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Samedi 25 octobre 6 25 /10 /Oct 16:16
Merci de nouveau de vos commentaires !!!

Je dois vous dire que ma queue commence à couler toute seule : par moment, je mouille comme une petite chienne ; de l'oeuil borgne de mon gland s'écoule régulièrement du liquide séminal mêlé à du sperme. La bite est hypersensible - un vrai vibrato

Il faut dire que, depuis plus d'un mois, je suis cadenassé très régulièrement.

Entre chaque séance de cadenassage ou d'abstinence, elle exige sa ration de domination : "tu vas me bourrer comme un gros porc que tu es, mais attention, pour mon seul plaisir ; je t'interdis de prendre ton pied, tu m'entends bien ?" " ta queue n'est qu'un objet, un gode humain ; tu connais le programme tu n'entre qu'au premier tiers, tu me caresse le clito avec application et tu as intérêt à me faire jouir ; toi, tu n'aura rien".

Et pour être sûre que je jouirait pas, elle me serre (mais c'est serré pour de vrai, hein) la base de la queue et des couille dans un cockring en cuir, un modèle avec des pressions, qui passe ensuite entre les couilles et se noue de nouveau sur la base de la queue avec un seconde lanière à pressions.

Et elle commence par frapper les couilles pour bien préparer son "petit gode humain, sa chose", comme elle prend plaisir à me me dire en me regardant bien droit dans les yeux...

Elle cogne les couilles avec application et précision, doucement d'abord, pluis de plus en plus vite, puis de plus en plus fort.

Ca résonne à mort dans toutes les couilles et la hampe.

Qui se trouve comme anesthésiée - elle a raison : un vrai Gode humain !!!

Après elle s'en sert et exige que je la bourre à son rythme.

Après son orgasme elle s'endort.

Et moi, je dois être en cage  et avoir fait les tâches utiles à la maisonnéequant elle se réveille.

Et elle me la laisse maintenant bien volontiers, la cage.

Pas tous les jours, mais par dose de un à cinq jours.

C'est encore pire qu'un enfermement régulier sur une longue période, qui est beaucoup plus facilement supportable, car une fois habitué à la cage, on se cale dans le rythme et on tiens, presque à l'oublier.

Et elle ne se prive pas pour autant de me taper les couilles et la queue, enfermé ou pas.

Régulièrement, quand je ne m'y attends pas - c'est là le plus dur :  entre deux portes ...

Il faut que c'est souvent quand je viens demander une faveur : la lêcher, me libérer, acheter du matériel etc...

Et quand on est encagé sur une période longue, encore une fois, ça se supporte.

Mais repartir à chaque fois de zéro, là c'est un vrai traitement hard.

Je dois dire que, dormir est le plus dur. La queue durcit inévitablement pendant la nuit. Et là, croyez-moi, ça tire sur les couilles qui deviennent vraiment sensibles, dedans, mais aussi la peau, qui frotte inévitablement sur la cage.

La peau se pince aussi au bout, car quand on bande, la queue pousse dans le tube et pince la peau au bout et sur les côtés aussi.

Elle le sait bien d'ailleurs. Mais ça l'amuse de ma voir remettre tout en place avec force lubrifiant aux silicones.

Au début pourtant, elle était incrédule quant à l'intérêt de la cage. Mais, maintenant, elle aime me voir me tordre pour éviter les érections nocturnes.

Quand ça arrive, alors elle se retourne, se met en chien de fusil, me présent son fessier si bandant et me demande de me coller à elle et de lui masser le dos, les reins, les seins, les fesses...

Et le résultat est terrible : rien que la pensée de sentir ma cage en contact contre sa peau, c'est l'assurance d'une grosse érection à tous les coups et donc, les couilles qui tirent affreusement à chaque fois !!!

Alors, bien évidemment, je suis ensuite obligé de me lever, d'aller faire un tour, de remettre du lubrifiant, de me calmer, d'aller pisser, de remettre la peau des couilles en place... etc...

Croyez-moi, c'est très dur à vivre. Puis au bout de 4 à 5 jours, ça rentre dans l'ordre et les érections se raréfient, ou plutôt, se déroulent moins à fond, et donc ça devient supportable.

Elle s'en est rendu compte, puisque je parviens alors à la caresser, à la masser, suffisamment longtemps pour qu'elle s'endorme, satisfaite. Repue. Dominante. Triomphante !!!

Et moi je reste hébété, sans sommeil, mais finalement, avec une gaule apaisée ; en un mot supportable.

Et c'est là qu'invariablement, son besoin de me solliciter en claquant les couilles se réveille, qu'elle met fin à la parenthèse du "travail des couilles" qui suit les premiers jours de mise à l'enfermement.

Je peux vous assurer que se faire éclater les couilles, enfermé dans une cage, sans avoir éjaculé depuis un mois, et bien c'est une expérience à vivre une fois dans sa vie.

Tous bascule. Vous n'êtes plus qu'une verge géante en vibration. Sans plaisir physique mais comme un gigantesque orgasme cérébral continu.

Le moindre événement est alors automatiquement requalifié par le corps, l'esprit, et la bite, comme une sollicitation d'ordre sexuel.

Chaque pulsion résonne dans la queue gonflée qui habite la cage.

Celle-ci est à la fois un délice et un supplice.

Je vous en parlerai à un prochaine occasion, mais le choix et l'ajustement du matériel d'enfermement est essentiel pour supporter ce traitement.

Elle m'a remis en liberté ce matin.

Je sais que je vais avoir tôt ou tard à supporter de nouveau le supplice des 5 premiers jours, si terribles ...

Je sais qu'elle va me demander de me branler devant elle, comme un porc, sans aller au bout, sans éjaculation.

Combien de fois dans la journée ? Seule elle le sait...

Je sais qu'elle va me frapper les couilles longuement, longtemps, jusqu'à ce que je me torde. Puis m'habitue au rythme, à l'intensité. Pour ensuite augmenter d'un cran la force de ses frappes. Jusqu'au bord de l'orgasme qu'elle me refuse depuis plusieurs mois maintenant, au point que le redoute.

Son dernier SMS, ce matin pendant le marché du samedi était  "penses aux huitres - signé : la main fouetteuse".

Tout un programme ...

D'autant que je peux vous assurer que sortir de cage après le traitement que je vous décris vous fait les couilles bien grosses, bien pendantes et bien gorgées de foutre...

De vraies grenades à fragmentation !!!

Et ça va être un cran supplémentaire cette fois, car elle ma demandé de recommencer un petit programme de pompage à vide de la bite ce week-end, jusqu'à nouvel ordre.

Le papier disait : "pomper toutes les heures 5 minutes en montant de 100 g en 100 g toutes les minutes".

Prendre 500 grammes de dépression dans la queue n'est pas donné à tout le monde : vous n'avez pas d'autre choix que de couler du gland. Votre bite finit en fait à la fois hyper sensible et ... désensibilisée, la peau devient comme une écorce gonflée et protégeant des sensations habituelles...

Je ne suis plus qu'une bite. Sa bite. Sa chose. J'en suis à espérer qu'elle défonce de la manière la plus ultime pour enfin lui appartenir à fond.

A bientôt, donc.



Par Smartbeat
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