Smartbeat, Homme Objet & Ballbusting

Hello à tous,

 

Bientôt deux ans que nous n’aurons plus eu de relation sexuelle. 

Enfin, de relation « normale » s’entend. 

Lorsque j’ose en faire part à Madame, elle me sourit avec ce petit air de supériorité qui n’appelle aucune contradiction, accompagnée d’une invariable  réponse: « oui. C’est ça qui est bien ».

Et si j’insiste, elle finit toujours par répondre :

-  qu’elle m’a bien défoncé ;

que j’ai pu cracher ;

que c’est bien suffisant ; 

Il ne me reste plus qu’à me taire et me calmer dans mon coin, ou à me plaindre de plus fort, auquel cas j’écope d’une nouvelle frustration : la Cage de Chasteté pour une durée indéterminée, ponctuée d’une invitation à atteindre un nouveau seuil de frustration. 

Madame s’est finalement découvert une vraie vocation de domination de mes pulsions sexuelles males, doublée d’un réel talent en défonceuse de couilles. 

Elle qui était si réservé et si timide n’a désormais plus aucun mal à me dire qu’elle aime voir mes testicules grossir et bleuir sous ses coups ; on sent qu’il s’agit là d’une gourmandise d’autant plus délicieuse que j’encaisse fort. 

Et elle sent bien que je suis désormais au bord de l’éjaculation à la moindre sollicitation. 

Elle met un soin tout particulier à la préparation du travail des couilles, vérifiant qu’elles sont bien rasées, bien huilées quand je suis en cage, bien sensibles et disposées à recevoir leur volée sans rien dire. 

En fait, elle est parvenue à me faire éjaculer de manière mécanique, sur commande. 

Mais il n’est jamais certain que ce soit son souhait puisqu’elle veut parfois juste jouer avec mes organes les plus sensibles pour le seul plaisir de me sentir sous son contrôle, à sa merci. 

Elle saisit mes boules, les tapote à main nue ou bien y enfonce profondément ses ongles, comme pour les détacher. 

D’autres fois, au contraire, elle les latte sans aucun préparatif, aussi fort qu’elle le peut, d’un coup de genou ou de pied, souvent suivi d’autres, dans ce cas toujours plus forts et furieux à mesure qu’elle se lâche : elle adore me voir m’écrouler au sol et la remercier. 

Interdiction d’émettre le moindre son ; obligation de lui masser et embrasser les pieds et les jambes. 

C’est précisément ça qui lui plait : commander cette queue qui était autrefois le symbole autant que l’outil de ma mâle domination sur son sexe « faible ». 

Il faut voir comme ses yeux brillent d’une lueur étrange quand elle « sent » que je n’en peux plus et qu’il est temps de me « vider ». Comme un sac lorsqu’il est plein. 

C’est là qu’elle prend son vrai pied ; je le vois à son expression, sa manière d’être. 

Elle sait qu’elle dispose d’un contrôle absolu, sans limite.

Elle jouit véritablement de ma capacité de résistance, soit pour ne rien lui quémander, soit au contraire pour résister à la douleur gratuite qu’elle sait m’imposer massivement. 

Elle maîtrise parfaitement le fait que c’est en fait désormais autant de plaisir pour moi ; puisque cela vient d’Elle et qu’il s’agit donc du seul auquel j’ai droit… 

Que ce soit court et brutal ou long et doux, elle prend de plus en plus de ravissement à me contrôler, à décider de où, quand, quoi et comment j’aurais le bonheur de voir mes organes utilisés. 

Et elle sait que c’est de toute façon maintenant toujours plus de frustration pour moi, que j’éjacule ou non ou non, puisque je ne peux jamais me « lâcher » à ma guise ni de manière satisfaisante. 

C’en est même arrivé à un point où, carrément, je redoute vraiment d’éjaculer ; cela suppose en effet forcément de devoir gravir de nouveau ensuite les étapes de la frustration qui précèdent la libération  – le délai pouvant être assez long. Sauf qu’en l’espèce, il n’y a jamais vraiment de libération. 

Ce qui signifie que je suis désormais, outre frustré à mort sexuellement, également frustré d’éjaculer, puisque je n’ai aucune satisfaction sexuelle autre que mécanique. 

Et c’est d’ailleurs bien pour ça qu’elle adore me défoncer les couilles : elle sait qu’à un moment, la douleur masque toutes les sensations, y compris celles de l’éjaculation. 

