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Mardi 5 mai 2 05 /05 /Mai 00:00

Bonjour à toutes et à tous,

Je rattrappe peu à peu le temps passé loin d'une ordinateur et viens vous compter le dernier jour avant les vacances scolaires de pâques (le 10 avril 2009 pour Paris - RP).

Comme vous le savez si vous nous avez lu, Madame a décidé de me vider sérieusement les bourses avant nos vacances, tout en souhaitant que je parvienne à éjaculer une fois par heure en moins d'une minute. Ce bureau ou pas, seul ou pas; avec photo et SMS à l'apui, outre un "livre de bord" des images sur lesquelles je me suis concentré pour y parvenir.

Le troisième jour de masturbation forcée a cependnat constitué une expérience éprouvante et étrange.

 

J’ai eu l’occasion de décrire à certains la sensation de besoin physique de se vider les testicules, alors que ceux-ci sont pourtant déjà secs des précédentes éjaculations.


La verge vous fait mal, est physiquement exténuée, et pourtant, le conditionnement fait qu'elle vous demande de lui tirer dessus. C'est autant un besoin physique que psychologique : ne pas décevoir Madame autant que la nécessité physique étrange d'éprouver le besoin de se faire claquer la bite, sans plus aucun plaisir; Pensez, au bout du troisième jour à ce rythme, on crache, mais il n'y a plus de plaisir.

Juste le coup de fouet de l'éjaculation. Douloureuse elle aussi. Mais elle fait couler du feu dans la hampe qui satisfait quelque chose en vous, apaise un besoin qu'on ne saurait décrire.
 

Le conditionnement est assez rapide en fait "chez le mâle", comme dirait Madame ; elle est succincte lorsqu'elle s'adresse à moi en ces termes, mais juste de propos : « je me suis inspirée d’un récit lu au détour d’un blog anglo-saxon et j’avais trouvé à l’époque le propose exagéré ; mais non, c’est possible…tu en est la preuve vivante mon Amour »

 

Aussi incroyable que vrai, je n’ai failli que deux fois ce troisième jour d'éjaculation forcée, une journée plus courte, de 7h00 à 15h00.

 

Je suis en effet rentré tôt du bureau pour préparer nos vacances de ski.

 

Avant que les enfants ne rentrent de l'école et ne mettent fin à toute intimité en journée.

 

Je lui ai bien sur fait mon rapport SMS et envoyé mes photos, comme à l’accoutumée.


Elle adore ça !!! 


Mais en rentrant à la maison, après les banalités d’usage elle m’a aussitôt demandé d’assister à ma branlette de 15 à 16h00 : « motives-toi mon Chéri, car ensuite, hop, en cage. Je meure d’envie de te voir te tortiller à ski avec ton petit matériel ».

 

A vrai dire, j’ai espéré à ce moment qu'elle me consentirai enfin une relation sexuelle "normale", simple mais sincère. Faire l'amour avec ma femme... A moins que ce ne sois plus désormais que "Madame" ???

 

Enfin je ne sais plus…

 

Car en fait de relation sexuelle, voici ce qui s'est passé...

Je me suis déshabillé dans le dressing, pensant aller prendre ma douche après une ultime branlette au toilettes devant elle, porte ouverte, comme me l’a signifié à mon retour.

 

Mais non : elle m’a en fait rejoint en peignoir, sortant de la douche plus vite que je ne m'y étais attendu.

 

« Allonges-toi, j’ai envie de toi ».

 

Oh, que j'aime quand elle vient frotter son bouton d’amour sur mon sexe, puis se prend dessus, surgonflé d’excitation.

 

Sa proposition était comme irréelle, inattendue et délicieuse de promesse.

 

Mais le drame c'était moi : il se jouait au même niveau que le dérèglement de tout mon corps : je n ebandes plus quand il faut et bande comme un taureau quand il faudrait être concentré sur un tâche. C'est là que je fais d'ailleurs d'autres taches, honteuses et visqueuses celles-ci.

Là, j’avais peur.
Peur de ne plus bander.
Peur de ne plus être un homme.
De cracher tout, tout de suite.

Ou de ne plus bander.

D’avoir mal.

J’étais mou.

Petit.

Ridicule…


Et Elle, elle était superbe, assurée, moqueuse, Belle... 


