Smartbeat, Homme Objet & Ballbusting

Hello,

Si vous avez suivi, vous savez que je suis fraichement remis en cage.

Toujours la CB2000. Elle trouve et moi aussi qu'elle est moins facile à enlever une fois en place que la CB6000 (je ne lui ai pas encore parlé des interstices à ajouter à l'anneau car je pense que ça fait vraiment mal et que ce n'est donc pas sérieusement envisageable au quotidien) et surtout, plus facile à mettre et remettre après un "petit traitement".

J'ai décidé de rien lui demander, d'attendre qu'elle me donne des instructions.

Elle a dû le comprendre parce qu'hier elle m'a suggéré de lui masser les fesses et le bas du dos.

Ca me met dans un état d'excitation incroyable : ses globes fessiers sont fermes et élastiques à la fois, et quand on le masse, on tout l'anus et la vulve s'étirer en même temps : un délice.

Mais avec une cage de chasteté, c'est un supplice.

Sauf que, curieusement, hier j'ai pas bandé comme un taureau, mais juste "bandotté" et elle s'en est sans doute aperçu.

"Je vois que les longues séances de défonce avec un bon cockring commencent à faire leur effet. T' éclater les couilles te permet de contrôler tes érections mieux qu'avant. C’a me plait, mais là, j’avais envie d’une belle bite bien dure. Et ta cage te calme. C’est bête, hein ???"

En vérité, j'en peux plus de son traitement. J'ai envie de la bourrer et de prendre mon pied, comme avant.

Et en même temps, j'aime bien notre jeu actuel, car il me permet d'avoir ma dose de sexe quotidienne.

Je sens sa présence en permanence autour de ma bite et de mes glaouis.

Et c'est à ça que je sais qu'elle a pris le contrôle de ma sexualité de mâle.

 

Ca me plait grave, comme une défonce de cerveau permanente. La partie ou se trouve l’intellect de l’homme : la partie de la tête réservée au cul.

Je continuais de la masser en tentant de provoquer une excitation suffisante pour qu'elle libère mon sexe de la cage.

Je sais quand elle mouille : les fesses deviennent plus souples, se détendent davantage, deviennent chaude et malléables. Ca fait même "tchouic - Tchouic" à l’entrejambe quand elle est mûre.

C'est à cet instant là qu'elle m'a dit : "tu n'oublie pas que tu es mon petit gode vivant j'espère ? Que cherches-tu à faire ? Je t'ai demandé de masser, pas d'essayer de te procurer du plaisir en me tripotant". Tu vois, tu ne bandes déjà plus comme avant. Viens, on va régler ça dans la chambre avec un petit calin", finit-elle par dire d’un air entendu … et enfin plein de promesses…

J'ai compris ce que ça voulait dire : elle allait s'allonger contre moi, chevaucher ma jambe et me claquer les couilles de la paume de la main, jusqu'à ce que la cage soit tendue à mort et me épier mes réactions.

 

Ou me chevaucher comme une folle sans me laisser jouir. Au choix. Son choix.

 

Dans les deux cas la même question : allais-je tenir, être à la hauteur ?

Arrivés dan la chambre, surprise : elle m'a tendu la clef de la cage et demandé de la retirer.

 

J'allais poser une question (ne jamais poser de question, resté groupé et à l’écoute), qu'elle a aussitôt refreinée par un « « chhhuutttttttt !!! » » autoritaire et amusé.

"Couches-toi. Tu vois bien que tu es fatigué mon chéri. On va réparer tout ça. Il faut te reposer et reconstruire ce gentil Kiki. Hein, je ne voudrais pas perdre mon si gentil Gode Humain, n'est pas, c'est bien comme ça que tu voulais être, hein ???"

« Je vais finir ton entraînement et ton découpage en deux : d’un côté un homme, mon mari. De l’autre une bite assorti d’une paire de très grosses couilles : mon Gode Humain. »


J'ai pas discuté et me suis dit qu'il valait mieux dormir et profiter d'un répit sans la cage à bite.

