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Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 03:00
Bonjour à tous,

Petit aperçu de ce dimanche de week-end, chez des amis à la campagne.

Depuis le samedi soir où nous sommes arivés, j'ai droit à plein d'allusions sur ma virilité et son contrôle au travers de mes "coucougnettes".

Madame devient extravertie et affiche sa domination au travers de mes burnes, à mots parfois à peine couverts.

Pour les autres, il s'agit de blagues, mais moi, nous, je, nous savons bien de quoi il retourne : quand pour certains, commenter l'expression "tenir quelqu'un par les couilles" relève de la bonne blague, Madame en rajoute en donnant des exemples de torture qui font beaucoup rire.

Sauf que pour moi, c'est bien réel, et que ça m'excite d'netendre Madame, si reservé et  pudique d'habitude, verbaliser son contrôle sur ma sexualité.

"Private Joke" pour eux, "Private Game" pour nous, en quelque sorte...

Et l'inventivité de Madame va maintenant au-delà de ce à quoi j'aurai pu attendre et de très loin !!!

Ainsi, de retour ce soir, elle m'a parlé avant de nous coucher, au moment du cérémonial de présentation et contrôle  de la cage de m'offrir un  collier.

Souvent la marque que partagent les chiens et les esclaves, lui ai-je fait remarquer sur un ton badin, car je sais qu'elle n'est pas à proprement parler une Maîtresse, en tous cas au sens de ce que l'on voit généralement en image associé à  ce vocable.

Ce dont elle m'a parlé avec le plus grand sérieux est un collier d’un genre spécial.

 

Et à vrai dire, je m'y attendais dès le début du séjour à la campagne chez nos amis.

Il s'agit en fait d'un modèle destiné à nos amis à poils, pour leur éviter d’aboyer.

 

Nos Amis en ont équipé leur fidèle Berger Belge et ça a tout de suite beaucoup plu à Madame.

Le fonctionnement en est simple : le collier se place autour du cou et comporte un module électrique muni de deux doigts (un « + » & un « - ») qui restent en contact permanent avec le cou de l’animal.

Lorsque le chien aboie, ou se comporte d’une manière que le maître souhaite corriger, il suffit d’envoyer une décharge électrique au moyen d’une télécommande.

Le chien comprend généralement très vite car la fréquence, l'intensité et la durée des ddécharges est réglable depuis la télécommande, pour des "corrections" à distance d'une grande efficaciité.

Madame a eu l’occasion de vérifier le bien fondé de cet instrument aujourd’hui et a manifestement trouvé qu’il serait amusant de disposer d’un système équivalent en contact permanent autour de mes couilles…

Heureusement que nous n’avons qu’un chat car sinon notre Amie Valérie était toute disposée à nous laisser son ancien système.

 

J'ai bien cru un moment qu'elle allait lui dire carrément : "tu sais, je le mets  aux couilles de Monsieur et il sera bien sage comme ça..."

 

Elles sont parties d'un fou rire, mais jee sais que Madame l'aurait pris de bon coeur si Nathalie avait compris combien Madame n'étais qu'à moitié en train de plaisanter.

La journée a donc été remplie de sous-entendus, Madame disposant en réalité déjà d’un animal sur lequel tester cet appareillage….

Je n’ose imaginer les dégâts que doit occasionner ce genre de jouet sur des couilles humaines.

Madame m’a simplement dit ce soir avant de se coucher qu’elle allait en commander un sur ebay, « pour voir si ça peut être aussi efficace que la cage ».

En attendant, je suis en cage et je sais que désormais, c’est elle qui a pris les commandes et que mes couilles sont à fleur de peau et proches de l’explosion.

Je finis par croire qu’il est effectivement possible qu’elle parvienne à me traire sans jouissance uniquement en me défonçant les couilles tant celles-ci sont devenues sensibles et mentalement prêtes ;

Ce matin, au réveil, elle les a pressées pendant 30 secondes, puis claquées 30 secondes, puis écrasées 30 secondes, puis tapées 30 secondes etc… pendant une bonne dizaine de séries, sans aucun ménagement.

J’ai eu une érection de fou, malheureusement contrariée par ma cage de chasteté.

J’ai le sentiment que plus elle me bourre les couilles, plus elles deviennent réactives et capables d’encaisser, pour le plus grand plaisir de Madame.

Elle me dit juste qu’arrivera bientôt la troisième phase de mon entraînement et que je devrais bientôt être capable de cracher par simple stimulation des burnes.

Quand  elle a été bien excitée, elle m’a juste demandé de me placer à 4 pattes au bas du lit.

Sa phrase type est désormais claire et crue, pleine de sens : « vas, j’ai envie de te latter », ou encore parfois : « mon pied (mon genou, parfois) a faim, mets-toi en position, jambes écartées » et même maintenant « ouvres » ou « donnes ».

Et ce matin, elle avait envie de s’offrir une bonne séance de Ballbusting avec son coup de pied.

Elle m’a attaqué bille en tête et sans ménagement, tandis que je tentais de me dérober sous la violence des coups : « CHHHUUuuuuttttttttttttttt, nous ne sommes pas chez nous, restes en place, en silence je te pries !!! »

Ma seule consolation a été qu’elle a trouvé que la cage la gênait et qu’elle me l’a retirée pour m’avoir plus « à son pied ».

Et je crois qu’elle le prend vraiment à me défoncer les couilles, plus en tous cas qu’à se faire ramoner, sauf si elle contrôle ma sexualité au travers du ballbusting qu’elle qu’inflige régulièrement et des cages de chastetés, qui n’ont plus de secret pour elle désormais…

A part cela, le week-end a été agréable et j’ai massé longuement Madame à l’occasion de la sieste après le déjeuner.

Une épreuve de plus sans doute… car masser celle qu’on aime à l’heure réservée d’ordinaire aux siestes crapuleuses est une vraie gageure lorsqu’on est encagé.

