Smartbeat, Homme Objet & Ballbusting
Je deviens précoce.
C’est assez étonnant, mais moi qui n’étais pas capable de jouir rapidement, je deviens peu à peu éjaculateur rapide. Nuance. Mais pour combien de temps encore parviendrai-je à conserver cette notion et le contrôle de l'éjaculation finale ?
Madame dit depuis le début qu’elle veut que je devienne précoce, et je pensais de mon côté que je n’y arriverais jamais.
Pour le moment, c’est encore moi qui décide in fine de jouir ou pas, quel que soit le degré de sollicitation de Madame.
Sauf que désormais, si elle me le demande, je ne parviens plus à résister et à ne pas me libérer sur commande. Le fameux cap du "en moins de trente secondes from scratch"est largement dépassé.
Il faut dire qu’au plan psychologique, je n’ai plus que cette solution pour éjaculer : cela fait trois mois et une semaine que
nous n’avons eu aucune relation sexuelle et il est clair que la prochaine fois, je ne pourrais sans doute pas résister.
Je le sens ; je le sais.
Elle apprécie toujours autant de claquer mes couilles.
Son regard s’allume, de ce même regard qu'ont les femmes quand elles vous disent "vas-y, prends-moi".
Sauf que chez elle, cela signifie qu'elle va passer en mode « j'ai envie de e défoncer les couilles » et qu'elle se lâche de plus en plus.
De mon côté, le temps où j'étais très douillet de ce côté est bel et bien révolu.
Est-ce parce que ce sont les seules sollicitations qui me sont autorisées, je ne saurais le dire, mais il est établi que je ne peux lui résiter lorsqu'elle a envie de m'éclater les
couilles, de prendre son pied en me shootant.
Je crois bien que le Ballbusting, que j'avais découvert par hasard au détour d'une vidéo gag envoyée par un ami, et que je trouvais complètement impossible et hallucinant sur le
moment, a eu chez elle un effet détonateur et a au contraire ouvert la voie à une sexualité alternative, désormais caractéristique de notre relation intime.
J'y ai pris goût et ai repoussé les limites du supportable ; l’effet de plateau est aujourd'hui assez rapide, dès les premiers coups.
Et je sens qu'il m’est désormais presque accessible de jouir par la seule sollicitation de mes burnes.
La limite n’est plus très éloignée :; le scintillement si particulier de son regard lorsque je lui dis est un vrai bonheur, et j'aimerai tant lui offrir de belles éjaculation par simple défonce des couilles.
Pour bien faire passer l’idée, je dirais qu'elle a alors le regard des femmes prêtes à la relation sexuelle, le regard qui dit « OK, on va faire des trucs et surtout, prebds-moi ».
Sauf que chez elle, ce regard dit, « je vais prendre mon pied en m'offrant un bon ballbusting, mon petit chéri. Ecarte tes jambes ».
La taille ressentie de mes testicules a également changé. Elles sont plus grosses, plus lourdes, plus pendantes. Plus présentes.
Ma femme contrôle ma sexualité, c’est désormais une vérité objective.
Car la pire épreuve que j’ai passée est encore de n’avoir RIEN fait ni RIEN eu ces deux dernières semaines.
Voilà la raison de mon silence de ces dernières semaines : « A présent, tu n’auras rien, et tu ne demanderas rien. Tu n’écriras rien et tu ne liras ou regarderas rien. Je te veux bien mûr pour le moment ou je déciderai de jouer avec ton petit matériel ».
En revanche, j’ai eu droit à quelques séance de ballbusting mémorables.
Je l'ai masseé tous les soirs. Et en retour, elle m'a régulièrement compressé les burnes sous son genou, sa main, sa jambe. Mis
en condition mais sans possibilité d'en jouir, juste sous l'effet de plateau.
C'est ultra fristrant et il ne reste que le ressenti de douleur, sauf qu'à chaque coup, on en veut plus et plus encore. Mes couilles
appellent désormais ses coups de boutoir.
Et dernièrement, croyez-moi, j’ai encaissé des claques dans les couilles vraiment immenses, alternées de vrais coups de genou dans les burnes à décrocher le bonnet du père
noël !!!
Elle se lache pour de vrai. Et je vois bien qu'elle prend vraiment son pied.
Son regard et son excitation sont vraiment très intenses dans ces moments là.
Et cependant, rien ne m’est plus doux que de partager ces perles d’intimité, instants magiques où elle prend vraiment son pied.
Certes de manière un peu spéciale, mais partagée.
Comme vous le constatez, j’ai hier été autorisé à reprendre la plume pour évacuer le stress qui embue ma tête après cette longue période d’abstinence.
La condition fût simple mais éloquente :
"J'ai envie de te sentir bien enfermé dans une jolie cage de chasteté".
Elle n'a choisi la Birdlock, qui est facile à vivre.
Non, il s'agit à priori d'une vraie perspective de travail et dépuisement des la queue, qui semble annoncer une période assez intense, puisque'elle m'a demandé de remettre la CB6000 et surtout de
la tenir bien informée des gênes que l'instrument occasionne. Elle m'a d'ailleurs descendu l'anneau pelvien d'une taille, pour être certaine que je sois bien comprimé.
