Smartbeat, Homme Objet & Ballbusting
Hier soir, surprise : retrait de la Birdlocked… Espoirs ?
Je n’en ai plus ; je ne mérite d’ailleurs pas d’espérer, tout juste de me jouir des instants présents et suggérer de nouvelles aventures.
« J’aimerais bien que tu me masses le dos, les bras tout ça, je me sens fatiguée. Mais j’ai aussi envie de sentir ton niveau t’excitation contre moi. Je te veux coulant, humide, chaud et dur. Ca fait longtemps que je ne t’ai pas vu sanglé bien étroit. Fais-toi plaisir : serres-moi tout ça à mort et viens me caresser le dos ».
Je ne me suis pas fait prier et j’ai immédiatement accepté les clefs qu’elle me tendait pour me réfugier à la salle de bain : un bon nettoyage, on sangle à l’avant dernier cran et hop, contre ma belle.
Comme toujours après quelques temps en cage, la queue rencontre des difficultés pour s’étendre de toute sa taille.
Mais elle est rouge écarlate, tuméfiée, comme si elle était à fond, le méat écarté de l'intérieur par la pression.
C’est un phénomène par lequel on sent que la taille de l’enveloppe est inférieure à la capacité de la pompe qui envoie une quantité de sang supérieure à ce que la verge peut supporter : cela donne une bite de taille inférieure à celle qu’elle devrait avoir, mais dont la surface est parcourue de veines grossies et bien apparentes.
Madame aime d’ailleurs beaucoup cette situation et la dernière fois, elle en a profité pour m’aspirer la verge sans pitié avec la pompe à vide du bon Docteur Kaplan : en en rien de temps, elle m’avait mis 500 g de dépression : plus je reculais pour éviter la pompe plus elle tirait sur la gâchette…
Là, enjouée et le sourire en coin, elle a examiné ma bite gonflée par la sangle en cuir, tiré sur mes testicules pour les redescendre et m’a attiré contre elle, aussitôt sur le côté :
« Masses. Masses Bien. Restes collé. Je veux te sentir couler contre mes fesses et on verra si tu es un bon petit Mari. »
Je crois que l’ai massée de 10h30 à 1h00 du matin, partout dans toutes les positions.
Elle m’a autorisé à lui lécher les pieds aussi.
Ca m’a remis un énorme coup de pression dans la verge.
Je n’ai quasiment pas fermé l’œil de la nuit.
Très, très dur, au propre autant qu'au figuré...
Et ce matin, je lui ai apporté son petit déjeuner tôt pour pouvoir emmener les enfants au sport. Et bien sur, nouveau réveil douceur par massage et toujours la queue à fleur de peau.
Elle m’a juste tapoté les couilles : « c’est dommage, tes couilles ont grossi et la sangle n’est plus assez large. Ce serait bien que tu trouves un cockring plus fort et surtout plus à même de te comprimer sur une zone plus étendue, voir sur toute la verge, mais laissant dépasser les petites sœurs (c’est ainsi qu’elle nomme parfois mes testicules) ».
Bref, je pars ce matin pour la journée avec la bite, mais surtout la tête complètement en feu : c’est bien pire que n’importe quelle cage, d’autant que je sais que j’aurai beaucoup de mal à encaisser la prochaine séance de ballbusting.
Je sens que quand nous allons rentrer, vers 15h30, ce sera son heure, celle où elle a le plus d'apétit, et qu’elle sera d’une humeur joueuse qui n’augure rien de très amical pour mes couilles…
Mais cette semaine, je vais lui suggérer l’achat d’un Teardrop : il s’agit d’un cockring en métal lourd qui est allongé en forme de goutte sous les couilles, ce qui comprime le périnée et donc, la prostate.
J’ai parfaitement compris qu’elle aimerait me faire bander non stop toute la semaine et elle m'a déjà avoué que la vision de ma queue comprimée en quasi permanence était sa joie de vivre, que ça la mettait en transe.
En me demandant un cockring plus puissant et plus contraignant, elle vise ce résultat et je sais qu’il y a quelques mois, elle avait trouvé très joli ce type de matériel métallique, bien lourd et humiliant.
Je vais donc le lui offrir, même si j’imagine que le porter au quotidien doit être ultra contraignant.
Nous verrons bien.
Si ça lui plait, j’aurai probablement bien mérité son Amour et quelques temps d’abstinence totale supplémentaire…
Sinon ? Tant pis, je m’excuserai en la massant de plus fort dans le nouveau cockring qu’il faudra bien trouver aussi.
Avez-vous des idées de boutiques ou d’adresses ?
Je sens qu’il faut que je sois à la hauteur de ses attentes et qu’elle me veut vraiment disponible « à point » à la moindre requête.
Comment feriez-vous, sans outrepasser l’esprit de supériorité que je me dois de lui conserver ?
