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Mercredi 25 février 3 25 /02 /Fév 08:06
Chers lecteurs,

Après une petite semaine de vacances, je reprends le récit de notre aventure conjugale un peu particulière.

Madame semble avoir désormais pris beaucoup d'assurance et apprécie vraiment de maîtriser les couilles de son homme.

Elle aime me défoncer les burnes, m'éclater les couilles, me malaxer le paquet et prend beaucoup de plaisir à me maintenir un "état de plateau" pour m'obliger à exploser devant elle.

C'est du reste tout ce à quoi j'ai droit depuis bien longtemps maintenant....

Et le pire est que j'attends ces moments avec beaucoup d'impatience, que je les reçois comme un honneur et fait de chacun d'eux une obligation de satisfaire les désirs de Madame.

Et ceux-ci commencent à être plus précis au travers de la ligne générale de prise de contrôle de ma sexualité.

Une première source de plaisir consiste  pour elle à me frustrer à mort. Elle y parvient fort bien et a parfaitement intégré la façon de profiter de ma libido galopante en en prenant le contre-pied : utilisation des cages de chasteté, des sangles placées à la base de ma bite et/ou de mes couilles, orgasmes déniés après toutes sortes d'excitation.

Une seconde source de plaisir consiste pour elle à m'obliger à jouir ; le plus vite possible. Et avec le minimum de satisfaction. De ce paradoxe naît de nouveau la frustration. Et elle aime me frustrer, je l'ai déjà dit, car elle m'a alors "à sa main", empli de désir et attentif à ses moindres envies, que je devance du mieux de mes moyens dans l'espoir d'accéder à une faveur de Madame.

Il résulte de ce second point qu'après la phase de frustration intensive de ces derniers mois, elle prépare la prochaine étape d'abstinence de manière très intense...

Ma femme contrôle ma sexualité et je suis devenu son homme objet.

Elle m'éclate les couilles à sa guise et sais désormais comment me faire péter la queue sur commande, en me claquant les boules et en distillant le rythme et l'intensité de ses coups avec une grande maitrise.

Elle décide désormais des période d'abstinence intégrale (souvent un mois, en fait) et m'impose la cage de chasteté de manière régulière.

Cet objet l'a d'abord répugnée. Puis elle a accepté que je l'utilise, sans vraiment comprendre, je crois. Elle s'est ensuite enhardie non sans s'en être amusée d'abord ("tu es ridicule, mon chéri" lorsque je lui présentais l'objet ou lui en parlais). Enfin, elle est entrée dans le jeu, d'abord pour me faire plaisir, en me maintenant sous clef lorsque je lui demandait l'autorisation de sortir. Puis elle a a fini par comprendre en les constatant tous les bienfaits de cet objet et en tire aujourd'hui avantage à sa guise.

Ce qui lui plait, c'est de maîtriser mes érections et mes envies. De ne plus en être tributaire.
Les premiers jours en cage sont toujours les plus durs physiquement, surtout la nuit.
Ce sont ceux qu'elle préfère. Elle aime que la douleur de mes érections nocturnes me réveillent et m'obligent à me relever plusieurs fois par nuit.

"J'aime les cernes sous tes yeux mon chéri. Ils montrent bien combien cette cage est nécessaire mon chéri. Il faut que tu apprennes à obéir à mes envies, non  à tes pulsions. Tu bandes quand je le veux et seulement quand je le veux. Et quand je vois tes cernes disparaître au fil des jours, je peux constater que tu deviens plus sage grâce à la cage. Il faut que tu parviennes à stabiliser ces pulsions dès les premiers jours, mon chéri. C'est moi qui commande et moi qui décide".

Elle prend son pied à maîtriser l'organe qui la labourait régulièrement il y a peu. Avec succès pourtant.

Mais ce qu'elle aime, c'est en fait contrôler les éjaculations de cette lance dont l'endurance particulière la plaçait régulièrement en situation de devoir accepter de longues séances de coït, alors que de son côté, elle est en mesure de prendre son pied en quelques minutes.

De mon côté, il est vrai que je fais (faisais ???) partie de ces hommes qui peuvent limer pendant très longtemps avant d'exploser. Même branlé très fort, il n'était pas rare qu'il faille attendre plus d'une demi-heure avant de me faire éjaculer.

Et je conçois que cela ait pu représenter une charge pour elle dans notre sexualité.

Et je comprends qu'elle cherche aujourd'hui à me dresser à jouir sur commande.

Esprit de contradiction féminin sans doute...

Et depuis qu'elle maîtrise la destruction de mes testicules comme une pompe à sperme auxiliaire, elle ne se prive plus d'utiliser cette technique pour assurer à la fois la frustration "c'est tout pour aujourd'hui", et l'éjaculation forcée, souvent sans réel plaisir. C'est aussitôt après, lorsqu'à peine trait, et que le calme revient que la frustration est la plus grande ; et c'est là qu'elle prend son pied. Et moi aussi. Car c'est un geste d'amour que nous partageons, les yeux dans les yeux.

