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Mercredi 14 octobre 3 14 /10 /Oct 10:12

Chers lecteurs,

 

Je vous livre de nouvelles anecdotes, étant de nouveau autorisé à écrire.

 

Elles sont caractéristiques de l'évolution de notre couple. Je ne sais pas où cela nous mènera, j'ai passé la main à Madame et elle oriente désormais notre vien intime.

 

Depuis la mi-septembre, Madame me demande régulièrement de mettre la cage en cuir avant de me coucher.

C’est une nouvelle évolution, une étape de plus dans l’abandon de mon être à sa personne.

Je sublime Madame de plus en plus, ne souhaitant qu’une chose : répondre à son bonheur autant qu’à son bon plaisir.

Elle mérite vraiment d’être heureuse et de jouir librement et si je peux participer à ce bonheur, je suis le plus épanoui des hommes.

Je suis sans bite, en cage de chasteté depuis 9 semaines maintenant.

Mais il y a une évolution dans l’utilisation des cages, qu’elle trouvait ridicules au début et qu’elle alterne maintenant avec un vrai plaisir en fonction de ses envies.

Hitoriquement, la cage en cuir est la première que j’ai achetée, pour lui en faire la surprise.

Elle aimait déjà tenir mes couilles dans sa main pour s’endormir et m’avait dit un jour : « oh, elles sont toutes froides, il leur faudrait un petit manteau ou une petite coquille ».

Connaissant les cages en cuir, je lui en avait parlé et j’avais eu le feu vert pour en mettre une.

Tout est d’ailleurs parti de là je crois…

Je lui avais expliqué au tout début que la cage  en cuir agissait aussi comme un cockring, décuplant l’érection en même temps qu’elle la cntraignait.

C’est ça qui lui a plu, de savoir que mes érections sont plus difficiles à contenir.

Encore plus qu’avec aucune cage de chasteté, quel qu’en soit le modèle.

Elle a d’ailleurs eu du mal à accepter l’idée de la cage de chasteté au début ;

Quand on voit l’utilisation gourmande qu’elle en fait aujourd’hui, je me mords parfois les doigts de les avoir mis dans cet engrenage…

Bref, j’ai donc droit depuis cet été à la CB2000 ou CB6000 le jour, car elle adore le côté humiliant de la chose au regard des autres et souvent à la Birdlock la nuit.

C’était en tous cas le régime de croisière depuis notre retour de vacances fin août.

Je pense avoir été très sage et n’avoir jamais rien – je dis bien RIEN - demandé ni même exprimé de mes désirs ou envies à Madame afin de bien rester dans mon rôle : Homme Objet.

J’y parviens d’ailleurs de moi-même, me faisant un devoir de réprimer au plus profond ma libido même dans ses plus basiques expressions.

C’est à dire que j’ai appris à vivre sans aucun désir propre tout en restant toujours prêt pour Madame, comme un appareil en veille, ne demandant jamais rien quoique rutilant et disponible à ses caprices, le plus souvent violents et immédiats d’ailleurs…

Je constate qu’elle concentre désormais quasi exclusivement ses efforts de dressage vers mes couilles, qui sont l’objet de toutes ses attentions : pressées, allongées, lestées, claquées, frappées – j’en vois de toutes les couleurs, à tout moment, selon le bon plaisir de Madame.

Et il est vrai qu’elles sont plus faciles d’accès avec la Birdlock, Madame appréciant de les enserrer et de les étirer au coucher, au lever et même au cours de la journée, comme ça, pour voir.

Son nouveau jeu du soir consiste à prendre mes testicules en main, les entourer de ses doigts – tous ses doigts - jusqu’à ce mes couilles soient entièrement tendues au point de déformer les bourses.

Elle constate combien cela me met en érection dans la cage, qu’elle ressent à la rétractation de celle-ci à mesure que la verge grandit et tire la cage en avant.

Elle augmente alors la pression vers le bas, contrariant l’érection de plus fort.

C’est une torture assez difficile à supporter, car la queue est fortement sollicitée, déésespérant de trouver la place où s’épanouir, tout en étant contrainte par la cage, sans aucune possibilité de plaisir, celui-ci venant (quand c’est le cas) exclusivement des couilles.

La douleur de l’étirement en saccades se transforme en plaisir de substitution à mesure que Madame en augmente l’intensité, la fréquence et la force : cela se rapproche d’une masturbation, sauf qu’elle pratique celle-ci sur les bourses, bientôt saisies à pleine main.

Les couilles se resserrent et s’entrechoquent au fond du sac, côté mouvement vers le bas, écrasant la tête de la bite au fond de la cage à l’autre extrémité en phase descendante, la prostate et la verge étant écrasées sans ménagement en phase ascendante, la queue trouvant alors un très bref moment d’expansion, aussitôt contrarié par une nouvelle poussée vers le bas.

