.
Madame reviens… équipée de la pompe à vide !!!
Ca faisait longtemps qu’elle n’avait joué avec.
Je déteste ça : la pression s’ajoute à la pression et me mets dans un état d’excitation difficile à contrôler, sans compter que le sexe reste gonflé et a du mal à reprendre une vie normale immédiatement.
« J’ai bien aimé le sentir gonflé cette nuit, mais je suis certaine que lui aussi. On va l’aider un peu, n’est-ce pas mon chéri. Allez, fais-moi voir ».
Un peu de gel pour bien faire glisser le tube, mise en place de la fusée Ariane, début de pompage, ponctué d’un monologue de Madame qui n’appelle aucun commentaire :
« C’est bien de bander librement ?
Tu as profité ces derniers jours, n’est-ce pas ?
Ca te change de la cage, c’est sur.
Moi j’ai très envie de te grimper dessus, mais il ne le faut pas, tu sais bien que c’est mal, qu’il est puni.
Quoiqu’il ne demande plus rien et c’est déjà beaucoup mieux ainsi.
Madame : « 100 grammes !!! »
« Tu sais, j’ai bien aimé te voir harnaché du triple anneau.
C’est très beau et manifestement, la compression est d’un bon niveau.
C’est surtout tes jolies petites couilles qui doivent être contentes d’être étirées en permanence. »
Joignant le geste à la parole, elle commence à les regrouper dans sa main gauche, puis à les étirer tout en pompant de nouveau.
« 200 grammes » sur un ton de machiniste SNCF…
Ca commence à tirer de partout et j’ai l’impression que le tube commence à mordre dans mon pubis, que ça se met en place à mesure qu’elle tire mon paquet vers le bas.
Madame : « Oh, il est tout beau tout rouge, tout en colère. Je vais voir qui est le plus fort, la pompe ou lui. »
Et elle s’est remise à tirer puis pomper, tirer puis pomper, tirer puis pomper, en rythme, tout en égrenant les indications de la jauge de dépression :
230, 270, 300, 320, 350…
Je me tords de douleur, 350 g c’est déjà beaucoup, il faut que tout se mette bien en place avant de pouvoir envoyer des dépressions fortes.
Et Madame le sait bien.
Elle relâche la pression : « Retour à 200 grammes mon chéri. Qui c’est qui va dépasser les 500 grammes aujourd’hui ? »
Oh non !!! A froid, dès le matin, la pression tue l’érection matinale et laisse une sensation de surtension difficile à décrire, mais c’est un peu comme si on ne sentait pus bander.
Et ensuite, quand on est libéré, ça continue : c’est à dire qu’un peu comme si un robinet fuyait, le sang continuait d’affluer sans raison dans la verge.
Alors là, 500 grammes, c’est déjà vraiment beaucoup, mais s’il faut les dépasser, elle va me démonter la queue !!!
Et comme souvent, c’est son regard bleu, dur et lubrique à la fois, planté dans le mien qui fait toute la différence et me permet de trouver la ressource de lui donner ce qu’elle veut : elle est en chaleur et prend son pied en me détruisant la bite, et moi, j’aime ça.
C’est une curiosité qui se répète maintenant dans des compartiments de jeu jusqu’alors insoupçonnés…
Elle replace le tube en le tournant dans le pubis, comme pour s’assurer qu’il s’y serait bien vissé.
« J’aimerais bien que tu sois gros comme ça tout le temps, sur commande. Mais, même avec le triple ring, ce n’est pas suffisant. »
Voilààààà : 300 grammes.
On va y aller par Palier, Monsieur tout dur.
Tu aimerais pouvoir me prendre avec un engin pareil, hein ?
Tu sais, moi aussi j’aime me faire défoncer…
Mais tu n’es pas assez sage, alors il fau encore tra-va-iller :
Et hopppp : 400 grammes.
Sans relache ; et hoppp 500 grammes !!!
Toujours plus : 525.
C’est une sensation démente : chaque pression sur la gâchette correspond à environ 25/30 grammes de dépression supplémentaire.
Je me permets de risquer un : STOP, STOP, PAUSE, NONNNN, !!!!!!!!
Auquel Madame me répond par deux petites pressions supplémentaires accompagnées d’un « Si-Si-Si-Si-Siiii » qui n’appelle déjà plus de contestation !
Et je me mets à compter les coups de pompe à haute voix, tandis que Madame me répond en annonçant l’indication de la jauge :
Un – 540
Deux – 560
Trois – 580
Quatre – 600
Mais ELLE NE S’ARRETE PAS !!!! Et continue par petites touches : 610, 620, 630 !!!!
« C’est bien mon chéri. Très bien même » dit elle en me claquant subitement les couilles par en dessous : « 650 !!!!
J’ai les yeux pleins de peur car je redoute le résultat d’un tel traitement sur ma queue.
Il est évident qu’elle ne peut pas en ressortir sans séquelles physiques.
Madame le sait très bien
« Voilà, c’est tout. Je suis très contente de toi. »
Elle dégonfle tout, d’un seul coup !!! Ce qui me laisse pantois et bête, car elle se lève aussitôt et me laisse là en me laçant : « une douche et en Cage mon chaton. »
« Tu mettras la CB6000 – après une telle performance à l’aller, tu dois bien être en mesure de supporter une cage de chasteté bien étroite pour ta petite femme, non ?
J’ai pris ma douche. Préparé le petit déj’ tandis qu’elle prenait son bain.
J’ai réussi à me dégonfler grâce à l’eau froide, tout en constatant les dégâts, somme toute limités : ma verge est parsemée de traces de vaisseaux éclatés : des tâches et des fissures bien apparentes, mais rien de plus impressionnant qu’à 500 grammes en fait.
Je sais qu’elles sont superficielles et qu’elles s’en vont.
Mais c’est toujours très impressionnant.
Et, si jamais je n’aurai pensé pouvoir prendre plus de 500 grammes de dépression : Madame l’a fait…
Et je regrette en fait déjà cette sensation, rien qu’en raison de la satisfaction d’avoir passé un cap avec elle.
Et tout simplement le fait qu’elle se soit occupé de moi…
Curieusement, je suis heureux de retrouver la CB6000 ; je sais qu’elle m’est difficile à supporter mais cette nouvelle tentative me séduit.
Au moins, une chose est claire : je n’aurai rien avant un petit bout de temps.
Et je vais devoir supporter de bander dans ma cage serré contre Madame.
Un grand bonheur partagé en perspective…
Je l’aime.
Smartbeat.