Smartbeat, Homme Objet & Ballbusting
Mon cher Amour,
J'ai maintenant les couilles bien pleines de trop plein de contradictions pour espérer une quelconque relation "normale" ; tout au contraire, je le redoute.
Je ne suis même plus capable d'envisager de vous "prendre" (Insulte inexcusable : je vous donne, je ne prends rien, jamais) sans être saisi d'une terrible appréhension.
Je sais bien ne toujours pas être à la hauteur des soins et caresses que vous mériteriez., en dépit de tous mes efforts...
Le dernier "rapport" que vous m'avez autorisé (j'ai dû vous bourrer à fond pendant une bonne demi-heure sans faiblir) ne m'a pas permis de venir ; c'est normal, votre plaisir prime de très loin mes minables éructions.
Nous étions le 23 décembre 2008 et ma bite en feu a tenu bon de peur de ne pas vous satisfaire, comme il se doit. Un mois auparavant, jour pour jour, le scénario catastrophe n'avait pas pu être évité et j'avais connu la honte de mourir sous les contraction de votre doux conduit.
Je suis désormais clairement prisonnier de vos joies : vous contrôlez et décidez en tout du sort de ma pauvre queue, et plus encore de mes couilles qui vous servent d'exutoire et de trophée quand et comme bon vous semble.
Sous la force et la fréquence de vos coups dans les burnes, moi qui était auparavant si sensible, je monte maintenant vraiment très vite à puissance maximale de contraction et je jouis ensuite longuement de vos coups, comme par effet de plateau, de l'insoutenable constriction de tout mes organes, bien plus longtemps que n'importe quel orgasme masculin ne pourrait l'offrir.
Vous m'avez conditionné à ne plus éclater en jets inutiles sauf sous votre dictée et selon votre bon plaisir.
Les forces se sont inversées : ce n'est plus le mâle qui prend et se satisfait de la vaine idée qu'il donne du plaisir en bouchant les orifices de sa femelle, M
ais plutôt la Madame qui jouit de la maîtrise qu'elle impose à la queue servile de l'homme qui, le cas échéant, la contente.
Rien ne vaut ma langue en cette matière, spécialement quand ma queue et mes couilles sont bien enfermées dans leurs cages, ou bien contraintes sous leurs sangles.
Je vous l'accorde désormais sans plus faire de difficculté : ma queue est inutile, seukle compte la taille de mes boules endolories, ultra sensibilisées.
Rien ne me satisfait désormais plus que les challenges répétitifs que vous m'imposez pour satisfaire votre soif de contrôle total sur l'inutile verge qui m'a été allouée par la nature.
Sa taille même est une insulte à votre supériorité.
Il est vrai qu'en la matière, je ne demande quasi plus rien tant la punition peut-être immédiate. Je reste bien sage et me contente de vous caresser à l'envie, sans plus aucune considération pour me verge.
Mais voyez donc le chemin accompli dans la maîtrise de l'engin : il est désormais capable, sur simple ordre de votre part, de jouir en moins de 30 secondes autant que d'être endurant et "faire un coude" sur votre zone sensible, et regardez comme il est capable d'encaisser vos délicicieux coups dans les burnes.
Je dois même dire que leur vitesse et leur force sont désormais aussi frustrants qu'il me laissent vidé.
Un vide qui appelle un traitement sans concession entre deux séances.
Nous ne baisons plus.
Et ne baiserons presque plus.
C'est un fait.
Et c'est normal si tel est votre bon plaisir.
Vous méritez d'ailleurs maintenant une vraie queue, pas une pompe à sperme telle celle que vous vous façonnez chaque semaine davantage.
Pensez à bien la contraindre.
A la sangler sauvagement. A lui offrir des poids de plus en plus lourds, qui fatiguerons bien vite son endurance déjà amoindrie.
A l'enfermer régulièrement aussi.
Il ne s'agit plus de satisfaire le fantasme de votre mâle, mais tout au contraire de le prendre à son propre piège, pour pousser un peu plus loin le contrôle.
Songez au délice de l'entendre geindre pour se libérer et de lui demander au contraire de vous satisfaire pour votre seul plaisir ; ou encore meilleur : de ne le libérer que pour un crachat de quelques secondes à peine.
Songez au bénéfice d'une queue sanglée pendant de longues journées.
