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Chers lecteurs,
Je vous livre de nouvelles anecdotes, étant de nouveau autorisé à écrire.
Elles sont caractéristiques de l'évolution de notre couple. Je ne sais pas où cela nous mènera, j'ai passé la main à Madame et elle oriente désormais notre vien intime.
Depuis la mi-septembre, Madame me demande régulièrement de mettre la cage en cuir avant de me coucher.
C’est une nouvelle évolution, une étape de plus dans l’abandon de mon être à sa personne.
Je sublime Madame de plus en plus, ne souhaitant qu’une chose : répondre à son bonheur autant qu’à son bon plaisir.
Elle mérite vraiment d’être heureuse et de jouir librement et si je peux participer à ce bonheur, je suis le plus épanoui des hommes.
Je suis sans bite, en cage de chasteté depuis 9 semaines maintenant.
Mais il y a une évolution dans l’utilisation des cages, qu’elle trouvait ridicules au début et qu’elle alterne maintenant avec un vrai plaisir en fonction de ses envies.
Hitoriquement, la cage en cuir est la première que j’ai achetée, pour lui en faire la surprise.
Elle aimait déjà tenir mes couilles dans sa main pour s’endormir et m’avait dit un jour : « oh, elles sont toutes froides, il leur faudrait un petit manteau ou une petite coquille ».
Connaissant les cages en cuir, je lui en avait parlé et j’avais eu le feu vert pour en mettre une.
Tout est d’ailleurs parti de là je crois…
Je lui avais expliqué au tout début que la cage en cuir agissait aussi comme un cockring, décuplant l’érection en même temps qu’elle la cntraignait.
C’est ça qui lui a plu, de savoir que mes érections sont plus difficiles à contenir.
Encore plus qu’avec aucune cage de chasteté, quel qu’en soit le modèle.
Elle a d’ailleurs eu du mal à accepter l’idée de la cage de chasteté au début ;
Quand on voit l’utilisation gourmande qu’elle en fait aujourd’hui, je me mords parfois les doigts de les avoir mis dans cet engrenage…
Bref, j’ai donc droit depuis cet été à la CB2000 ou CB6000 le jour, car elle adore le côté humiliant de la chose au regard des autres et souvent à la Birdlock la nuit.
C’était en tous cas le régime de croisière depuis notre retour de vacances fin août.
Je pense avoir été très sage et n’avoir jamais rien – je dis bien RIEN - demandé ni même exprimé de mes désirs ou envies à Madame afin de bien rester dans mon rôle : Homme Objet.
J’y parviens d’ailleurs de moi-même, me faisant un devoir de réprimer au plus profond ma libido même dans ses plus basiques expressions.
C’est à dire que j’ai appris à vivre sans aucun désir propre tout en restant toujours prêt pour Madame, comme un appareil en veille, ne demandant jamais rien quoique rutilant et disponible à ses caprices, le plus souvent violents et immédiats d’ailleurs…
Je constate qu’elle concentre désormais quasi exclusivement ses efforts de dressage vers mes couilles, qui sont l’objet de toutes ses attentions : pressées, allongées, lestées, claquées, frappées – j’en vois de toutes les couleurs, à tout moment, selon le bon plaisir de Madame.
Et il est vrai qu’elles sont plus faciles d’accès avec la Birdlock, Madame appréciant de les enserrer et de les étirer au coucher, au lever et même au cours de la journée, comme ça, pour voir.
Son nouveau jeu du soir consiste à prendre mes testicules en main, les entourer de ses doigts – tous ses doigts - jusqu’à ce mes couilles soient entièrement tendues au point de déformer les bourses.
Elle constate combien cela me met en érection dans la cage, qu’elle ressent à la rétractation de celle-ci à mesure que la verge grandit et tire la cage en avant.
Elle augmente alors la pression vers le bas, contrariant l’érection de plus fort.
C’est une torture assez difficile à supporter, car la queue est fortement sollicitée, déésespérant de trouver la place où s’épanouir, tout en étant contrainte par la cage, sans aucune possibilité de plaisir, celui-ci venant (quand c’est le cas) exclusivement des couilles.
La douleur de l’étirement en saccades se transforme en plaisir de substitution à mesure que Madame en augmente l’intensité, la fréquence et la force : cela se rapproche d’une masturbation, sauf qu’elle pratique celle-ci sur les bourses, bientôt saisies à pleine main.
Les couilles se resserrent et s’entrechoquent au fond du sac, côté mouvement vers le bas, écrasant la tête de la bite au fond de la cage à l’autre extrémité en phase descendante, la prostate et la verge étant écrasées sans ménagement en phase ascendante, la queue trouvant alors un très bref moment d’expansion, aussitôt contrarié par une nouvelle poussée vers le bas.
Elle prodigue ces « caresses » (c’est ainsi qu’elle les appelle…, la phrase clef étant : « tu viens, j’ai envie de te caresser ») en me regardant droit dans les yeux ou en me chuchotant à l’oreille des délicatesses qui me rendent fou, me parlant de sa fente ouverte et en manque de queue, que je n’ai pas été sage, que je suis un vilain garçon, que je dois encore être dressé, que mes couilles doivent encore être assouplies et travaillées.
Généralement, elle frotte sa chatte contre mon corps et exige que je me taise.
Encore et toujours, elle impose le silence :
« CHHHUUTTTTtttttttttttttt, silence, profites en silence, c’est tout ce que tu mérites pour l’instant, n’est-ce pas ? »
Ca me rend dingue, mais je parviens maintenant à ne plus faire de bruit et à encaisser en bronchant un minimum : c’est ça qui l’excite manifestement : me défoncer de plus en plus fort tout en ne tirant aucun son, aucune réaction de son homme objet.
