Chers lecteurs,
Après une petite semaine de vacances, je reprends le récit de notre aventure conjugale un peu particulière.
Madame semble avoir désormais pris beaucoup d'assurance et apprécie vraiment de maîtriser les couilles de son homme.
Elle aime me défoncer les burnes, m'éclater les couilles, me malaxer le paquet et prend beaucoup de plaisir à me maintenir un "état de plateau" pour m'obliger à exploser devant elle.
C'est du reste tout ce à quoi j'ai droit depuis bien longtemps maintenant....
Et le pire est que j'attends ces moments avec beaucoup d'impatience, que je les reçois comme un honneur et fait de chacun d'eux une obligation de satisfaire les désirs de Madame.
Et ceux-ci commencent à être plus précis au travers de la ligne générale de prise de contrôle de ma sexualité.
Une première source de plaisir consiste pour elle à me frustrer à mort. Elle y parvient fort bien et a parfaitement intégré la façon de profiter de ma libido galopante en en prenant le
contre-pied : utilisation des cages de chasteté, des sangles placées à la base de ma bite et/ou de mes couilles, orgasmes déniés après toutes sortes d'excitation.
Une seconde source de plaisir consiste pour elle à m'obliger à jouir ; le plus vite possible. Et avec le minimum de satisfaction. De ce paradoxe naît de nouveau la frustration. Et elle aime me
frustrer, je l'ai déjà dit, car elle m'a alors "à sa main", empli de désir et attentif à ses moindres envies, que je devance du mieux de mes moyens dans l'espoir d'accéder à une faveur de
Madame.
Il résulte de ce second point qu'après la phase de frustration intensive de ces derniers mois, elle prépare la prochaine étape d'abstinence de manière très intense...
Ma femme contrôle ma sexualité et je suis devenu son homme objet.
Elle m'éclate les couilles à sa guise et sais désormais comment me faire péter la queue sur commande, en me claquant les boules et en distillant le rythme et l'intensité de ses coups avec une
grande maitrise.
Elle décide désormais des période d'abstinence intégrale (souvent un mois, en fait) et m'impose la cage de chasteté de manière régulière.
Cet objet l'a d'abord répugnée. Puis elle a accepté que je l'utilise, sans vraiment comprendre, je crois. Elle s'est ensuite enhardie non sans s'en être amusée d'abord ("
tu es ridicule,
mon chéri" lorsque je lui présentais l'objet ou lui en parlais). Enfin, elle est entrée dans le jeu, d'abord pour me faire plaisir, en me maintenant sous clef lorsque je lui
demandait l'autorisation de sortir. Puis elle a a fini par comprendre en les constatant tous les bienfaits de cet objet et en tire aujourd'hui avantage à sa guise.
Ce qui lui plait, c'est de maîtriser mes érections et mes envies. De ne plus en être tributaire.
Les premiers jours en cage sont toujours les plus durs physiquement, surtout la nuit.
Ce sont ceux qu'elle préfère. Elle aime que la douleur de mes érections nocturnes me réveillent et m'obligent à me relever plusieurs fois par nuit.
"J'aime les cernes sous tes yeux mon chéri. Ils montrent bien combien cette cage est nécessaire mon chéri. Il faut que tu apprennes à obéir à mes envies, non à tes pulsions. Tu
bandes quand je le veux et seulement quand je le veux. Et quand je vois tes cernes disparaître au fil des jours, je peux constater que tu deviens plus sage grâce à la cage. Il faut que tu
parviennes à stabiliser ces pulsions dès les premiers jours, mon chéri. C'est moi qui commande et moi qui décide".
Elle prend son pied à maîtriser l'organe qui la labourait régulièrement il y a peu. Avec succès pourtant.
Mais ce qu'elle aime, c'est en fait contrôler les éjaculations de cette lance dont l'endurance particulière la plaçait régulièrement en situation de devoir accepter de longues séances de
coït, alors que de son côté, elle est en mesure de prendre son pied en quelques minutes.
De mon côté, il est vrai que je fais (faisais ???) partie de ces hommes qui peuvent limer pendant très longtemps avant d'exploser. Même branlé très fort, il n'était pas rare qu'il faille attendre
plus d'une demi-heure avant de me faire éjaculer.
Et je conçois que cela ait pu représenter une charge pour elle dans notre sexualité.
Et je comprends qu'elle cherche aujourd'hui à me dresser à jouir sur commande.
Esprit de contradiction féminin sans doute...