Et encore plus lorsqu’il vous est demandé de finir votre ouvrage par la demande la plus frustrante qui soit en pareille situation :

« Tu n’es qu’un porc, n’est-ce pas, hein, tu n’es qu’un porc ??? »

Il faut répondre Oui, naturellement…

« Alors vient me lécher, je sais que tu en meure d’envie ».

Tête-bêche, elle me tire les testicules par saccades, le ressortant de plus en plus de l’anneau pelvien qui les entoure à la base de la cage, au rythme des circonvolutions qu’elle souhaite imprimer à ma langue.

Et quand elle les a bien en main, elle les broie gentiment mais sûrement, marquant qu’il est temps de la faire  monter au 7ème ciel au plus vite.

Puis elle s’endort et me laisse penaud, bandouillé et frustré dans ma coque ridicule, mais plein d’espoir, les couilles un peu plus gonflées de désir à chaque épreuve.

Elle est si belle et si conquérante maintenant que je suis le plus heureux des hommes.

Smartbeat

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 21:38

Chers lectrices, chers lecteurs,

 

Merci de vos nombreux soutiens, et comprenez mon silence à la lecture du présent billet.

 

A celles qui se sont proposées pour des séances de Ballbusting, Madame s'est dite intéressée, mais pas encore prête tant que son programme ne sera pas terminé, que je ne suis pas une pompe docile.

 

Vous vous attendiez sans doute à de nouveaux récits et êtes déçus de ne pas nous avoir lus au travers de l’écran.

 

C’est tout simplement que je me suis vu imposer une abstinence totale et donc, également au plan mental : y compris la lecture et/ou l'écriture de textes susceptible de provoquer une quelconque forme d'excitation.

 

Madame sait que lorsque j’écris, je suis excité par ce que je rédige.

 

Elle sait que ne tarde pas à poindre une goutte de liquide séminal au bout de mon gland et elle y voit une forme de satisfaction dont il fallait également me priver pour assurer la seconde étape de mon traitement : rien à part l'entrainement intensif des testicules à encaisser sur des séquences courtes, mais répétées.

 

Un sportif appelerait cela "du fractionné".

 

Voici donc le programme des trois dernières semaines.

 

L’enfermement de nuit s’est poursuivi au cours des trois dernières semaines et une nouveauté a été introduite dans nos jeux, de manière fortuite.

 

Ma sacoche a vu sa poignée se casser et nous avons eu l’occasion de nous rendre au BHV à peu près à la même époque.

 

Ils ont un rayon maroquinerie très développé et nous y avons découvert que la poignée pouvait être changée, seule et qu’il y avait même des étui à pression à placer sur les poignées usées.

 

Il s’agit d’une gangue de cuir qui se ferme par boutons pression et se place sur la poignée de la sacoche porte document.

 

J’ai tout de suite vu le scintillement des yeux de Madame :

 

« Oh, la belle gangue que voilà, n’est-ce pas mon chéri ? Toi qui est bricoleur, je suis sure que tu peux en faire des miracles », lança-t-elle à la cantonade.

 

J’avais l’impression que tout le monde comprenait son allusion et regardait la bosse de ma cage sous mon pantalon de toile et j’ai senti le rouge me monter aux joues d’un seul coup.

 

Son idée était simple : au lieu de placer cette gangue de cuir épais autour de la poignée d’un cartable, il s’agissait de la mettre autour de ma queue, après avoir pratiqué un trou au-travers duquel passer mes couilles.

 

Il suffisait de remplacer les boutons pression par un lacet ou des cadenas et hop : un joli rouleau de printemps enrobé de cuir.

 

Cette variante de la cage s’est révélée redoutable la nuit.

 

En effet, avec les cages classiques, l’érection pousse le fond de la cage à devenir douloureuse, mais elle permet au sexe de gonfler, à défaut de pousser en longueur.

 

Avec ce mécanisme, la queue ne peut pas gonfler au-delà du diamètre de l’étui.

 

En gonflant, la verge emporte l’étui, qui tire alors sur les couilles comme le ferait une cage puisque, faute de lubrification, le sexe ne trouve pas l’espace nécessaire à se développer.

 

C’est en tous cas très gênant et les couilles demeurent en tous cas terriblement plus exposées qu’avec une cage.

 

L’alternance de cages, bande velpeau, étui en cuir a en tous cas meublé mon abstinence de ces 3 dernières semaines, tandis qu’à mesure que j’étais privé, l’appétit sexuel de Madame a augmenté, comme fouetté par les supplices infligés à mes attributs masculins.

 

Pour la première fois depuis que nous nous connaissons, elle m’a demandé à plusieurs reprises de placer sur la cage la coque phallique livrée avec la CB6000 et de la prendre avec.

 

Ou de la tenir entre mes dents tandis qu’elle me chevauchait la face.

 

Et ce qui est vraiment nouveau, c’est qu’elle m’a demandé de la remplir avec ce gode creux et rigide de bon diamètre même en absence de toute excitation préalable.

 

Je veux dire par là que généralement (j’ai du mal à écrire « avant »), elle ne réclamait que très rarement du sexe et surtout, qu’il fallait de très longs préliminaires ou une situation de détente particulière pour que les conditions d’une relation soient remplies.

 

Là, il est clair que le fait de me défoncer régulièrement les couilles et de me tenir en état de privation occasionne chez elle un désir cru, indépendant des mécanismes habituels d’excitation féminins (ou ce que je croyais jusque là en connaître…).

 

Du reste le passage journée / nuit est devenu en soi une fête et ses yeux brillent d’une lueur intense et étrange que je ne lui connaissais pas avant.

 

De mon côté, je tiens le coup autant que je l’accuse.

 

C’est le grand paradoxe : je pensais initialement développer une forme de relation qui nous permette de gérer notre différentiel de libido, lui donner un vecteur acceptable pour les deux et je constate que j’ai donné naissance à un mécanisme qui m’échappe totalement.

