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Dimanche 24 mai 7 24 /05 /Mai 08:51

Ouf, enfin libre !!!

 

Près de deux mois sans éjaculations.

 

Poussé à bout tous les 2 à 3 jours et retour en cage chaque nuit : soit branlette rapide sans éjac, soit claques dans les couilles en prenant bien soin de les étirer : c'est son nouveau truc elle aime les étirer et me voir me tendre comme un arc pour contrarier son geste, tandis que quand elle frappe, mo corps recule, ce qui étire encore un peu davantage les couilles bleuies...

 

Hormis ces visites de ocntrôle aussi brèves qu'intenses et quotidiennes : maintien de la cage jour et nuit sur des périodes de 3 à 10 jours.

 

Le nouveau jeu de Madame et son nouvel objectif : faire exploser la queue par simple défonce des couilles.

 

Aucune manipulation de la verge.

 

Rien que du travail des couilles en profondeur.

 

Elle les veut rondes, gonflées, sensibles, débordantes.

 

Elle a parfaitement intégré la notion de fréquence de vibration selon le poids des chocs, leur rythme, leur angle.

 

Et, si Madame a parfaitement intégré que, physiologiquement, la seule manipulation des testicules ne pouvait pas générer d’éjaculation, elle maintient dur comme fer que, à force de les battre, mes couilles finiront par transmettre suffisamment de résonnances du bas de la queue jusqu’au gland pour engendrer une traite.

 

Madame soutien que le port de la cage renforce le lien psychologique entre les couilles et la queue dans la mesure où lorsqu’une érection intervient, elle tire sur les couilles à les rendre douloureuse, ce qui revient à poser comme base de l’équation : érection = désir = surtension des testicules.

 

Le développement de celle-ci revient à poser le théorème selon lequel : claque sous les couilles = érection instantanée.

 

Le désir exacerbé par la frustration des semaines sans jouir, additionné à la connexion coups/désir doit donc permettre, selon Madame, de pousser le trop plein de sperme hors du tube priapique par simple défonce des couilles.

 

« Au pire, les couilles défoncées font balancer ta queue contre ton bas ventre et cette pression finira bien par être suffisante pour que tu craques »

 

« Tu es bien parvenu à descendre sous les 1 minute pour éjaculer à force de conditionnement, je suis certaine que tu peux également arriver à le faire sous la seule force de mes tapes. Tu verras, ta queue finira par s’habituer à répondre sur de très faibles sollicitations : comme tous les hommes, elle ne demande que ça !!! »

 

Depuis mes traites intensives avant le ski, je n’ai été autorisé à aucune relation sexuelle, et  j’ai essuyé un mois de cage, plus une semaine de pénalité par éjaculation horaire ratée, soit jusqu’à hier samedi soir.

 

J’ai eu, depuis la fin de la grande traite, veille de notre départ le 11 avril, tout le loisir de bien ressentir la reconstitution du sperme et du désir, solidement enfermé dans ma cage pendant toutes nos vacances de ski.

 

Madame s’est fait un malin plaisir à multiplier les tire-fesses… les privilégiant aux télésièges.

 

Les premiers jours cependant, tout s’est bien passé, il suffit d’avoir une petite burette d’huile au silicone et de bien lubrifier à chaque pause.

 

Les érections nocturnes ont été peu présentes les 3 premières nuits, contrairement à la situation habituelle : la fatigue des traites à outrance des jours précédents y est sans doute pour quelque chose.

 

Mais la troisième fût terrible : impossible de fermer l’œil de la nuit !!!

 

Une gaule de folie avec des picotements DANS les couilles, comme un appel du jeune sperme à être aspiré au dehors, à être forcé de sortir ; un effet mémoire des traites en moins d’une minute… mais sans aucune possibilité de bander à fond ni de me toucher à plein à cause de la cage de chasteté.

 

Elle s’en est aperçue vers 5h00 du matin. Je lui ai dit ma gène. Ca lui plu…

 

Madame m’a demandé de m’allonger contre elle, s’est lovée contre moi et a mis sa main sur ma queue en cage.

 

« Il faut être bien sage mon Chéri, n’est-ce pas ? Regardes, tes couilles sont à peine rechargée et déjà elles tirent. Elles sont si tendues qu’on devine les olives sous la peau rien qu’en passant la main »

 

Et elle m’a longuement caressé les couilles, augmentant l’intensité de l’érection ; elle les a massé directement, pinçant les olives entre ses oigts de plus en plus fort, ce qui fait mal mais dégonfle un peu l’érection.

 

« Là, là, chhhuttttt, tu vas réveiller les enfants, regardes comme elles sont gonflées. Tu vois, tu débandes plus vite comme ça, quand je presse tes burnes. »

 

Et joignant le geste à la parole elle me les a littéralement écrasées entre ses doigts, comme un casse noisette, sans aucune possibilité de s’échapper, déjà contraintes par la cage qu’elles étaient.

 

« Voilà, tu vois, ce n’est pas difficile de se clamer, n’est-ce pas ? Et elles sont bien dressées maintenant, regardes, si je les tape, Hop, ça rebande !!! Et d’ici quelques temps, tu verras, on pourra les vider très vite rien qu’en les claquant ».

 

Et joignant les gestes à la parole, elle s’est mise à me claquer les couilles en rythme, à haute fréquence puis de plus en plus fort à mesure qu’elle baissait le rythme, puis l’a de nouveau augmenté sans diminuer la force.