Et depuis qu'elle maîtrise la destruction de mes testicules comme une pompe à sperme auxiliaire, elle ne se prive plus d'utiliser cette technique pour assurer à la fois la frustration
"
c'est tout pour aujourd'hui", et l'éjaculation forcée, souvent sans réel plaisir. C'est aussitôt après, lorsqu'à peine trait, et que le calme revient que la frustration est la plus
grande ; et c'est là qu'elle prend son pied. Et moi aussi. Car c'est un geste d'amour que nous partageons, les yeux dans les yeux.
C'est généralement le moment qu'elle choisit pour me donner la suite du programme :
"cage en cuir", "tu mettras la CB2000, il faut que tu sois bien comprimé mon chaton", "il va falloir que tu
sois bien sage". Ou encore : "
Tu remettras la CB6000 pour quelques temps, n'est-ce pas ?" etc...
Mais je diverge. Revenons-en aux dernoers faits. Après la défonce de couilles de la semaine dernière, je n'ai donc eu droit à rien de rien de rien, nada, de toute la semaine.
Ce n'est que samedi soir, juste avant que nous ne sortions pour rejoindre des amis à son club d'équitation, après que je me sois montré pressant pour qu'elle finisse de se préparer afin que nous
soyons à l'heure :
"Oh, oh, oh !!! Toi, tu veux que je te tape !?! Pour que tu me parles ainsi, tu dois avoir les couilles qui débordent. Voilà le résultat quand elle grossissent trop libres. Tu veux que je
te tape, n'est-ce pas ? Allez, dis le, je le vois dans tes yeux. Dis-le, allez !!!"
Cette attaque directe, crue et sans signe avant-coureur m'a saisi. Je suis resté bête, mais elle m'a attiré devant le lavabo et a défait ma ceinture, tout en me parlant de bonnes claques dans
les couilles pour me soigner de cette impertinence :
"baisse ton pantalon et ton slip. C'est moi qui décide où et quand. Combien et comment."
Elle m'a saisi les couilles par derrière, par dessous les fesses, en se plaçant derrière moi, m'appuyant contre le lavabo.
Elle les a tirées en arrière. Les a malaxées. Tapotées de ses doigts. Puis tiré de plus en plus sec et fort. En rythme. Comme quand elle cogne ; sauf que là, elle tirait, sans ménagement.
"Tu vois l'heure ? A 15, tu auras une minute pour exploser. Pas davantage. Sinon nous serons en retard mon chéri..." Me sussura-t-elle à l'oreille en désignant l'horloge numérique de la
radio posée sur le meuble de salle de bain.
Elle m'a tiré sur les couilles en cadence et, à quinze, je me suis astiqué le manche comme un dingue ; elle m'a parlé cruement tout le temps, dit qu'elle aimait m'éclater les couilles, que tout
était tendu à mort, que c'est tout ce à quoi j'avais droit et que je devais bien en profiter parce que la nouvelle cage n'allait pas tarder à arriver et qu'après, j'allais devoir m'habituer à
l'idée de ne peut-être plus jouir que de manière très espacée. "
Une cage en silicone, quel bonheur,
je vais m'en donner à coeur joie ... et toi tu vas être bien dressé mon
Minou".
Et tandis qu'elle me tirait les couilles par derrière, elle appuyait de sa main libre à la racine de ma queue, exerçant une pression en rythme. Une vraie torture. Un délice.
Mais, malheureusement (ou heureusement ?), je n'ai pas joui...
"Tant pis pour toi pour chéri. Tu mets ta cage, la petite. 1 mn, ce n'est quand même pas le Pérou. On reprend le programme à zéro dès maintenant !!!""
Je suis resté saisi et interloqué, car le lendemain matin, je devais la conduire à l'aéroport pour rejoindre les enfants. Et cela augurait d'un moment propice à un nouvel enfermement, par
exemple... Et toujours aucune nouvelle de ma Cage Birdlocked
Mais je n'ai rien dit et me suis exécuté.
Elle a tâté mon entrejambe en me disant
"et si Marie-Sophie me fait encore remarquer la bosse, là, tu crois que je lui dis que tu es enfermé ? Je suis sûre que ça lui donnerait plein
d'idées..."
Je suis resté bête car je découvre que notre Amie pourrait soupçonner quelque chose. Et Madame sait très bien que Marie-Sophie m'excite avec sa collection de bottes d'équitation, ses jodhpurs
ajustés, son éternelle cravache et son accent zozottant de blonde versaillaise de bonne famille.