 

D’un côté, je suis maintenant vraiment frustré à mort faute de relations sexuelles « normales » depuis très longtemps : pour mémoire, même les rares fois que j’ai été autorisé à la pénétrer, j’ai dû éjaculer qu’au moment  choisi par elle et que les «  traites » en règle auxquelles j’ai été astreint au cours des 8 derniers mois ont toujours été réalisées de manière à ce que j’en retire qu’une satisfaction minimale.

 

De l’autre côté, plus je suis frustré et tenu en état de « castration artificielle » de manière étroite, plus elle l’assume et plus elle s’épanouit. Elle s’autorise à prendre son pied pour elle seule et sans qu’il n’y ait aucune condition particulière extrinsèque.

 

Par exemple, je devine bien qu’elle est excitée par le seul fait de savoir que je vais rejoindre la position nuit, c'est-à-dire la cage la plus serrée CB2000 ou, c’est surtout ça qui a été le déclencheur, qu’elle va me momifier la bite à grand renfort de bande velpeau.

 

Je vois bien que, le seul fait d’évoquer une séance de « ballbusting » ou de me demander de me préparer à cet effet la met dans un état particulier et que je ne connaissais pas jusqu’alors.

 

Cette forme de castration de son homme la libère de je ne sais quoi qui lui rend accessible ex nihilo l’idée de se prendre, de se remplir.

 

J’ai ainsi constaté que désormais, la pose de la poignée en cuir lui garantit de ne pas voir ma queue et de lui laisser libre accès à mes couilles.

 

Quasi systématiquement, elle me demande de prendre en bouche le Gode creux, vient se mettre au dessus de mon visage pour se prendre dessus alors qu’elle n’est pas physiquement prête.

 

C’est comme si elle savait qu’elle allait de toutes façons s’ouvrir et m’utiliser à sa guise, les préliminaires devenant clairement secondaires.

 

Ce qui lui en tient lieu désormais, c’est le tabassage en règle de mes couilles.

 

Elle y va par sessions de Trente à Cinquante seconde avec augmentation crescendo de l’intensité et de la vitesse.

 

Et je vois bien son sexe, plaisir interdit, s’ouvrir et se mettre à couler dès qu’elle commence à taper les couilles de son mari.

 

C’est curieux, mais c’est comme si ma femme me défonçait la bite en se prenant sur le gode fiché entre mes lèvres, ou en se frottant sur ma langue selon les fois, en quelque sorte.

 

C’est ainsi que je le vis désormais et le pire, c’est que j’en retire de la satisfaction : elle s’arrête de me frapper dès qu’elle est bien chaude pour ne plus se concentrer que sur son plaisir.

 

A chaque séance, elle sait d’avance qu’elle va prendre son pied et moi je n’aurai rien.

 

Rien qu’une plus grande frustration.

 

Et croyez-moi, elle se défonce comme jamais je ne l’en aurais crue capable.

 

Nous sommes désormais à deux mois et il convient de reconnaître que je suis au bout du chemin : je n’en peux plus…

 

Elle me l’a d’ailleurs dit hier matin, après qu’elle m’ait libéré pour la journée :

 

« Nous avons passé cette seconde étape mon chéri.

Ca te plait toujours autant que je contrôle la sexualité de mon mari ?

J’espère bien parce que de mon côté, je suis bien déterminée à te faire éclater dans ta coque, sans érection, et par la seule destruction de tes burnes. 

Mais la plus belle coque est celle que je suis en train de te fabriquer, celle qui consiste à te conditionner à ne plus rien demander et à offrir à ta Femme le service qu’elle mérite : de belles explosions sans jouissance, sur commande».

 

J’en suis arrivé à conceptualiser complètement notre relation au point d’imaginer être capable d’éjaculer rien qu’en pensant à des images pornographiques où elle se contente de me prendre le gland entre le pouce et l’index et me claque les couilles en rythme.

 

La simple image pourrait presque me faire jouir.

 

Je le lui ai dit ce matin et elle a souri en me disant ceci :

 

« La seconde étape touche à sa fin mon chéri, sois patient, tu n’es pas encore prêt.

Tu vois, tu me parles encore de toi sans que je ne t’ai demandé quoi que ce soit.

Ce n’est pas bien. Tu le sais, n’est-ce pas ? »

 

J’ai baissé les yeux quand elle a posé sa main sur mes couilles.

 

Elle les a serrées par vagues successives de plus en plus fortes.

 

Leur réaction est désormais bien rodée : elles se mettent à pendre … alors qu’elles devraient remonter pour se cacher.

 

C’est là qu’elle choisit d’entourer le sac à pleine main et de tirer vers le bas, pour les étendre au maximum, en plusieurs passes.

 

Et quand je manifeste de la douleur parce que la pression est trop forte, elle les laisse remonter un peu, me place son index sur les lèvres (chhuuttttt …) et relance son travail d’extension.

 

«  C’est moi qui contrôle, tu n’as pas oublié.

Et j’ai décidé que tu devrais devenir précoce au point de claquer comme un coup de fusil après quelques manipulations seulement.

Ce n’est pas encore le cas, n’est-ce pas ?

N’est-ce pas ??? ( en tirant plus fort et plus sec), car sinon, si tu étais prêt, tu serais déjà venu.

Comme ceci, en tirant, ou lorsque je te tape.

De plus, il va être temps d’aborder la troisième étape, et je tiens à ce que cela se fasse dans de bonnes conditions.

Donc je t’en prie, ne me parles plus de ta queue et contente toi de profiter des bienfaits que je te prodigue… »

 

Et comme à son habitude, lorsqu’elle a estimé que mes couilles étaient étirées au maximum et qu’elles étaient prêtes à passer à travers la peau tellement elles étaient comprimées, elle s’est mise à les claquer de sa main libre, tout en regardant les secondes s’égrener sur l’afficheur du réveille-matin.

 

« Aujourd’hui, tu nous écrira un petit quelque chose sur ton mois de quasi abstinence.

Nous allons entamer la reconstruction de tes belles érections.