Pourra-t-elle résister longtemps à vos coups de spatule ? De plat de brosse à cheveux ? de Cravache ? De paddle ?
Arriverez-vous à la contrôler par la seule présence d'artifices fétichistes tant désirés et si honteux désormais ?
Il voulait du cuir ? Très bien ; c'est tout ce qu'il aura ! Et lèches bien petit chien ; tu es ridicule ! Et la pression montera encore d'un cran.
Vous possédez ainsi non seulement sa bite, instrument de torture torturé, mais aussi et surtout son esprit.
Et n'oubliez pas que ce tordu peut encore aller très loin dans la satisfaction de sa Dâme par frustration : sans fatigue, de bones impulsions électriques savament dosées peuvent constituer une douce torture, comme un ragoût qu'on laisse caraméliser à petit feu jusqu'à ce qu'il soit mur.
On peut ensuite à loisir le laisser refroidir en cage ou sous les glaçons, ou bien le consommer, avec ou sans délectation.
Je vous aime.
J'aimerai tant pouvoir partager tout encore et plus aussi avec vous.
M'autoriserez-vous à vous suggérer encore les rêves délirants dans lesquelles me conduisent les frustrations que vous m'infligez depuis plus de six mois maintenant ?
Suis-je autorisé à fournir le matériel psychologique qui vous permettrait de me prendre le cerveau encore plus fort que l'imaginaire ?
Dites-le moi, je meure d'envie d'être votre chose.
Smartbeat
J'ai maintenant les couilles bien pleines de trop plein de contradictions pour espérer une quelconque relation "normale" ; tout au contraire, je le redoute.
Je ne suis même plus capable d'envisager de vous "prendre" (Insulte inexcusable : je vous donne, je ne prends rien, jamais) sans être saisi d'une terrible appréhension.
Je sais bien ne toujours pas être à la hauteur des soins et caresses que vous mériteriez., en dépit de tous mes efforts...
Le dernier "rapport" que vous m'avez autorisé (j'ai dû vous bourrer à fond pendant une bonne demi-heure sans faiblir) ne m'a pas permis de venir ; c'est normal, votre plaisir prime de très loin mes minables éructions.
Nous étions le 23 décembre 2008 et ma bite en feu a tenu bon de peur de ne pas vous satisfaire, comme il se doit. Un mois auparavant, jour pour jour, le scénario catastrophe n'avait pas pu être évité et j'avais connu la honte de mourir sous les contraction de votre doux conduit.
Je suis désormais clairement prisonnier de vos joies : vous contrôlez et décidez en tout du sort de ma pauvre queue, et plus encore de mes couilles qui vous servent d'exutoire et de trophée quand et comme bon vous semble.
Sous la force et la fréquence de vos coups dans les burnes, moi qui était auparavant si sensible, je monte maintenant vraiment très vite à puissance maximale de contraction et je jouis ensuite longuement de vos coups, comme par effet de plateau, de l'insoutenable constriction de tout mes organes, bien plus longtemps que n'importe quel orgasme masculin ne pourrait l'offrir.
Vous m'avez conditionné à ne plus éclater en jets inutiles sauf sous votre dictée et selon votre bon plaisir.
Les forces se sont inversées : ce n'est plus le mâle qui prend et se satisfait de la vaine idée qu'il donne du plaisir en bouchant les orifices de sa femelle, M
ais plutôt la Madame qui jouit de la maîtrise qu'elle impose à la queue servile de l'homme qui, le cas échéant, la contente.
Rien ne vaut ma langue en cette matière, spécialement quand ma queue et mes couilles sont bien enfermées dans leurs cages, ou bien contraintes sous leurs sangles.
Je vous l'accorde désormais sans plus faire de difficculté : ma queue est inutile, seukle compte la taille de mes boules endolories, ultra sensibilisées.
Rien ne me satisfait désormais plus que les challenges répétitifs que vous m'imposez pour satisfaire votre soif de contrôle total sur l'inutile verge qui m'a été allouée par la nature.
Sa taille même est une insulte à votre supériorité.
Il est vrai qu'en la matière, je ne demande quasi plus rien tant la punition peut-être immédiate. Je reste bien sage et me contente de vous caresser à l'envie, sans plus aucune considération pour me verge.