Alors que moi, depuis deux jour, je n’ai plus une queue, mais une lance, un appareil.

 

Et là, l’appareil ne bande même plus à propos… ; il est vide et n’est plus capable que de cracher dru ni épais; à peine quelques gouttes, certes une fois par heure. En quelques dizaines de secondes…

 

Et pourtant elle était là, devant moi, belle odorante avec sa nouvelle coupe de cheveux, sortant de chez son esthéticienne, peignoir et mules assorties : Magnifique !!! Triomphante du spectacle de ma queue en berne...

 

Nue et me laissant entrevoir sa toison parfaitement soignée, elle s'est approchée.


M'a fait me plier, me coucher, m'allonger en me tapant sur l'épaule d'une main et me désignant le sol du dressing de l'autre, dan sun geste qui n'appelait pas la contestation.

 

 

 

Sans rien dire, totalement impudique, elle est venue s'agenouiller au-dessus de mon visage et a frotté son sexe contre mon nez : « sors ta langue. Tu en as envie n’est-ce pas. Tu sens comme elle est fraîche ? Sors ta langue, ne la bouge pas. Laisses-la juste tendue. C’est moi qui me baise dessus. Tu n’es qu’un gode. Un gode humain. Oui. Mon mari est un gode humain ; à ma pleine et entière disposition. »

 

J’ai très légèrement commencé à « bandotter ».

 

L’excitation née de la présence de son sexe odorant et frais sur mon visage dont je commençais à connaître les effets ; mais en fait d'excitation, après les traites à répétition que je venais de m'infliger sur ses ordres, il ne s'agissait pus que de celle d’un éjaculateur précoce : on bande un peu, puis ça se raidit d'un coup et dès qu’on tire un tant soit peu dessus, ça part misérablement, sans même que la verge n'ait eu le temps d'atteindre son plein développement.

Les corps caverneux sont comme tendus de l’intérieur, et pourtant on ne bande que très faiblement.

Une curiosité pour moi qui ait toujours été endurant au point de parfois pouvoir limer plusieurs heures sans éjaculer. C’en a même été dégradant en certaines occasions : « Arrêtes mon chéri je n’en peux plus… » alors que moi, j’avais toujours le démonte-pneu en pleine possession de ses moyens et plus incandescent que jamais.

 

« C’est tout l’effet que je te fais, mon petit chéri ? » me lança-t-elle d’un air entendu, voyant les efforts de ma queue pour grossir.

 

« Le petit oiseau est cassé ? » me dit-elle en se balançant d’une jambe sur l’autre, après s’être relevée sur ses genoux, un sourire curieux au coin des lèvres…

 

« On va arranger ça, mon canard », venant s’asseoir de tout son poids sur ma face.

 

Puis se relevant. « Tu aimes, n’est-ce pas ? »

 

Puis se rasseyant de toutes ses forces, me baisant littéralement la gueuele avec son cul de princesse.

 

« Tu aimes ou pas ?"

 

Et moi de lui dire entre deux asphyxies : « oui, j’aime quand vous venez m'écraser la face avec votre postérieur. »

 

« Et bien c’est très mal, car c’est moi qui décide et pas toi », pesant cette fois de tout son poids et ramenant ses jambes sous ses fesses, de part et d’autre de ma tête.

 

« Sors ta langue et lèches bien ; je contrôle et toi, tu lèches, entendu ? Quand je l’aurai décidé, je compterai jusqu’à 10 et tu vas cracher tout ce qui te reste, c’est bien compris ? »

 

J’ai subitement senti son sexe s’ouvrir, couler, se ramollir m'envahir la face au moment précis où elle prononçait ces paroles. Elle s’est mise à mouiller très fort, comme si elle s'étais lachée...

 

Et elle a aussi choisi ce moment pour commencer à taper mes couilles, offertes et sans défense.

 

De plus en plus fort, tandis qu’elle se frottait toujours à ma langue et que je la sentais s'ouvrir.

 

Elle a fini par réunir mes couilles en bouquet dans une main et à les tirer à fond pour mieux les battre.