Elle prodigue ces « caresses » (c’est ainsi qu’elle les appelle…, la phrase clef étant : « tu viens, j’ai envie de te caresser ») en me regardant droit dans les yeux ou en me chuchotant à l’oreille des délicatesses qui me rendent fou, me parlant de sa fente ouverte et en manque de queue, que je n’ai pas été sage, que je suis un vilain garçon, que je dois encore être dressé, que mes couilles doivent encore être assouplies et travaillées.

Généralement, elle frotte sa chatte contre mon corps et exige que je me taise.

Encore et toujours, elle impose le silence :

« CHHHUUTTTTtttttttttttttt, silence, profites en silence, c’est tout ce que tu mérites pour l’instant, n’est-ce pas ? »

Ca me rend dingue, mais je parviens maintenant à ne plus faire de bruit et à encaisser en bronchant un minimum : c’est ça qui l’excite manifestement : me défoncer de plus en plus fort tout en ne tirant aucun son, aucune réaction de son homme objet.

Elle appelle ça la phase n°2 de mon éducation, et maintient que tant que je ne serais pas en mesure de jouir des couilles, je ne serais pas prêt à être un véritable amant à sa mesure.

Elle finit généralement en venant chevaucher mon visage, me contraignant la faire jouir avec ma langue et plus rarement un seul doigt, tout en me martyrisant les couilles : c’est là qu’elle prend son pied.

Et moi avec. Sans aucune satisfaction physique, mais la voir jouir m’apporte une satisfaction aussi forte que l’extrême frustration de la « redescente », les couilles et la bite continuant d’irradier dans le vide de longs moments après qu’elle ait pris son plaisir et se soit endormie, repue, comme débranchée.

C’est ensuite au réveil qu’elle me parle de son envie de bite et de se faire défoncer à fond, des contractions de sa chatte, qui est ouverte et tendue comme un anneau constricteur, qu’il est dommage que je ne puisse pas la prendre dans mon état, que je ne sois pas encore dressé convenablement à jouir des couilles, ma queue n’étant qu’un objet sans intérêt…

Elle m’explique alors qu’elle aussi est frustrée, que mon majeur ou mon pouce, ce n’est pas assez, qu’elle en veut plus, mais que je ne peux pas lui donner dans mon état.

C’est généralement là qu’elle est de nouveau excitée et qu’elle remet ça sur mes couilles : généralement, elle les cogne, les claque, les saisit et les étire au maximum pour en faire un bouquet prêt à exploser avant de les boxer de son autre main.

Sans aucun ménagement, de manière on ne peut plus directe : « Il faut assouplir tout ça, mon chaton, en faire un bouton magique toujours prêt à commander la sauce, et manifestement, je dois encore t’entraîner un peu ».

Sauf que depuis mi-septembre, ces jeux se déroulent de préférence avec la cage en cuir, qu’elle a comme redécouvert.

« Un petit cockring intégré, une bite aveugle, un homme silencieux, c’est un joli programme tu ne trouves pas ? ».

Elle appelle alors cela « son petit ballon » (et c’est vrai qu’une fois couilles et queues enfermées dans le sac, ça ressemble à un petit ballon.

Un petit ballon qu’elle adore faire grossir en le frappant avec la lourde spatule de bois d’olivier que nous avons acheté cet été…

C’est son nouveau truc : lourd, large, efficace…

C’est la cinquième fois maintenant qu’elle me le demande à l’avance :  « tu mettras ton cuir après la douche » aussi naturellement qu’elle demanderait la météo du jour.

Une fois les enfants couchés, elle suggère généralement d’aller regarder la télé dans la chambre.

Elle me rejoint alors avec la spatule ou les lourds couverts en bois qu’elle dispose sur mon ventre le plus naturellement du monde avant de se coller à moi et de tapoter « son petit ballon ».

« Surtout, je ne veux pas entendre un bruit, d’accord ? Tu dois pouvoir encaisser comme un grand maintenant, hein ? Tu vas être bien sage, ton entraînement est très important. Penses que plus tu chauffes, plus je m’ouvre. Et j’ai très envie d’être littéralement fendue, comme une pastèque éclatée. Je suis certaine que toi aussi tu veux me faire plaisir et me voir bien écartée et écarlate, n’est-ce pas ? Ca te plairait de me voir littéralement défoncée, hein, prise à en exploser ? ».

Elle me dit ça en se mettant à 4 pattes au-dessus de moi, écartant sa fente pour me montrer qu’elle est déjà tendue et gonflée. Après m’avoir annoncé le programme, elle choisit généralement de s’assoir de tout son poids sur mon visage, commence ses va et vient, se saisit du ballon de cuir et le frappe comme un putching ball.

« Sors ta langue, je veux ta langue, bien dure, immobile, tu te tais, tu ne dis rien, je ne veux rien entendre, tais-toi, sors ta langue ».

Et je remarque que plus elle frappe vite et fort, plus elle éclate vite, son con étant vraiment ouvert et tendu comme jamais avant, je le sens bien au bout de langue.

