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Après une longue période d’abstinence (j’entends par-là une absence de rapport sexuel « classique » avec coït, Monsieur pénétrant Madame), votre corps, votre cœur et votre esprit modifient leur perception et leur ressenti.
Un peu comme si une privation sensorielle altérait votre perception du monde extérieur, certaines sensations étant exacerbées et d’autres amoindries.
Et si vous nous lisez, il y a de fortes chances que vous soyez instruit des bonnes pratiques enseignées par cette chère Elise SUTTON, aujourd’hui appliqués avec Maestria par Madame :
Prenez l’habitude d’interdire l’orgasme à votre homme.
Si vous lui interdisez l’orgasme, le tenez excité et frustré la plupart du temps, il aura bien plus envie de vous servir et de vous obéir.
Il ne pensera plus qu’à vous et à vos besoins si vous agissez ainsi.
Vous avez besoin de contrôler son plaisir pour le contrôler lui.
Je n’aurais peut-être pas dû aviser Madame de ces écritures ni de ces pratiques, car j’en subis aujourd’hui à plein les conséquences – délicieuses, certes, mais j’ai perdu pied face à Madame et cela m’emmène je ne sais où – peu importe, pourvu que nous y allions ensemble et que cela nous permette de partager notre Amour et de trouver un terrain de jeu commun.
De ce point de vue, je n’en peux plus.
A force de ne pas baiser, de ne pas tirer son coup, de ne pas cracher librement ni de manière satisfaisante, on entre dans une sorte d’état second, on se fabrique une réalité altérée pour mieux supporter cet état de fait.
Le mieux est de se réfugier dans une indifférence profonde pour sa propre sexualité, de la mettre volontairement en quarantaine et de fixer son attention sur le plaisir et le bien être de Madame.
Il faut oublier la cage. C’est très dur sinon impossible, tant le quotidien a tôt fait de vous en rappeler la présence.
Oublier l’envie de se branler.
Oublier ce besoin premier, physiologique, lancinant de cracher inhérent à tous les mâles.
Il devient évident que le meilleur moyen d’y parvenir est d’appliquer avec zèle les consignes de Madame, d’y mettre un empressement exagéré comme pour en conjurer les conséquences.
C’est relativement facile « ex nihilo » les 10 à 15 premiers jours.
Mais c’est sans compter sur le grand plaisir que tire désormais Madame de me laisser en Cage de Chasteté et d’en agrémenter le port de sévices divers, physiques (poids, claques dans les burnes, ballbusing etc…) autant que psychologiques (seule Madame prend son plaisir sans limite sous vos caresses (pas forcément sexuelles mais elle peut prendre son pied en se faisant longuement gratter la tête, le dos, les pieds etc…) tandis que le bon accomplissement des tâches quotidiennes constitue autant de « bons points », accumulés en vue d’une libération prochaine).
Je ne dirais jamais assez combien les 3 à 5 premières nuits en cages de chasteté sont un enfer : impossible de fermer l’œil, réveil systématique tant les couilles sont endolories par les érections nocturnes, quand ce n’est pas le gland qui s’écrase douloureusement au fond du tube.
Ou Madame à qui prend l’envie de mettre sa main sur votre appareil pour s’endormir ou de tapoter ou éclater les couilles parce qu’elle n’a plus sommeil, précisément à l’instant où vous venez de trouver le votre…
Donc, c’est entre 5 et 15 jours qu’on est à peu près bien et capable de « gérer » l’abstinence…
Mais je me demande quand même si tout ceci ne commence pas à m’échapper pour de bon…
Avec un peu de recul, je me rappelle qu’il y a maintenant un an que Madame a accepté de se prêter à ces petits jeux. Et qu’elle a désormais pris une assurance dont je ne la croyais pas capable.
Il est manifeste qu’elle a commencé à se documenter par elle-même sur certains sujets tels que l’abstinence, le contrôle de la sexualité masculine, le travail hard des parties génitales, et le droit de profiter de son Homme et non l’inverse…
Et les sévices deviennent très hard, tant moralement que physiquement.
Cela n’a pas cessé cet été, quelle que soit l'occasion : avion, plage, sport nautiques : aucune trêve , Madame a tenu à ce que reste enfermé en cage de chasteté.
Pas même en raison de notre séjour chez ses parents.
Et j’ai bien vu qu’elle prenait son pied à chaque étape « à risque », compte tenu de ma situation : en maillot de bain, une cage, ça se remarque forcément.
Et la clef qu’elle a arborée autour du cou tout cet été a été l’occasion d’humiliations directes et crues dont je ne la croyais pas capable.
Et je suis surtout devenu, à mesure que s'allongeait la période de privation, de plus en plus fier d’être l’homme objet, le jouet de Madame, dont la hardiesse et la perversion confinent maintenant au délice.
Le pire a été le retrait de la cage avec interdiction de se toucher, à la fin des vacances et pendant une pleine semaine.
J'ai même regretté d'être libéré, mais j'ai tenu bon, je ne me suis pas touché, pas branlé. Rien.
Pourtant, j'ai eu des érections de dingue, dures à en crever, un vrai démonte-pneu.
C'est tout juste si elle s'est contentée de me tirer les couilles et de les claquer de temps en temps.
Puis, à quelques jours du départ, elle m'a demandé de remettre la cage.
Sur le moment j'ai été content, rassuré.
Mais la violence des érections combinées au port de la cage de chasteté masculine a rendu cette épreuvve complètement démente.
Je me suis risqué à le lui dire - ça lui a fait plaisir et elle m'a demandé de m'allonger avant de venir se frotter sur ma langue.
Avant de jouir, elle est redescendu et a fait un truc qui aujourd'hui encore me rend complètement dingue : elle est venue se pénétrer avec la cage de chasteté !!! Ma bite ultra douloureuse et tendue à mort dans la cage a souffert le martyr et plus je grimaçait plus elle tatait mes couilles endolories et s'assurait de mon inconfort, plus elle prenait son pied...
Je pense qu'elle n'a pu se prendre que sur 3 à 4 centimètres, mais elles est partie dans des convulsions qui n'ont laisé aucun doute sur le plaisir qu'elle a retiré de baiser ainsi son mari frustré et réduit au rang de simple faire valoir.
Comme je vous aime Madame.
Comme j’ai peur maintenant d’être libéré !
Comme je suis bien aise à vous servir de « destressoir » !
Plus je n’en peux plus, plus c’est bon comme un chemin sans fin vers l’extase de demeurer à vos côtés.
Je vous aime.
Smartbeat