Je vois bien que tu ne bandes plus comme avant, et je tiens à ce que tes triques soient décorellées de tes jets. »

 

Je crois que je ne comprends plus ce qui se passe.

Elle fait preuve d’une assurance qui n’a pour corollaire que la passivité que je ne me reconnaîs plus…

 

« Aller, une douche et en cage mon Amour.

Garde la Birdy (Birdlock, NDLR), je ne voudrais pas que tu aies des tentations au moment où tu reprends l’écriture.

 

Tes petits Amis doivent se demander ce que tu es devenu depuis tout ce temps.

 

Je suis sure qu’ils auront hâte de savoir que tu es monté de plus en plus haut dans l’abstinence et que tu es bientôt arrivé à ta troisième phase de travail.

 

Je ne sais de quoi elle veut parler, mais, j’ai aussitôt eu une érection.

 

Je suis conditionné, c’est sur.

 

Et je n’ai rien vu venir.

 

J’ai eu envie qu’elle me défonce les couilles là, de suite, avec force, sans pitié, et ça m’a fait bander de plus belle.

 

« Non mon chéri, ce n’est pas l’heure, vas te rafraîchir et sois patient » ont été ses derniers mots avant le lever et les tâches routinière du réveil de la Maison.

 

Que peut bien être cette troisième étape ?

 

Je n’en peux plus.

 

Je suis complètement déréglé.

 

En manque.

 

Et c’est ça qui lui fait prendre de nouveau son pied.

 

Et moi avec …

 

Smartbeat

Par Smartbeat
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Lundi 8 juin 1 08 /06 /Juin 11:11
Mon nouveau traitement se poursuit :

Depuis le 10 avril, date de notre départ en vacances, je n'ai pas été libre plus de deux jours par semaine.

Mon entrainement a donc duré un mois, soit jusqu'au 10 mai.

Plus trois semaines de pénaliité pour chaque éjaculation forcée ratée lors du précédent exercice de jouissance en moins d'une minute, ce qui nous a amené au week-end du 30 mai.

Et alors que j'espérait être libéré de mon challenge, Madame m'a demandé de tenir encore, dès le vendredi soir :

"Tu dois être préparé maintenant à jouir par mes seules tapes dans les couilles et pour cela elles doivent être bien pleines. Alors sois patient... D'ailleurs, ce soir, tu conserveras la cage, mais après ta toilette, tu mettras la plus petite"


Elle m'a cependant laissé libre toute la soirée et j'étais complètement  hébété, sous contrôle : je n'ai même pas protesté.

Comme si le fait d'être pris en main avait  un effet équivalent à une relation sexuelle.

C'est un jeu. Notre Jeu, même s'il est désormais clair qu'il est extrèmement coercitif pour ma virilité.

Et dieu qu'elle prend son pied à contrôler la sexualité de son mari ; elle adore me défoncer le crane à coup de spatule, de claque, de pied et elle l'assume désormais avec gourmandise, elle qui était si timide au départ revendique au contraire son droit à m'éclater le paquet et décider quannd et comment il crache.

J'ai bien dit cracher, pas jouir.

Jouir, c'est quand je m'occupe d'elle ou qu'elle s'occupe de moi.

C'est devenu hyper-cérébral.

Et lorsque nous sommes allés nous coucher, elle m'a confirmé son nouveau jeu.

Tout a commencé ainsi :

« J’ai envie de taper.
Viens, on va se coucher.
Montre–moi un peu comment ça se présente.
Oh, mais on est tout serré dans son petit étui ???
Il aimerait être vidé ?
Et bien moi aussi j’aimerai bien avoir un beau pistolet : un coup sur la gachette et, hop, ça part.
Et puis on le remet bien vite dans son étui.
Mais pour l'instant, il faut encore le laisser se recharger, n'est-ce-pas ???»


Je n'ai pas discuté.

je me suis approché d'elle et ai voulu l'embrasser tout en l'enlaçant.

Elle m'a attrapé la tête par les cheveux, m'indiquant la direction de sa chatte.

Je l'ai léchée longuement.

Elle m'a dit dans le feu de l'extase qu'elle voulait faire de moi un objet ; un bel objet. Bien gros, bien gonflé, toujours prêt. Bien huilé. Bien rangé dans sa boite. Qu'elle le voulait de plus en plus serré pour faire ressortir toujours davantage les couilles bien rondes et bien gonflée.

"Je vais te tirer, tes couilles me serviront de gachette. De pompe à feu".

Elle est partie dans un râle au moment ou j'enfonçais mon pouce comme elle me le demandait...

Et moi, je suis enfermé tous les soirs, et presque tous les jours, selon son humeur.

Et cela fait de nouveau presqu'un mois que cela dure…

Elle me demande désormais de rester en cage "presque" tous les jours, mais c'est presque pire, car je constate que je ne bandes plus à l'improviste, comme cela m'arrivait parfois avant, en voyant une jolie fille parexemple.

Et elle a inventé un nouveau jeu qui permet de me sangler plus fort la nuit, "comme un grand convalescent" :

Elle me sangle dans de la Bande de crèpe Velpeau, vous savez ces bandes de tissus cotonnée un peu élastiques avec lesquelles on fait les bandages aux blessés.

Et bien moi, je suis sanglé ainsi toutes les nuits.

Et cela fait donc trois semaines que cela dure.

C'est encore plus vexant que toutes les cages du monde, croyez-moi.

Elle m'a dit qu'elle m'exploserai sans doute les couilles vers un mois de plus.

Selon sa méthode bien sûr...

J'ai hâte, car c'est là tout ce qu'il me reste d'espoir pour espérer cracher un tant soi peu normalement...

Et en attendant, je la masse tous les soirs et tous les matins, et je la fais jouir plus souvent qu'avant, avec mes doigts ou ma langue.

C'est comme si le fait que je sois emprisonné lui avit redonné du désir : elle prend son pied de me savoir incapable de bander de manière satisfaisante.