« Oh que c’est tendu la-dedans, quelle pression, il faut pas, non il ne faut pas » dit-elle généralement, mi-chuchotement mi-grognement, sans que je sache si cette formule explicite s’applique à mon appareil génital comprimé dans la Cage en cuir ou s’il s’agit de sa grotte irradiée.

Et depuis mi-septembre, je suis soumis à ce régime cage de chasteté le jour et cage en cuir ou Birdlock la nuit.

Dans ce dernier cas, elle aime que je porte un cockring en cuir en plus de la Birdlock.

Elle aime que les érections soient présentes ET que je porte une cage : intenable au début.

Mais finalement, c’est comme après les premières nuits en cage, on s’y fait et on finit par ne plus bander de la même façon. Une sorte de d’étape 2 de la mise en cage.

Je doit me taire et n’avais plus le droit de satisfaire mes envies de pornographie ni de lui parler de sexe sous aucune forme.

Aussi, je sais qu’en me demandant de reprendre le blog, elle veut mesurer mon évolution, que je vous fais partager.

Merci Madame de votre éducation, je sens que je suis bientôt prêt.

Prêt à exploser aussi vite que vous rien qu’avec les couilles.

Je travaille dur, vous le savez, mais je suis sur que vous le savez et que je peux y arriver.

Je vous aime si fort et vous suis si reconnaissant de me rééduquer pour être entièrement tourné vers vous.

Vous m’aspirez vers votre centre comme un entonnoir irrésistible et j’aime ça.

Je veux être l’outil de plaisir que vous méritez.

Je vous veux pleine et remplie selon vos désirs.

Peu m’importe de ne pas être autre chose qu’une pompe ou un ballon, je saurai vous satisfaire.

Je ne vis pus que pour ça.

Je vous aime.

Smartbeat
Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Lundi 12 octobre 1 12 /10 /Oct 18:07

Chers Amis,

 

Voici plus d’un mois que je suis privé de toute possibilité de jouir d’une quelconque pornographie et par conséquent de toute possibilité de m’exciter en dehors des récréations, fort rares, orchestrées par Madame.

 

Windows a en effet choisi le camp de Madame et, les mots de passe fournissant d’excellents cerbères… tout visionnage de « site impropre » m’est donc interdit.

 

Ce nouveau petit jeu de privation mentale amuse beaucoup Madame.

 

Elle sait combien les hommes en général et le sien en particulier ont besoin « d’images » pour alimenter leur excitation et elle m’a clairement annoncé que la privation ne devait pas être seulement physique via la cage de chasteté, mais également intellectuelle : plus de site porno ou autre joyeuseté visuelle.

 

Il s’agit d’imposer à son homme une totale quarantaine sexuelle, sauf lorsqu’elle le décide ; le contrepoint, en quelque sorte de l’épisode à l’occasion duquel Madame m’avait contraint à me masturber devant elle pendant qu’elle consultait les sites XXX que je venais de visiter…

 

J’ai pourtant stupidement accepté cette gageure de résister à cette privation forcée, résigné certes, mais aussi certain que cela m’assurerait une belle reconnaissance en contrepartie de la démonstration de ma capacité à me plier aux envies et satisfactions de Madame.

 

C’était sans compter sur l’ingéniosité sans limite qu’elle affiche désormais pour « jouer » avec moi : « privation » n’est pas un vain mot et si d’aucuns fantasment, j’ai personnellement tout le loisir d’expérimenter ce qu’il en retourne de confier le total contrôle de sa sexualité à Madame.

 

Le manque devient alors en lui-même une caresse, pour peu qu’il soit administré avec les mots, les regards, les effleurements adaptés.

 

Se taire, ne pas protester, tenir, résister, devient une torture insoutenable et pourtant si douce…

 

Il faut dire que c’est tout ce qui me reste et que je m’en remets désormais à 100% à Madame pour la gouvernance de ma vie sexuelle.

 

Cette confiance aveugle placée dans l’être cher me conduit à une sorte d’abandon et de plénitude zen, asexuée.

 

Je me réjouis simplement de chacune des attentions de Madame à mon égard et, même si au final, je n’ai pas baisé depuis une éternité, ni craché ma gourme et si je suis au bord de l’explosion sans jamais pouvoir l’atteindre, je prends un plaisir énorme à partager cela avec Elle.

 

Je découvre des sensations inédites et me rapproche désormais d’un état de dépendance très curieux, à la fois physique, moral et psychologique.

 

Le manque devient une addiction et il occasionne une plénitude nouvelle qui grandit à mesure que mes pauvres couilles se remplissent.

 

C’est ce dernier aspect qui semble exciter Madame.

 

Elle me veut abandonné en totalité, sous son contrôle et offert, ce que je m’efforce de réaliser.

 

 

Elle en use et en abuse d’ailleurs d’une manière qui me désarçonne vraiment : c’est comme si je n’avais plus de sexe.

