Hello,
Quelques lignes de plus se sont écrites dans notre "relation".
Depuis que Madame a définitivement pris goût à la cage de chasteté, plusieurs modèles sont venus enrichir notre collection. Plus ou moins contraignants selon les humeurs de Madame...
Le port quotidien a désormais définitivement anihilé en moi toute volonté de "réclamer" quoi que ce soit.
De fait, il est désormais rare que je reste plus de quelques jours en liberté.
A tel point que je redoute aujourd'hui ces périodes sans contrainte ; je suis alors comme désorienté, perdu, redoutant qu'elle m'abandonne définitivement.
Tout se passe comme si le port de la cage était le témoin de l'attention qu'elle porte à notre intimité.
C'est un conditionnement logique si on se remémore le point de départ : un espacement tel de nos relations intimes que celles-ci avaient finies par ne plus guère exister que trop rarement,
Entre deux coïts, tout n'était que frustration et désespoirs.
La cage permet de combler ce manque car elle est lien entre nous ; voulu par Madame, elle s'occupe ainsi de moi en me maintenant en cage de chasteté, laquelle me rappelle ainsi à tout instant quelle est ma condition, entièrement la volonté de Madame.
Je vis ainsi frustré, certes, mais également maintenu en permanence sous pression puisque notre relation ne cesse jamais vraiment tant que je suis porteur de la contrainte.
C'est probablement ainsi que je suis désormais toujours physiquement prêt à éjaculer, m^me sans bander, même sans être stimulé ?
Il suffit que Madame l'ordonne. Me motive avec "une image mentale", qu'elle me parle de ma condition pour que je me vide, sur son ordre.
Le dérèglement est si total qu'il suffit même parfois de quelque chose d'anodin, même sans le moindre rapport avec la sexualité qu'aussitôt je bande ferme, sur simple ordre de Madame ; incompréhensible, mais irrépressible.
Frustré à mort sur des périodes assez longues, le ressort psychologique utilisé par Madame est simple : celui de l'espoir d'une "relation" ; laquelle n'a pas besoin d'être sexuelle pour être érotique.
Il suffit qu'elle ordonne et ma libido analyse cela comme une relation.
DIt plus simplement : je suis excité en permanence par tant de frustration accumulée et réprimée, au point de redouter les commandes de Madame.
De sorte que lorsqu'elles arrivent, l'excitation se libère... et moi avec.
Il y a bien sur des sujets qui agissent toujours sur moi comme un accélérateur : la seule évocation de l'autorisation de lui lécher les pied, les bottes, l'intimité sont la garantie d'un "auto-vidage" ausi rapide qu'inéluctable...
Madame prend toujours autant de plaisir à jouer avec mes couilles.
Assouvir toujours plus goulûment ses envies lors de séances de défonce recurrentes, à l'occasion desquelles elles varie les instruments est son vrai moment de détente : elle prend réellement son pied quand elle me défonce.
Mais depuis qu'elle est parvenue à me condiionner suffisamment pour me faire éjaculer sur commande, sans le moindre contact ni la moindre stimulation, une nouvelle étape s'est amorcée.
Auparavant, je devais exploser sous ses coups dans les couilles.
Mais c'est maintenant le contraire.
Madame apprécie particulièrement le cérémonial de préparation d'une séance de défonce.
Je dois ouvrir le coffre à jouets, me laisser attacher pour que mes burnes soient exposées sans défense pour qu'elle puisse à loisir les défoncer ; et si j'ai toujours interdiction de produire le moindre bruit sous la détermination de ses attaques, j'ai désormais aussi l'interdiction d'éjaculer.
Le plus curieux est qu'en dépit de ce traitement de choc, je bande à la seule évocation d'une de ces séances.
Et c'est pourquoi je dois depuis le début de l'hiver les subir sans retirer la cage...
De sorte que cela dure par séquences de 3 mois sans retirer la mini "Tour de Londre", commandée sur mesure à Aken.
Demande de ce matin : ce soir, pour la première fois, elle "nous" sort en boite BDSM.
Son objectif est de s'installer confortablement pour rencontrer des gens en sirotant un bon cocktail tandis que je resterait en laisse à ses pieds pour mieux lui lécher les pompes...
C'est ce qu'elle appelle un "Plan S".
"S" comme Sortie...
C'est la première fois.
Et je redoute carrément la suite, puisque j'ai ordre de ne PAS PRONONCER UN MOT jusqu'à demain.
Smartbeat
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