Elle appelle ça la phase n°2 de mon éducation, et maintient que tant que je ne serais pas en mesure de jouir des couilles, je ne serais pas prêt à être un véritable amant à sa mesure.
Elle finit généralement en venant chevaucher mon visage, me contraignant la faire jouir avec ma langue et plus rarement un seul doigt, tout en me martyrisant les couilles : c’est là qu’elle prend son pied.
Et moi avec. Sans aucune satisfaction physique, mais la voir jouir m’apporte une satisfaction aussi forte que l’extrême frustration de la « redescente », les couilles et la bite continuant d’irradier dans le vide de longs moments après qu’elle ait pris son plaisir et se soit endormie, repue, comme débranchée.
C’est ensuite au réveil qu’elle me parle de son envie de bite et de se faire défoncer à fond, des contractions de sa chatte, qui est ouverte et tendue comme un anneau constricteur, qu’il est dommage que je ne puisse pas la prendre dans mon état, que je ne sois pas encore dressé convenablement à jouir des couilles, ma queue n’étant qu’un objet sans intérêt…
Elle m’explique alors qu’elle aussi est frustrée, que mon majeur ou mon pouce, ce n’est pas assez, qu’elle en veut plus, mais que je ne peux pas lui donner dans mon état.
C’est généralement là qu’elle est de nouveau excitée et qu’elle remet ça sur mes couilles : généralement, elle les cogne, les claque, les saisit et les étire au maximum pour en faire un bouquet prêt à exploser avant de les boxer de son autre main.
Sans aucun ménagement, de manière on ne peut plus directe : « Il faut assouplir tout ça, mon chaton, en faire un bouton magique toujours prêt à commander la sauce, et manifestement, je dois encore t’entraîner un peu ».
Sauf que depuis mi-septembre, ces jeux se déroulent de préférence avec la cage en cuir, qu’elle a comme redécouvert.
« Un petit cockring intégré, une bite aveugle, un homme silencieux, c’est un joli programme tu ne trouves pas ? ».
Elle appelle alors cela « son petit ballon » (et c’est vrai qu’une fois couilles et queues enfermées dans le sac, ça ressemble à un petit ballon.
Un petit ballon qu’elle adore faire grossir en le frappant avec la lourde spatule de bois d’olivier que nous avons acheté cet été…
C’est son nouveau truc : lourd, large, efficace…
C’est la cinquième fois maintenant qu’elle me le demande à l’avance : « tu mettras ton cuir après la douche » aussi naturellement qu’elle demanderait la météo du jour.
Une fois les enfants couchés, elle suggère généralement d’aller regarder la télé dans la chambre.
Elle me rejoint alors avec la spatule ou les lourds couverts en bois qu’elle dispose sur mon ventre le plus naturellement du monde avant de se coller à moi et de tapoter « son petit ballon ».
« Surtout, je ne veux pas entendre un bruit, d’accord ? Tu dois pouvoir encaisser comme un grand maintenant, hein ? Tu vas être bien sage, ton entraînement est très important. Penses que plus tu chauffes, plus je m’ouvre. Et j’ai très envie d’être littéralement fendue, comme une pastèque éclatée. Je suis certaine que toi aussi tu veux me faire plaisir et me voir bien écartée et écarlate, n’est-ce pas ? Ca te plairait de me voir littéralement défoncée, hein, prise à en exploser ? ».
Elle me dit ça en se mettant à 4 pattes au-dessus de moi, écartant sa fente pour me montrer qu’elle est déjà tendue et gonflée. Après m’avoir annoncé le programme, elle choisit généralement de s’assoir de tout son poids sur mon visage, commence ses va et vient, se saisit du ballon de cuir et le frappe comme un putching ball.
« Sors ta langue, je veux ta langue, bien dure, immobile, tu te tais, tu ne dis rien, je ne veux rien entendre, tais-toi, sors ta langue ».
Et je remarque que plus elle frappe vite et fort, plus elle éclate vite, son con étant vraiment ouvert et tendu comme jamais avant, je le sens bien au bout de langue.
« Oh que c’est tendu la-dedans, quelle pression, il faut pas, non il ne faut pas » dit-elle généralement, mi-chuchotement mi-grognement, sans que je sache si cette formule explicite s’applique à mon appareil génital comprimé dans la Cage en cuir ou s’il s’agit de sa grotte irradiée.
Et depuis mi-septembre, je suis soumis à ce régime cage de chasteté le jour et cage en cuir ou Birdlock la nuit.
Dans ce dernier cas, elle aime que je porte un cockring en cuir en plus de la Birdlock.
Elle aime que les érections soient présentes ET que je porte une cage : intenable au début.
Mais finalement, c’est comme après les premières nuits en cage, on s’y fait et on finit par ne plus bander de la même façon. Une sorte de d’étape 2 de la mise en cage.
Je doit me taire et n’avais plus le droit de satisfaire mes envies de pornographie ni de lui parler de sexe sous aucune forme.
Aussi, je sais qu’en me demandant de reprendre le blog, elle veut mesurer mon évolution, que je vous fais partager.
Merci Madame de votre éducation, je sens que je suis bientôt prêt.
Prêt à exploser aussi vite que vous rien qu’avec les couilles.
Je travaille dur, vous le savez, mais je suis sur que vous le savez et que je peux y arriver.
Je vous aime si fort et vous suis si reconnaissant de me rééduquer pour être entièrement tourné vers vous.
Vous m’aspirez vers votre centre comme un entonnoir irrésistible et j’aime ça.
Je veux être l’outil de plaisir que vous méritez.
Je vous veux pleine et remplie selon vos désirs.
Peu m’importe de ne pas être autre chose qu’une pompe ou un ballon, je saurai vous satisfaire.
Je ne vis pus que pour ça.
Je vous aime.
Smartbeat