 

La cage est toujours là, mais je n’y pense même plus. Je parviens même à gérer fort bien mes érections, qui ont de nouveau diminué de force et me laissent l’impression d’avoir une queue atrophiée, moins longue et moins grosse.

 

En tous cas, au niveau sensoriel, elle est congestionné plus vite qu’avant, devient cramoisie à mi-bandaison et je redoute toujours le moment où elle va sortir la pompe à vide pour l’obliger à se gonfler au-delà du raisonnable.

 

Mais ce n’est toujours pas arrivé, en dépit de mon appréhension (qui reste donc intacte) autant que de mon désir d’être enfin libéré et de pouvoir m’étirer.

 

Il n’en est rien et les tortures qu’elle me prodigue sont désormais ma seule source de bonheur.

 

Je crois que tout a basculé.

 

C’est maintenant Elle qui me baise et me possède corps et âme…

 

Smartbeat

Par Smartbeat
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Vendredi 4 septembre 5 04 /09 /Sep 09:26

 

Chers Amis,

 

Poursuivons les récits de cet été.

 

Cet épisode reste sans doute le plus marquant pour moi qui ait jusqu'alors toujours conduit notre couple en leader.

 

Pour situer le débat, notre villa d’été est en bord de mer et nous fréquentons tous les ans la même page privée.

 

Aussi y retrouvons-nous les mêmes familles qui sont devenues, au fil des années, autant d’amis et amies.

 

Mais cette année, ce fût pour moi un supplice et pour Madame un vrai coming-out de sa situation de domination, elle qui a toujours été plutôt réservée.

 

Petit épisode choisi, alors que nous bronzons en groupe.

 

Question de sa copine Alexa :

 

« Tiens, c’est bizarre cette clef que tu arbore autour du cou depuis peu.

Ce n’est pourtant pas ton genre de conserver ce genre d’objet, toi qui ne mets jamais d’autres bijoux que tes gros colliers de corail à la plage.

Ca m’étonne de toi et, excuse-moi si je suis curieuse mais c’est quoi cette drôle de clef ? »

 

 

J’ai blêmi entendant la réponse du tac au tac de Madame, d’un air parfaitement naturel et détaché :

 

 

« Les bijoux les plus précieux sont souvent aussi intimes que précieux.

C’est pour cela qu’il faut les mettre en sécurité au coffre.

Demande à Monsieur, je suis sur qu’il se fera une joie de t’expliquer ce qu’enferme la petite clef, n’est-ce pas mon chou ? « 

 

J’ai cru que j’allais défaillir.

 

Déjà que j’avais l’impression que tout le monde voyait (savait ?) ma cage sous mon short de bain, surtout quand il s’agissait de sortir de l’eau.

 

Mais heureusement, notre chère Alexa est trop typée bonne mère de famille pour comprendre ce genre d’allusion (même si j’ai su qu’elle avait recours à des taxis-boys – c’est paraît-il pour aller danser… et elle est passée à autre chose comme sans attendre ni demander la suite).

 

Dans la même veine, Paula est tombée lors d’un faux mouvement pour s’asseoir sur son transat et s’est rattrapée main en avant au mien, m’arrachant au passage la cage avec une férocité à la limite du supportable.

 

Je sais qu’elle a nécessairement senti la rigidité de la cage de chasteté entre mes jambes … et qu’elle en a été surprise, avant de s’affairer à se redresser et s’installer convenablement.

 

Je sais qu’elle a été interpellée et qu’elle n’a rien dit.

 

Et qu’elle m’a sérieusement « analysé » tout le reste du séjour, m’obligeant à sortir de l’eau en marche arrière, comme si de rien n’était.

 

Tous les hommes matent à la plage, mais les femmes aussi…

 

Et quand Madame s’est adressée à Paula en ces termes en ma présence, alors que sa copine, feignant de regarder au loin dans le vague au dessus de ses ray-bans mattait mon ventre (que j’ai encore musclé et agréable) et mon entrejambe de façon faussement détachée :

 

« Ca lui fait un joli paquet, n’est-ce pas ? Mais ne fantasmes pas trop, les apparences sont trompeuses et il a beau avoir un beau Vilebrequin (marque de mon Short de bain), je l’ai bien enfermé dans ma cage ».

 

C’en est suivie un regard entendu dont je ne sais toujours pas ce qu’il signifie aujourd’hui et une discussion sur les érections incongrues de ces Messieurs à la Plage.

 

Et une finalement une grande fierté quand Madame a conclu, un rien prétentieuse :

 

« Moi je n’ai plus ce genre de problème de contrôle avec mon homme depuis que je détiens seule la clef de ses ardeurs… »

 

Quelques fois, on se sent soudainement très seul.

 

Et je suis même sur que Paula a fait sembalnt de tomber pour en avoir le coeur net...

 

Heureusement, les copains sont un peu moins fins que ces dames et ont systématiquement embrayé sur d’autres sujets au bon moment.