Elle m'a même demandé, ce qui est vraiment surprenant de sa part, de prévoir un gros gode pour un de ces soirs, "tu sais, la prothèse que tu avais acheté avec ta dernière cage : je suis sure qu'au bon moment, elle me fera une bonne queue de substitution et que ça t'excitera encore plus, en bon gros porc que tu es, n'est-ce pas mon chéri ??? "

J'ai peine à le dire, mais vivement ce soir...

Smartbeat


Par Smartbeat
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Dimanche 24 mai 7 24 /05 /Mai 08:51

Ouf, enfin libre !!!

 

Près de deux mois sans éjaculations.

 

Poussé à bout tous les 2 à 3 jours et retour en cage chaque nuit : soit branlette rapide sans éjac, soit claques dans les couilles en prenant bien soin de les étirer : c'est son nouveau truc elle aime les étirer et me voir me tendre comme un arc pour contrarier son geste, tandis que quand elle frappe, mo corps recule, ce qui étire encore un peu davantage les couilles bleuies...

 

Hormis ces visites de ocntrôle aussi brèves qu'intenses et quotidiennes : maintien de la cage jour et nuit sur des périodes de 3 à 10 jours.

 

Le nouveau jeu de Madame et son nouvel objectif : faire exploser la queue par simple défonce des couilles.

 

Aucune manipulation de la verge.

 

Rien que du travail des couilles en profondeur.

 

Elle les veut rondes, gonflées, sensibles, débordantes.

 

Elle a parfaitement intégré la notion de fréquence de vibration selon le poids des chocs, leur rythme, leur angle.

 

Et, si Madame a parfaitement intégré que, physiologiquement, la seule manipulation des testicules ne pouvait pas générer d’éjaculation, elle maintient dur comme fer que, à force de les battre, mes couilles finiront par transmettre suffisamment de résonnances du bas de la queue jusqu’au gland pour engendrer une traite.

 

Madame soutien que le port de la cage renforce le lien psychologique entre les couilles et la queue dans la mesure où lorsqu’une érection intervient, elle tire sur les couilles à les rendre douloureuse, ce qui revient à poser comme base de l’équation : érection = désir = surtension des testicules.

 

Le développement de celle-ci revient à poser le théorème selon lequel : claque sous les couilles = érection instantanée.

 

Le désir exacerbé par la frustration des semaines sans jouir, additionné à la connexion coups/désir doit donc permettre, selon Madame, de pousser le trop plein de sperme hors du tube priapique par simple défonce des couilles.

 

« Au pire, les couilles défoncées font balancer ta queue contre ton bas ventre et cette pression finira bien par être suffisante pour que tu craques »

 

« Tu es bien parvenu à descendre sous les 1 minute pour éjaculer à force de conditionnement, je suis certaine que tu peux également arriver à le faire sous la seule force de mes tapes. Tu verras, ta queue finira par s’habituer à répondre sur de très faibles sollicitations : comme tous les hommes, elle ne demande que ça !!! »

 

Depuis mes traites intensives avant le ski, je n’ai été autorisé à aucune relation sexuelle, et  j’ai essuyé un mois de cage, plus une semaine de pénalité par éjaculation horaire ratée, soit jusqu’à hier samedi soir.

 

J’ai eu, depuis la fin de la grande traite, veille de notre départ le 11 avril, tout le loisir de bien ressentir la reconstitution du sperme et du désir, solidement enfermé dans ma cage pendant toutes nos vacances de ski.

 

Madame s’est fait un malin plaisir à multiplier les tire-fesses… les privilégiant aux télésièges.

 

Les premiers jours cependant, tout s’est bien passé, il suffit d’avoir une petite burette d’huile au silicone et de bien lubrifier à chaque pause.

 

Les érections nocturnes ont été peu présentes les 3 premières nuits, contrairement à la situation habituelle : la fatigue des traites à outrance des jours précédents y est sans doute pour quelque chose.

 

Mais la troisième fût terrible : impossible de fermer l’œil de la nuit !!!

 

Une gaule de folie avec des picotements DANS les couilles, comme un appel du jeune sperme à être aspiré au dehors, à être forcé de sortir ; un effet mémoire des traites en moins d’une minute… mais sans aucune possibilité de bander à fond ni de me toucher à plein à cause de la cage de chasteté.

 

Elle s’en est aperçue vers 5h00 du matin. Je lui ai dit ma gène. Ca lui plu…

 

Madame m’a demandé de m’allonger contre elle, s’est lovée contre moi et a mis sa main sur ma queue en cage.

 

« Il faut être bien sage mon Chéri, n’est-ce pas ? Regardes, tes couilles sont à peine rechargée et déjà elles tirent. Elles sont si tendues qu’on devine les olives sous la peau rien qu’en passant la main »

 

Et elle m’a longuement caressé les couilles, augmentant l’intensité de l’érection ; elle les a massé directement, pinçant les olives entre ses oigts de plus en plus fort, ce qui fait mal mais dégonfle un peu l’érection.

 

« Là, là, chhhuttttt, tu vas réveiller les enfants, regardes comme elles sont gonflées. Tu vois, tu débandes plus vite comme ça, quand je presse tes burnes. »

 

Et joignant le geste à la parole elle me les a littéralement écrasées entre ses doigts, comme un casse noisette, sans aucune possibilité de s’échapper, déjà contraintes par la cage qu’elles étaient.

 

« Voilà, tu vois, ce n’est pas difficile de se clamer, n’est-ce pas ? Et elles sont bien dressées maintenant, regardes, si je les tape, Hop, ça rebande !!! Et d’ici quelques temps, tu verras, on pourra les vider très vite rien qu’en les claquant ».

 

Et joignant les gestes à la parole, elle s’est mise à me claquer les couilles en rythme, à haute fréquence puis de plus en plus fort à mesure qu’elle baissait le rythme, puis l’a de nouveau augmenté sans diminuer la force.

 

L’effet dans la cage est immédiat : la peau des couilles se tend à mort pour permettre une érection, et les boules sont alors bien saillantes, calées et sans défense.