Je dois écrire tous les jours, tant que je la porte.
Vous allez donc être alimentés mes Amis, même si je commence à défaillir à petit feu lorsque je dois écrire csur ces sujets, car l’excitation me gagne et cela devient vite insupportable.
Le plus étonnant reste qu’il y a peu, j’aurai aimé me soulager sexuellement ce trop plein d'excitation.
Maintenant, ce qui me manque, c’est de me faire éclater les couilles…
De lui lécher le minou.
De jouir le vite possible, comme quand elle me dit, sans crier gare : « Je compte jusqu’à 20 ».
Il faut être très très concentré pour arriver à éclater en si peu de temps depuis une position de repos total, croyez-moi.
Faites l’expérience et vous verrez qu’aussitôt votre gourme crachée, votre sexe regonflera, comme si rien ne s’était passé : c’est le moment de frustration le plus intense, car il remonte encore d’un cran l’appétence et le désir d’une relation.
De celles que je sais désormais interdites pour de longues semaines encore.
C’est sans doute là le ressort qui, par effet de transfert, me conduit à apprécier les coups qu’elle offre à mes burnes en d'appréciable séances de Ballbusting dont elle détient le secret.
L’alternance cage de chasteté, tant morale que physique selon ses désirs, brèves et violentes sollicitations et séances de ballbusting intenses et régulières est donc parvenue à me conditionner peu à peu.
Je constate qu’elle a pris le contrôle de ma bite pour de vrai, car je ne demande plus rien.
Je ne suis plus rien.
Un phallus turgescent en forme de hochet cramoisi à la demande, tout au plus.
Mais surtout une verge dont je crains de ne plus pouvoir orienter les humeurs, ce, de manière durable.
Je suis tout déréglé ; et elle aime m’utiliser ainsi, pétard incandescent offert à ses caprices de l’instant présent.
Le point de non-retour a été dépassé.
Elle m’a conditionné pour de bon.
D’autant plus fort qu’elle prend son pied de me maîtriser au plus intime de moi-même.
Je l’aime très fort, très brute, très vraie. Femelle dominant sonn époux par les couilles.
Smartbeat
Ce qu'elle veut vraiment, c'est me faire cracher sur commande, comme un interrupteur, sans discuter et quand ça lui chante.
Mais il est vrai qu'elle aime maintenant vraiment me défoncer les couilles.
Du reste, elle le fait de plus en plus souvent avec ses pieds ; ça ajoute de la distance à l'acte et renforce le côté aléatoire de la douleur éventuellement prodiguée tout en élargissant le spot concerné.
Le plus étrange, c'est que moi qui était vraiment sensible à cet endroit , j'encaisse maintenant des coups assez hallucinants.
J'espère pouvoir bientôt poster des vidéos, mais j'ai peu de temps pour me pencher sur le problème. Les articles que je tiens à jour pour Madame sont déjà très chronophages.
A bientôt.
Smartbeat
Tendres kissouilles.
Certes original, mais quand on a la chance de partager, c'est tellement bon...
Amitiés,
Smartbeat
L'exhaltation d'attendre le go qui ne vient pas est à mon sens un plaisir bien supérieur dans la durée et l'intensité que celui fugace de la ridicule expulsion de matière visqueuse qui caractérise "l'orgasme masculin". Bien peu de chose en réalité.
Ma Dame estime même que c'est parceque la qualité de nos plaisirs est minable que beaucooup d'hommes mal dégrossis recherchent la quantité.
Bien éduqué par ma Maîtresse, j'ai découvert le délicieux effet de plateau procuré par un traitement adapté du service trois pièces, pour le seul plaisir de Madame, et maintenant du notre.
Je ne sais si la frustration, l'abstinennce et le travail des couilles ont un effet physique réel, mais dans la tête, je ne suis qu'une bite au servicce de ma Femme, son Homme Objet et j'y trouve un plaisir infini, à l'unisson de son regard lorsqu'elle m'éclate les couilles ou m'oblige à cracher en un temps désormais record.
Je crois que tout ceci, pour ce qui nous concerne en tous cas, n'est pas de la perversion, bien bien plutôt le paroxisme de l'amour et du don de soi à l'être cher.
De retour en cage depuis Deux jours, je parviens à ne plus bander dès la première nuit, à l'occasion de laquelle je ne me réveille plus qu'une fois.
Signe évident que son mâle commence à être bien éduqué après environ 10 mois de traitement.
Je sais que Madame a parcouru votre blog dernièrement et sans doute apprécierait-elle que vous la ciitez au tableau d'honneur des Maîtresses débutantes mais fermes dans leur approche du démontage de couilles en lui soufflant deux ou trois conseils.
Le ballbusting en règle et l'éjaculation précoce sont du reste les seules choses auxquelles j'ai vraiment droit depuis de nombreux mois maintenant.
Respectueusement,
Smartbeat