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Le samedi commence bien : Madame est réveillée et m’accueille tout sourire alors que je lui apporte son petit déjeuner.
« Bonjour mon chéri. Voilà un gentil petit mari. » Et aussitôt que je me suis glissé à ses côtés : « tu sais ce qui me ferait plaisir ? Que tu me masses les jambes et les pieds pour bien commencer la journée ».
Je me suis exécuté de bonne grâce, persuadé que je saurais conserver la tête froide et éviter une nouvelle érection impromptue.
Mais elle a placé son pied sous mes couilles et a commencé à les titiller, les presser et bien sûr les shooter.
Doucement d’abord.
Puis ajustant sa position, son coup de pied m’a bientôt fait la démonstration de ce qu’elle ajustait décidément de mieux en mieux. J’ai redouté l’explosion de couilles avec la cage à bite si serrée.
Mais c’est resté doux par rapport à d’habitude et je n’ai pas vraiment bandé dur.
Elle m’a laissé la masser longuement avant de céder à mes suppliques : c’est vraiment trop serré et ça me fait mal sous les testicules.
« Tu vois, si tu ne cherchais pas à tricher, je ne serais pas contrainte de choisir à ta place les moyens de contrôler ta bite de façon si drastique ».
« Mais c’est très bien. Tu n’as rien demandé jusqu’à ce matin et je suis fière de toi. »
Elle a saisi les clefs dans sa table de nuit et m’a autorisé à retirer la cage, pour aussitôt me masser les couilles, tirer dessus et les malaxer.
Elle voit bien que je ne bande plus comme avant au réveil et m’a fait part de sa satisfaction en me disant que le dressage commençait visiblement à faire son effet.
Mais elle aime bien me voir bander quand elle l’exige : « va chercher la pompe mon chéri, je sens que tu as besoin de tendre ton kiki ».
J’étais soufflé : elle me demandait ça avec une telle décontraction, alors que d’habitude elle est plutôt pudique voir, parcimonieuse dans l’expression de ses désirs.
Je me suis saisi de la pompe à vide qu’elle a aussitôt appliquée sur mon sexe et elle a commencé à pomper doucement, relâchant la pression pour mieux appliquer le tube.
Puis elle m’a dit qu’elle allait me coller 300g « pour te chauffer, ça m’excite de te voir pompé à vide ».
En fait, par pas de 100g, puis redescente de 50 g elle est montée jusqu’à 250g, laissant un espace d’une bonne minute entre chaque montée et descente de pression.
A 250g, elle m’a dit qu’elle voulait que je la fasse « venir » avec ma langue.
Elle m’a collé la tête sur sa chatte et je me suis appliqué comme un fou, la bite sous pression.
Au moment de jouir elle a recommencé à pommmmmmppppper et m’a collé 500g par petites touches rapides avant d’exploser dans un râle satisfaisant mon égo mais pas ma libido : plus de quinze jours sans jouir c’est dur quant on se fait exploser la bite dans le vide.
Je suis donc resté comme un imbécile avec la bite à la main.
Nous sommes restés l’un contre l’autre jusqu’à son réveil.
« C’était très bon mon chéri. Il va falloir te remettre en cage pour ce week-end parce que tu n’es qu’un gros vicieux, hein mon chaton » me dit-elle en se collant à moi et plaçant son genou sous mes couilles.
Quelques coups bien appliqués lui ont semble-t-il donné envie de se lever.
Et j’ai passé le samedi en cage.
Mais la CB6000 cette fois-ci : confortable et facile à orienter en cas de petite gène.
Nous avons fait du shopping et sommes allés au cinéma.
Régulièrement elle tâte ma cage en me disant « c’est bien mon chéri. Un bon petit mari avec un joli petit cadenas, j’aime ça ».
Le soir, dîner chez mes parents à la campagne.
La CB6000 étant montée très large, je ne me suis réveillé qu’une seule fois pour aller faire un tour vers 3h00 du matin.
Je suis même allé courir avec les enfants, pour ne pas perdre de temps au réveil, le dimanche matin.
Et j’ai attaqué la deuxième journée du week-end en cage…
Comme si de rien était. Sauf au sortir de la douche après le sport : elle m’a tâté le paquet et m’a demandé d’écarter les jambes : « j’ai envie de te shooter avec la cage, c’est pas facile mais j’ai une idée » elle s’est accroupie et m’a saisi le paquet qu’elle a claqué de dix aller-retour mémorables. Sitôt fini, ma bite s’est mise à grossir et ça résonnait de partout.
La journée s’est ensuite écoulée normalement, à part quelques allusions sur les cages, le contrôle etc…
Ce sera mon prochain message…
Smartbeat