 

Les premières nuits sont en effet toujours difficiles et sur le moment je voyais une seule chose : ainsi, j'étais libre. En la massant encore, je pourrais peut-être la prendre comme au bon vieux temps.

Sitôt couchés, elle s'est collée à moi. Elle m'a demandé de regarder sous l'oreiller : la pompe à vide (dite du Docteur Johnson, celle avec pompe en alu copiée sur le MityVac qui sert à changer le liquide de frein des voitures, avec jauge de pression) !!!

Avec un regard malicieux elle m'a dit qu'il fallait que je sois bien sage parcequ’elle qu'elle voulait me voir gonfler ma queue à mort.

"Vas-y, j'ai envie de te regarder faire. C'est moi qui te guiderai. Allez, hop, Pression Maestro !!!"

C'est un vrai plaisir que de partager ces moments avec celle que vous aimez ! Croyez-moi, après plusieurs années de mariage, on est heureux et fier de se plier à ce genre de jeu.

Je me suis exécuté. Je sais que ça fait du bien de sentir sa queue bien en pression. Elle est bien gonflée, bien grosse. Mais elle bande moins bien après et est très sensible.

J’ai commencé à pomper gentiment.


Et elle a donné ses instructions en se collant à moi, chevauchant ma jambe de côté en y frottant son pubis.


D’abord 200g de pression ; une minute. Puis ajouter 100g, et ensuite tout relâcher.

"Tu aimes quand j'appuie mon genoux dans tes couilles ? Et les béquilles, ça te plait ? Tu n'es qu'un porc. Et un porc obéissant n'est-ce pas ? Mais tu n'auras rien. Rien que de la pression.

Je veux un max de pression dans tes couilles. Et dans ta queue. Alors pompe moi ça mieux que ça. Allez, plus vite que ça Maestro, fais-moi voir de quoi ce Pipeau Magique est capable. »

J'ai donc remis le tube en place et ai recommencé à 200g. Mais elle a saisi la pompe à main, comme subitement énervée, et en même temps, elle a appuyé sur mes couilles avec son genou en commençant des va-et-vient qui m'ont mis la prostate à vide et la bite en feu.

Elle a pompé jusqu'à 300g. M’a souri. «

 

 Tu vois, c’est déjà mieux. Mais on va faire un voyage dans la seconde partie du cadran mon chéri, je sais que tu peux, je suis tombée par hasard sur des jolies photos de ta queue à 500 g dans l'ordinateur ce matin...

Donc je sais que tu peux mieux faire mon loup »

J’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit. J’étais soudain tout rouge, tout penaud.

J'étais pourtant persuadé d'avoir effacé ces photos prises un soir où j'étais seul et en manque de sexe, avant qu'elle ne participe à notre petit programme de traitement de la bite.


Elle m'a grillé et visiblement, la pompe à bite qu'elle avait toujours dédaignée jusqu'à présent lui donne des idées maintenant qu'elle a vu les photos.

 

En mloi-même, j'avais la honte qu’elle ait trouvé ces « self photos » de ma bite pompée à mort. Ca datait de l’époque où j’osais pas lui parler de mes envies et que je m’achetais du matériel d’onanisme pour me branler en cachette devant des films pornos (ce dont elle n’étais pas dupe, mais s’accommodait puisque je lui fichais alors la paix. Ca nous éloignait cependant peu à peu aussi, d’où le présent blog qui expose le remède que nous avons trouvé…)


Elle a relâché son genou et commencé à me mettre des béquilles assez précises, entre les couilles, plaquées au pubis par la pompe qui a aspiré une partie de la peau du scrotum.

Elle est montée à 400g et j'ai protesté car là, ça commence à faire lourd.

"tut, tut, tut !!! Je suis sûre que tu peux prendre plus et je veux te voir bandé quand je te le demande. Donc tu te tais et tu encaisses comme un bon garçon qui aime sa petite princesse d'amour",

"Regarde je vais t'aider à prendre plus de pression : Elle m'a collé la jauge de pression devant les yeux et a recommencé à pomper.