 

C’est un peu comme lorsqu’on doit passer sous le portique de sécurité à l’aéroport : on prie pour que tout se passe bien et que l’on passe très vite à l’étape suivante : dans l’avion pour s’envoler très loin.

 

Je sais désormais qu’elle a pris le contrôle et qu’elle me défonce la tête autant que la queue, chaque allusion publique étant l’occasion d’un petit jeu érotique autant que dangereux.

 

Et vous verrez bientôt qu’elle a réellement pris le contrôle et que je suis réellement devenu un jouet au prochain récit…

 

Smartbeat

 

 

 

Par Smartbeat - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mardi 1 septembre 2 01 /09 /Sep 14:03

Après une longue période d’abstinence (j’entends par-là une absence de rapport sexuel « classique » avec coït, Monsieur pénétrant Madame), votre corps, votre cœur et votre esprit modifient leur perception et leur ressenti.

 

Un peu comme si une privation sensorielle altérait votre perception du monde extérieur, certaines sensations étant exacerbées et d’autres amoindries.

 

Et si vous nous lisez, il y a de fortes chances que vous soyez instruit des bonnes pratiques enseignées par cette chère Elise SUTTON, aujourd’hui appliqués avec Maestria par Madame :

 

Prenez l’habitude d’interdire l’orgasme à votre homme.

Si vous lui interdisez l’orgasme, le tenez excité et frustré la plupart du temps, il aura bien plus envie de vous servir et de vous obéir.

Il ne pensera plus qu’à vous et à vos besoins si vous agissez ainsi.

Vous avez besoin de contrôler son plaisir pour le contrôler lui.

 

Je n’aurais peut-être pas dû aviser Madame de ces écritures ni de ces pratiques, car j’en subis aujourd’hui à plein les conséquences – délicieuses, certes, mais j’ai perdu pied face à Madame et cela m’emmène je ne sais où – peu importe, pourvu que nous y allions ensemble et que cela nous permette de partager notre Amour et de trouver un terrain de jeu commun.

 

De ce point de vue, je n’en peux plus.

 

A force de ne pas baiser, de ne pas tirer son coup, de ne pas cracher librement ni de manière satisfaisante, on entre dans une sorte d’état second, on se fabrique une réalité altérée pour mieux supporter cet état de fait.

 

Le mieux est de se réfugier dans une indifférence profonde pour sa propre sexualité, de la mettre volontairement en quarantaine et de fixer son attention sur le plaisir et le bien être de Madame.

 

Il faut oublier la cage. C’est très dur sinon impossible, tant le quotidien a tôt fait de vous en rappeler la présence.

 

Oublier l’envie de se branler.

 

Oublier ce besoin premier, physiologique, lancinant de cracher inhérent à tous les mâles.

 

Il devient évident que le meilleur moyen d’y parvenir est d’appliquer avec zèle les consignes de Madame, d’y mettre un empressement exagéré comme pour en conjurer les conséquences.

 

C’est relativement facile « ex nihilo » les 10 à 15 premiers jours.

 

Mais c’est sans compter sur le grand plaisir que tire désormais Madame de me laisser en Cage de Chasteté et d’en agrémenter le port de sévices divers, physiques (poids, claques dans les burnes, ballbusing etc…) autant que psychologiques (seule Madame prend son plaisir sans limite sous vos caresses (pas forcément sexuelles mais elle peut prendre son pied en se faisant longuement gratter la tête, le dos, les pieds etc…) tandis que le bon accomplissement des tâches quotidiennes constitue autant de « bons points », accumulés en vue d’une libération prochaine).

 

Je ne dirais jamais assez combien les 3 à 5 premières nuits en cages de chasteté sont un enfer : impossible de fermer l’œil, réveil systématique tant les couilles sont endolories par les érections nocturnes, quand ce n’est pas le gland qui s’écrase douloureusement au fond du tube.

 

Ou Madame à qui prend l’envie de mettre sa main sur votre appareil pour s’endormir ou de tapoter ou éclater les couilles parce qu’elle n’a plus sommeil, précisément à l’instant où vous venez de trouver le votre…

 

Donc, c’est entre 5 et 15 jours qu’on est à peu près bien et capable de « gérer » l’abstinence…

 

Mais je me demande quand même si tout ceci ne commence pas à m’échapper pour de bon…

 

Avec un peu de recul, je me rappelle qu’il y a maintenant un an que Madame a accepté de se prêter à ces petits jeux. Et qu’elle a désormais pris une assurance dont je ne la croyais pas capable.

 

Il est manifeste qu’elle a commencé à se documenter par elle-même sur certains sujets tels que l’abstinence, le contrôle de la sexualité masculine, le travail hard des parties génitales, et le droit de profiter de son Homme et non l’inverse…

 

Et les sévices deviennent très hard, tant moralement que physiquement.

 

Cela n’a pas cessé cet été, quelle que soit l'occasion : avion, plage, sport nautiques : aucune trêve , Madame a tenu à ce que reste enfermé en cage de chasteté.

 

Pas même en raison de notre séjour chez ses parents.