 

« Tu vois, c’est pour ça que je veux que tu restes en cage la nuit. Elles vont bientôt atteindre la première semaine en cage et vont commencer à se calmer d’elles-mêmes, comme d’habitude. Tu ne banderas plus aussi systématiquement et je pourrai commencer mon nouveau projet. En attendant, toi tu viens me faire jouir, j’ai envie de ta langue ».

 

J’ai dû la lécher presque tous les jours. Comme un hommage, un signe de respect.

 

Je ne l’ai pas toujours ouverte ni faite jouir.

 

Non, ce qu’elle voulait, c’était l’hommage obligatoire rendu à la féminité, le fait de décider des caresses qui lui sont prodiguées et d’en faire une obligation, une révérence.

 

Elle me l’a imposé comme une sorte de rituel obscène.

 

Et pour vérifier l’effet sur la verge enfermée dans sa cage de chasteté, toujours bien en place.

 

Et de savoir que là-bas, entre les jambes de son homme, la bite conquérante était muselée serrée, sans possibilité de se développer et de dominer, et encore moins de prendre, de pénétrer lui procure de plus en plus de plaisir.

 

Elle mettait fin sans raison à ces caresses, s’endormant en jouissant de la seule idée que je reste sur le bord du chemin, la queue tendue dans ma cage, laissant souvent sa main dessus, comme pour se rassurer, se calmer en la tapotant, avant de rejoindre un doux sommeil.

 

Le fait de contrôler son homme dans toute sa virilité la fait décoller.

 

C’est ça son truc.

 

Et moi, je m’exécute dans une relation ambiguë parce que j’y trouve mon compte : partager une sexualité certes paradoxale, mais une sexualité de tous les instants avec ma femme, Madame.

 

Du reste, quand je la lèche, toujours avec la langue et sans autre fonction pour les doigts que d’écarter progressivement sa vulve, elle s’ouvre en grand et se met à palpiter dès que son pied entre en contact avec ma cage de chasteté.

 

Je sens alors son con s’ouvrir et couler d’un coup dès qu'elle atteint ma cage de chasteté, et ça me colle à mon tour  une trique infernale qui me fait mal à me déchirer le périnée.

 

Je rappelle pour mémoire que, avant cette mise en cage, j’avais subi des traites à répétition et que j’avais fini vidé à mort.

 

Et que ce sont les premiers jours de cage les plus difficiles, car la gaulle le dispute à la résistance opposée par l’appareil. Puis la bite se calme vers le 4ème jour et les érections, si elles subsistent, sont moins douloureuses et permettent de dormir.

 

Là, les premiers 3 premiers jours, ma bite était vidée mais Madame a continué de me solliciter.

 

Puis les Trois jours suivants ont été aussi douloureux que les 3 ou 4 premiers d’habitude, de sorte que le supplice a duré toutes les vacances.

 

Un délice, Madame ne permettant pas une occasion de me rappeler ma condition ou d’y faire référence par allusions en public.

 

A notre retour à Paris, beaucoup de travail et alternance de plusieurs jours complets en cage avec des nuits seulement.

 

A un mois, je lui ai fait remarquer cette date anniversaire, fier de moi.

 

C’est là qu’elle m’a révélé sa nouvelle ambition.

 

« Je sais mon chat et tu supporte bien la Cage de Chasteté maintenant. Je suis fière de toi. Mais tu oublies que tu as trois semaines de pénalité à cause des traites manquées mon petit chat, non ??? »

 

Bien sur que je le savais. Mais j’étais si fier d’être à tout moment du jour et de la nuit en communion avec Madame. Je le lui ai dit. Elle apprécié.

 

« Cela confirme ce dont je me doutais. Tu es maintenant une bonne petite pompe à sperme pour mon bon plaisir n’est-ce pas ? »

 

C’était samedi matin, nous étions enlacés.

 

« Vas retirer ta cage, laves-toi et viens vite me rejoindre ».

 

Je me suis exécuté, tout heureux de la récompense qui s’annonçait.

 

Mais à mon retour, j’ai eu droit à une longue séance de ballbusting. Que des coups de pied. Un travail en profondeur, sans grande brutalité mais avec une belle constance. Comme un entrainement de sportif de grand fond.

 

C’est là qu’elle ma fait part de son projet de me faire exploser par le seul exercice de pressions dans les couilles.

 

Qu’à cet effet, elle allait me maintenir sous cage et me traiter uniquement par les couilles.

 

Que son rêve serait que soit capable bientôt de cracher sur commande, par la seule pression de sa main qui se referme avec autorité sur mes couilles.

 

Depuis, le traitement a lieu de une à trois fois par jour.

 

Et le pire, c’est que, comme cela avait été le cas avec l’entrainement précédent permettant de cracher en moins de 30 secondes, je sens qu’il est possible d’y arriver, car j’encaisse maintenant des coups qui m’auraient fait m’évanouir lorsque j’étais adolescent et qui aujourd’hui, transforment la douleur en jouissance, et même en manque lorsqu’elle s’arrête…

 

Je deviens fou.

 

Fou d’amour.

 

Smartbeat

 

 

Par Smartbeat
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Mardi 5 mai 2 05 /05 /Mai 00:00

Bonjour à toutes et à tous,

Je rattrappe peu à peu le temps passé loin d'une ordinateur et viens vous compter le dernier jour avant les vacances scolaires de pâques (le 10 avril 2009 pour Paris - RP).

Comme vous le savez si vous nous avez lu, Madame a décidé de me vider sérieusement les bourses avant nos vacances, tout en souhaitant que je parvienne à éjaculer une fois par heure en moins d'une minute. Ce bureau ou pas, seul ou pas; avec photo et SMS à l'apui, outre un "livre de bord" des images sur lesquelles je me suis concentré pour y parvenir.

Le troisième jour de masturbation forcée a cependnat constitué une expérience éprouvante et étrange.