A 500g, presque à froid, c'est l'enfer dans le tube. Mais curieusement, c'est bon parce que ça vient d'elle. Parce que je l’aime comme un fou et qu’elle s’occupe de moi, donc de ma queue (ou vice versa ?)

Elle m'a laissé à 500g environ 30 secondes, puis est redescendue à 200. Est remontée à 400. Descendue à 300. Puis est remontée à 500 g : je ne disais plus rien et acceptait sans problème cette fois.

Elle s'en est aperçu et ma félicité en me murmurant à l'oreille que j'étais un bon petit gode humain, bien malléable mais pas assez explosif. Qu’elle allait s’en charger et le défoncer à mort.

Je dois être "endurant et explosif à la fois". C'est pour ça qu'elle allait prendre mon entrainement en main, avec "tous mes outils de gros porc". Comme cette pompe par exemple. Elle m’a dit qu’elle allait recycler tous mes jouets (dont elle n'a jamais voulu entendre parler jusqu'à présent) et les utiliser elle aussi, mais sur moi : ça m’a fait l’effet d’une bombe, une envie de la défoncer comme une bête.

 

Elle l’a senti et m'a recollé au lit. « Ne bouges pas, j’ai pas fini. Tu es mon homme objet, n’oublies pas. Alors laisse moi cultiver mon gode et le conditionner comme je le veux. »

Elle a relâché toute la pression, détaché le tube, puis elle l’a replacé au plus près de la base de la bite, façon cokring.

 

Elle a commencé à me taper les couilles de sa main libre, de plus en plus vite et fort, tout en montant la pression dans le tube et en frottant frénétiquement son entrejambe hyper mouillée contre ma cuisse.

650g !!!


Elle m'a collé 650g (re!!!) et j'ai rien vu venir. Elle m'a littéralement scotché au plafond avec ses claques dans les couilles et a pompé comme une malade, tout doucement, longuement. Jusqu'à 650g de dépression !!!!!!!!!!

 

Un truc de dingue, une bite énorme, des couilles éclatées.

 

C’est là que, quand t’es un mec, t’en veut encore, t’en peut plus, tu veux tout faire péter.

Mais elle le sait. Et c’est pour ça qu’elle a tout relâché et m'a demandé de mettre la cage en cuir, celle qui fait cockring à la base et tient les couilles au chaud.

Ca fait comme une sorte de ballon dans lequel on place les couilles, puis la bite, et qu'on referme par boutons pression. (voyez la galerie photos pour voir l'objet)



En bref, la cage intégrale en cuir, la nuit c'est aussi infernal qu'une CB2000 ou CB6000 ; sauf que c'est en cuir et que la queue tire sur les couilles en étant plus proche d’une érection complète.

 

 

"Mais avant de t’endormir, viens me lècher, maintenant, gros porc !!!


Et fais-moi bien jouir je te prie !!!"

Je me suis exécuté, ai tiré sur ses lèvres progressivement puis de plus en plus fort, m'attardant sur son clitoris comme elle aime. Et quand elle me l'a demandé, je lui ai mis deux doigts et ai gratté en haut, juste après l'entrée de son vagin, à l'intérieur et ai ajouté ensuite un doigt pour aller au fond et je l’ai baisée aussi fort que j’ai pu avec mes trois doigts (l’effet point G sans doute ?).

 

Un vrai match de boxe dans son intimité, à la vérité. C’est comme ça qu’elle aime dans ces moments là : façon marteau-piqueur !!! Et j’ai mis douze fois la patate parce que j’étais excité comme fou.

Elles est partie d'un seul coup dans des convulsions sans équivoque sur le pied qu'elle venait de prendre, s'empalant sur mes doigts comme une folle.

Avant de s'endormir, elle m'a demandé de garder la cage en cuir toute la nuit, parce que j'avais été un bon garçon, et qu'on verrait demain pour un nouveau programme.

Elle s'est endormie.

J'ai tout nettoyé et rangé.

Y compris ma queue…

La suite demain ???

A bientôt !!!

Smartbeat.




Jeu 20 nov 2008 Aucun commentaire