 

Et j’ai bien vu qu’elle prenait son pied à chaque étape « à risque », compte tenu de ma situation : en maillot de bain, une cage, ça se remarque forcément.

 

Et la clef qu’elle a arborée autour du cou tout cet été a été l’occasion d’humiliations directes et crues dont je ne la croyais pas capable.

 

Et je suis surtout devenu, à mesure que s'allongeait la période de privation, de plus en plus fier d’être l’homme objet, le jouet de Madame, dont la hardiesse et la perversion confinent maintenant au délice.

 

Le pire a été le retrait de la cage avec interdiction de se toucher, à la fin des vacances et pendant une pleine semaine.

 

J'ai même regretté d'être libéré, mais j'ai tenu bon, je ne me suis pas touché, pas branlé. Rien.

 

Pourtant, j'ai eu des érections de dingue, dures à en crever, un vrai démonte-pneu.

 

C'est tout juste si elle s'est contentée de me tirer les couilles et de les claquer de temps en temps.

 

Puis, à quelques jours du départ, elle m'a demandé de remettre la cage.

 

Sur le moment j'ai été content, rassuré.

 

 

Mais la violence des érections combinées au port de la cage de chasteté masculine a rendu cette épreuvve complètement démente.

 

 

Je me suis risqué à le lui dire  - ça lui a fait plaisir et elle m'a demandé de m'allonger avant de venir se frotter sur ma langue.

 

Avant de jouir, elle est redescendu et a fait un truc qui aujourd'hui encore me rend complètement dingue : elle est venue se pénétrer avec la cage de chasteté !!! Ma bite ultra douloureuse et tendue à mort dans la cage a souffert le martyr et plus  je grimaçait plus elle tatait mes couilles endolories et s'assurait de mon inconfort, plus elle prenait son pied...

 

 

Je pense qu'elle n'a pu se prendre que sur 3 à 4 centimètres, mais elles est partie dans des convulsions qui n'ont laisé aucun doute sur le plaisir qu'elle a retiré de baiser ainsi son mari frustré et réduit au rang de simple faire valoir.

 

 

Comme je vous aime Madame.

 

Comme j’ai peur maintenant d’être libéré !

 

Comme je suis bien aise à vous servir de « destressoir » !

 

 

Plus je n’en peux plus, plus c’est bon comme un chemin sans fin vers l’extase de demeurer à vos côtés.

 

 

Je vous aime.

 

Smartbeat

Par Smartbeat
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Vendredi 31 juillet 5 31 /07 /Juil 20:28

Chers Amis,

 

Comme vous le savez, il m’a été ordonné de me branler comme une bête toute une matinée, avec interdiction de jouir cependant.

 

A l’heure du déjeuner, Madame a contrôlé mon surf internet et l’état de ma (sa?) queue, presque sans aucun mot, avec une indifférence qui m’a mis franchement fait me sentir honteux, nu sur ma chaise le sexe gonflé et rougi à la main.

 

C’est pire qu’une mise à nue : une honte et une violation de mon intimité profonde répétée à chaque page de surf vérifiée par Madame, un petit sourire mi-dégouté, mi-entendu en coin.

 

« Toi tu continue de te branler. Tu le fais bien en mon absence, je ne vois pas pourquoi tu t’arrêterais devant moi, je ne t’ai rien demandé ».

 

J’ai débandé dès son retour à la maison ; dès le coup de clef dans la serrure. J'ai honte de me branler comme un adolescent boutonneux, mais si c'est à sa demande et avec la bénédiction de Madame.

 

Je me suis senti vraiment minable lors de son entrée dans le bureau.

 

Elle ne m’a pas lâché des yeux, mi-moqueurs, mi-supérieurs et satisfaits de l’être.

 

Je fus saisi d’une irrésistible envie de me cacher, de disparaître au fond d’un trou de souris, qu’elle ne me voie plus.

 

J’aurai tout donné pour échapper à la mise à nu totale que constituait la consultation des pages web sur lesquelles je venais de me branler pendant près de 4 heures.

 

Impossible ne mette pas en corrélation les vices et bas instincts qui ont guidé mes choix, chaque clic de souris de Madame amenant une nouvelle peur, une nouvelle frustration, une nouvelle honte.

 

J’étais comme transpercé, poignardé par chaque image sur laquelle portait son regard rieur.

 

Des images qui avaient pourtant quelques instant auparavant porté mon excitation à son comble et qui faisaient de moi un minable aux yeux de Madame.

 

Chaque page web traduisait un peu plus avant la bassesse de mes fantasmes.

 

Même les clics ayant débouché sur des images décevantes le matin me semblaient une dégradation extrême de ma personne.

 

J’ai voulu protester, m’expliquer, commenter les images, leur enchainement, bref, noyer le poisson pour reprendre le contrôle, mais sans succès :

 

« Je ne veux pas t’entendre. Tu es un gros branleur. Tu ne mérites pas la parole. »

 

J’ai essayé de bouger, de quitter le bureau, mais, devinant mon intention, elle a barré le passage en posant son pied entre mes jambes, écrasant bientôt mes bourses et ma verge de son talon plat.