Mais voyez donc le chemin accompli dans la maîtrise de l'engin : il est désormais capable, sur simple ordre de votre part, de jouir en moins de 30 secondes autant que d'être endurant et "faire un coude" sur votre zone sensible, et regardez comme il est capable d'encaisser vos délicicieux coups dans les burnes.
Je dois même dire que leur vitesse et leur force sont désormais aussi frustrants qu'il me laissent vidé.
Un vide qui appelle un traitement sans concession entre deux séances.
Nous ne baisons plus.
Et ne baiserons presque plus.
C'est un fait.
Et c'est normal si tel est votre bon plaisir.
Vous méritez d'ailleurs maintenant une vraie queue, pas une pompe à sperme telle celle que vous vous façonnez chaque semaine davantage.
Pensez à bien la contraindre.
A la sangler sauvagement. A lui offrir des poids de plus en plus lourds, qui fatiguerons bien vite son endurance déjà amoindrie.
A l'enfermer régulièrement aussi.
Il ne s'agit plus de satisfaire le fantasme de votre mâle, mais tout au contraire de le prendre à son propre piège, pour pousser un peu plus loin le contrôle.
Songez au délice de l'entendre geindre pour se libérer et de lui demander au contraire de vous satisfaire pour votre seul plaisir ; ou encore meilleur : de ne le libérer que pour un crachat de quelques secondes à peine.
Songez au bénéfice d'une queue sanglée pendant de longues journées.
Pourra-t-elle résister longtemps à vos coups de spatule ? De plat de brosse à cheveux ? de Cravache ? De paddle ?
Arriverez-vous à la contrôler par la seule présence d'artifices fétichistes tant désirés et si honteux désormais ?
Il voulait du cuir ? Très bien ; c'est tout ce qu'il aura ! Et lèches bien petit chien ; tu es ridicule ! Et la pression montera encore d'un cran.
Vous possédez ainsi non seulement sa bite, instrument de torture torturé, mais aussi et surtout son esprit.
Et n'oubliez pas que ce tordu peut encore aller très loin dans la satisfaction de sa Dâme par frustration : sans fatigue, de bones impulsions électriques savament dosées peuvent constituer une douce torture, comme un ragoût qu'on laisse caraméliser à petit feu jusqu'à ce qu'il soit mur.
On peut ensuite à loisir le laisser refroidir en cage ou sous les glaçons, ou bien le consommer, avec ou sans délectation.
Je vous aime.
J'aimerai tant pouvoir partager tout encore et plus aussi avec vous.
M'autoriserez-vous à vous suggérer encore les rêves délirants dans lesquelles me conduisent les frustrations que vous m'infligez depuis plus de six mois maintenant ?
Suis-je autorisé à fournir le matériel psychologique qui vous permettrait de me prendre le cerveau encore plus fort que l'imaginaire ?
Dites-le moi, je meure d'envie d'être votre chose.
Smartbeat
Dim 5 avr 2009
2 commentaires
Ai je bien lu Smartbeat ??? Tu appel de tes voeux à devenir cocu ?
Tit coquin novice - le 06/04/2009 à 10h54
Disosn qu'à force d'être frustré à mort, on ne sait plus très bien où on en est ...
Maintenant, dans les faits, je pense que Madame ne souhaite rien d'autre que notr ebonheur à tous les deux. On a pas 20 ans de relations et 13 ans de mariage par hasard...
Ce que je préfère, et de loin : tout simplement tout ce que Elle voudra !
Cordialement,
Smartbeat
Maintenant, dans les faits, je pense que Madame ne souhaite rien d'autre que notr ebonheur à tous les deux. On a pas 20 ans de relations et 13 ans de mariage par hasard...
Ce que je préfère, et de loin : tout simplement tout ce que Elle voudra !
Cordialement,
Smartbeat
Smartbeat
c'est délicieux de te voir perturbé à ce point.... elle doit se régaler !! ;-) vive l'amour !!!
Tit coquin novice - le 06/04/2009 à 12h02
Et vous n'avez pas tout vu ni lu.
Je suis actuellement sous un nouveau traitement que je croyais impossible il y a peu.
J'ai les couilles qui débordent en permanence et ça l'amusse beaucoup de me me les exploser ainsi.
Smartbeat
Je suis actuellement sous un nouveau traitement que je croyais impossible il y a peu.
J'ai les couilles qui débordent en permanence et ça l'amusse beaucoup de me me les exploser ainsi.
Smartbeat
Smartbeat