Merci de vos encouragements et de vos suggestions.
Smartbeat
Je n’en ai plus ; je ne mérite d’ailleurs pas d’espérer, tout juste de me jouir des instants présents et suggérer de nouvelles aventures.
« J’aimerais bien que tu me masses le dos, les bras tout ça, je me sens fatiguée. Mais j’ai aussi envie de sentir ton niveau t’excitation contre moi. Je te veux coulant, humide, chaud et dur. Ca fait longtemps que je ne t’ai pas vu sanglé bien étroit. Fais-toi plaisir : serres-moi tout ça à mort et viens me caresser le dos ».
Je ne me suis pas fait prier et j’ai immédiatement accepté les clefs qu’elle me tendait pour me réfugier à la salle de bain : un bon nettoyage, on sangle à l’avant dernier cran et hop, contre ma belle.
Comme toujours après quelques temps en cage, la queue rencontre des difficultés pour s’étendre de toute sa taille.
Mais elle est rouge écarlate, tuméfiée, comme si elle était à fond, le méat écarté de l'intérieur par la pression.
C’est un phénomène par lequel on sent que la taille de l’enveloppe est inférieure à la capacité de la pompe qui envoie une quantité de sang supérieure à ce que la verge peut supporter : cela donne une bite de taille inférieure à celle qu’elle devrait avoir, mais dont la surface est parcourue de veines grossies et bien apparentes.
Madame aime d’ailleurs beaucoup cette situation et la dernière fois, elle en a profité pour m’aspirer la verge sans pitié avec la pompe à vide du bon Docteur Kaplan : en en rien de temps, elle m’avait mis 500 g de dépression : plus je reculais pour éviter la pompe plus elle tirait sur la gâchette…
Là, enjouée et le sourire en coin, elle a examiné ma bite gonflée par la sangle en cuir, tiré sur mes testicules pour les redescendre et m’a attiré contre elle, aussitôt sur le côté :
« Masses. Masses Bien. Restes collé. Je veux te sentir couler contre mes fesses et on verra si tu es un bon petit Mari. »
Je crois que l’ai massée de 10h30 à 1h00 du matin, partout dans toutes les positions.
Elle m’a autorisé à lui lécher les pieds aussi.
Ca m’a remis un énorme coup de pression dans la verge.
Je n’ai quasiment pas fermé l’œil de la nuit.
Très, très dur, au propre autant qu'au figuré...
Et ce matin, je lui ai apporté son petit déjeuner tôt pour pouvoir emmener les enfants au sport. Et bien sur, nouveau réveil douceur par massage et toujours la queue à fleur de peau.
Elle m’a juste tapoté les couilles : « c’est dommage, tes couilles ont grossi et la sangle n’est plus assez large. Ce serait bien que tu trouves un cockring plus fort et surtout plus à même de te comprimer sur une zone plus étendue, voir sur toute la verge, mais laissant dépasser les petites sœurs (c’est ainsi qu’elle nomme parfois mes testicules) ».
Bref, je pars ce matin pour la journée avec la bite, mais surtout la tête complètement en feu : c’est bien pire que n’importe quelle cage, d’autant que je sais que j’aurai beaucoup de mal à encaisser la prochaine séance de ballbusting.
Je sens que quand nous allons rentrer, vers 15h30, ce sera son heure, celle où elle a le plus d'apétit, et qu’elle sera d’une humeur joueuse qui n’augure rien de très amical pour mes couilles…
Mais cette semaine, je vais lui suggérer l’achat d’un Teardrop : il s’agit d’un cockring en métal lourd qui est allongé en forme de goutte sous les couilles, ce qui comprime le périnée et donc, la prostate.
J’ai parfaitement compris qu’elle aimerait me faire bander non stop toute la semaine et elle m'a déjà avoué que la vision de ma queue comprimée en quasi permanence était sa joie de vivre, que ça la mettait en transe.
En me demandant un cockring plus puissant et plus contraignant, elle vise ce résultat et je sais qu’il y a quelques mois, elle avait trouvé très joli ce type de matériel métallique, bien lourd et humiliant.
Je vais donc le lui offrir, même si j’imagine que le porter au quotidien doit être ultra contraignant.
Nous verrons bien.
Si ça lui plait, j’aurai probablement bien mérité son Amour et quelques temps d’abstinence totale supplémentaire…
Sinon ? Tant pis, je m’excuserai en la massant de plus fort dans le nouveau cockring qu’il faudra bien trouver aussi.
Avez-vous des idées de boutiques ou d’adresses ?
Je sens qu’il faut que je sois à la hauteur de ses attentes et qu’elle me veut vraiment disponible « à point » à la moindre requête.
Comment feriez-vous, sans outrepasser l’esprit de supériorité que je me dois de lui conserver ?
Merci de vos encouragements et de vos suggestions.
Smartbeat
Dim 5 avr 2009
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