 

« Ca te plait dons tant que ça de lécher ? Tu aimes ça ? Ca te plait de te branler comme un minable devant ton écran ? Mais dès que je suis là, tu n’es même plus en mesure de bander. Regarde ta queue : irritée, rougie, gonflée, mais invariablement molle. Assez semblable à une limace qui serait prête à toutes les compromissions pour accéder à la première coquille d’escargot venue !!! »

 

C’en était trop, il fallait que je bouge, que je proteste, que je réagisse, que je me lève.

 

Je ne pouvais pas rester dans cette posture ridicule, assis nu dans mon siège, le cul de Madame, moulé dans son tailleur strict de bureau à hauteur d’yeux, la croupe mise en évidence par sa jambe, galbée du fait du placement de son escarpin entre mes jambes.

 

Il fallait que ça cesse, que je lui montre qui était le patron, que je la tringle comme une bête, là sur le bureau provençal bien solide et comme charpenté pour être le témoin d’une partie de baise de grande envergure.

 

Madame a dû lire dans mes pensées car je n’ai pas eu le temps de faire un geste : elle a enfoncé son talon sur ma bite et mes couilles si fort que j’ai bien cru qu’elle y mettait tout son poids, comme pour monter son second pied aussi sur mon entrejambe.

 

J’ai pas eu le temps de crier ou protester : elle a reculé son postérieur pour me l’écraser sur la face, prise entre les courbes de ses fesses et le dossier du fauteuil.

 

« Tu aimes voir les mecs lécher les bottes et les culs visiblement, alors vas-y, lâches-toi ; lèches moi le cul, profites-en en vrai, pour une fois que tu peux lécher autre chose que l’écran… ».

 

Je ne m’attendais pas à cette sortie.

 

Je me suis vu encore plus stupide.

 

« Je ne veux pas t’entendre jusqu’à ce que je le décide, c’est compris.

Tout ceci est très instructif : tu n’es qu’un porc.

Un porc et un branleur.

Et je vais te dresser à n’être un qu’un branleur, pour mon seul plaisir.

Toi, tu n’as droit à rien. »

 

Ca a duré environ 20 minutes, qui m’ont semblé une éternité.

 

Quand elle s’est lassée des images, elle a relâché la pression sur mes couilles et s’est rajustée, se contentant de me dire, sans même me regarder :

 

 

« A présent, remise en Cage de Chasteté immédiat. Et puisque tu as bien tiré sur ta queue, profites-en pour bien te tirer sur les couilles. Oui, oui, tu as bien compris, je veux que tu le mettes en cage ET que tu mettes le gros anneau. Tu l’as voulu, il faut donc bien qu’il serve maintenant !!! »

 

 

Je n’ai pas eu la force de protester ? J’avais juste envie de quitter la pièce, de reprendre mes esprits. D’exister de nouveau…

 

Je suis allé directement à la salle de bain pour me laver.

 

Sous la douche, je me suis dit que là, elle allait trop loin, qu’il fallait dire stop.

 

Puis à mesure que passaient les minutes, je me suis dit qu’au moins, je ne trichais plus, que je me livrais enfin, que j’allais sans doute bénéficier d’un peu plus d’attentions pour avoir été bien gentil.

 

Je suis donc allé m’harnacher de la CB6000 et du gros anneau en acier qui l’avait tant fait rire quand je l’avais apporté à la maison.

 

Je suis resté en short de sport sans sous vêtement et l’ai rejointe à table à la cuisine.

 

J’ai tout de suite compris qu’il m’appartenait de cuisiner rapidement quelque chose ; elle était installée à table à faire le courrier mais n’avait rien sorti ni préparé, pas même les couverts.

 

Je me suis empressé de faire une omelette aux pommes de terre et lardons, accompagnée d’une salade de mâche assaisonnée comme elle aime.

 

Elle ne m’a pas dit un mot du repas.

 

Mais elle s’est visiblement régalée. Du plat simple que j’ai dû lui préparer dans l’urgence et de la difficulté que j’avais à me déplacer équipé comme je l’étais.

 

Je dirais avec le recul qu’en temps normal, je n’aurais jamais accepté une telle situation.

 

Mais là, ma position était rendue acceptable voire valorisante au regard de l’humiliation subie auparavant devant l’ordinateur.

 

J’avais l’occasion de la contenter, donc de remonter dans son estime, et surement de lui faire plaisir en ne discutant pas son envie de l’instant.

 

J’ai donc joué le jeu à fond.

 

Mais honnêtement, j’ai perdu tous mes repères.

 

Je suis ridicule avec mon matériel autour de la queue et des couilles.

 

Je sais qu’elle aussi me trouve ridicule.

