Bonjour à tous,
Après plusieurs jours d'absence (beaucoup de travail et de déplacements), j'ai donc conservé ma cage un peu plus de quinze jours.
C'est long, frustrant quoique tout autant excitant : ça vous pête la tête et voous rend dingue, sauf si vous trouvez le moyen d'intérioriser les sensations et la situation. Surtout que Madame y
prend maintenant goût et qu'elle s'amuse beaucoup de la situation (amis, famille, extérieur etc... sont autant d'occasion pour elle de me rappeler ma situation
Même effet que d'habitude : des sensations bizarres et l'impression d''avoir une queue folle qui dégonfle et dégonfle sans raison ; et des érections insatisfaites qui se contentent finalement
d'habiter la cage sans s'étendre au delà de la place disponible, comme domestiquées, asservies.
La toilette se fait toujours selon le même rituel : je lui présente ma queue en cage et elle me la retire. Puis elle me tate les couilles, les malaxe en me souriant d'un air satisfait et m'envoie
faire ma toilette.
Je ne me touche pas, naturellement, au sens je fais tout pour ne pas m'exciter.
D'ailleurs, le matin, c'est plutôt la course pour que tout le monde soit prêt, mais elle aime dominer ma queue tandis que mes couilles lui plaisent tout particulièrement quand elles deviennent
hypersensibles après plusieurs jours de frustration.
Que ce soit en cage ou non d'ailleurs. Elle les aime bien grosses et bien lourdes, ce que le traitement actuel contribue à favoriser. J'ai des couilles de toute beauté : lourdes, grosses, pleines
et maintenant capables d'encaisser des traitements que je n'aurais jamais imaginé.
Je lui ai dit que la dernière fois que je suis resté la bite enfermée en cage longtemps, j'avais rencontré des difficulltés à retrouver ma taille normale et peut-être vous rappelez-vous
qu'elle s'était alors empressée de me gonfler la verge à mort avec la pompe à bite.
Mais là, ce fût un nouveau scénario.
La frustration continue, mais sans cage...
Vendredi 30 au soir, nous sommes allés à un concert avec deux couples d'amis et de retour à la maison, elle m'a enfin décadenassé.
J'étais toout content ... et frustré en même temps.
Je sais généralement qu'elle me libère pour se servir de moi et je redoute de devoir repasser ensuite l'épreuve de l'abstinence et des premiers jours en cage, les plus douloureux et
difficiles à supporter. Ceux qu'elle préfère...
Mais là, surprise, elle m'a dit de ne pas me réjouir trop vite et demandé de sortir ma cage en cuir.
"Ne t'excite pas mon lapin, tu vas aller faire ta toilette et mettre ta cage en cuir. Je ne sais pas encore ce que je vais faire de toi et je suis fatiguée. Je veux te sentir bander dans ta boule
de cuir, ça me plait bien de te savoir sanglé et dans l'incapacité de bander en même temps".
Ses paroles ont eu l'effet d'un coup de fouet. Mais aucune bandaison, à sa grande satisfaction : "tu vois, tu commence enfin à ne plus bander à chaque sollicitation. On va faire de toi une bonne
petite lance sur commande, n'est-ce pas mon chéri ? Aller, à la toilette !"
Elle m'a donc détaché et, de retour de la salle d'eau, m'a dit juste avant que je me couche "demain si tu es bien sage, tu pourras peut-être me servir à quelque chose".
J'ai cette fois immédiatement eu une érection très très forte, douloureuse même tant ce fût violent.
Elle l'a vu et m'a dit : "oh, oh, oh, mais on aurait la trique sans mon autorisatisation ? C'est très mal, tu es un vilain petit garçon".
Elle m'a attrapé les couilles, les a réunies entre ses doigts et dans sa main et les a tirées vers le sol à coups lourds, puissants, déterminés et secs, comme si elle m'avait placé des poids aux
couilles.
J'ai cru que j'allais défaillir tant elle m'a surpris de ce geste. Rapide, précis, efficace : elle m'a collé plusieurs kilos dans les couilles ce qui a eu pour effet de me faire couiner en forme de
protestation et mettre à genoux.
Elle demandé en plantant ses yeux bleus dans les miens de me branler comme un porc devant elle et qu'elle comptait jusqu'à dix, tout en plaçant son pied sous mes burnes.
Si vous saviez ce que je me suis lâché ...
Je me suis tiré sur la bite comme un dingue. Mais bien qu'elle ait compté lentement, je ne suis pas parti.
En même temps qu'elle énonçait "Dix", elle m'a envoyé un coup de latte dans les couilles qui m'a fait vaciller par terre ... et débander aussi sec !!!
"Tu n'as pas craché mon chéri ? Tant pis pour toi ... et tant mieux pour moi : je veux que tu sois mon bel outil, tout sur commande et c'est bien que tu aies tenu, puisque je ne t'ai pas demandé de
jouir. Aller, mets ton cuir bien serré et viens te mettre contre moi".
J'ai donc mis ma cage en cuir, serrée en position moyenne et suis venu me coller contre elle pour m'endormir aussitôt.
Le réveil fût chaud.
Et fera l'objet d'une nouvel article.
Merci de vos suggestions et messages de sympathie.
Cela fait chaud au coeur et je sais que ça encourage Madame, elle me l'a dit.
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