 

J’ai eu l’occasion de décrire à certains la sensation de besoin physique de se vider les testicules, alors que ceux-ci sont pourtant déjà secs des précédentes éjaculations.


La verge vous fait mal, est physiquement exténuée, et pourtant, le conditionnement fait qu'elle vous demande de lui tirer dessus. C'est autant un besoin physique que psychologique : ne pas décevoir Madame autant que la nécessité physique étrange d'éprouver le besoin de se faire claquer la bite, sans plus aucun plaisir; Pensez, au bout du troisième jour à ce rythme, on crache, mais il n'y a plus de plaisir.

Juste le coup de fouet de l'éjaculation. Douloureuse elle aussi. Mais elle fait couler du feu dans la hampe qui satisfait quelque chose en vous, apaise un besoin qu'on ne saurait décrire.
 

Le conditionnement est assez rapide en fait "chez le mâle", comme dirait Madame ; elle est succincte lorsqu'elle s'adresse à moi en ces termes, mais juste de propos : « je me suis inspirée d’un récit lu au détour d’un blog anglo-saxon et j’avais trouvé à l’époque le propose exagéré ; mais non, c’est possible…tu en est la preuve vivante mon Amour »

 

Aussi incroyable que vrai, je n’ai failli que deux fois ce troisième jour d'éjaculation forcée, une journée plus courte, de 7h00 à 15h00.

 

Je suis en effet rentré tôt du bureau pour préparer nos vacances de ski.

 

Avant que les enfants ne rentrent de l'école et ne mettent fin à toute intimité en journée.

 

Je lui ai bien sur fait mon rapport SMS et envoyé mes photos, comme à l’accoutumée.


Elle adore ça !!! 


Mais en rentrant à la maison, après les banalités d’usage elle m’a aussitôt demandé d’assister à ma branlette de 15 à 16h00 : « motives-toi mon Chéri, car ensuite, hop, en cage. Je meure d’envie de te voir te tortiller à ski avec ton petit matériel ».

 

A vrai dire, j’ai espéré à ce moment qu'elle me consentirai enfin une relation sexuelle "normale", simple mais sincère. Faire l'amour avec ma femme... A moins que ce ne sois plus désormais que "Madame" ???

 

Enfin je ne sais plus…

 

Car en fait de relation sexuelle, voici ce qui s'est passé...

Je me suis déshabillé dans le dressing, pensant aller prendre ma douche après une ultime branlette au toilettes devant elle, porte ouverte, comme me l’a signifié à mon retour.

 

Mais non : elle m’a en fait rejoint en peignoir, sortant de la douche plus vite que je ne m'y étais attendu.

 

« Allonges-toi, j’ai envie de toi ».

 

Oh, que j'aime quand elle vient frotter son bouton d’amour sur mon sexe, puis se prend dessus, surgonflé d’excitation.

 

Sa proposition était comme irréelle, inattendue et délicieuse de promesse.

 

Mais le drame c'était moi : il se jouait au même niveau que le dérèglement de tout mon corps : je n ebandes plus quand il faut et bande comme un taureau quand il faudrait être concentré sur un tâche. C'est là que je fais d'ailleurs d'autres taches, honteuses et visqueuses celles-ci.

Là, j’avais peur.
Peur de ne plus bander.
Peur de ne plus être un homme.
De cracher tout, tout de suite.

Ou de ne plus bander.

D’avoir mal.

J’étais mou.

Petit.

Ridicule…


Et Elle, elle était superbe, assurée, moqueuse, Belle... 


Alors que moi, depuis deux jour, je n’ai plus une queue, mais une lance, un appareil.

 

Et là, l’appareil ne bande même plus à propos… ; il est vide et n’est plus capable que de cracher dru ni épais; à peine quelques gouttes, certes une fois par heure. En quelques dizaines de secondes…

 

Et pourtant elle était là, devant moi, belle odorante avec sa nouvelle coupe de cheveux, sortant de chez son esthéticienne, peignoir et mules assorties : Magnifique !!! Triomphante du spectacle de ma queue en berne...

 

Nue et me laissant entrevoir sa toison parfaitement soignée, elle s'est approchée.


M'a fait me plier, me coucher, m'allonger en me tapant sur l'épaule d'une main et me désignant le sol du dressing de l'autre, dan sun geste qui n'appelait pas la contestation.

 

 

 

Sans rien dire, totalement impudique, elle est venue s'agenouiller au-dessus de mon visage et a frotté son sexe contre mon nez : « sors ta langue. Tu en as envie n’est-ce pas. Tu sens comme elle est fraîche ? Sors ta langue, ne la bouge pas. Laisses-la juste tendue. C’est moi qui me baise dessus. Tu n’es qu’un gode. Un gode humain. Oui. Mon mari est un gode humain ; à ma pleine et entière disposition. »

 

J’ai très légèrement commencé à « bandotter ».

 

L’excitation née de la présence de son sexe odorant et frais sur mon visage dont je commençais à connaître les effets ; mais en fait d'excitation, après les traites à répétition que je venais de m'infliger sur ses ordres, il ne s'agissait pus que de celle d’un éjaculateur précoce : on bande un peu, puis ça se raidit d'un coup et dès qu’on tire un tant soit peu dessus, ça part misérablement, sans même que la verge n'ait eu le temps d'atteindre son plein développement.

Les corps caverneux sont comme tendus de l’intérieur, et pourtant on ne bande que très faiblement.

Une curiosité pour moi qui ait toujours été endurant au point de parfois pouvoir limer plusieurs heures sans éjaculer. C’en a même été dégradant en certaines occasions : « Arrêtes mon chéri je n’en peux plus… » alors que moi, j’avais toujours le démonte-pneu en pleine possession de ses moyens et plus incandescent que jamais.

 

« C’est tout l’effet que je te fais, mon petit chéri ? » me lança-t-elle d’un air entendu, voyant les efforts de ma queue pour grossir.