C'est généralement le moment qu'elle choisit pour me donner la suite du programme : "cage en cuir", "tu mettras la CB2000, il faut que tu sois bien comprimé mon chaton", "il va falloir que tu sois bien sage". Ou encore : "Tu remettras la CB6000 pour quelques temps, n'est-ce pas ?" etc...

Mais je diverge. Revenons-en aux dernoers faits. Après la défonce de couilles de la semaine dernière, je n'ai donc eu droit à rien de rien de rien, nada, de toute la semaine.

Ce n'est que samedi soir, juste avant que nous ne sortions pour rejoindre des amis à son club d'équitation, après que je me sois montré pressant pour qu'elle finisse de se préparer afin que nous soyons à l'heure :

"Oh, oh, oh !!! Toi, tu veux que je te tape !?!  Pour que tu me parles ainsi, tu dois avoir les couilles qui débordent. Voilà le résultat quand elle grossissent trop libres. Tu veux que je te tape, n'est-ce pas ? Allez, dis le, je le vois dans tes yeux. Dis-le, allez !!!"

Cette attaque directe, crue et sans signe avant-coureur m'a saisi. Je suis resté bête, mais elle m'a attiré devant le lavabo et a défait ma ceinture, tout en me parlant de bonnes claques dans les couilles pour me soigner de cette impertinence : "baisse ton pantalon et ton slip. C'est moi qui décide où et quand. Combien et comment."

Elle m'a saisi les couilles par derrière, par dessous les fesses, en se plaçant derrière moi, m'appuyant contre le lavabo.

Elle les a tirées en arrière. Les a malaxées. Tapotées de ses doigts. Puis tiré de plus en plus sec et fort. En rythme. Comme quand elle cogne ; sauf que là, elle tirait, sans ménagement.

"Tu vois l'heure ? A 15, tu auras une minute pour exploser. Pas davantage. Sinon nous serons en retard mon chéri..." Me sussura-t-elle à l'oreille en désignant l'horloge numérique de la radio posée sur le meuble de salle de bain.

Elle m'a tiré sur les couilles en cadence et, à quinze, je me suis astiqué le manche comme un dingue ; elle m'a parlé cruement tout le temps, dit qu'elle aimait m'éclater les couilles, que tout était tendu à mort, que c'est tout ce à quoi j'avais droit et que je devais bien en profiter parce que la nouvelle cage n'allait pas tarder à arriver et qu'après, j'allais devoir m'habituer à l'idée de ne peut-être plus jouir que de manière très espacée. "Une cage en silicone, quel bonheur, je vais m'en donner à coeur joie ... et toi tu vas être bien dressé mon Minou".

Et tandis qu'elle me tirait les couilles par derrière, elle appuyait de sa main libre à la racine de ma queue, exerçant une pression en rythme. Une vraie torture. Un délice.

Mais, malheureusement (ou heureusement ?), je n'ai pas joui...

"Tant pis pour toi pour chéri. Tu mets ta  cage, la petite. 1 mn, ce n'est quand même pas le Pérou. On reprend le programme à zéro dès maintenant !!!""

Je suis resté saisi et interloqué, car le lendemain matin, je devais la conduire à l'aéroport pour rejoindre les enfants. Et cela augurait d'un moment propice à un nouvel enfermement, par exemple... Et toujours aucune nouvelle de ma Cage Birdlocked

Mais je n'ai rien dit et me suis exécuté.

Elle a tâté mon entrejambe en me disant "et si Marie-Sophie me fait encore remarquer la bosse, là, tu crois que je lui dis que tu es enfermé ? Je suis sûre que ça lui donnerait plein d'idées..."

Je suis resté bête car je découvre que notre Amie pourrait soupçonner quelque chose. Et Madame sait très bien que Marie-Sophie m'excite avec sa collection de bottes d'équitation, ses jodhpurs ajustés, son éternelle cravache et son accent zozottant de blonde versaillaise de bonne famille.

Madame sait que je sais qu'elle vit en réalité séparée de son Mari Pierre-Guillaume parce que ce dernier est éjaculateur précoce. Qu'elle a un amant. Et que celui-ci est plutôt avantagé par la nature (c'est du moins ce qu'elle laisse comprendre de manière fort délicate, mais très très claire) et qu'elle aime le voir à l'oeuvre avec d'autres femmes avant de se faire mettre par son Amoureux en club libertin...

Pour la première fois, j'ai peur d'être en Cage et d'avoir vraiment perdu le contrôle.

Et j'ai bandé dans ma cage à en avoir mal à la bite entre les barreaux du fond...

Je regrettais déjà amèrement de n'avoir pas été capable de me vider en moins d'une minute.

J'ai demandé pardon. Et promis que j'allais bientôt jy arriver, exploser à la demande, tout en me mettant à genoux devant elle et en l'enserrant dans mes bras.

"Oui, mais tu manques d'entraînement". "Sois sâge ce soir et on verra ..." dit-elle en appuyant mon menton dans son entrejambe qu'elle me refuse depuis si longtemps maintenant...

La suite bientôt ...

Smartbeat











Par Smartbeat
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