Madame sait que je sais qu'elle vit en réalité séparée de son Mari Pierre-Guillaume parce que ce dernier est éjaculateur précoce. Qu'elle a un amant. Et que celui-ci est plutôt avantagé
par la nature (c'est du moins ce qu'elle laisse comprendre de manière fort délicate, mais très très claire) et qu'elle aime le voir à l'oeuvre avec d'autres femmes avant de se faire mettre par son
Amoureux en club libertin...
Pour la première fois, j'ai peur d'être en Cage et d'avoir vraiment perdu le contrôle.
Et j'ai bandé dans ma cage à en avoir mal à la bite entre les barreaux du fond...
Je regrettais déjà amèrement de n'avoir pas été capable de me vider en moins d'une minute.
J'ai demandé pardon. Et promis que j'allais bientôt jy arriver, exploser à la demande, tout en me mettant à genoux devant elle et en l'enserrant dans mes bras.
"Oui, mais tu manques d'entraînement". "Sois sâge ce soir et on verra ..." dit-elle en appuyant mon menton dans son entrejambe qu'elle me refuse depuis si longtemps maintenant...
La suite bientôt ...
Smartbeat
Madame adore lire les scénarios des autres.
Et j'ai compris tout l'intérêt que nous pouvions en retirer, car elle s'enhardie au fur et à mesure que les idées affluent.
Merci de votre contribution en tous cas, c'est bien agréable de recevoir le soutien d'un petit mot de temps en temps.
Cordialement,
Smartbeat, Ballbusting Boy de Madame.
Je penses que nous avons en effet des parcours similaires.
Lisez le nouvel article que je viens deposter pendant que tu mettais ce beau commentaire en ligne, et vous verrez qu'une partie de ce que vous indiquez s'y trouve déjà !!!
En revanche, je ne suis pas certain d'aprécier de voir Madame se faire démonter par un inconnu.
Si elle y prend du plaisir, c'est bien, mais je ne sais pas si ce n'est pas trop destrcturant pour le couple. Ca reste un jeu et ...
Je n'en sais rien et je verrai bien.
A la fin, il fauit bien me rendre à l'évidence, je ne la prend plus depuis deux mois maintenant et il faudra bien qu'elle se ramone ou fasse ramoner à un moment ou à un autre.
Merci infiniment de votr participation en tous cas !!!
Smartbeat
Pour le moment, Madame ne fait que jouer.
Notre problème était ma surconsommation de sexe par rapport à ses besoins.
En revanche, depuis que nous avons commencé nos petits jeux, il est clair qu'elle prend du plaisir à maîtriser ma sexualité et qu'elle s'épanouit donc mieux dans la sienne.
Elle redoute moins et donc s'ouvre à de nouvelles hardiesses.
Je ne penses pas qu'elle apprécierait de se faire prendre devant moi.
Je n'en sais rien en vérité.
Je crois que je redoute ce moment autant qu'il m'excite.
Il est en revanche probable que les relations s'en trouvent changées à jamais ensuite.
Comme toujours, si cela s'inscrit dans un jeu, un partage consenti par les deux, tout va bien.
Même si le fait que cela se fait, j'y suis prêt, donc ça ne me posera pas de problème au sens physique du terme.
En revanche, s'il s'agit de prendre un Amant régulier, c'est autre chose, car cela implique une dispersion de notre raltion et là, c'est non. Ou alors il me faudra des compensations suffisament excitantes.
Donc je ne crois pas être prêt, et elle encore moins.
En revanche, j'admet qu'elle a besoin de se faire démonter de temps en temps.
C'est pour cela qu'elle fait de moi son homme objet : pour que je la mette bien fort, mais selon son rythme et son bon plaisir.
Entre les deux, on s'aménage des petits jeux.
C'est toute la différence entre un blog de fantasmeur et la réalité de notre couple.
Nous ne sommes pas dans un schéma classique du genre "tu vas me regarder me faire prendre par un homme, un vrai, bien monté etc..."
Je ne prétends pas être bien monté, mais je sais me servir de ma queue qui a tendance au contraire, avant le traitement de Madame en tous cas, à être du genre trop endurante pour ces dames qui aiment bien quand on crache la purée.
MAintenant, l'avenir nous dira si notre relation évolue vers quelque chose de plus "mélangiste" ou si nous restons entre frustrés dont les névroses se complètent ...
Cordialement,
Smartbeat
C'est une question d epartage, de confiance et surtout d'amour entre nous.
Et notre couple va beaucoup mieux depuis que nous avons commencé nos petits jeux...
Il cependant vra qu'elle se lance dans des évolutions que je navais imaginées auparavant (ballbusting, marteau, birdlocked, poids etc...) et que laisser le contrôle est une expérience troublante à bien des égards.
Smartbeat