 

Sauf que c’est elle qui me l’impose et que ça me permet donc de prendre du plaisir à faire en sorte de satisfaire sa demande sans broncher.

 

Madame a pris son café au salon, m’a demandé de rester debout à côté d’elle les jambes écartées.

 

Elle a fait balancer mes couilles en les repoussant violement de la main lorsqu’elle s’est levée du canapé et est repartie visiblement satisfaite au travail.

 

« Tu fais les courses cet-après-midi, tu connais la liste. Si tu es sage, ce soir tu auras une récompense. »

 

Je suis donc resté ainsi outillé tout l’après-midi, avec cette complication supplémentaire que mes couilles sont, en plus de la cage de chasteté, lestées de 650 grammes d’acier...

 

18h30 a mis un temps infini à arriver.

 

Madame m’a appelé au sortir de son bureau pour me dire qu’elle rejoignait une amie en terrasse de café, demandé de l’attendre debout dans l’entrée.

 

Et comme un imbécile, je me suis de nouveau plié au jeu.

 

Je suis resté deux bonnes heures debout dans l’entrée, les jambes légèrement écartées, me balançant un peu d’une jambe sur l’autre, d’abord pour trouver une position pas trop inconfortable, puis pour me donner un peu de plaisir en m’étirant les couilles.

 

Elle est finalement arrivée vers 20h30, tout sourire et les bras chargés de sacs divers : la fin des soldes l’a manifestement inspirée…

 

Elle a tout posé dans le vestibule et est venue me tendre sa langue en se campant devant moi.

 

J’ai voulu l’embrasser, lui faire un bisou d’amour.

 

« Tss, Tsss, Tsss : non, non, non, non, pas de ça : j’ai juste envie que tu me suces, comme si c’était mon petit bouton d’Amour ».

 

Je ne me le suis pas laissé dire deux fois : je l’ai sucée goulument.

 

C’était bon. J’ai vraiment fait le lien entre sa langue et son clitoris, sa bouche et sa chatte.

 

Et elle l’a senti, m’a laissé m’exciter, jaugeant mon niveau d’excitation à mes sucions.

 

Je me suis mis à bander, ce que je ne croyais plus possible depuis le matin.

 

Elle a du apprécier aussi la caresse car elle s’est rapprochée de moi pour m’enlacer, se coller à moi, m’imprimer le volume de ses seins.

 

Elle a glissé une jambe entre les miennes et j’ai appelé de mes vœux son premier coup de genoux ; je savais que ça allait arriver ; je savais que ça allait faire mal ; limite c’était dangereux vu mon harnachement.

 

Ma queue cognait maintenant sévèrement au fond de la cage, mes couilles tiraient vers le bas avec le poids et se sur-tendaient avec l’érection, mais j’avais envie qu’elle me défonce.

 

Qu’elle s’occupe de moi, peut importe le moyen, mais qu’elle s’occupe de moi.

 

Le coup est parti, timide, puis un deuxième, puis un troisième plus franc, et ainsi de suite :

 

« Je ne pensais pas que tu tiendrais la journée.

Bravo mon Chéri. »

 

Tels furent les premiers mots agréables de Madame à son retour du Bureau.

 

Rien de plus.

 

Si ce n’est qu’elle m’a demandé où nous allions dîner d’une manière qui signifiait que ma situation d’encagé allait manifestement continuer de se doubler du poids aux couilles pour le restant de la soirée.

 

Elle a cette manière assez incroyable de faire une abstraction totale de ma sexualité, de ma bite, de mes couilles, du sexe en général alors que je me trouve dans une situation qui me contraint d'y penser à chaque seconde.

 

Tant qu’on est assis, tout ceci reste supportable.

 

En revanche, dès qu’il faut se mouvoir, cela devient franchement coercitif.

 

C’est en fait l’impression de revivre les mêmes sensations que lors des premiers jours de cage de chasteté, avant que je ne trouve les réglages permettant de vivre de longue période d’encagement sans trop souffrir.

 

Sauf qu’à l’époque, j’étais demandeur de ces petits jeux et que maintenant cette nouvelle expérience m’est imposée par Madame ;

 

Je ne vois pas comment améliorer le confort de la situation avec ce gros morceau d’acier autour des testicules.

 

« Pour la première fois, je sens que ce petit jeu m’amuse vraiment et j’ai décidé que tu avais raison : tu ne mérite vraiment plus de jouir avec ta queue.

 

C’est pour cela que je vais dresser tes couilles à ma façon et apprendre à ta queue à encaisser des sollicitations auxquelles elle n’a jamais même imaginé qu’elles puissent se concevoir.

 

En attendant, habilles-toi, et emmènes-moi dîner, j’ai une faim de loup.

 

Si on ne rentre pas trop tard, qui sait, si tu es sage…

 

 

La suite ?

 

Plus tard !!!!

 

J’ai bien dû attendre moi….

 

Vous pouvez-vous aussi faire une petit effort chers bloggeurs !!!

 

 

Smartbeat

Par Smartbeat
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