Smartbeat, Homme Objet & Ballbusting

Ceci est le premier article de mon premier blog, soyez donc magnanimes.

Il est l'aboutissement d'un long processus, et est écrit pour satisfaire les instincts inquisiteurs sinon voyeurs de mon épouse.

Schématiquement, j'ai, comme beaucoup d'hommes, de gros besoins sexuels tandis ceux de ma femme, à l'instar de beaucoup d'autres, sont à la fois moins nombreux et plus orientés "calins" que cul pur et dur (encore que, certaines fois, elle apprécie d'être prise sans ménagement et doit être proprement "démontée" pour prendre son pied).

La puissance et la fréquence de mes érections perdure depuis mes 11 ans, et si je ne me tire pas sur la nouille au moins trois fois par jour, je ne me sens pas bien. Je ne jouis pas forcément, mais, c’est plus fort que moi, il faut que j'active mon bazar.

Ma femme s'est peu à peu fatiguée d'éteindre ces feux perpétuels et nos relations se sont espacées.

Nous nous aimons l'un et l'autre d'un amour que je souhaite à beaucoup d'autres couples ; simple, sincère, évident.

Et c'est ainsi que nous avons commencé à devoir gérer notre "différentiel de Libido" de manière originale.

J'ai de mon côté toujours été attiré par les lectures érotiques et pornographiques, de sorte qu'aucune pratique ou "déviance" (j'ai horreur de ce terme parfaitement intolérant) ne m'est plus inconnue.

L'avènement d'Internet a d'ailleurs facilité l'assouvissement de mémorables branlettes sur supports informatique en tous genres.

Et plus on en a, plus on en veut, donc j'ai progressé dans mes désirs et besoins, aggravant l'écart de sexualité préexistant entre nous.

De son côté, ma femme était plus que classique : pas de tenue aguicheuse, pas de fétiches particulier, pas de jouets, amour exclusivement au lit, petit Jésus nulle part ailleurs que dans la crèche, pas de film ou sujets érotiques ; même pas un petit striptease de temps en temps.

Je ne la délaissais pas pour autant et je l'aimais très fort dès qu'elle en manifestait l'envie ... et je me branlais dès que je pouvais, focalisant sur des sujets que je qualifierais de plus en plus éloignés du petit séminaire.

J'ai la sensation qu'elle a été longtemps malheureuse de ne pas pouvoir me satisfaire. 

Et de mon côté j'ai également été malheureux de ne pas être en mesure de l'amener à dépasser le stade de la vie de couple hyper classique décrit ci-avant.

A tort peut-être, mais je ne me suis pas contenté de ses affirmations réitérées selon lesquelles "elle était parfaitement heureuse comme ça et ne voyait pas l'intérêt de chercher la complication".

Mes demandes réitérées la rendaient en fait malheureuse et m'en apercevoir me mettait dans le même état.

Jusqu'à ce que je découvre un truc : elle appréciait de participer, activement ou en voyeuse à mes séances de branlette.

Ainsi donc je découvrais avec bonheur qu’en fait, comme on dit dans les Bronzés : « elle aime la bite la gamine ! »

Ce n’était pas pour me déplaire et je me suis mis à tout lui dire de mes pulsions, tandis qu’elle ne tardait bientôt plus à décider non seulement de la fréquence des mes frénétiques astiquages mais aussi de leur qualité et caractère satisfactoire … ou non.

Elle exigeait ensuite un parfait respect de ses prescriptions : éjaculation ou pas, contrôle de ma queue, mais aussi et surtout de mes couilles.

En effet, elle a progressivement pris goût à me les exploser du jour où elle a découvert que ces dernières ont la faculté de se muer en bouton magique pour me faire jouir et/ou me frustrer à mort selon qu'elle les frappe plus ou moins fort et/ou rapidement.

Autre technique développée pour traire ma queue : la branler à mort, puis, la frapper violemment au moment de l’orgasme ou au contraire abandonnée au moment même où elle aurait besoin d’être entretenue pendant l’extase.

Elle a ainsi développé une technique très efficace pour déclencher des orgasmes « secs » et violents, irrésistibles : en tapant dedans sans vergogne, avec ses mains, ses genoux, ses pieds (voir mes liens Ballbusting et CBT), elle provoque une éjaculation sans réelle jouissance.

Au contraire, la défonce de mon service trois pièces génère ensuite des ondes puissantes qui perdurent et renouvellent mon envie de plus fort, aussitôt l’éjaculation sèche terminée.

Retour à la case départ : Je suis frustré à mort par ce traitement.

Mais au moins, cet état résulte d’une activité commune avec mon Amour.

Une forme un peu particulière de sexualité, mais j’ai peu à peu compris que pour qu’elle se lâche, il fallait que je m’abandonne à son bon vouloir.