 

Une fois étirées par à-coups, elle les frappait de plusieurs claques très rapprochée et de plus en plus fortes : « il est où l'effet de pallier, hein, dis moi, il est où ? « Elles m’appartiennent ces belles couilles, tu entends, dis, elles m’appartiennent, dis-moi qu’elles m’appartiennent et que tu aimes quand je te les brise, allez dis-le !!!!! »

 

C’était insupportable … et enfin excitant : j’arrivai enfin à avoir une relation avec elle. Le principal, non ?

 

Ca a duré une dizaine de minutes ;

 

J’ai franchi plusieurs palliers.

 

A un moment elle s’est relevée et s’est placée debout au-dessus de moi, me faisant face : « c’est tout ».

 

Elle a ensuite placé son pied droit entre mes cuisses, comme pour m’infliger une bonne séance de ballbusting.


Vu son état, je m'y attendais de toutes façon.

Je sais maintenant qu'elle prend son pied à me défoncer les couilles et elle y va de plus en plus franchement, selon son bon plaisir, tandis que moi, je dois être disponible pour son envie.

Ca la calme, l'apaise, comme un produit antidépresseur.
 

Elle a placé quelques pressions d’approche du bout du pied, puis du coup de pied, m’obligeant à écarter davantage les jambes, ne me quittant pas des yeux, prenant position pour avoir la bonne force et le bon angle.

 

« Allez, branles-toi, je comptes jusqu’à 10. Je veux que tu craches, j'ai envie de te latter en même temps, je ne voudrais pas que tu jouisse juste avant ton retour en cage, n’est-ce pas mon chéri ? »

 

Elle a continué de chercher le meilleur angle d’attaque pour son prmier shoot du coup de pied.

 

Elle a déjà eu l’occasion de me sécher d’un grand coup dans les couilles et j’ai compris qu’elle aime ça.

 

Ses yeux pétillent et dans ces moments là, je la sens excitée comme une chienne.

Je sais que je lui fait vraiment plaisir.

Et comme c'est tout ce à quoi j'ai droit deouis 6 mois, je prends ...

J’ai eu envie de lui faire plaisir ; j'ai commencé à m'astiquer sans pudeur et je m’attendais à une bonne séance de coups de pieds dans les couilles, laquelle n’allait maintenant plus tarder … et ça m’excitait enfin à fond. La cage aussi d'ailleurs, que  j'espérais en fait autant que je la redoutais...


les images se sont bousculées dans ma tête ; elle s'en est aperçue du reste...


Je me suis alors littéralement défoncé la queue souss son regard narquoi et supérieur, à pleine main, sans aucune retenue, comme je le faisais maintenant chaque heure depuis trois jours, tandis qu’elle comptait lentement :

- 1, 2, 3
(ça y est, ça monte!!!!!!!!),

- 4 (c’est tendu, je ne contrôle plus mes érections ni le point de non retour,, que je sens ne sens plus mais que je sais proche, j'ai confiance car je connais mon niveau de conditionnement et je sens que son pied ne va pas tarder à venir me défoncer les burnes...),

- 5 (c’est bon, ça va péter)

- 6 : STTOOOOPPPPPPP !!!!! C'EST TOUT. STOP. C'EST FINI !!!!!!

 

« C’est tout. Là. Voiiiilà ; Frustré ? Tant mieux !!! Allez, toilette et en cage. Oh, mais tu trembles. T'étais prêt de l'explosion, j'ai bien aimé. Je vois que tu es bon petit garçon bien dressé. Ca me suffit à moi, n'est-ce-pas mon chéri ? Ah, pas à toi ? tant pis !!! Maintenant, j’ai envie de la grosse cage en plastique (la CB6000 NDLR). Tu vois, moi aussi j'apprécie les jeux. Et j’aime bien quand tu bandes pour rien… »

 

Il s’en est suivi un départ en famille direction les sports d’hiver.


Avec un nouveau challenge que je ne tarderai pas à vous décrire.

 

Et naturellement, rien ou  presque pendant les deux semaines de ski.

 

Sauf un épisode choisi que je vous conterai prochainement, car il est à mon sens encore plus hard que tous les ballbustings que vous pourriez imaginer.


On peut maintanant dire avec Madame que c'est bien elle qui contrôlle la sexualité de son mari...
 

Merci à tous ceux qui nous adressent leurs encouragements.

 

Bien cordialement,

 

Smartbeat

 

Toujours en cage depuis le 10 avril au soir…

 

 

 

 

Par Smartbeat
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