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Mercredi 6 janvier 3 06 /01 /Jan 09:47

Premier de l’an fatal. Acte 1 :

 

Le réveillon du premier de l’an fût très fluide et agréable.

 

En Amoureux, aux petits soins l’un pour l’autre.

 

Petits cadeaux tout au long de la soirée ; vraiment des instants délicats.

Nous nous sommes couchés heureux et nous sommes endormis tendrement enlacés, dans les bras l’un de l’autre.

Au petit matin, je me suis réveillé tôt ; donc croissants et fleurs fraîches pour Madame.

Gros câlin du matin avec massages et caresses mutuelles, c’est si bon  de ne pas avoir de projet ni d’impératifs…

Naturellement, je n’ai pas mentionné que, libre depuis la veille, les dernières 24 heures m’ont mises dans une situation un peu paradoxale : heureux autant que désarçonné de ne plus avoir de cage de chasteté après une longue période sans éjaculation, je ne sais plus ce que je veux.

Alors je me laisse porter par l’instant et j’en profite.

Ce qui est bizarre et m’effraye de plus en plus, c’est que je n’ai aucune érection ; il y a quelques temps pourtant, j’aurai déjà entrepris de faire sentir à Madame combien je suis fort.

Mais il faut croire que le traitement de choc auquel j’ai été soumis fonctionne… il semble que je ne bande plus, sauf sur commande de Madame et uniquement en cas de stimulation extérieure.

« Voilà un petit Mari qui est bien sage maintenant, qui reste bien en place et n’impose plus sa tige de perceuse – c’est très bien ».

Madame se colle à moi et je connais la suite : il faut à brève échéance la caresser et livrer l’orgasme que cette manœuvre appelle.

Ce que confirme la suite : « masse-moi la poitrine, gratte-moi tout autour… » tout en collant son superbe fessier de plus fort, commençant à onduler contre mon bassin de façon à l’escalader prrogressivement.

Je tente une descente vers son pubis, mais elle se dérobe à cette caresse qu’elle exige d’ordinaire.

En revanche, elle vient coller ses fesses sur ma bite, qui ne bande que très moyennement, ce qui commence à me causer du soucis tant la situation est nouvelle et anormale.

« Tu vas me masser les seins, rien que les seins. Tu ne dis pas un mot. Ecarte mes lèvres, c’est tout. Je vais profiter de ta queue et me baiser avec, comme un gode. Tu es mon petit objet, ma chose, mon démonte-pneu ».

Et se cambrant de plus fort sur mon bassin, à l’audition de ces mots, je me mets à bander comme taureau, une tige très longue, très dure et presque douloureuse ; un état que je connais bien et que je n’avais pas ressenti depuis longtemps…

Je sais que quand j’ai cette sensation, ma bite est ultra tendue et incapable d’éjaculer ; je peux limer ou branler à mort pendant une durée illimitée sans cracher. Cela en est gênant pour ma partenaire, autant que pour moi d’ailleurs.

Sentant mon état subit, elle me glisse à l’oreille ceci : « Tu  vois, la Cage commence à être dans ta tête maintenant », ce qui me fait l’effet d’un coup de fouet et me donne envie de la défoncer comme une vulgaire pute, là sur le champs, entreprenant de la renverser et de la prendre comme un sauvage, lui donner ce qu’elle mérite, lui montrer qui est le sexe fort, dans une grande détermination de lui distendre à l’infini la salle de jeu, histoire de remettre les choses dans le bon sens…

Mais je n’en ai pas le temps : « Stop !!! Tu te calme et tu m’écarte la petite fille, c’est moi qui profite ; je vais profiter de ton outil et après on verra !!! »

Je ne sais pas pourquoi, mais ses paroles ont un effet calmant sur ma volonté initiale, sans doute la certitude qu’en se prenant sur mon mat, elle ne pourra qu’admettre que je suis le plus fort, et qu’en cours de route, je vais la défoncer comme une chienne et qu’elle va voir ce qu’elle va voir.

Mon idée est de la frustrer à bloc en lui maintenant la chatte écartée et la lui distendre de plus en plus, mais sans la caresser et tout en la défonçant de ma « bite magique ».

De fait, Madame est manifestement en chaleur et ultra mouillée ; ça rentre comme dans du beurre.

Et elle y va tout de suite à fond, ce qui n’est jamais arrivé aussi fort et aussi vite à mon souvenir : elle se prend comme une folle, à me déraciner la queue.

En a peine deux ou trois minutes, elle explose sans que je n’ai eu le temps de comprendre cette situation nouvelle… c’est elle qui m’a baisé.

Ca n’en finit pas : « prends-moi » me glisse-t-elle dans un cri rauque.

Alors je la bourre comme un porc, à m’en faire péter le manche, maintenant sa vulve écartée et distendue comme une mangue.

Son orgasme dure assez longtemps, avant qu’elle ne se débranche d’un coup, retombe sur mon corps et ne s’endorme, repue.

Je n’ai rien vu, rien eu, et reste comme un imbécile seul avec ma bite à la main, cette dernière refusant obstinément de débander durant de longs instants.

Mais je suis heureux du plaisir qu’elle s’est donné.

Et je trouve une certaine satisfaction dans la grande frustration qui m’anime en m’accrochant à cette image satisfaisante d’homme objet, de gode humain.

Fin de l’acte 1.

L’année commence bien.

Bonne année à tous.

J’espère qu’il es est de même pour vous toutes et tous.

Smartbeat

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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