 

L’effet dans la cage est immédiat : la peau des couilles se tend à mort pour permettre une érection, et les boules sont alors bien saillantes, calées et sans défense.

 

« Tu vois, c’est pour ça que je veux que tu restes en cage la nuit. Elles vont bientôt atteindre la première semaine en cage et vont commencer à se calmer d’elles-mêmes, comme d’habitude. Tu ne banderas plus aussi systématiquement et je pourrai commencer mon nouveau projet. En attendant, toi tu viens me faire jouir, j’ai envie de ta langue ».

 

J’ai dû la lécher presque tous les jours. Comme un hommage, un signe de respect.

 

Je ne l’ai pas toujours ouverte ni faite jouir.

 

Non, ce qu’elle voulait, c’était l’hommage obligatoire rendu à la féminité, le fait de décider des caresses qui lui sont prodiguées et d’en faire une obligation, une révérence.

 

Elle me l’a imposé comme une sorte de rituel obscène.

 

Et pour vérifier l’effet sur la verge enfermée dans sa cage de chasteté, toujours bien en place.

 

Et de savoir que là-bas, entre les jambes de son homme, la bite conquérante était muselée serrée, sans possibilité de se développer et de dominer, et encore moins de prendre, de pénétrer lui procure de plus en plus de plaisir.

 

Elle mettait fin sans raison à ces caresses, s’endormant en jouissant de la seule idée que je reste sur le bord du chemin, la queue tendue dans ma cage, laissant souvent sa main dessus, comme pour se rassurer, se calmer en la tapotant, avant de rejoindre un doux sommeil.

 

Le fait de contrôler son homme dans toute sa virilité la fait décoller.

 

C’est ça son truc.

 

Et moi, je m’exécute dans une relation ambiguë parce que j’y trouve mon compte : partager une sexualité certes paradoxale, mais une sexualité de tous les instants avec ma femme, Madame.

 

Du reste, quand je la lèche, toujours avec la langue et sans autre fonction pour les doigts que d’écarter progressivement sa vulve, elle s’ouvre en grand et se met à palpiter dès que son pied entre en contact avec ma cage de chasteté.

 

Je sens alors son con s’ouvrir et couler d’un coup dès qu'elle atteint ma cage de chasteté, et ça me colle à mon tour  une trique infernale qui me fait mal à me déchirer le périnée.

 

Je rappelle pour mémoire que, avant cette mise en cage, j’avais subi des traites à répétition et que j’avais fini vidé à mort.

 

Et que ce sont les premiers jours de cage les plus difficiles, car la gaulle le dispute à la résistance opposée par l’appareil. Puis la bite se calme vers le 4ème jour et les érections, si elles subsistent, sont moins douloureuses et permettent de dormir.

 

Là, les premiers 3 premiers jours, ma bite était vidée mais Madame a continué de me solliciter.

 

Puis les Trois jours suivants ont été aussi douloureux que les 3 ou 4 premiers d’habitude, de sorte que le supplice a duré toutes les vacances.

 

Un délice, Madame ne permettant pas une occasion de me rappeler ma condition ou d’y faire référence par allusions en public.

 

A notre retour à Paris, beaucoup de travail et alternance de plusieurs jours complets en cage avec des nuits seulement.

 

A un mois, je lui ai fait remarquer cette date anniversaire, fier de moi.

 

C’est là qu’elle m’a révélé sa nouvelle ambition.

 

« Je sais mon chat et tu supporte bien la Cage de Chasteté maintenant. Je suis fière de toi. Mais tu oublies que tu as trois semaines de pénalité à cause des traites manquées mon petit chat, non ??? »

 

Bien sur que je le savais. Mais j’étais si fier d’être à tout moment du jour et de la nuit en communion avec Madame. Je le lui ai dit. Elle apprécié.

 

« Cela confirme ce dont je me doutais. Tu es maintenant une bonne petite pompe à sperme pour mon bon plaisir n’est-ce pas ? »

 

C’était samedi matin, nous étions enlacés.

 

« Vas retirer ta cage, laves-toi et viens vite me rejoindre ».

 

Je me suis exécuté, tout heureux de la récompense qui s’annonçait.

 

Mais à mon retour, j’ai eu droit à une longue séance de ballbusting. Que des coups de pied. Un travail en profondeur, sans grande brutalité mais avec une belle constance. Comme un entrainement de sportif de grand fond.

 

C’est là qu’elle ma fait part de son projet de me faire exploser par le seul exercice de pressions dans les couilles.

 

Qu’à cet effet, elle allait me maintenir sous cage et me traiter uniquement par les couilles.

 

Que son rêve serait que soit capable bientôt de cracher sur commande, par la seule pression de sa main qui se referme avec autorité sur mes couilles.

 

Depuis, le traitement a lieu de une à trois fois par jour.

 

Et le pire, c’est que, comme cela avait été le cas avec l’entrainement précédent permettant de cracher en moins de 30 secondes, je sens qu’il est possible d’y arriver, car j’encaisse maintenant des coups qui m’auraient fait m’évanouir lorsque j’étais adolescent et qui aujourd’hui, transforment la douleur en jouissance, et même en manque lorsqu’elle s’arrête…

 

Je deviens fou.

 

Fou d’amour.

 

Smartbeat

 

 

Par Smartbeat
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