 

« Le petit oiseau est cassé ? » me dit-elle en se balançant d’une jambe sur l’autre, après s’être relevée sur ses genoux, un sourire curieux au coin des lèvres…

 

« On va arranger ça, mon canard », venant s’asseoir de tout son poids sur ma face.

 

Puis se relevant. « Tu aimes, n’est-ce pas ? »

 

Puis se rasseyant de toutes ses forces, me baisant littéralement la gueuele avec son cul de princesse.

 

« Tu aimes ou pas ?"

 

Et moi de lui dire entre deux asphyxies : « oui, j’aime quand vous venez m'écraser la face avec votre postérieur. »

 

« Et bien c’est très mal, car c’est moi qui décide et pas toi », pesant cette fois de tout son poids et ramenant ses jambes sous ses fesses, de part et d’autre de ma tête.

 

« Sors ta langue et lèches bien ; je contrôle et toi, tu lèches, entendu ? Quand je l’aurai décidé, je compterai jusqu’à 10 et tu vas cracher tout ce qui te reste, c’est bien compris ? »

 

J’ai subitement senti son sexe s’ouvrir, couler, se ramollir m'envahir la face au moment précis où elle prononçait ces paroles. Elle s’est mise à mouiller très fort, comme si elle s'étais lachée...

 

Et elle a aussi choisi ce moment pour commencer à taper mes couilles, offertes et sans défense.

 

De plus en plus fort, tandis qu’elle se frottait toujours à ma langue et que je la sentais s'ouvrir.

 

Elle a fini par réunir mes couilles en bouquet dans une main et à les tirer à fond pour mieux les battre.

 

Une fois étirées par à-coups, elle les frappait de plusieurs claques très rapprochée et de plus en plus fortes : « il est où l'effet de pallier, hein, dis moi, il est où ? « Elles m’appartiennent ces belles couilles, tu entends, dis, elles m’appartiennent, dis-moi qu’elles m’appartiennent et que tu aimes quand je te les brise, allez dis-le !!!!! »

 

C’était insupportable … et enfin excitant : j’arrivai enfin à avoir une relation avec elle. Le principal, non ?

 

Ca a duré une dizaine de minutes ;

 

J’ai franchi plusieurs palliers.

 

A un moment elle s’est relevée et s’est placée debout au-dessus de moi, me faisant face : « c’est tout ».

 

Elle a ensuite placé son pied droit entre mes cuisses, comme pour m’infliger une bonne séance de ballbusting.


Vu son état, je m'y attendais de toutes façon.

Je sais maintenant qu'elle prend son pied à me défoncer les couilles et elle y va de plus en plus franchement, selon son bon plaisir, tandis que moi, je dois être disponible pour son envie.

Ca la calme, l'apaise, comme un produit antidépresseur.
 

Elle a placé quelques pressions d’approche du bout du pied, puis du coup de pied, m’obligeant à écarter davantage les jambes, ne me quittant pas des yeux, prenant position pour avoir la bonne force et le bon angle.

 

« Allez, branles-toi, je comptes jusqu’à 10. Je veux que tu craches, j'ai envie de te latter en même temps, je ne voudrais pas que tu jouisse juste avant ton retour en cage, n’est-ce pas mon chéri ? »

 

Elle a continué de chercher le meilleur angle d’attaque pour son prmier shoot du coup de pied.

 

Elle a déjà eu l’occasion de me sécher d’un grand coup dans les couilles et j’ai compris qu’elle aime ça.

 

Ses yeux pétillent et dans ces moments là, je la sens excitée comme une chienne.

Je sais que je lui fait vraiment plaisir.

Et comme c'est tout ce à quoi j'ai droit deouis 6 mois, je prends ...

J’ai eu envie de lui faire plaisir ; j'ai commencé à m'astiquer sans pudeur et je m’attendais à une bonne séance de coups de pieds dans les couilles, laquelle n’allait maintenant plus tarder … et ça m’excitait enfin à fond. La cage aussi d'ailleurs, que  j'espérais en fait autant que je la redoutais...


les images se sont bousculées dans ma tête ; elle s'en est aperçue du reste...


Je me suis alors littéralement défoncé la queue souss son regard narquoi et supérieur, à pleine main, sans aucune retenue, comme je le faisais maintenant chaque heure depuis trois jours, tandis qu’elle comptait lentement :

- 1, 2, 3
(ça y est, ça monte!!!!!!!!),

- 4 (c’est tendu, je ne contrôle plus mes érections ni le point de non retour,, que je sens ne sens plus mais que je sais proche, j'ai confiance car je connais mon niveau de conditionnement et je sens que son pied ne va pas tarder à venir me défoncer les burnes...),

- 5 (c’est bon, ça va péter)

- 6 : STTOOOOPPPPPPP !!!!! C'EST TOUT. STOP. C'EST FINI !!!!!!

 

« C’est tout. Là. Voiiiilà ; Frustré ? Tant mieux !!! Allez, toilette et en cage. Oh, mais tu trembles. T'étais prêt de l'explosion, j'ai bien aimé. Je vois que tu es bon petit garçon bien dressé. Ca me suffit à moi, n'est-ce-pas mon chéri ? Ah, pas à toi ? tant pis !!! Maintenant, j’ai envie de la grosse cage en plastique (la CB6000 NDLR). Tu vois, moi aussi j'apprécie les jeux. Et j’aime bien quand tu bandes pour rien… »

 

Il s’en est suivi un départ en famille direction les sports d’hiver.


Avec un nouveau challenge que je ne tarderai pas à vous décrire.

 

Et naturellement, rien ou  presque pendant les deux semaines de ski.

 

Sauf un épisode choisi que je vous conterai prochainement, car il est à mon sens encore plus hard que tous les ballbustings que vous pourriez imaginer.


On peut maintanant dire avec Madame que c'est bien elle qui contrôlle la sexualité de son mari...
 

Merci à tous ceux qui nous adressent leurs encouragements.

 

Bien cordialement,

 

Smartbeat

 

Toujours en cage depuis le 10 avril au soir…

 

 

 

 

Par Smartbeat
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