C’est ainsi qu’elle a pris le contrôle de m asexualité et très abondamment explosé, demandant que je lui confesse peu à peu mes fantasmes pendant les « traites » qu’elle effectuait de main de Maître.

Elle sait maintenant que je fantasme sur des Maîtres/Maîtresses et/ou des esclaves en Cuir, Latex, PVC, des jeux de domination/soumission, que j’aime les accessoires sexuels.

Je me suis documenté sur les pratiques suivantes dites de « Cock Control » ou « Tease&Denial » ou « ruined Orgasm ».

En clair, il s’agit pour la femme de contrôler la sexualité de son homme, selon les préceptes très bien exposés par Elise Sutton (http://suprematiefeminine.over-blog.com/).

Le principe est simple et il se résume ainsi Copie du Site de E Sutton en Français) :

Q. Qu’obtenez-vous en privant votre mari de ce que tous les hommes considèrent comme un droit, celui de jouir fréquemment ? Pouvez-vous l’écrire afin que les autres femmes le comprennent ? Cela vous donne-t-il le sentiment ultime de supériorité de la femme ? Votre mari a-t-il beaucoup de plaisir à vous donner le vôtre ? 

A. Une évolution touche toutes les femmes qui expérimentent ce style de vie. La plupart commencent timidement, peu sûres d’elles. Puis elles commencent à dépasser leurs inhibitions et embrassent le coté dominant de leur personnalité. Elles commencent à aimer à dominer et contrôler. Avec le temps, l’appétit grandit. Elles demandent plus de contrôle, plus de pouvoir. L’interdit d’orgasme d’un homme est vraiment un afflux de pouvoir. Les femmes qui pratiquent ce style de vie apprennent qu’un homme sexuellement satisfait est égoïste, mais qu’un homme frustré est très obéissant. Les hommes sont bien plus faciles à contrôler et à dominer quand ils sont interdits d’orgasme. Cela rend la vie d’une domina bien plus plaisante. Quand un homme a joui, il a une période de baisse de régime et son enthousiasme pour servir diminue. Je suis excitée à la pensée de posséder un contrôle aussi total sur mon mari. Nous avons un dicton à la maison : « le sexe est fait pour le plaisir de la femme ». Nous le pratiquons et faisons de l’interdit d’orgasme une réalité. Est-ce que cela me donne le sentiment ultime de supériorité de la femme ? Oui. Mais cela ne fonctionne que si le soumis aime cet échange de pouvoir. Vous ne pourriez jamais frustrer un homme qui n’est pas excité par la domination féminine. Je nourris la soumission et l’excitation du soumis. Mon mari a désiré se rendre à moi, j’ai pris la mesure de ce désir, et j’ai désiré bien plus. J’aime savoir que mon mari va me donner plus de plaisir qu’il ne va en recevoir. Cela me donne un vrai sentiment de pouvoir. Il a été éduqué par moi pour que sa satisfaction soit de savoir que je suis totalement satisfaite sexuellement. Je peux dire qu’il est troublé si je n’ai pas eu ma dose d’extase. Il a bien plus de satisfaction à plaire à sa Reine, c’est ainsi que cela doit être ! 

Cela résume parfaitement les relations qui se sont peu à peu instaurées entre ma femme et moi.

Et ce Blog a pour objet de vous faire partager au travers du Journal Intime qu’elle m’a demandé de tenir, toutes les sensations et aventures que nous vivons depuis que je m’en suis remis à sa volonté.

Je dois également y consigner mes activités et pensées malsaines.

Mes punitions et mes récompenses figureront naturellement en bonne place.

A suivre donc.

N’hésitez pas à nous aider à faire évoluer notre relation en apportant vos commentaires.



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Jeu 28 aoû 2008 1 commentaire
En voila une qui a bien de la chance d'avoir un homme qui se soit pas barré en courant !!! Madame Smartbeat, il faut aller au bout des idées de ton encagé, pousser le truc au bout. Je suis sure qu'il n'est pas capable de baiser quelqu'un d'autre que sa femme. C'est beau au fond, un vrai petit soumis de la bite, mais encore faut-il qu'il assume. A ta place Madame Smartbeat je l'emmènerais attaché et en laisse en soirée SM, échangiste ou truc du genre et je l'obligerais à se branler ou faire branler dès qu'un truc sypa se produit. Enfin, s'il en est capable. Et moi je profiterai de ses penchants pour me faire mettre par des vrais Mecs ou l'utiliser comme god sur d'autre femelles. Tu verras, le laisser en cage c'est bien mais à mon avis, il devrait au contraire avoir les couilles vides en permanence. C'est encore beaucoup plus drôle d'obliger un male à bander quand il en peut plus. Bravo à tous les deux en tous cas. Au moins vous avez des trucs à partager, c'est l'essentiel !!!
Cathy - le 30/08/2008 à 14h02