Lundi 8 juin
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11:11
Mon nouveau traitement se poursuit :
Depuis le 10 avril, date de notre départ en vacances, je n'ai pas été libre plus de deux jours par semaine.
Mon entrainement a donc duré un mois, soit jusqu'au 10 mai.
Plus trois semaines de pénaliité pour chaque éjaculation forcée ratée lors du précédent exercice de jouissance en moins d'une minute, ce qui nous a amené au week-end du 30 mai.
Et alors que j'espérait être libéré de mon challenge, Madame m'a demandé de tenir encore, dès le vendredi soir :
"Tu dois être préparé maintenant à jouir par mes seules tapes dans les couilles et pour cela elles doivent être bien pleines. Alors sois patient... D'ailleurs, ce soir, tu conserveras la cage, mais
après ta toilette, tu mettras la plus petite"
Elle m'a cependant laissé libre toute la soirée et j'étais complètement hébété, sous contrôle : je n'ai même pas protesté.
Comme si le fait d'être pris en main avait un effet équivalent à une relation sexuelle.
C'est un jeu. Notre Jeu, même s'il est désormais clair qu'il est extrèmement coercitif pour ma virilité.
Et dieu qu'elle prend son pied à contrôler la sexualité de son mari ; elle adore me défoncer le crane à coup de spatule, de claque, de pied et elle l'assume désormais avec gourmandise, elle qui
était si timide au départ revendique au contraire son droit à m'éclater le paquet et décider quannd et comment il crache.
J'ai bien dit cracher, pas jouir.
Jouir, c'est quand je m'occupe d'elle ou qu'elle s'occupe de moi.
C'est devenu hyper-cérébral.
Et lorsque nous sommes allés nous coucher, elle m'a confirmé son nouveau jeu.
Tout a commencé ainsi :
« J’ai envie de taper.
Viens, on va se coucher.
Montre–moi un peu comment ça se présente.
Oh, mais on est tout serré dans son petit étui ???
Il aimerait être vidé ?
Et bien moi aussi j’aimerai bien avoir un beau pistolet : un coup sur la gachette et, hop, ça part.
Et puis on le remet bien vite dans son étui.
Mais pour l'instant, il faut encore le laisser se recharger, n'est-ce-pas ???»
Je n'ai pas discuté.
je me suis approché d'elle et ai voulu l'embrasser tout en l'enlaçant.
Elle m'a attrapé la tête par les cheveux, m'indiquant la direction de sa chatte.
Je l'ai léchée longuement.
Elle m'a dit dans le feu de l'extase qu'elle voulait faire de moi un objet ; un bel objet. Bien gros, bien gonflé, toujours prêt. Bien huilé. Bien rangé dans sa boite. Qu'elle le voulait de plus en
plus serré pour faire ressortir toujours davantage les couilles bien rondes et bien gonflée.
"Je vais te tirer, tes couilles me serviront de gachette. De pompe à feu".
Elle est partie dans un râle au moment ou j'enfonçais mon pouce comme elle me le demandait...
Et moi, je suis enfermé tous les soirs, et presque tous les jours, selon son humeur.
Et cela fait de nouveau presqu'un mois que cela dure…
Elle me demande désormais de rester en cage "presque" tous les jours, mais c'est presque pire, car je constate que je ne bandes plus à l'improviste, comme cela m'arrivait parfois avant, en voyant
une jolie fille parexemple.
Et elle a inventé un nouveau jeu qui permet de me sangler plus fort la nuit,
"comme un grand convalescent" :
Elle me sangle dans de la Bande de crèpe Velpeau, vous savez ces bandes de tissus cotonnée un peu élastiques avec lesquelles on fait les bandages aux blessés.
Et bien moi, je suis sanglé ainsi toutes les nuits.
Et cela fait donc trois semaines que cela dure.
C'est encore plus vexant que toutes les cages du monde, croyez-moi.
Elle m'a dit qu'elle m'exploserai sans doute les couilles vers un mois de plus.
Selon sa méthode bien sûr...
J'ai hâte, car c'est là tout ce qu'il me reste d'espoir pour espérer cracher un tant soi peu normalement...
Et en attendant, je la masse tous les soirs et tous les matins, et je la fais jouir plus souvent qu'avant, avec mes doigts ou ma langue.
C'est comme si le fait que je sois emprisonné lui avit redonné du désir : elle prend son pied de me savoir incapable de bander de manière satisfaisante.
Elle m'a même demandé, ce qui est vraiment surprenant de sa part, de prévoir un gros gode pour un de ces soirs,
"tu sais, la prothèse que tu avais acheté avec ta dernière cage : je suis sure
qu'au bon moment, elle me fera une bonne queue de substitution et que ça t'excitera encore plus, en bon gros porc que tu es, n'est-ce pas mon chéri ??? "
J'ai peine à le dire, mais vivement ce soir...
Smartbeat