Elle n’aime alors rien mieux que de m’éclater les couilles en rythme, juste pour m’obliger à me tirer sur la queue, dans l’espoir désespéré que les coups s’arrêtent enfin après l’éclatement.

Autant dire qu’il m’est impossible d’en retirer un quelconque plaisir, autre que celui de me faire défoncer par celle que j’aime et que je vois jouir de sa supérieure domination. 

Le vidage des couilles emporte alors une sensation de manque, provoquée par le sperme manquant. 

Mais je sais que n’aurais droit à rien d’autre que d’attendre « la prochaine fois ».

En cage ou non, sanglé ou non… Mais il faut attendre.

 

Je sais maintenant que plus jamais je ne pourrais prendre Madame en forniquant normalement. 

Depuis deux ans bientôt… Alors j’en suis même convaincu : ce ne serait même plus envisageable et encore moins possible... 

Avec cette sensation physique du manque, de l’absence de relation sexuelle, cette conscience de n’être « qu’un tube et des boules », entièrement à la merci du bon vouloir de Madame, je ne sais ne plus savoir ni être capable de jouir normalement. 

Certaines fois, c’est au contraire un délai très très court qui doit espacer les « traites » : je dois dans ce cas me branler devant Madame et éjaculer dans un timing imparti, autant que fois que nécessaire, jusqu’à ce qu’il ne sorte plus rien de mes couilles et que ma verge en ressorte abimée à force de s’étirer en tous sens et de recevoir la cravache, le martinet ou le bâton, quand ce ne sont pas tout simplement les coups de pompe ou de genoux.

 

Car c’est relativement nouveau, mais Madame éprouve également un grand bonheur à me  « latter » ou à me fouetter pendant que je me branle pour elle, « au top départ » comme elle dit.

Elle a récemment découvert les vertus du ceinturon comme elle a découvert celles du « coup de pompe » : en commençant par me torturer les couilles, la bite, puis le reste du corps et plus particulièrement le dos et les fesses. 

Et elle ne se prive pas de m’en asséner force coups et menaces aussi souvent que possible : ça la met en transe… tandis que moi je suis à la fois heureux de lui procurer du bonheur et stresser de savoir si je vais être à la hauteur du comportement qu’elle est en droit d’attendre de moi. 

Le point de départ est toujours le même : 

« Vas me chercher le petit bucheron » ; c’est ainsi qu’elle appelle la large ceinture avec laquelle elle aime me frapper, mais il faut en fait lui amener le sac contenant le « matériel des délices » au grand complet – celui dont elle se sert également pour monter à cheval.

Puis :

-   « En position » ; c’est-à-dire que je dois me tenir à genoux, ou à 4 pattes, jambes écartées, en lui présentant mon dos. Elle me tourne alors autour et me demande si j’ai envie, si ma queue est contente. C’est faux, bien sûr, mais je réponds toujours oui. Elle décide alors que c’est mal, très mal et commence à me fouetter en me faisant la leçon.

Si au contraire je réponds que ma queue est malheureuse et qu’elle voudrait baiser, j’ai droit à une réprimande en règle, car ni elle ni moi ne méritons rien d’autre qu’une bonne correction. Dont elle ne se prive pas !!!

Que ce soient ses coups de ceinture, de cravache, de pied ou de genoux, croyez-moi, elle se lâche. 

Mais je ne sais l’arrêter tant je constate le bonheur que lui procure chacun des coups qu’elle m’assène. 

 

Le pire est sans doute qu’elle sait que désormais j’ai appris à aimer cela.

 

Et que je n’ai qu’une envie, la voir jouir, ce qu’elle parvient à faire ensuite qu’elle n’en peut plus à force de me battre et je la masse avec force dévouement pour son plus grand plaisir.

Je suis « son petit esclave », son « petit assistant », qui n’a pas le droit de la baiser, mais doit tout encaisser.

 

Le pire est doute que j’aime ça…

 

 Smartbeat

 

 

 

 

Lorsqu’elle daigne s’occuper de moi… c’est toujours l’occasion d’une bonne bastonade.

 

Elle a parfaitement compris qu’à force de taper, de claquer et de travailler les boules d’amour, celles-ci finissent toujours par se vider.

 

A force de croire que… Mais que finalement rien. Ou si peu : autorisation de branlette et claquage des couilles

 

Et puis de satisfactions minimes mais (très) espacées, nous avons fini par trouver un mode opératoire ou la frustration est devenue mon moteur de jouissance.

 

 

 

Lun 24 jun 2013 Aucun commentaire